Voilà l’histoire ….
Un jour de désoeuvrement, je me suis inscrit sur Cdate, je suis rentré en communication avec une femme assez volatile, non pas une poule, mais insaisissable, de brefs échanges, mais j’entrevoyais une certaine sensualité en elle, et comme si, soit elle fuyait, soit pressée et frustrée de son manque de temps, celle ci ne me laissait que quelques mots en messagerie, mais je voulais la connaître mieux. Force de temps j’arrivais à obtenir une rencontre.
En ce premier rendez vous, nous nous sommes retrouvés dans une galerie marchande de carrefour, Vitrolles, du monde, des badaud faisant les vitrines. Du bruit, de la foule, lumières crues et colorées, des néons, justes quelques aires de tranquillités , les terrasses des bar, bref lieux pas vraiment géniaux, mais peu importe l’important est de la rencontrer . Après donc la promenade devant différentes vitrines, malgré tout , nous sommes arrivés devant un magasin, de sous vêtements féminins, j’adore commenter, nous avons échangez nos goûts en rapport que ce que nous promettait la vitrine .
Déjà qu’il m’en faut peu pour délirer, combien de fois mon imagination s’envolait, envolée vers des passantes,rien qu’en divasageant les fesses, souvent légers reliefs de leurs sous vêtements, se dessinent . De face leurs chemisiers laissent quelques fois entrevoir de la dentelle , J’aime ces coups d’oeil furtifs, il m’arrive aussi d’en recevoir lorsque je lève le regard de leur poitrine, croisement soit amusé, soit plus intensément chargé de séduction .
Finalement nous prenons un café et commençons à bavarder, Et comme je n’aime pas, enfin disons que en fait je préfère être à coté de ma rencontre plutôt qu’en face, ce qui me permet se sentir mon contact, mais bien sur en toute bienséance, je trouve que c’est plus intime comme situation, donc nous conversons sur choses et autres de la vie, la décontraction semblait être de rigueur, et nous étions en harmonie sur bien des idées, je sentais sa chaleur contre moi mais jusque là nous nous frôlions, quand elle me parlait, elle ponctuait ses phrases en posant la main sur le bras, et moi, de temps en temps d’une manière naturelle je posais ma main sur sa cuisse sans insister, mais geste naturel que je faisais et sentais qu’il n’y avait aucune réactions contraires, vêtue d’une robe d’été, qui de temps en temps selon le mouvement, me donnais une vue sur sa poitrine constituée de deux jolis petits globes, pas très imposants mais bien en place et reflétant une bonne tenue, une bretelle de son soutien gorge souvent glissait de son épaule et l’on pouvait apercevoir un sein presque entièrement, juste son mamelon était dans le bonnet, aussi la pression à la vue de jolis seins prenait elle de l’importance, et par différents mouvement nous nous retrouvons un peu plus serrés, souvent se tournant vers moi en me parlant elle aussi posât sa main sur ma cuisse et moi tout en lui répondant, je caressais la sienne et de plus en plus mais très doucement ma main à la fois allait vers l’intérieur de sa cuisse et remontait sa robe , jetant des regards circulaire, personne ne faisait attention à nous, elle souriait tout en parlant et me disais que j’étais coquin, mais lui répondais que juste voulais mieux la ressentir par le contact de sa peau, et de fil en aiguille ma main passant sous le tissus léger de sa robe arriva à son entrejambe, et je sentis du bout de mes doigts son mont de venus, à ce moment là elle mis sa main sur la mienne et me disant "soit sage il y a du monde" regarde autour de toi lui répondis je, personne ne fais attention, ni ne nous calcule ! et mon majeur se glissant entre sa peau et son string découvrit l’amorce supérieure de ses lèvres intimes dégagées de pilosité, elle fit un mouvement qui lui donna une position plus inclinée en arrière et écarta un peu ses jambes, sa main tenant et tirant sa robe vers le bas et moi de ma main droite retournée, je glissais mon majeur entre ses lèvres, enfonçant celui ci , qui une fois humidifié je le ressortis lentement et commençais à toucher son clito le plus habilement et doucement possible au vu de la position ……
Mais voilà malgré l’attention des personnes dans le bar, Pascaline commençait à trouver du plaisir, et la situation devenait particulière, de sa main droite elle tenait sa robe tirée vers le bas, je lui avais fais mettre sa main gauche sur ma braguette,
elle sentait mon érection, et mon sexe qui durcissait au fil du temps . Elle commençait à me dire d’arrêter, bredouillant que c’était trop, effectivement j’avais la paume de la main bien humide malgré que je n’avais que le majeur enfoncé en elle, elle retira avec détermination ma main de dessous sa robe, souffla de satisfaction, et commença à reprendre une tenue moins affalée en se redressant et resserrant ses jambes .
Je me levais et allais payer au comptoir nos consommations au patron ; Le garçon courant de table en tables, ne nous prêtait pas attention . Puis nous sommes sortis bras dessus dessous .
Une fois dehors je lui proposais d’aller chez elle de façon à continuer, non me dit elle pour je ne sais qu’elle raison, et tout en essayant de la convaincre nous nous dirigions vers sa voiture garée devant une petite haie de troène haute de 80 Cm, arrivés à sa voiture tout en parlant je l’ai collée contre et nous nous embrassons par petits baisers, elle regardant furtivement de tous les cotés, mais peu de personnes aux alentours, aussi me déplaçant vers l’extérieur tout en étant contre elle de façon à masquer son corps d’une éventuelle présence pouvant survenir je lui relevais sa robe, et appréciais ses jambes, puis je passais ma main dans son string rouge à dentelles, joli entre parenthèse, le baissais en le roulant sous ses fesses et dans son sexe et engageais mon index tout en continuant à l’embrasser , elle écartant ses cuisses dans la limite de la retenue de l’élasticité de son sous vêtement roulé, râlant doucement entre mes lèvres à la pénétration de mon doigt, puis du suivant, sa chatte était mouillée abondamment j’avais ma paume sur son mont de venus et je passais ma main gauche dans son corsage: j’empoignais un sein dont je malaxais le téton, tu es fou, murmurait elle, arrête, STP arrête !!! Mais elle s’offrait autant que le pouvais la situation, je passais ma main entière entre ses jambes j’engageais mon pouce dans sa chatte et de mon index trempé me frayais un passage entre ses fesses, trouvais l’entrée de son anus et sans hésiter enfonçais cet index jusqu’à la garde , elle gémissant de surprise et de plaisir je sentais ses jambes mollir, d’un regard vite fait je constatais que la plus proche personne, une femme trois voitures plus loin rangeait ses courses dans son coffre et ne prêtait attention à nous, aussi j’entraînais Pacaline entre deux Troènes, mais, mais, mais … Disait elle, viens lui dis je, et elle suivit, et arrivée alors, après trois pas derrière la haie je la faisais baisser à genoux en appuyant sur ses épaules défaisais ma braguette, mon sexe dépassant de mon slip, fortement tendue, je lui pris la tête à deux mains et lui mis mon sexe dans la bouche, elle se défendait mais sans trop sous la pression ouvrit ses lèvres et je m’engouffrais dedans, une fois en place elle s’appliqua à sucer celui ci, plaçant une main sous mes couilles et les malaxant, mais que cette caresse était bonne, et je ne la fit peu durer sentant ma queue raide au maximum , alors je me baissais aussi, relevant sa robe et par derrière je m’introduisis, je la pris en levrette dénudant sa poitrine pardessus son soutien gorge et sa robe,sa chatte trempée, dedans y glissais ma queue, m’accueillant avec douceur je la pratiquais doucement de peur de jouir trop rapidement, je la sentais se cabrer pour profiter pleinement de ma pénétration, j’allais doucement le plus profondément possible la tirant à moi par les hanches, plus loin des gens parlaient des claquements de portières, je continuais mon va et vient qu’elle accentuait elle aussi en reculant, s’empalant en cadence, je posais ma main sur le bas de ses reins et engageais mon pouce dans son trou en malaxant sa corolle de plis, le plus possible le mis dedans et synchronisais le mouvement tout en la pratiquant , de petits cris et gémissements, s’échappait de ses lèvres la tête ballottée de droite à gauche, puis me vint à l’idée d’alterner les pénétrations, j’engageais ma queue dans son anus, quel cul superbe aux belles fesses rebondis, une fois immiscé, lentement mais, sans hésitation ni arrêt, je la pénétrais entièrement et là, le gémissement de plaisir qu’elle poussa quand j’arrivais au bout, alors ensuite c’est elle qui assura lentement le mouvement, trois quatre fois, plus même et à un dernier avancement avant qu’elle recule à nouveau, prestement, je me remis dans sa chatte brusquement, ho le râle ……….
Ainsi de suite, plusieurs fois changeant doffices, dans un premier temps je la fis jouir du cul, alors que je mapprêtais à ressortir de son anus, elle m’a retenue, d’une main sur une de mes fesses, me poussant à la finir dans cette sodomie, ce que je fis avec entrain, jusqu’à son orgasme ou elle saffala face contre terre . Je restais un moment dans son conduit, en bougeant légèrement, pour maintenir mon érection .
La sentant reprendre ses esprit je me dégageais de ses fesses, et me glissais entre ses jambes je la fis asseoir sur moi, j’avais la vue sur son dos, sa taille, ma main empoignant un sein, je la redressais, puis l’aidant de mes mains sur ses hanches, je me fis chevaucher durant un moment, jusqu’à que ses allers retours deviennent désordonnés sous l’effet de sa jouissance, là je la repris en levrette, puissamment m’introduisant violemment de nouveau en elle, Oh le feulement s’échappant d’elle !!!!
Ensuite j’accélérais le mouvement sentant l’éjaculation venir, sauvagement les allers retours s’accentuant, moi accroupis sur elle, et dans un dernier enfoncement brutal la sentant proche de la jouissance, j’éjacule longuement en plusieurs saccades, en elle . Elle le ressentit aussitôt un cri étouffé séchappât de sa poitrine elle se mit à trembler de tout son corps en plusieurs séquences et sentit dans le moment la coulée chaude du liquide de son plaisir, de sa jouissance, elle se contracta plusieurs fois, tandis que moi affalé sur elle, je reçu, une longue éjaculation s’échappa de son vagin, et ma queue linondant elle s’affaissa sur le ventre ses jambes ne la soutenant plus et moi dessus reprenant ma respiration trempée de sueur nous étions, entre les feuilles des arbustes, pouvait apercevoir des gens, qui loin de se douter qu’à 5 mètres d’eux un couple avait pris du plaisir , finalement, assise sur l’herbe, elle passât sa main entre ses jambes pour enlever tout ce qui coulait s’essuya la main dans l’herbe, remonta tant bien que mal son string, alors je me levais en premier, remontant mon jeans, je surpris un regard d’une ménagère surprise de me voir derrière la haie, gênée elle détourna son regard, Pascaline se mit elle aussi debout, faut avouer qu’elle était moins pimpante qu’à l’arrivée, coiffure en désordre un peu flageolante, je la prit par la main, nous sommes sortis ainsi de la haie, elle ouvrit sa voiture montât dedans baissa sa portière nous échangeâmes un baiser et me dis, je te recontacterai je la regardais partir et depuis ……… deux petits mots sur msn, mais plus de nouvelles, mes sms sans réponses, appels tombant dans le vide, sur la messagerie, voilà une femme de plus avec qui continuer ne se fera pas . Mais quelle belle histoire, que de s’en souvenir est bon !