Julia venait de retirer le gode qui était planté dans l’anus de son mari. Il avait avoué que ce n’était pas désagréable tout comme il avait avoué que de se sucer et avaler son sperme il avait aimé ! (Affaire de goût) !!!!
Pendant qu’il se reposait, Julia et sa fille Cécile s’embrassaient à pleine bouche et s’échangeant ce mélange de salive et de sperme. Ces deux femmes étaient accrocs à l’amour en tout genre en toute position, pour elles tout comme pour le mari Claude, tout était bon et qu’il ne fallait pas perdre de temps dans cette vie aussi courte. La fille Cécile était peut-être encore plus salope, plus vicieuse que la mère et le père. Pour cette toute jeune fille à croire qu’elle voulait se nourrir uniquement que de la baise, sentir la grosse et longue queue de son père qui venait butter au fin fond de son vagin ou dans son petit cul, elle n’avait pas la même sensation avec la queue dans son cul que dans son vagin, mais elle aimait tellement qu’elle aurait aimé en avoir une dans caque orifice et sentir les jets de sperme surtout dans sa bouche, la salope à chaque jet elle se rejetait sur la bite afin qu’elle aille encore plus loin dans le gosier.
— Mon papa chéri ! Tu ne m’as pas enculé, c’est à mon tour de sentir ta grosse pine dans mon petit trou, je veux que tu m’embroches le plus loin possible, que tu me démontes le fion au maximum et pendant ce temps, j’aimerais que maman me lèche la chatte, tu veux bien mère-salope ?
— Quelle question fille-salope, je vais te bouffer la chatte et te faire jouir avec ma langue pendant que ton salop de père te ramonera ton petit cul, je t’aime mon amour de fille et je te souhaite tout plein de bonne chose.
— Ok les filles mais pour moi, pas question d’avoir de nouveau le gode dans le fion et pour toi ma petite pute, je vais t’enfoncer ma queue jusqu’à la gorge, tu vas tellement crier et jouir, que tu vas me demander d’arrêter, mais en attendant, nous allons boire une bière et prendre quelques minutes pour récupérer, il faut que je recharge la machine à sperme.
— je vais dans notre chambre, chercher mon fantastique gode mon chéri, celui que tu m’as offert pour mon anniversaire.
Après quelques minutes, Julia revint avec l’engin, un gode d’une trentaine de centimètres et de plus de six centimètres de large, de quoi défoncer le vagin d’une jument, mais Julia arrivait à se l’enfoncer facilement avec l’habitude c’était normal. Une fois les bières avalées, Julia prit en main (c’est le moment de le dire) les opérations, elle s’approcha de la queue de son père, prit dans ses deux mains la longue tige qui avait repris de la vigueur.
— Comment fais-tu mon papa chéri pour arriver à rebander après tout ce que tu as largué, ta belle queue est encore plus dure, c’est fou comme je l’aime !
— Il n’y a pas que toi ma chérie qui aime cette belle bite et tout comme toi, j’aimerai l’avoir dans le cul toute la journée. Enfin c’est déjà bien que nous puissions nous balader à poil toute la journée dans la maison, comme cela on pourra en profiter et faire avec ce que l’on veut, ton salop de pervers de père ne dira jamais non !
— Et vous non plus mes femelles chéries et j’ai décidé que demain je me déverserai dans un verre, lorsque je jugerai qu’il est bien rempli, vous le boirez l’une après l’autre, peut être que y mélangerai-je un peu de whisky. Allez, suce ma chérie, ma petite pute de fille, pendant ce temps ta mère va te sucer ton petit clito et je l’autorise à te mettre un doigt dans le fion mais seulement pendant que tu me titilles le gland.
La langue de Cécile tournicotait autour du gland tout brillant de la salive de Cécile, puis elle se l’enfourna le plus profond possible dans la gorge. Claude et Julia regardèrent leur file avaler ce sexe s’évanouir dans les profondeurs du gosier.
— Mais quelle salope ta fille ! Ma chérie, tu as vu ? D’une seule poussée de sa tête elle a avalé mon zob d’un coup, profites en pour te positionner entre mes jambes pour la lécher mais ne la fait pas jouir trop vite ensuite elle se penchera en avant, en position de levrette et je l’enculerai jusqu’à la garde.
Quelques secondes après avoir parlé avec sa femme les trois acteurs de la scène porno se mettaient en position, Julia, la tête entre les jambes de son mari avec sa bouche juste au-dessous de la chatte de Cécile, cette dernière penchée en avant s’appuyant seulement sur ses coudes, les reins bien cambrés afin que son père la pénètre plus facilement et Claude avec sa queue juste devant la rondelle qui était déjà bien lubrifiée avec sa mouille et avec la salive restante. Julia avait réussi avec l’aide d’une main de son mari, à s’enfoncer le monstrueux gode, tout en léchant la chatte de Cécile, elle pouvait se masturber avec l’engin. Claude donna une belle claque sur une fesse de Julia, ce qui la fit pousser un cri mais dans le même temps, Claude enfonça son gros gourdin huilé par la salive, dans le rectum de sa fille et ne s’arrêta de pousser que lorsque son bas ventre cogna contre les fesses de Cécile.
— Quel salop tu es mon papa chéri, tu m’as fait très mal, alors tu te calmes quelques secondes afin que la douleur disparaisse ensuite tu feras ce que tu voudras avec mon cul !
— Mais j’y compte bien chérie, je vais te ramoner au point que tu vas avoir du mal à marcher après, mais avant tu vas jouir du cul cela je te le promets.
Cécile tortillait de la croupe sur les coups de queue de son père et sous le léchage de la chatte par sa mère. Cette gamine était forte, elle arrivait à tenir à distance toute l’excitation qui lui venait dans le cul comme dans son sexe, elle se bloquait afin de tenir le plus longtemps possible, Julia elle, de son côté prenait du plaisir avec le gode qu’elle enfonçait au maximum. Elle aussi sentait la jouissance monter dans son vagin, elle sentait la cyprine couler de son sexe et prenant la direction de son anus. Sa langue léchait le clito, ou entrait le plus loin possible dans le vagin qui déchargeait de la liqueur d’amour en veux-tu en voilà !
Claude une main sur chaque anche s’agrippant du mieux possible à la croupe de Cécile, il sortait presque tu trou de bal laissant un trou béant vu la grosseur de sa queue, puis l’enfonçait de nouveau au maximum avec une douce violence, ses couilles tapants contre le haut des cuisses de Cécile.
— C’est bon les filles ? Dit-il.
— Oh oui papa ! Continues à me défoncer le cul mon chéri, c’est tellement bon de sentir ta tige le long des parois de mon cul lorsque tu ressorts et que tu rentres de nouveau, je sens une certaine chaleur à l’intérieur, oh oui continus mon chéri fais-moi jouir du cul, toi aussi maman, fais-moi jouir avec ta langue, je sens que je ne vais pas résister longtemps. Allez mes deux salops de parents jouissez en même temps que moi. Oh oui je jouis, je jouis, mes chéris !
Au même moment qu’elle jouissait, Julia et son mari jouirent à leur tour. Julia balançait ses jambes dans tous les sens, sa croupe faisait des bons de gauche à droite, Cécile criait sa jouissance, insultant ses parents, des larmes coulaient sur ses joues, c’était des larmes de plaisir, de jouissance surtout. Claude lui, restait accroché aux hanches avec son ventre et ses couilles collés au fessier de Cécile, il se vidait à n’en plus finir.
— Tournes toi ma fille chérie et viens me nettoyer ma queue pendant qu’elle est encore bandée, tu pourras avaler les dernières perles de spermes et toi Julia tu vas venir laver le trou de balle de ta petite pute et te régaler de la liqueur d’amour que j’ai déversé dans son rectum ensuite, ce sera tout pour aujourd’hui, je suis vidé, c’est le moment de le dire, puis il faut que je parle de certaine chose avec notre fille. Ils mangèrent un morceau en guise de repas pour la soirée puis s’installèrent dans le salon.
— Ma chérie ! Dit Claude, il faut que nous mettions certaine chose au point. Voilà, tel que nous sommes partis à faire de notre temps libre de merveilleux moments de bonheur, il ne faut pas que tu délaisses Marjorie ta copine, de temps en temps elle vient passer la soirée ou la journée ici et dormir également ou bien c’est toi qui va chez elle, alors si tu passes tout ton temps libre à la maison pour baiser, elle va se poser des questions et va vouloir savoir pourquoi tu la délaisses. Je te propose de l’inviter demain soir et de dormir ici, il est impératif de donner le change si nous ne voulons pas avoir à répondre aux questions de certaines personnes. Qu’en penses-tu ?
— D’accord papa, mais alors demain on ne fera rien ?
— Demain matin tu pourras venir nous réveiller, mais après rien de la journée, cela nous reposera, qu’en penses-tu ma chérie (s’adressant à son épouse) ?
— Entièrement d’accord, il faut que tu vives ta vie avec tes copains ou copines comme avant et que nous aussi nous puissions vivre un peu notre vie de couple.
— Ok ! Je vais dans ma chambre et je téléphone à Marjorie, je vous rendrai compte après.
Quelques minutes après, Cécile revint dans le salon et dit :
— Elle m’a demandé en pleure d’ailleurs, si elle pouvait venir maintenant, ses parents sont chez des amis, donc elle est seule en pleure car son mec l’a largué hier après-midi. J’ai déjà répondu par un oui, je pense que cela ne vous dérange pas ?
— Ok ! Di Julia. Elle mangera avec nous tout à l’heure, va lui confirmer qu’on est d’accord et heureux de l’avoir ce soir avec nous.
Le repas se passa bien sans grande explication de la part de Marjorie et chacun respecta son silence sachant fort bien qu’un largage sentimental faisait du mal au cur. Les deux jeunes filles se retrouvèrent dans la chambre de Cécile.
— Ma chérie, comme tu le sais, je dors toute nue, as-tu pris un pyjama ou autre chose ?
— Non j’ai rien pris, j’ai oublié surtout mais je vais me mettre comme toi, toute nue !
— Maintenant, racontes-moi ce qui se passe ?
— Je vais tout t’expliquer de A à Z mais évite de me poser des questions s’il te plait ! Didier cet idiot m’a téléphoné pour me dire qu’il avait une autre copine etc..etcJ’ai eu très mal au cur mais ce qui m’a déboussolé, c’est une aventure qui s’est passée samedi dernier dans l’après-midi avec mon père. Le matin de ce samedi, je m’étais engueulée avec Didier, je suis rentrée chez direction ma chambre sans manger, j’ai entendu la voiture de ma mère partir en ville et je suis donc restée seule avec mon père qui était devant sa télé pour voir le sport. Comme il faisait chaud je me suis mise toute nue et allongée sur mon lit puis sans rien voir venir je me suis endormie.
A un moment sans savoir le temps que j’avais dormi, j’ai senti en moi dans picotements au bas ventre et plus exactement dans mon sexe. Encore à cet instant, j’ignore si je rêvais ou bien était-ce la réalité, puis j’ai joui. Tout en revenant à la réalité, j’ai dit tout haut « Hum comme c’était bon » et j’ai ouvert les yeux, j’avais les jambes écartées et là, j’ai vu la tête de mon père qui me léchait la chatte et ses deux mains chacune posée sur mon bassin. Je n’ai pas crié, je l’ai regardé droit dans les yeux et je lui ai demandé pourquoi il m’avait fait cela. Il m’a expliqué !
— Pardonne-moi ma chérie, je n’entendais plus aucun bruit alors ayant peur qu’il te soit arrivé quelque chose, je suis entré et je t’ai vu toute nue sur ton et dormant, je t’ai regardé un moment en me disant « Dieu, qu’elle est belle » c’est vrai ma chérie tu es très belle, tu as un corps magnifique !
— Mais pourquoi m’avoir touché ? Tu sais que c’est interdit l’inceste et les attouchements sexuels !
— Je sais chérie, mais je n’ai pas pu résister à te caresser les seins, puis ton merveilleux petit sexe, je ne sais pas ce qu’il m’a pris Marjo, mais je me suis mis à bander très fort, je n’en pouvais plus de te voir sans te toucher et c’est juste après t’avoir caressé les seins que je me suis mis en position entre tes jambes pour te lécher au point de te faire jouir. Peu m’importe de ce qu’il va m’arriver maintenant, mais j’aurais dégusté la cyprine de la chatte de ma fille adorée. Tu pourras déposer plainte contre mes agissements, en parler avec ta mère, je sais que je mérite la prison mais je t’aime tellement.
José baissa la tête et les larmes coulaient sur ses joues, Marjorie voyait la peine de son père mais elle voyait aussi l’énorme bosse qui déformait le short de son père ainsi que le gros gland qui dépassait de la ceinture élastique du vêtement.
— Prends place ici papa ! Nous allons parler un peu et non, je ne dirai rien à qui que ce soit, cette affaire est entre nous deux et je dois dire que ce que tu m’as fait était merveilleux !
— Ton copain ne t’a jamais fait jouir avec sa langue ?
— Non ! Jamais mais il voulait comme un égoïste qu’il était, que je le suce mais pas lui ce con ! Il n’est pas capable de me faire jouir. Regardes ta bite, elle sort presque de ton short tellement tu bandes.
— Je n’y peux rien ma chérie c’est la nature, un homme bande très fort lorsqu’il voit une magnifique créature toute nue devant lui. Je vais te laisser et si tu veux on pourra en reparler à un autre moment, pour l’instant, j’ai honte alors c’est mieux que je reste seul !
— Pas question, tu restes ici près de moi, même si tu bandes comme un turc, ce sera ta punition et il faut que l’on parle.
— Parler de quoi ma chérie, de toi et de moi, de ce que je viens de faire ?
— Non ! Autre chose sur le même sujet. J’aimerai que maman crie moins lorsque tu la baises et aussi que vous fermiez la porte de votre chambre car je pourrais entrer pour mieux vous regarder.
— Tu ne vas pas me dire que tu nous as déjà espionné ?
— Oui, il y a deux semaines, vous étiez tellement pressés que vous avez laissé la porte entre ouverte d’au moins quinze centimètres de quoi pouvoir passer la tête dans l’entrebâillement, j’ai tout entendu, puis à un moment, maman a crié et je l’entendais te dire « Oh oui mon chéri baises-moi fort enfonce ta grosse queue plus loin dans mon fion », moi je voyais ta queue sortir et rentrer de nouveau dans son anus, elle bougeait son cul de manière à t’exciter un peu plus et elle espérait certainement que ta tige irait encore plus profond dans son rectum, j’ai le sentiment que maman est une belle salope au lit et que toi tu aimes les salopes tout comme tu aimes faire l’amour à maman ?
— En effet ta mère est une drôle de salope au lit et moi tu ne peux savoir combien j’aime les salopes, elle aime tout ce que je lui demande et que je fais et comme moi, j’ai tout ce qu’elle me fait.
— Puisque tu m’as léché la chatte, tu vas baisser ton short et bien me faire voir ta queue ensuite tu vas te branler jusqu’à jouir devant moi.
— Chérie je ne peux faire cela devant toi, tu te rends compte de la situation que je vais avoir alors que toi tu dormais !
— Alors tu es un lâche car tu as profité de mon sommeille pour agir alors que moi ce n’est pas le cas, puis tu peux bien faire plaisir à ta fille adorée et que tu dis aimer plus que tout !
José se leva et baissa son short, puis se tourna vers sa fille afin qu’elle profite du spectacle, elle ne put réprimer un petit cri et porter une main devant sa bouche en voyant le sexe de son père, il était énorme le gland était tout rose presque rouge par l’excitation, ses couilles pendantes avaient une belle grosseur et l’ensemble ne demandait qu’à balancer la purée.
— Mais papa, il est énorme combien il mesure et comment peux-tu rester si longtemps dans cet état ?
— Il fait vingt-deux centimètres sur six de large et je t’avoue avec une certaine fierté, que ta mère l’adore et qu’elle en redemande tout le temps surtout lorsque tu n’es pas à la maison.
– Elle n’a pas mal lorsque tu l’enfiles dans sa chatte ou dans sur rectum ?
— J’y vais doucement, sa chatte se lubrifie toute seule et pour son trou du cul, je la lubrifie correctement puis maintenant elle a l’habitude.
— Aller papa, tu peux me parler tout en te branlant, lorsque tu seras sur le point de jouir, j’ai des lingettes qui feront l’affaire pour récolter ta semence.
José commença sa masturbation d’une main et en même temps il regardait sa fille qui était restée toute nue, elle s’était assise au bord du lit et son père se trouvait face à elle, disons à trente centimètres. L’envie était trop forte pour elle, de voir cette belle et grosse queue devant son visage, sa main droite vint à côté de celle de son père pour masturber l’engin et de l’autre elle caressa les couilles.
— Tu aimes ma chéries ?
— Elle est tellement belle et grosse que je voulais la tenir dans la main, j’ai vu des bites de mes copains mais jamais je n’ai vu une aussi énorme.
— Je vais jouir chérie enlèves ta main que je me finisse, oui Marjo ça vient pousses-toi, je vais tout lâcher, comme cest bon de jouir ma chérie !
Au lieu de se pousser et de retirer sa main, d’autorité, elle enleva celle de son père et plaça sa deuxième main autour de l’engin sexuel puis elle accéléra la masturbation et lorsqu’elle sentit la sève monter elle goba le gland et sa tête se rapprocha du ventre de son père elle en avait plus de la moitié de la queue dans la bouche, son père commença à se vider les couilles. Il voyait sa propre fille avaler gorgée après gorgée la chaude liqueur d’amour. Lorsqu’il n’y eut plus rien, Marjorie lécha la dernière goutte, se mit debout devant son père, tenant toujours le sexe mâle par une main elle embrassa son père d’un baiser langoureux, leur salive se mélangèrent avec le reste de sperme qu’elle avait gardé.
— Que fait-on maintenant vis-à-vis de ta mère, et pour nous deux as-tu une idée ?
— J’ai une idée qu’on mettra en pratique à un autre moment, je veux que tu me baises comme tu défonces maman et on fera cela demain matin, je sais que maman doit aller chercher un gigot chez le boucher, on aura au moins une bonne heure devant nous. Crois-tu que ce soit nécessaire de le dire à maman, Et toi, as-tu une idée ?
— Il n’y a pas longtemps, je lui ai demandé si elle avait des fantasmes : Oui mon chéri dit-elle, mon fantasme serait de faire l’amour avec deux hommes, toi et un autre aussi bien membré que toi et me faire jouir du cul et de ma chatte, puis goûter à une chatte donc faire l’amour avec une femme ! Voilà ce qu’elle m’a répondu. Donc, je vais doucement lui parler de ses fantasmes on verra par la suite.