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Perte de contrôle – Chapitre 10

Perte de contrôle - Chapitre 10



La torture dura presque trois semaines. Je neus en fait très mal que pendant les premiers jours, une douleur profonde, terrible, que je ne pouvais en rien contrôler, me faisant gémir en permanence. Jétais totalement angoissé par laspect définitif du désir de Maîtresse. Bien sur javais déjà tellement changé et je ressemblais bien peu à un homme hormis mes épaules puissantes, tout le reste avait fondu, été aminci, affiné, sauf le buste qui avait été fortement travaillé avec cette poitrine qui me procurait tant de plaisir, et je dois lavouer une fierté. Si Maîtresse le devinait, je suis certain quElle prendrait plaisir à me la mettre en sang chaque semaine pour que cela ne soit quune source de souffrance.

Jétais installée ainsi sur mon chevalet. Maitresse me fit revêtir une combinaison de latex noire complète, ne laissant sortir que mon sexe et mes couilles ligaturées, mais toujours étirées par les poids. Un filin était accroché à mon prépuce pour maintenir mon sexe bien à la verticale, et Maîtresse me donnait une dose quotidienne de Cialis pour que je ne débande pas. Le plaisir de lérection, cela faisait si longtemps que je navais pas été érigé ainsi, fit vite place à une douleur dans le sexe, dêtre ainsi en extension en permanence. Perfidement Maître me recommanda de bien profiter de mon érection car celle-ci serait la dernière.

Maîtresse menfila une cagoule en latex, gonflable. La bouche était remplie dun bâillon gonflable également en latex, avec un mince trou au centre qui allait Lui permettre de mhydrater pendant ces quelques jours. La cagoule gonflée créait une pression sur toute la peau du visage, y compris sur le nez dans lequel deux tuyau avait été profondément enfoncés pour me permettre de respirer. Je devais avoir lair ridicule avec cette énorme tête gonflée, totalement plongée dans le noir, la bouche atrocement dilatée. Alors que je pensais que ma mâchoire allait se disloquer, Maîtresse me glissa que chaque jour jaurais une pression supplémentaire. Ma tête était fixée au dossier de la chaise, et je ne pouvais bouger le moindre muscle de mon corps, réduit à limmobilité, au silence, à linaction, juste dans lattente de cette castration avilissante qui allait faire de moi moins quun homme. Et là était bien ma destinée et la volonté de mes Maitres, me détruire totalement, et je cogitais sur les prochaines étapes, sachant très bien que Maitresse ne sarrêterait pas là : plus elle menfonçait dans lavilissement, plus je la sentais sépanouir et prendre une folle assurance, laissant Ses souvenir de soumission pour devenir une magnifique et incroyable Maîtresse.

Une caméra avait été fixée en plan fixe afin que mes anciens amis, devenus complices de mes tortionnaires puissent surveiller lavancement de la castration. Ils virent au début surtout leffet du sevrage des opiacés. Il me fallut 48 heures pour sentir le manque tellement jétais drogué, mais alors les souffrances se firent paroxystiques. Maitresse prit plaisir à me faire subir ainsi maintes sévices, limités par ma position, mais ne manquant pas de me transpercer les couilles daiguilles chauffées au rouge, se masturbant sur mes cris très étouffés par le bâillon, ou remplissant ma vessie de liquide pimenté, ma verge remplie de harissa, sans pouvoir rien faire pour atténuer la douleur ou même demander pitié. Mon cul étant resté comme dhabitude dilaté avec le dilateur maximal, percé en son centre, Maîtresse en profita pour expérimenter divers lavements, samusant de voir mon ventre se déformer lorsquElle dépassait les trois ou quatre litre, sans tenir compte de mes pleurs et de ma souffrance.

Le 6 ème jour, Maîtresse sapprocha de moi, je sentis son doux parfum, me donnant alors tellement envie de me jeter à Ses pieds, mais jétais totalement immobilisé. Dune voix douce je lentendis me murmurer que dans 24 heures, le garrot serait irréversible. Quil était encore possible de tout arrêter, et quElle désirait que ce soit ma décision et quElle comprendrait que je veuille arrêter. Alors je reprendrais ma vie bien sûr, mais cela devait être mon choix, et que je naurais plus dautres possibilités de Lui échapper. Elle me dit quElle reviendrait dans une heure avoir ma réponse, sous la forme dun signe de tête, puisquElle en profita pour encore plus dilater ma bouche avec le god gonflant, générant un instant de panique chez moi.

Je mesurais la perversité de Sa demande. Il avait été facile daccepter tous ces sévices car je savais que je navais pas le choix, et dailleurs je ne me posais pas la question, cétait ainsi. Et là dun coup Maitresse me forçait sadiquement à abdiquer totalement et à accepter ainsi cette castration définitive. Hébété par la souffrance, je ne savais pas aligner deux pensées cohérentes. Je tremblais de tous mes membres, incapable de réfléchir. Maitresse avait totalement détruit ma pensée, je ne pouvais que penser par Elle et pour Elle, comment pourrais-je ne pas suivre Ses désirs, Son plaisir et Ses exigences. Aussi, sans hésiter, je Lui fis comprendre que jacceptais cette castration et de ne plus être rien pour Elle, quElle avait droit de vie et de mort sur Sa chienne docile quElle transformait à Son goût. Je La sentis frémir à mes mouvements de tête, et Elle vint se caresser avec mon pauvre paquet torturé quElle senfonça bien profondément, jouissant de me posséder ainsi de façon aussi folle.

Dans ma torpeur, je réalisais avec quelques secondes de retard que le moment était venu. Le bruit des poids sécrasant sous la coupelle en inox, posée là pour réceptionner ma virilité, indiquait que le processus de castration était arrivé à son terme. Je ne savais bien sur ni quel jour nous étions, ni si cétait le jour ou la nuit, jétais soulagé, jallais pouvoir enfin bouger, et jespérais fermer un peu la bouche. Maîtresse fut ravie et me félicita. Je fus détachée, libérée de toutes mes contraintes. Néanmoins, mes yeux furent fermés avec du scotch médical pour minterdire de les ouvrir. Je compris plus tard pourquoi. Jeus droit à un bain et à quelques jours de repos, tandis que je repris mes cachets me replongeant dans un eden damour pour Maitresse, je ne savais pas comment lui offrir tout mon amour, toute ma dévotion. Ne pas la voir était une souffrance terrible, mais Elle était tellement en moi, me possédant totalement !

Les hormones prirent alors plus deffet, ma voix montant dans les aigues, ma poitrine devenant totalement indécente, et mon postérieur bien plus prononcé. Exhibée dans les soirées fétichistes, personne ne se doutait de mon véritable sexe, à moi daller voir entre mes jambes, mon sexe percé de toutes parts, et retourné sur mon anus. Je lécrasais ainsi en toutes circonstances, Maîtresse layant enfermé dans une gaine remplies de pointes dun centimètre qui le perçaient de part en part et me faisait souvent saigner, au moindre attouchement. Et Elle ne manquait pas de me serrer ainsi le sexe rendu totalement inutile, tout en se caressant à mes gémissements hystériques et tout aussi inutiles. Je navais plus aucune pensée autonome, et je devenais dune absolue passivité, point auquel Elle voulait mamener pour achever de me détruire.

Je ne sus rien de létape suivante. Mendormant un matin, je me réveillais une semaine plus tard dans une clinique en convalescence. Javais été maintenue dans le coma artificiellement, et étant de toute façon toujours les yeux fermés je ne savais rien de lendroit où jétais. Je sentis Maîtresse à mes côtés qui me prévint quElle allait enlever mes sparadraps. Je mis du temps à comprendre ce quil y avait de si spécial à ce moment-là : je navais aucune contrainte, sinon mon plug envahissant dans le cul. Pas de corset, pas de collier, pas de bâillon. Jétais totalement nue et cette sensation était pour le moins bizarre. Heureusement je pouvais me raccrocher à la tension dans mon anus, réalisant que sans doute le diamètre avait été augmenté car la douleur était bien vivace. La pièce était baignée dans lombre, aussi je pu mhabituer doucement à recouvrer la vue. Deux mois que jétais enfermée ainsi dans le noir, je my étais habituée, comme à tout le reste. Jétais la poupée de jeu de ma Maitresse qui mhabillait et me transformait à son gré.

Lorsque la lumière fut suffisante, Maîtresse me demanda de me lever et daller me regarder dans la glace. Il me fallut un moment pour réaliser ce que je voyais, leffet des psychotropes, mais aussi de la stupeur de cette femme que je découvrais sous mes yeux. Il ne restait rien de mon ancienne virilité et tout avait été gommé, des cheveux longs, des sourcils minces et affinés, des yeux en amande, une bouche pulpeuse gonflée, une machoire affinée. De même ma glotte avait disparu et mes cordes vocales avaient été modifiées, me donnant une voie féminine, basse mais féminine, très langoureuse je trouvais. Mes formes étaient certes un peu callypiges malgré mon peu de nourriture, javais quelques kilos de trop, mais une poitrine magnifique que je ne put retenir de caresser. Maîtresse mindiqua que jétais maintenant en bonnet F, et que sans doute je resterai ainsi. Mes tétons étaient percés par des anneaux très épais, maintenant une sorte de cage érigeant mes pointes de façon très provocante. Non seulement mes tétons étaient étirés, mais cela élargissait mes trous qui étaient maintenant de 10 mm. Chacun de mes magnifiques seins étaient tatoués, dimages desclaves femelles, lune buvant son Maître à la source, lautre mangeant sa Maîtresse à la source aussi. Les dessins étaient au trait noir, parfaitement explicites, et visibles en permanence. Cela ma fit frissonner et provoqua une onde dexcitation perverse. Mais je ne ressentis pas cette sensation bien particulière dun sexe qui rentre en érection. Sidérée je regardais entre mes jambes et découvrir alors lobjectif réel de cette clinique. Maîtresse avait changé davis (ou bien en avait toujours eu le désir) et mavait faite opérée. A la place du sexe javais un véritable sexe de fille, que je découvrais avec mes doigts. Les grandes lèvres, comme les petites lèvres avaient été reproduites de façon incroyable, tout comme le clitoris que je sentis sensible sous mes doigts. Je regardais Maitresse interloquée. Le pubis avait été tatoué en lettres de grande taille : Esclave à Chiotte, avec plein dornements, entremêlant cravache, plugs et autres accessoires sm.

Maitresse mapprit quil allait falloir que je fasse des exercices pour ouvrir mon nouveau vagin. Toute une panoplie de god métait destinée afin de louvrir progressivement, le plus gros de la taille de la bite dun cheval mapprit Maîtresse, comprenant là que lâne de Maitre viendrait probablement me prendre là après mon cul. Jétais absourdie, il ne restait rien de moi, dailleurs je nétais plus rien. Je me jetais aux pieds de Maitresse pour la remercier et là vénérer. Je ne pouvais vivre sans Elle, et pourtant cela serait ma destinée. En effet, alors que je rampais à Ses pieds après avoir été fouettée sur tout le corps, sauf le sexe encore convalescent, la peau en feu et douloureuse, mais reconnaissante de lAmour quElle me témoignait par Sa violence, Maîtresse mapprit que je serais vendue dici un mois, lors dune véritable vente aux esclaves que mes amis et Elle avait organisée. Pour que les choses soient claires, Elle me dit que je serais la seule femelle en vente et que celle-ci ne serait en rien contrôler, donc quElle ne saurait rien de qui machète, et que ce serait mon destin. Il me restait un mois pour me parfaire et rembourser tous les frais que javais occasionnés. Plein deffroi je suppliais Maitresse de me battre encore et plus, ayant besoin de souffrir dans mon corps, dans ce nouveau corps. Et cest effondrée au sol, le dos et les fesses en sang que les infirmières me récupèrèrent.

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