Ça fait déjà un bout de temps que je connais Aniya… Je l’ai rencontrée quand j’avais 23ans, une twingo framboise, pas un cheveux blanc !
J’étais à la fac donc je foutais rien. Je me levais tôt quand même. Affamé de sexe ! Je me souviens de mon vice de l’époque. Le chat, rien à voir avec l’animal. Plus de 1000 contacts MSN grattés sur skyrock rencontres. Tu vois le niveau !
Je parle d’un temps que les moins de 20ans… Y avait déjà le portable, certes. Pas de MMS. J’envoyais pas ma queue en JPEG à tout bout de champs. On était moins trash. On se doutait de l’issue, mais on faisait pas le scénar à l’avance.
C’était dans le 17ème. Malhserbes, le quartier où les riches ont choisi de se faire chier. La première fois que je l’ai vue, Aniya, je l’ai prise pour une Asiatique. Avec ses petits yeux de chat et ses cheveux raides. J’étais pas si loin… Algérienne mais aussi Turque, aussi Mongole et je crois même un peu Tunisienne. J’allais baiser tout l’orient une bonne fois pour toute.
On s’est baladés. On a mangé une bonne planche de charcuterie… puis quand on puait bien de la gueule, on s’est partagé un chewing-gum. Moitié-moitié. On s’est embrassés.
J’ai tout de suite senti que je l’aimerai. Son baiser était chaud et entier. Tout son érotisme transpirait de sa langue brulante et douce. Elle a poussé un petit gémissement et je dois avouer que j’ai ronronné de plaisir du fond de mes cordes vocales.
On est allés dans ma chambre de bonne. Étreinte sans limite. Elle a gardé son boxer, trempé d’envie. Elle m’a vite sucé pour abréger mes attaques contre ce dernier morceau de tissu. De sa petite bouche encore maladroite elle m’a fait très vite jouir. Je bandais depuis son premier baiser. 3 heures d’érection, à cet âge, ça vous alourdit vraiment les couilles. Elles deviennent des marmites à sperme prêtes à déborder. J’étais pas habitué à ce qu’on couine comme ça en me suçant. J’ai prévenu que ça montait, elle m’a gardé en bouche. Une deux, trois quatre, cinq saillis avec chaque fois un petit mouvement de recul mais Aniya ne perd pas une goutte. Elle se dégorge, lève la tête, déglutit tout d’un coup et revient me nettoyer la bite avec sa langue qu’elle tourne autour du gland. Le travail est propre.
On est allés dans un parc, on a parlé, on s’est allongés dans l’herbe gentiment. On s’aimait bien.
On s’est revus, on a baisé. Puis elle est tombée amoureuse ; d’un autre ! On s’est revus quand même. En amis. On aimait lire tous les deux. On parlait de littérature. Elle appelait son copain devant moi. Lui disait qu’elle l’aimait. Raccrochait. Me racontait sa vie sexuelle avec son mec. Il était trop coincé. Puis on baisait tous les deux. Elle couinait en baisant aussi, elle aimait vraiment ça ! C’était intense mais pas dément. J’étais encore sage à l’époque. Je me contentais de la faire jouir avec ma bouche et de la limer quelques minutes comme on fait à cet âge, en se concentrant fort pour ne pas jouir. Aniya aspirait à plus. Elle voulait qu’on la dominât qu’on lui tapât le cul à le rougir tout à fait. Qu’on la fît pleurer, elle voulait des coups de queues à se tordre de douleur et qu’on la consolât. Oui, qu’on la consolât… Je crois qu’elle aimait bien le subjonctif imparfait aussi…
Quelques années sont passées. On s’est revus. Je vivais en coloc. Sa voix est toujours aussi aiguë, une voix de gamine un peu idiote alors qu’elle ne l’est pas. On boit des coups dans le salon, y a du monde, coloc et amis de coloc, même une meuf que je connais à peine mais que j’aimerais bien baiser.
J’occupe la chambre collée au salon et je sais qu’Aniya exprime son plaisir dans une tonalité Si bémol perçant les tympans. Je l’embarque dans la salle de bain, un peu plus loin. Ferme la porte derrière elle. Je l’embrasse torridement… elle se met à genoux. Branle mon sexe, lèche mes boules… j’aime ça voir ma queue sur tout son visage… mais je veux sentir la chaleur mousseuse de sa petite bouche de pute… je serre ma queue dans ma main, mon gland se gorge de sang, j’aime quand il est énorme devant une petite bouche… elle ouvre grand la sienne. Je mets mes deux mains derrière sa tête et j’enfonce ma queue au fond de sa gorge… elle a mouvement de répulsion, essaie de s’en sortir mais je la maintiens… quelques secondes… elle tousse "oh putain !" Elle revient sur ma queue vaillante comme un boxeur sonné et elle y va… C’est elle qui enfonce sa bouche jusqu’à la base de ma verge… on y est presque… elle se retire : baise-moi dans la douche !
Aniya a un cul de malade, qui a dû faire couler beaucoup d’encre et de sperme pendant ces années d’absence. Je la défroque avec le plus grand mal. Son cul est tellement bombé ! Je la plaque contre le lavabo, arrache son string trempé. Ça fait des heures qu’elle attend de se faire baiser. Dans ses fantasmes, elle a imaginé que je la baisais devant mes colocs, qu’elle allait se prendre des kilomètres de queue, que mon groupe d’amis lui passerait dessus sans ménagement. Je pose ma main sur son sexe, béant, grand ouvert prêt à recevoir ma queue ! Je suis derrière elle. J’écarte son cul magistralement rebondi et le bouffe à pleine bouche. C’est un caviar ce cul, mes joues entre ses fesses d’acier et mes dents qui s’acharnent sur son intimité… Elle gémit, j’enfonce mon gros pouce dans sa chatte, elle halète ! Aniya n’est plus. Cette petite algérienne ne s’exprime que par couinements, veut se faire dominer. "Prends moi comme une chienne !" Je la prends par les cheveux, l’amène sous la douche… fais couler l’eau glaciale. Je la penche en avant, sa nuque prend toute l’eau glacée tandis que son corps est brulant. Je suis derrière elle, la bloque. "Garde la tête froide sale chienne". Elle proteste et boum, elle se prend un premier coup de bite au fond de son ventre. Je lui tiens les poignets derrière le dos en baisant sa chatte. Boum! deuxième coup de queue plus violent, elle hurle ! Toujours derrière elle je lui fous des coups de queues de plus en plus fort… "Coupe l’eau je t’en prie !!"
Je tourne le contrôleur de température et le mets à fond vers le chaud… En quelques secondes, sa tête passe du glacial au bouillant, et je continue à la baiser comme un loup … Je lâche toute retenue je défonce sa petite chatte par des coups rapides et profonds. Ça ne s’arrête pas. La buée, les coups de queues incessants, et l’eau brulant son crane.. Ses jambes tremblent, Aniya fléchit et tombe à genoux dans la douche. Elle pleure, a le visage rouge et les yeux injectés de sang. J’éteins l’eau… elle sort à 4 pattes de la douche, incapable de se relever… Il faut l’achever… je prends une serviette… la passe autour de sa taille et la tiens fermement des deux bouts. Elle a les genoux sur le carrelage froid de la salle de bain, je suis derrière elle je vois son visage de chienne soumise dans la glace. Elle est à moi, la serviette emprisonne ses reins. Elle ne peut plus bouger… j’ai son cul en ligne de mire. Je commence à la prendre en levrette avec force puissance. Elle crie, je rugis, j’ai jamais démonté une jument comme elle… ma serviette me sert de rênes et je dirige son cul à loisir.. Elle gueule, mes reins claquent contre son cul il n’y a plus de limite à la violence, je déchire sa chatte prise de spasmes. C’est l’abattoir de la boucherie chevaline. Elle a la gueule sur le carrelage, elle pousse un cris magistral, un hurlement orgasmique et j’explose en elle….
On reste de longues minutes allongés sur le carrelage sans rien dire… elle m’embrasse et me câline à présent… elle se relève les jambes flageolantes. On sourit à l’idée qu’il va falloir traverser le salon pour regagner la chambre. Elle essaie de s’arranger mais elle ne ressemble plus à rien… on décide de reprendre une douche soft… On a meilleure allure à présent… On sort en peignoir et on traverse le salon dans un silence de plomb. "Bonne nuit !" je lance comme ça sans regarder personne. On entre dans la chambre. Les conversations du salon reprennent. Aniya enlève son peignoir, s’allonge sur le ventre et me glisse "j’ai encore envie d’être ta petite chienne…"
J’ai 30 ans maintenant, je vis dans un appartement du 11ème, pas loin de Charly hebdo… Une rue tranquille quoi !
On s’est revus y a quelques semaines. Aniya n’est plus avec son copain coincé alors elle a décidé de s’amuser. Elle vit toujours dans une chambre de bonne. Elle garde des mômes la journée, lit un peu pour son master de lettres modernes et j’imagine que la nuit elle se fait baiser inlassablement. On a bu un café. Puis un collègue prof nous a rejoint. On a discuté. Elle aime bien mon collègue. Elle aime bien peut-être tout le monde ? On se quitte, comme ça, sans rien faire. On se reverra surement.
Je passe la soirée avec mon collègue. Un prof aussi. C’est un mec intelligent. Vicieux à souhait avec les femmes, de préférence engagées. Sorte d’homo refoulé qui aiment avant tout l’homme qui se cache derrière la femme. "Quelle est la première chose que vous regardez chez une femme ?
Son mec !"
Quoiqu’il en soit il est séduisant. Grand, un visage taillé à la romaine. Un légionnaire du fantasme. Un écrivain de texto hors paire. Un cadreur de bites formidable. Des MMS à faire la tourner la perruque d’une loubavitch… A son air de ne pas y toucher, les femmes essaient de le saisir. Lui dresser un profil psychologique. Il est à la fois très gentil et très méchant, très tendre et très froid. Et jamais il ne donne l’impression de vouloir les baiser.
Ça les intrigue les femmes, ça les méduse… Moi, ça se voit tout de suite que j’ai envie d’elles, que je vais les embrasser toute entière avec ma grosse bouche de suceuse. Que je vais les malmener avec mes avant-bras saillants et mes mains de charpentier… On sème jamais le même trouble. On se partage les collègues en mal d’amour. Il est plus subtile. Il plait plus mais il baise moins. Il aime pas la conclusion. Il aime faire mouiller, j’aime faire jouir. On pourrait former une bonne équipe ensemble, mais on joue solo.
Ce soir-là avec mon collègue, on discute du boulot et on joue aux échecs. J’aime bien les échecs. Ça m’enlève de l’esprit la fille qui m’a montré son petit cul en MMS, celle qui me relance en texto… l’étudiante qui est venue me sucer dans ma classe, Leïla, Camille et tant de choses qui m’obsèdent.
J’envoie un petit texto à Anyia. "Tu fais quoi ? On sort ? Je suis avec Antoine." Elle me répond "OK, je vous rejoins avec ma coloc."
Les deux arrivent. La coloc s’appelle Yasmine. Elle le visage des algériennes un peu sèches. Nez crochu, menton un pointu mais malgré tout une belle petite frange de pute et un air de vicieuse… Une belle bouche, ça compte aussi.
On discute, ça se passe bien. Ces algériennes ont fait le lycée français d’Alger, ce sont des bourges de là-bas qui vivent à deux dans une chambre de bonne du 16ème ici… Elles s’en sortiront très bien en suçant des bites de blancs. Ça finit toujours par payer quand on veut s’intégrer. Nous, simples profs, on est pas dans ce registre. On peut pas en vouloir à notre argent, on en a pas. Du moins ça se voit pas. Parce qu’en vérité on est tous des petits bourgeois. Si on avait manqué d’argent ou si on avait eu peur d’en manquer, on ferait du commerce… On instruit les masses pour que dalle. On a du temps libre… Du temps pour baiser les mères de famille dans des hôtels bon marchés.
Antoine est fatigué, c’est pas un fêtard. Il aime pas trop l’alcool. Ultime vice… On sort de chez lui. Dans lascenseur qui met 3 plombes, Aniya, nous confie qu’elle aimerait trop le sucer. Yasmine et moi on lui dit de remonter. Je suis sûr qu’il accepterait, il m’a dit qu’il la trouvait bonne la petite Aniya avec son petit cul rebondi… Elle a le corps typique de la petite chienne… Épaules étroites, de très petits seins à qui les vendeurs de soutifs arrivent quand même à refourguer la marchandise, totalement inutile… Une petite taille avec un ventre plat, lisse, sans abdos mais ferme. Ses hanches arrondissent cette silhouette jusqu’à son cul ultra bombé qui remonte façon faux cul de brésilienne. Tous ses muscles se tiennent là, dans ses fesses noueuses et body buldées de la meuf qui a parcouru des kilomètres à cheval sur la queue des petits playboys blancs de Paris… Un cul qui ferait bander une maison de retraite. Un cul qui ruinerait l’inventeur du Viagra.
Elle remonte timidement… On attend en bas avec Yasmine. On fume des clopes, on discute. Il m’arrive de parler d’autres choses que de Fist fucking dans la vie. On aborde Paris, mon métier, les enfants du quartier… L’immigration, l’Afrique !
Aniya sort de l’ascenseur déjà. Elle s’essuie la bouche, il a dû venir en 2 minutes. Son pouvoir de couiner avec une demie baguette dans la bouche, c’est assez excitant faut dire. Suffit qu’elle cambre son dos, qu’on imagine prendre son cul de porno star et le coup part… Mais non, elle a pas osé, elle a fait semblant de chercher son tel, il a attendu impatiemment qu’elle se casse, elle lui a rien dit… Il s’est rien passé…
On sort, on prend le bus. J’ai pas la carte des soirées chics à Paris. Je me sappe assez mal. Je suis prof. J’aime pas les bourges, je les flinguerais. J’aime les chiennes de rues pas les poules de chez Régine.. On se retrouve à Saint Michel comme les mecs de quartiers qui savent pas où aller. Latin corner, c’est l’enseigne de la boite. Ça me dit quelque chose… on m’en a déjà parlé. Plein de mecs se font recaler à l’entrée. J’arrive avec mes deux petites putes arabes. On rentre. Merci SOS racisme…
Dans la boite, que des filles ! Quasiment ! L’endroit est petit, exigu, et on meurt de chaud.
Le principe : des serveurs en boxers super bien gaulés qui se trémoussent en servant des cocktails à des gamines dingues de ça.
J’ai envie de pisser, je descends. Croise une bombe, robe bleue, légère, grand décolleté, petite blonde bronzée… je lui demande bêtement "où sont les toilettes ?" Elle m’accompagne, me montre, me sourit et remonte… Wahh coup de chaud ! J’ai un moment imaginé que 30 secondes après mon entrée dans ce bar, j’allais finir aux toilettes avec une bombe… Je pisse, je remonte.
Mes deux petites copines discutent avec un serveur bodybuldé. Je revois ma petite blonde. Raggatown… dechainée ! Elle m’agrippe, commence à danser. Je suis un pitre sur la piste ! Piètre danseur ! J’essaie de suivre la cadence, qu’à danser, qu’à danser… me dis-je. J’essaie de lui parler. Tiens, l’humour ça compense… Elle entend rien et s’en fout. Ma cuisse est devenue une rampe à cyprine. Elle se frotte dessus, collée à moi. De fait, mes boules à sperme et ma queue sont collée à sa cuisse aussi, quelques millimètres de tissu nous séparent. Je commence à me tendre. Le bout de ma queue touche son appendice. Les mains dans son dos, elle a chaud. Je ruisselle aussi des tempes. Ses copines nous regardent. J’ai l’air d’un con. Mais qu’est ce qui bande mieux qu’un con ? Pas de doute, c’est la plus belle de toute la piste.. on se frotte, on se frotte. Une main sur sa cuisse. Pas de refus.. je monte un peu jusqu’au creux. Rien à redire… Une petite ficelle. Quel age ? 23/24… Mes deux arabes en ont fini avec le serveur. Elles discutent, me jettent des illades. Si je continue ce frotti frotta, je vais la violer sur la piste… Je ferme les yeux, imagine… balayette, la blonde à terre… ses mains sur le sol… je soulève sa robe, la cambre, écarte son string, sors ma grosse queue, je la prends à 4 pattes sur la piste. D’un coup, 18 cm dans le ventre, elle gémit, regarde ses copines en pleurant. La chienne attaquée par un loup. Je martèle sa chatte, la foule pousse un cri de stupeur ! Ses copines arrivent pour la sortir de là… je m’agrippe à ses hanches, continue à la baiser sans capote. Je vais te foutre enceinte petite salope… "laisse-la elle est bourrée" crie sa copine la plus hargneuse. je lui fous une torgnole, elle recule… je tire les cheveux de la petite blonde pleurnicheuse… décharge!
Je rouvre les yeux ! Faut que j’arrête de penser à des trucs comme ça, je vais finir par jouir sur sa cuisse…
Je tente une approche plus sensuelle… Un baiser dans le cou. Elle s’écarte, me regarde, me dit : "oh non non non !" et s’en va ! PUTAIN ! Sensualité de MERDE ! J’ai surement été victime d’un gage entre elle et ses copines. Cette fille n’en a rien à carrer de ma gueule ! Dépité, je m’en vais comme un prince de LU.
Je rejoins mes copines. Alors ? ça vous plait ce bar ? Ouais carrément, c’est agréable pour les yeux. Tiens ma jeune blonde est avec un serveur, elle a choisi le cocktail chantilly. Le serveur lui fait un petit show perso, elle boit le shot et mange la chantilly sur le torse sculpté du serveur. Ça doit être un enterrement de vie de jeune fille dit Yasmine. Les deux filles matent quand même la scène avec envie. Je ne sais pas ce qui se passe dans leur culotte mais j’imagine une certaine chaleur… Ces serveurs sont en train d’exciter toutes les filles du bar…
On boit, on parle et puis on décide de rentrer en taxis, tous les 3 chez moi…
Il est 4 heures du mat. J’ai déplié le canapé du salon pour les filles… Aniya va prendre une douche…
A suivre…