M. Brake avait mis les petits plats dans les grands littéralement. Il avait réservé une table dans le seul restaurant étoilé du département. Un lieu prisé et réservé aux personnes importantes. M. Brake avait-il prévu son coup à l’avance, ou avait-il son entrée en toute occasion ?
Léa avait revêtu sa robe. Moulante, aussi noire que la nuit, teintée de reflets scintillants, elle lui descendait à peine en dessous des fesses. Son décolleté plongeant lui valut de nombreux regards admiratifs des hommes, presque autant que de regards jaloux ou désapprobateurs des dames.
Conformément à la demande de M. Brake, Léa n’avait mis aucun sous-vêtement. Elle se sentait gênée, elle savait que tous les regards étaient tournés vers eux. Et même si ses collègues étaient aussi en tenue de soirée, c’était elle qui était la plus attirante. Sans tomber dans le graveleux, sa robe était tout de même aguicheuse, et elle sentait que dans le groupe, c’était elle que les hommes regardaient.
Ils prirent place dans un coin de la pièce, et évidemment, Léa fut placée juste à côté de M. Brake et face au reste de la salle. La table en verre n’était recouverte par aucune nappe, il n’y avait donc aucun moyen pour la jeune fille de cacher le fait qu’elle ne portait pas de sous-vêtements.
Sa robe était pile à la bonne longueur pour qu’avec l’angle, ses collègues ne remarquent rien, mais pour les autres convives, il n’avait qu’à jeter un coup d’il précis pour remarquer l’intimité de la jeune fille.
Heureusement, une fois qu’ils furent installés, la plupart des clients détournèrent leur regard pour se reconcentrer sur leur plat.
Après une première coupe de champagne, un des cuisiniers s’approcha de la table. Etonnant. Puisquaucune autre table n’avait eu cet honneur. Plutôt grand, aussi blond que M. Brake était brun, ce dernier se leva avec un grand sourire.
Ha, Lucas ! Je me demandais si tu allais venir !
Evidemment ! Je n’aurais pas manqué de saluer mon vieil ami.
Ils s’empoignèrent fermement la main, avant de se tourner vers la tablée.
Voici ma nouvelle équipe. Nous faisons connaissance.
Et bien, mon gars, tu es gâté à ce que je vois.
Il salua chacune des femmes présentes à table, tandis que M. Brake les présentait.
… Et voici pour terminer, Léa.
Ha, c’est elle dont tu m’as parlé, celle …
A qui j’ai payé un café, oui ? termina son responsable.
Léa tenta un petit sourire gêné. Le dénommé Lucas la fixait intensément, un rictus au coin de la bouche. M. Brake lui avait-il raconté ce qu’il s’était passé entre eux ensuite au magasin ?
Les secondes passèrent, puis Lucas finit par détourner le regard pour s’adresser à l’assemblée.
En tout cas, Mesdemoiselles et Madame, c’est un plaisir de vous recevoir dans ce restaurant ce soir. Je vais vous laisser commander, en tout cas, sachez que je m’occuperai moi-même de vos plats. En attendant, reprenez une coupe de champagne, je vous l’offre. Profitez bien de votre soirée.
Lucas retourna dans la cuisine, tandis que M. Brake donnait quelques détails sur son ami.
Nous sommes amis depuis le lycée. Nous avons faits les 400 coups tous les deux. Enfin, bien sûr nous avions aussi d’autres amis avec qui nous avons fait beaucoup de choses. Mais avec Lucas, nous nous entendions très bien et nous sommes restés en contact. Nous nous voyons régulièrement et nous aimons nous raconter nos vies. A chaque fois que nous avons une nouvelle histoire, on se les partage. Dans les moindres détails.
Léa leva la tête d’un coup. M. Brake, évidemment, la regardait. Des révélations à peine voilées, il était évident que son ami était au courant. Comme il était évident que Marc avait choisi ce restaurant exprès. Qu’avait-il prévu pour elle ? Il n’allait quand même pas lui ordonner de lui faire une fellation ou la dénuder en plein milieu de la salle, il ne fallait pas pousser.
Le repas commença. Des mets délicieux furent proposés au convive. Léa n’avait jamais aussi bien mangé de sa vie. Elle avait beau être stressée, songeant à ce qu’il allait lui arriver, elle s’efforça de l’ignorer, et profita de ce moment. Les coupes de champagne et maintenant les verres de vin blanc qu’elle venait de boire l’aidaient un peu à se détendre. A un moment, elle ouvrit légèrement les jambes, pile au moment où un homme à une table à proximité regardait dans sa direction. Elle s’empourpra avant de recoller ses jambes. Elle vit celui qui la dévisageait placer un mot discret à son ami à ses côtés, puis les deux se tournèrent de nouveau vers elle. Gênée, elle se contenta d’un léger sourire, espérant que cela suffise. C’est alors que le pied de M. Brake toucha celui de Léa. Il exerça une pression légère, imperceptible, mais le message était clair.
Elle hésita quelques secondes, son regard alternant entre son chef et les deux hommes qui regardaient leur petit manège. Ils avaient le regard de plus en plus insistant, restant tout de même assez discrets pour que leurs compagnes ne remarquent rien.
Finalement, Léa céda. Elle écarta très légèrement son entrejambe. Déjà, elle vit l’attitude des hommes changer, se tendre, pleine d’espoir, espérant en voir un peu plus. A côté, M. Brake l’engagea à en montrer davantage. Autant y aller, se dit la vendeuse, au moins cela sera fait et cela sera finalement plus discret que de se trémousser pendant dix minutes. Elle dévoila sa petite pêche à la vue de ses hommes pervers qui devinrent rouges d’émotions en voyant qu’elle ne portait rien. Heureusement, personne d’autre ne faisait attention à elle, mais tout individu qui aurait posé son regard aurait vu cette scène cocasse.
Tu peux aller les voir si cela te tente, glissa Marc à son oreille. Mais rien ne t’y oblige.
Vous ne voulez pas que j’y aille ?
Comme tu veux, je m’en fiche, ce n’est pas ce que j’ai prévu. Mais si tu as envie de t’entraîner, il n’y a aucun problème.
Inutile de préciser de quel entraînement il voulait parler. Elle regarda les hommes. Ils avaient au moins 50 ans et portaient un ventre opulent. Sans compter leur regard de pervers qui, elle le savait, la déshabillait du regard. Léa n’avait aucune envie d’être intime avec eux.
Elle réfléchit durant tout le plat principal. Si elle n’y allait pas, M. Brake allait-il se fâcher et lui faire subir une punition plus humiliante que cela ?
C’est alors qu’elle était plongée dans ses pensées, un serveur s’approcha pour lui servir un verre de vin rouge. Surprise de voir apparaître une main derrière elle, elle eut un réflexe de rejet qui heurta le bras du serveur. Léa ainsi que sa robe se retrouvèrent complètement trempées.
Après un instant de surprise, Mme Tresse, éclaboussée, explosa. Elle se mit à traiter le pauvre serveur de tous les noms, ainsi que son employée. Elle produisait un sacré vacarme, au point que les cuisiniers jetèrent un il depuis leur cuisine. C’est alors que Lucas s’avança pour s’enquérir de la situation. Il vit tout de suite Léa, couverte de vin.
Houlà, Mademoiselle, c’est un malheureux accident qui vous est arrivé. Ce pauvre Paul est parfois maladroit. Venez avec moi, vous allez pouvoir vous nettoyer dans la cuisine.
Je ne sais pas, la robe…
Ce n’est pas grave, intervint M. Brake, allez avec Lucas.
Léa ne chercha pas à comprendre, et emboîta le pas au cuisinier. Elle ne remarqua même pas le regard complice et entendu entre son patron, le cuisinier et le serveur.
La jeune fille n’était jamais entrée dans une cuisine d’un grand restaurant. Elle fut surprise par l’organisation, chaotique au premier regard qui y régnait. Il y avait une quinzaine de cuisiniers, autant de serveurs, qui étaient totalement concentrés sur leurs plats ou faisaient des aller-retour à toute allure.
Lucas emmena Léa sur un côté de la salle, non loin du lieu de passage des serveurs entre la salle de réception et la cuisine. Le cuisinier lui tendit une serviette.
Tiens, nettoie-toi avec ça.
Léa ne remarqua même pas le tutoiement. Elle se débarbouilla le visage et les bras. Heureusement, les taches sur elle partirent assez rapidement.
Enlève ta robe, nous allons la nettoyer.
Elle se retourna d’un coup. Lucas et Paul la regardaient, l’air stoïque, comme si tout était parfaitement normal.
Heu…je ne peux pas.
Pourquoi ? Plus on attend, plus les taches vont s’imprégner dans la robe et plus ce sera compliqué de les retirer.
Bon heu…d’accord…mais vous, pouvez-vous retourner ?
Pour quoi faire ? Tu as honte de toi ? Tu sais, c’est pas la première fois qu’on voit une fille en soutif, en plus, on va souvent à la plage, plaisanta Paul.
Ce n’est pas ça…c’est que…
Oui ?
Léa réalisa alors que tout avait été manigancé par M. Brake. Elle ne s’était pas retrouvée ici, à l’abri des regards, seule avec l’ami de son patron par hasard.
Il était prévu que ce soir, ces deux hommes puissent profiter d’elle. C’était cela donc, dont il parlait à table.
Elle observa les deux personnes en face d’elle. Ils ne laissaient absolument rien paraître. Ils étaient doués, ils savaient ménager leurs pulsions, et attendaient patiemment qu’elle se dévêtît. Au moins, pensa-t-elle, ils étaient à peu près du même âge qu’elle, contrairement aux types du repas. Ils étaient même plutôt beaux, et l’assurance qu’ils dégageaient produisait un certain charme.
Léa soupira, puis tenta un sourire, avant d’ouvrir lentement la fermeture éclair de sa robe. Elle vit un soupçon de tressaillement dans le regard de Paul lorsqu’elle commença à dévoiler le haut de sa poitrine. Au moment exact où ses tétons allaient se dévoiler, elle arriva en bas de la fermeture. La robe, pourtant moulante, tomba d’elle-même, au ralenti. Léa ferma les yeux pendant quelques secondes, le temps de réaliser ce qu’elle venait de faire. Lorsqu’elle les rouvrit, Lucas et Paul n’étaient plus qu’à un mètre d’elle. Ils avaient toujours leur regard impassible, mais fixaient intensément sa poitrine. Chacun d’entre eux palpa un de ses seins avec leurs mains. Ils avaient la même prise que M. Brake : puissante, mais d’une douceur incomparable. La jeune fille se mit déjà à frissonner. Elle se prépara à subir des attouchements plus intimes, mais ils se contentèrent de sa poitrine.
Qu’en penses-tu ? demanda Lucas.
Ils sont bien, assez gros et fermes, et ils ont une bonne tenue.
C’est exactement ça. Tu apprends vite. En tout cas, c’est plutôt rare d’en voir des comme ça.
Les deux hommes étaient en train de parler d’elle comme ils auraient pu choisir des melons au marché. Elle appréciait les compliments qu’ils faisaient, mais se sentait un peu transparente.
Et maintenant, qu’est-ce que vous allez me faire ?
D’après toi ?
Vous allez vouloir me baiser ?
Evidemment qu’on a envie, petite salope. Malheureusement, Marc nous a dit qu’aujourd’hui, il fallait t’entraîner à sucer. On a pas le droit de te défoncer tes ptits trous, c’est bien dommage.
Alors pour compenser, on va se venger avec ta bouche.
D’ailleurs, je suis étonné que Marc trouve que tu as besoin d’entraînement …
C’est que…il a été le premier homme à qui j’ai fait une fellation …
Si Paul eut l’air surpris, Lucas ne se laissa pas démonter.
Et alors, vu tes lèvres pulpeuses, on pourrait penser que tu saches sucer naturellement comme une pute. Enfin…On va s’occuper de toi, ne t’inquiète pas, tu vas devenir une experte.
Ils s’approchèrent encore plus d’elle, et d’un mouvement de main, engagèrent la petite vendeuse de se mettre à genoux. Elle s’exécuta sans opposer de résistance. Elle était plutôt soulagée de ne pas subir l’humiliation de se faire prendre par deux hommes en même temps. Quant au fait de sucer…elle l’avait déjà fait avec son patron alors…
Lucas et Paul commencèrent à se dévêtir. Sans se presser, mais avec un geste sûr, ils finirent en caleçon rapidement. Léa s’attendait à ce qu’ils enlèvent aussi leur sous-vêtement, mais ils n’en firent rien.
Alors, la soumise, qu’est-ce que tu attends ?
Heu…?
Allez, viens; on sait que tu n’as qu’une hâte, c’est de voir nos bites.
Léa ne put retenir un sourire; finalement amusée par la situation. Lucas se méprit légèrement sur sa signification, et pensa qu’elle était d’accord avec ce qu’il venait de dire. Il empoigna les cheveux de la jeune fille et l’obligea à rapprocher sa tête de lui.
Tu vas voir, tu vas moins rire quand tu l’auras dans la bouche petite suceuse …
Léa se retrouva collée au son membre, uniquement séparé d’elle par son caleçon. Malgré tout, il était déjà bien dur, elle sentait presque la pression de ses veines. Elle se fit une idée de ce qui l’attendait : une verge de taille moyenne, mais très grosse. Pendant ce temps, Paul avait directement enlevé son dernier vêtement. Il était à l’inverse de son compagnon : sa bite était très longue, sûrement de la taille de la tête de la pauvre Léa, mais elle était plutôt fine.
Tu vois, on va pouvoir te former comme il faut dans l’art de la pipe. Je vais t’élargir la bouche pour que tu puisses prendre n’importe quelle bite en bouche ; et mon ami Paul va pouvoir te défoncer pour que tu deviennes une experte en gorge profonde.
Mais, ça va me faire vomir…
C’est le prix à payer. Quand tu seras entraînée, ta bouche et ta gorge pourront se faire détruire comme une chatte. Et ça commence maintenant !
Sans prévenir, Paul s’avança à son tour vers Léa et colla sa longue bite directement contre sa tête. Surprise par cette action aussi soudaine et la vision d’un membre plus long que sa tête, elle entrouvrit légèrement la bouche. Cela suffit à Lucas de forcer l’entrée et de lui enfourner son gourdin entre les lèvres. Celles-ci se retrouvèrent complètement distendues, bien plus que la jeune fille n’avait déjà vécu.
Allez, ouvre plus grand ! Tes dents touchent ma bite, ça ne va pas du tout ! Il faut que tu ouvres encore plus, allez !
Il commença à effectuer de légers aller-retour. A chaque mouvement, la tête de Léa suivait le mouvement. Elle se força à ouvrir sa bouche au maximum, mais sa mâchoire commençait à lui faire mal.
Bon, c’est pas mal, y a du mieux. Maintenant, utilise ta langue. Lèche ma queue autant que tu peux.
La jeune fille s’exécuta, malgré la douleur qui devenait de plus en plus importante. Elle se rendit compte que les conseils qu’on lui prodiguait portaient leurs fruits. Le rythme cardiaque de Lucas s’accélérait, elle le sentait pulser dans sa bouche. Elle voyait le plaisir qu’elle arrivait à lui fournir, elle entendait son souffle s’accélérer, et prévoyait qu’il allait bientôt jouir. C’est pour cela qu’elle fut surprise lorsque Lucas se retira pour reculer de deux pas, pour laisser la place à Paul.
Bon, on s’est bien amusé, mais maintenant c’est mon tour, prépare-toi.
Heu…vous voulez bien me laisser quelques secondes, j’ai mal à la mâchoire…,se plaignit Léa.
Pas question. Et de toute façon, avec moi, ta mâchoire va pouvoir se reposer, ma bite n’est pas assez grosse pour que tu aies mal.
Mais…
Tais-toi donc, tiens, et prends ça !
D’un seul coup sec, il enfonça sa perche au fond de la gorge de la pauvre vendeuse. Evidemment, dès qu’elle toucha sa glotte, Léa eut un réflexe de recul et eut une forte envie de vomir. Elle tituba à 4 pattes jusqu’à la poubelle la plus proche et déversa son repas dedans. Malgré sa situation, elle pensa uniquement qu’elle avait de la chance que le dessert ne soit pas passé.
Elle continua à tousser pendant un moment, l’air suppliant.
C’est bon, tu as fini ? On va peut-être pouvoir passer aux choses sérieuses ?
La pauvre Léa avait pris un regard apeuré. Elle sentait un goût amer dans sa gorge, sans compter l’inflammation qui commençait à arriver, dû au coup violent qu’elle avait reçu.
Vous allez vraiment recommencer ? Ça fait mal…
Evidemment, qu’est-ce que tu pensais ?
Mais…
Elle commençait à sentir les larmes lui monter. Devant sa mine déconfite; voulu être rassurant :
Bon, on est pas des monstres, j’ai une idée pour que ça se passe mieux.
Ah bon ?
Oui, allez, viens me voir.
Pleine d’espoir, Léa commença à se relever. Paul la stoppa dans son élan.
Ho, tu te crois en vacances là ?! Reste à 4 pattes, salope !
Presque consciente de son erreur, la vendeuse s’excusa :
Oui, pardon.
Pardon qui ?
Pardon Monsieur.
Elle s’approcha donc de Lucas, attendant sa proposition.
Recommence à me sucer.
Léa fut surprise. En quoi cela allait-il l’aider ?
Tu n’as pas confiance en moi ? Si tu préfères, tu peux retenter la gorge profonde avec Paul.
Peu enclin à cette idée, Léa se résigna à reprendre en bouche le membre de Lucas. Elle s’efforça de remettre en pratique tous les conseils qu’on lui avait prodigués. Même si elle ne comprenait pas l’intérêt, elle se disait que si elle le faisait suffisamment bien, ils jugeraient qu’elle était capable, et qu’elle pourrait éviter Paul.
Au bout de 5 minutes, elle pensa qu’elle avait réussi son objectif. Lucas commença à gémir, elle renforça alors la pression. Elle attendait le moindre signal du cuisinier, afin qu’il puisse jouir sur sa tête. Malheureusement, aucun geste de sa part lorsqu’il déversa sa semence dans sa bouche.
La stupeur traversa le visage de Léa, qui écarquilla les yeux. Elle fut impressionnée par la quantité de sperme qui la remplissait.
Au moment où elle n’en pouvait plus, Lucas se retira en lui ordonnant de tout avaler.
Une nouvelle expérience. Léa n’avait jamais fait cela auparavant. Elle avait déjà senti l’odeur du sperme, la dernière fois avec M. Brake. Elle avait trouvé que l’odeur était forte, mais elle n’avait jamais goûté. Maintenant qu’il était dans sa bouche, elle savait qu’elle allait recevoir une punition terrible si elle recrachait le liquide. Elle prit donc une forte inspiration et avala tout d’un seul coup.
Et voilà ! s’exclama Lucas.
Voilà quoi ?
Maintenant que j’ai lubrifié ta gorge, tu vas pouvoir prendre celle de Paul !
Léa, t’étais partagée entre sa surprise et sa furieuse envie d’éclater de rire. Elle savait pertinemment que sa semence n’avait aucun effet, et s’en voulait un peu de s’être fait avoir, mais l’excuse était tellement originale qu’elle ne se sentait pas le courage de lui en tenir rigueur. Elle se mit à rire, et finalement, concéda à prendre le long bâton de Paul.
Haha, on me l’avait jamais faite celle-là ! Bon allons-y, on verra bien si ça marche.
Paul arriva devant elle, triomphant. Léa saisit son membre et tenta de le rentrer au maximum. Elle arriva d’elle-même à engloutir environ les deux tiers, soit un peu plus de 15 centimètres.
Mmmmhh !
Sa demande fut vite comprise. Le serveur prit la tête de sa suceuse entre ses mains et l’aida à avancer encore plus loin. Millimètre par millimètre, elle réussit à enfoncer sa longue queue de plus en plus loin. Finalement, alors qu’il ne restait plus que quelques centimètres, Paul appuya de toutes ses forces sur la tête de Léa qui se retrouva totalement collée au niveau de ses testicules.
Elle n’avait pas prévu cela; et si elle avait réussi à s’accommoder à prendre de plus en plus de longueurs, avoir sa bite en entière dans sa gorge lui fit de nouveau mal.
Elle n’eut même pas eu le temps de vouloir se retirer, qu’elle sentit un puissant jet au fond de son pharynx. La sensation était presque insupportable, et la pression des mains de Paul était trop forte pour elle.
Finalement, il relâcha sa prise au bout d’une quinzaine de secondes. Léa n’aurait pas pu tenir plus longtemps. Elle reprit une grande inspiration, avant de cracher ses poumons pendant plus d’une minute. Elle put enfin réussir à dire quelques mots :
Ça va pas ? Vous auriez pu prévenir !
Tu crois que plus tard, tout le monde va te dire que la sauce arrive ? Pauvre idiote …
Bon, c’est pas si mal, intervint Lucas. Tu t’en es plutôt bien tiré, tu n’as même pas rechigné à sucer Paul à la fin. On sera quand même obligé de signaler à Marc que tu as toussé à la fin, mais je pense qu’il ne sera pas trop méchant avec toi.
Paul lui lança sa robe. Si on devinait encore quelques taches, au moins elle était sèche.
C’est fini pour l’instant; retourne à table, et profite du dessert, on ne te fera plus rien tant que tu seras au restaurant, promis.
Le cuisinier et le serveur sortirent alors de la pièce laissant la petite Léa complètement nue, et avec un goût amer dans la bouche …
A SUIVRE !