Suite..
Claude se réveilla vers 7 heures trente, il avait comme toujours une trique monstrueuse mais il était très en retard, alors pas de bagatelle ce matin se dit-il, fit une bise à l’amour de vie, se leva rapidement tout comme pour la douche et le petit déjeuner tout fut très rapide. Avec seulement dix minutes de retard, il commença sa journée de travail.
Vers 8h30 Julia se réveilla à son tour, s’étira et profita du calme de la maison pour penser à son mari et à leur discussion de la veille et surtout à sa fille Cécile. Elle se l’avouait qu’elle aimerait avoir une relation avec Cécile mais elle était étonnée que cette dernière ait envie de baiser avec sa mère. Rien que d’y penser, elle sentait sa chatte se liquéfier, elle avait des picotements dans le bas ventre, Julia aurait aimé que Claude soit présent pour la faire jouir, qu’il lui enfonce son gros membre dans son puit d’amour ou dans son anus.
N’y tenant plus, elle commença à se masturbé la chatte tout en pensant à Claude mais l’image de Cécile lui revenait sans arrêt. Toute sa pensée fut interrompue par la porte de sa chambre qui laissait entrevoir Cécile.
— Entre ma chérie, tu ne vas pas à la FAC ce matin ?
— Non seulement cet après-midi pour seulement une heure et demie de court, mais tu es toute nue maman chérie !
— Pratiquement toutes les nuits, je me couche vêtue d’une nuisette mais ton père me l’enlève à chaque fois que nous avons une relation, il adore me baiser nu et lui aussi l’est et nous restons ainsi jusqu’au matin. Mais toi ma chérie ta nuisette ne cache rien, heureusement que nous sommes que toutes les deux, allez viens t’allonger près de moi, j’ai des choses à te dire.
— Quelles choses, sur quel sujet, mais après j’ai moi aussi à te parler.
— Comme tu es la plus jeune je te laisse parler en premier.
— Bien ! C’est difficile à dire et je ne veux pas que tu te fâches, je t’aime trop pour te faire de la peine. Aller je me lance ! Ma petite maman chérie je t’aime !
— Ba cela ce n’est pas nouveau !
— Non ! Je t’aime d’un amour comme des amantes, ce qui ne retire en rien l’amour que j’ai pour la maman que tu es. J’ai envie de toi, de corps et de le caresser, j’ai envie de te faire l’amour, j’ai envie que nous jouissions ensemble. J’ai avoué à papa hier après-midi ce que je viens de te dire.
Cécile et Julia étaient allongées sur le dos sans se toucher et sans se regarder. Cécile tremblait un peu attendant la réaction de sa mère et celle-ci tout tournait très vite dans sa tête comme : Est-ce que Claude est de connivence avec sa fille vu la conversation d’hier soir ? Que dois-je faire moi qui aussi envie d’elle, et cette envie de jouir avec elle me tortille la chatte !
Le silence fut de mise après l’aveu de Cécile, cela dura quelques secondes mais qui parurent longues pour les deux femmes. N’y tenant plus Cécile se positionna sur son coude gauche, sa main droite vint se placer sous la tête de sa mère et dans le même temps elle plaqua ses lèvres sur celles de Julia, sa langue entra dans la bouche de cette dernière et elle n’avait pas eu à forcer, ce qui voulait dire qu’elle acceptait de faire l’amour ensemble.
Les deux langues s’entortillaient et jouaient une drôle de danse. Les mains de Julia enlacèrent le haut du corps de sa partenaire, puis Julia s’écarta légèrement et dit :
— Ma chérie ! Moi aussi j’ai envie de toi, j’ai envie de faire l’amour avec toi mais je te préviens, je suis une vraie salope au lit tu demanderas à ton père ! Enfin non cela ne le regarde pas. Ce que je voulais te dire tout à l’heure, c’est pratiquement ce que tu viens de m’avouer et puisqu’on en est aux confidences, avec Claude on en a parlé hier soir.
— Que t’a-t-il répondu ?
— Qu’il est d’accord et que c’est son fantasme, voire deux femmes se faire l’amour et éventuellement participer !
— Et toi maman, qu’en penses-tu ?
— Puisque nous nous aimons, je suis partante, je te l’ai dit je suis une salope qui aime tout du sexe.
— Moi aussi je suis une vraie salope, j’adore sucer et avaler le sperme et papa en a beaucoup et il est vachement bon!
— Comment sais-tu qu’il en a beaucoup ?
— Et vlan ! Je me suis plantée, ne te fâche pas maman, papa n’y est pour rien tout est de ma faute, c’est moi qui ait sauté sur papa alors qu’il bandait comme je n’avais jamais vu un mec bander autant. Lorsque papa va rentrer on va t’expliquer comment cela est arrivé. J’avais tellement envie de le sucer et qu’il se déverse dans ma bouche, que c’était bon maman !
— Je le sais que son sperme est bon, vivement cet après-midi. Pour ta punition tu vas me lécher la chatte, je suis toute mouillée, je veux que tu me fasses jouir le mieux possible !
— Comme je suis heureuse maman ! Je vais te faire jouir comme jamais tu as joui avec une femme.
Les mains de Cécile partirent caresser chacun le sien, pendant que ses doigts jouaient avec le téton, elle embrassait le cou de sa mère sa bouche descendait sucer un téton l’un après l’autre, elle mordait à en faire mal ce petit bout de chair qui durcissait à vue d’il. Puis, Cécile vint se placer entre les jambes de Julia, elle les écarta au maximum, sa bouche descendit progressivement tout en léchant la douce peau du ventre pour atteindre enfin la chatte de sa mère.
Ce joyau tout épilé suintait sous l’excitation et l’envie de jouir, les grosses lèvres étaient écartées, alors la langue de Cécile, qui n’en pouvait plus d’attendre prit possession de ce sexe tout humide qui ne demandait qu’à être léché. Avec l’index de chaque main elle écarta encore un peu plus les lèvres et elle plaqua sa bouche comme si elle donnait un baiser et à l’intérieur, sa langue se tortillait pour mieux lécher la cyprine. Cécile agissait comme une véritable experte, sa langue entra dans le vagin le plus loin possible, pendant tout cette action, sa main droite vint caresser l’anus de Julia et sans préparation elle enfonça son majeur la encore le plus lion possible, et ses doigt de la main gauche jouaient avec le clitoris.
Julia se soulevait soit sa tête pour mieux voir sa fille la lécher soit elle s’arque boutait sous l’excitation que lui procurait la langue dans son vagin soit le doigt dans le cul.
— Comme c’est merveilleux ma chérie, je ne vais pas tarder à jouir, tu fais ça si bien, et ton doigt dans mon petit trou m’excite encore plus. Chérie ! Donne-moi ta chatte à lécher, viens sur moi pour qu’on jouisse en même temps, je veux me vider dans ta bouche et tu en feras de même, ce sera notre apéritif avant l’heure.
Cécile se position en 69, lorsqu’elle sentit la langue de sa mère dans sa chatte elle eut un frisson, alors enfonça sa tête encore plus fort entre les cuisses de sa mère, sa langue recommença un profond léchage entre les lèvres et entra dans le vagin puis au lieu d’enfoncer un doigt dans la rosette elle en mit deux d’un coup ce qui fit sursauter Julia.
— Ma salope tu as mis deux doigts sans me prévenir alors tiens je t’en fais autant.
— Tu m’as fait mal maman, mais c’est trop bon et je suis la salope de ma mère et ma mère est ma salope, telle fille telle mère ! Continue maman, je sens que je vais venir, place bien ta bouche sur ma chatte et j’en fais autant sur la tienne.
Cécile jouit à n’en plus finir, elle savait que sa mère allait se régaler surtout par la quantité, elle n’était pas une femme fontaine mais elle n’en était pas lion. Puis pratiquement dans le même temps elle sentit sa bouche se remplir d’un liquide chaud et doux à la fois qu’elle avalait doucement. Lorsqu’elles eurent bien avalé, elles s’allongèrent l’une à côté de l’autre et s’entrelacèrent avec leurs bras, elles se roulèrent une grosse pelle et échangèrent leur salive encore imbibée de leur liqueur d’amour. Lorsqu’elles se détachèrent, Cécile se remit sur le côté face à Julia et lui dit :
— Comme je t’aime maman, c’était merveilleux, j’attendais depuis si longtemps ce moment !
— Pour moi aussi c’était merveilleux, lorsque ton père rentrera, on ne lui en parlera pas, on lui dira que ce soir dans notre chambre, je veux qu’on le baise jusqu’à ce qu’il déclare forfait, pendant qu’il me léchera, tu lui enfonceras un god que tu auras préparé avec de la vaseline, ensuite tu passeras ta tête entre ses jambes et tu le suceras. Allez ma chérie allons déjeuner.