Episode où les filles me font découvrir le plaisir anal, le plaisir d’un homme.
Il n’est pas très tard, mais on décide de se coucher pour se lever de bonne heure et profiter de notre dernier jour à trois. En effet si Vanessa a pu poser son lundi, il était trop tard pour Camille et elle doit nous quitter demain après midi.
Vanessa va dormir toute seule dans le canapé lit, et elle nous laisse sa chambre à Camille et à moi.
On s’allonge, tout nu, elle me tourne le dos, je viens contre elle et plaque ma main sur sa poitrine:
— Ces seins, ces seins que tu as ma chérie, ils sont trop beaux!
— Ils te plaisent?
— Je veux oui, ils sont magnifiques.
— Tu les préfères à ceux de Vanessa?
— Oui, sans hésitation, ce sont les plus beaux que je n’ai jamais vu.
— Merci, et il y a quoi d’autre que tu aimes en moi?
— J’aime tout, mais surtout ta chatte. Elle est aussi jolie que celle de ta copine.
— Et mon cul, il ne te plait pas?
— Si, bien sûr, mais sans te vexer je préfère celui de Vanessa. Quand je pense à ce que l’on lui a mis cet après midi! Surtout toi d’ailleurs!
— Oui, et tu me l’as fait payer mon salaud.
— Oh, pas tant que ça, ce n’était pas trop méchant.
— Ca ce voit que ce n’était pas ton cul! Au fait, tu aimes te faire enculer?
— Je n’ai jamais essayé.
-Ah bon! Vanessa m’a dit que tu aimais aussi les hommes.
— Oui, ça m’arrive de baiser des mecs, de me faire sucer, et aussi de les pomper, j’adore ça. Par contre je ne suis jamais fait mettre, mais j’aimerais bien essayer avec une femme équipée d’un gode ceinture.
— Salaud, j’en étais sûre. Je t’aurais donné satisfaction, mais on n’a pas ce qu’il faut. Par contre il y a les deux godes de Vanessa et si tu veux je peux m’en servir pour ton petit trou.
— Ok, si tu veux, attrape les; mais tu y vas doucement, et on stoppe si je n’aime pas.
— Ne t’en fais pas, je suis très douce s’il faut et tu vas apprécier.
On est d’accord sur le principe mais on va attendre quelques heures. Elle veut se reposer d’abord, et que l’on s’amuse dans la nuit, lorsqu’elle devra changer sa protection.
On s’endort, et je suis réveillé par la lumière. Il faut qu’elle change son tampon, et en profite pour me demander de la baiser. Je sors aussitôt de ma torpeur, et m’installe entre ses cuisses, ma langue collée à ses lèvres vaginales. Elle retire son coton et je m’empresse de la lécher, de la boire. Elle frotte son clito avec son tampon, le fait dégorger, dégouliner dans sa fente, et je me délecte de ses liqueurs puisqu’elle jouit en même temps pour m’offrir une boisson rosée. Elle se régale de mes léchouilles, me le dit, puis jette son tampon dans un bocal:
— Baise moi, j’ai envie de ta queue dans mon ventre.
Je viens sur elle, je bande et j’enfile ma trique dans sa fente impatiente. Je soude ma bouche à la sienne, et on se roule de longues et chaudes pelles, entrecoupées de quelques échanges dont celui-ci:
— Tu es trop bonne salope, je vais jouir, je vais te remplir de mon sperme.
— Non, pas encore, je vais d’abord m’occuper de ton cul.
Elle m’explique, et je lui concède qu’elle a raison, que si j’ai éjaculé je n’aurais peut-être plus envie de me faire mettre.
Je me retire et me mets à quatre pattes, en ouvrant mes fesses, pour m’offrir à elle. Elle me lèche la raie, me lèche l’illet, un véritable délice; j’ai l’impression de sucer un bonbon à la menthe par le cul. Puis je sens un doigt investir mon intimité, suivi d’un deuxième, et sans doute plus, tellement c’est à la fois à peine douloureux et énormément jouissif. Je l’encourage à continuer, et elle s’empare d’un gode normal, sans ceinture. Elle se l’enfile dans la chatte pour le lubrifier, puis me le plante dans le fion. Oh putain, c’est bon, je gémis comme une chienne et l’encourage encore à continuer, à me défoncer. C’est trop bon, je sens que je vais jouir, et la préviens. Elle cesse de me limer, et me fait mettre sur le dos, son joujou toujours enfoui entre mes miches. Elle vient sur moi en 69, me donne son huitre dégoulinante à bouffer, gobe ma queue, et reprend son ramonage. Elle me gode violemment, me suce voracement, mouille abondamment, et je me prends un pied pas possible. Je jouis sans pouvoir la prévenir, puisque sa vulve m’en empêche, elle me garde en bouche et je sais qu’elle se régale à tout engloutir. Ma queue se calme, se dégonfle, et on stoppe. Elle se met un tampon neuf, on éteint la lumière et on se roule une tendre pelle pour se féliciter de cette séance et se souhaiter une bonne nuit.
On se réveille vers neuf heures et on entend du bruit à la cuisine. C’est sans doute Vanessa qui prépare un petit déjeuner cochon, et on la rejoint, à poil, tout comme elle.
On déguste un petit déjeuner, aussi savoureux que la veille, puis Vanessa nous conduit à la salle de bain pour sa séance sportive matinale, et qu’elle n’a pas faite la veille.
Elle a un vélo d’appartement, et va en faire dans une discipline particulière. Elle fixe un gode ventouse sur la selle, puis une sorte de récipient en plastique qu’elle a troué au milieu pour l’enfiler sur son joujou. Elle se met en place, s’empale la chatte sur cette bite bien raide, et pédale comme une forcenée. Elle se fait jouir sans limite, en continu, et on peut voir sa mouille couler le long de son gode et s’étaler dans le récipient jusqu’à le remplir. On contemple le spectacle avec Camille, on s’embrasse, on se caresse intimement. Au bout d’un quart d’heure Vanessa est épuisée et cesse son exercice. Elle descend de vélo, et suce son gode pour le nettoyer. Il est tout propre et on la voit plaquer sa bouche dans le récipient. Elle lèche, elle lape, elle aspire, et elle finit par boire toute sa mouille jusqu’à la dernière goutte.
Elle nous rejoint et c’est au tour de Camille de faire un peu de sport. Elle fait tout comme sa copine, se fait jouir en continu, remplit le récipient de sa mouille, et va tout nettoyer de sa bouche. Pendant ce temps on s’embrasse et on se caresse avec Vanessa, mais aussi je lèche tout son corps luisant de sueur suite à son exercice très sportif.
Le vélo est libre, et c’est à mon tour de faire un peu d’exercice. Je m’assied sur le gode, descend dessus jusqu’à ce que mes fesses touchent la selle, puis je pédale comme un bourrin. Cette belle bite silicone me ravage le cul et je me prends un pied d’enfer. Je bande à mort et je sens que ma sève va monter. Je me dégage, me tiens debout à côté du cycle, et me branle vigoureusement. Ca vient et je plaque mon gland dans le récipient pour décharger et couvrir tout le fonds de mon sperme abondant. Je me suis vidé les couilles et, comme les filles l’ont fait, je suce cette belle queue, et je vide le récipient, dévore tout mon foutre.
On va à la douche, on se fait une bonne séance pisse comme on les aime.
La matinée est avancée, Camille doit nous quitter en début d’après midi, et on prévoit une prochaine rencontre. On va se revoir dans quatre semaines, durant leurs règles, elles prévoiront de prendre le lundi, et je m’occuperais de commander deux godes ceintures, un de taille normale pour Camille et moi, et un énorme pour le cul de Vanessa.
On déjeune et on se fait une dernière séance à trois: les filles sont positionnées en 69, et je baise et j’encule Vanessa en me retirant régulièrement pour offrir ma queue souillée à sucer à Camille, en alternance de l’huître coulante de Vanessa. C’est trop bon les trous de ces salopes et je finis par décharger dans la bouche de Camille qui dévore tout: un dernier pour la route.
Elle doit nous quitter, on s’embrasse chaleureusement, et elle s’en va à regret en promettant de revenir.
On fait une sieste réparatrice tous les deux, suivi d’une bonne baise où elle se régale à s’occuper de mon cul. On dine, on baise encore, on se couche, on dort, on baise, on se rendort, on baise encore, on redort.
Au petit matin on reste couché et on discute. Elle s’étonne que je ne me sois jamais fait mettre par une vraie queue, me demande si ça me plairait. Ma réponse est oui et que je pense essayer de retour chez moi. Ce n’est pas exactement la réponse qu’elle espérait; elle a envie de me voir baiser avec un homme, et que l’on s’offre l’un à l’autre à tour de rôle. Elle poursuit son idée, pense à mon beau frère, me dit qu’elle va l’appeler. L’idée ne me déplait pas, sauf que je ne sais pas s’il aime la sodomie, et que je ne voudrais pas qu’il l’apprenne pour moi si c’est non pour lui. Elle me dit de ne pas m’inquiéter, qu’elle a cogité un petit plan qu’elle me soumet. Je suis d’accord et lui donnerai son numéro le moment venu pour l’appeler.
Neuf heures, elle ne tient plus, prend son téléphone et met le haut parleur:
— Allo, Christian!
— Oui.
– Bonjour, c’est Vanessa. Je ne te dérange pas?
— Ah, bonjour ma chérie. Non, je suis toujours disponible pour toi. Quel bon vent t’emmène?
— J’ai besoin d’un homme pour me dépanner.
— C’est sexuel, ou je me trompe.
— Bien sûr que c’est sexuel, mais c’est assez particulier. Je ne sais pas si tu vas accepter.
— Dis toujours, on verra.
— Ok, je t’explique et tu m’écoutes sans m’interrompre. J’avais prévu un plan à trois ce matin, chez moi, avec deux vieux qui sont bi. Ils me baisent, je les baise, et ils baisent entre eux, et j’adore trop ça. Manque de pot il y en a un qui a un empêchement de dernière minute, et comme j’ai vu l’autre jour sur l’aire d’autoroute que tu aimes aussi les hommes, j’ai pensé à toi pour le remplacer. Qu’est ce que tu en dis?
— J’aime baiser les mecs, c’est vrai, qu’ils me sucent, les sucer aussi, mais je ne me suis jamais fait mettre.
— Ca veut dire non?
— Non, je veux bien essayer, à condition qu’il ne soit pas monté comme un âne.
— Ne t’inquiète pas, il a une belle queue, mais pas énorme; elle ressemble à celle de ton beauf.
— Hum, c’est vrai qu’elle est belle sa bite à ce salaud, alors si c’est la même, ça marche. Tu m’as dis ce matin, c’est ça?
— Oui, tu peux venir maintenant, mais j’ai encore une question. Si tu apprécies notre plan à trois, j’aimerais que l’on s’en fasse un avec ton beauf la prochaine fois qu’il vient. Ca te dit?
— Oh oui, j’aimerais moi aussi, j’y ai déjà pensé mais je ne sais pas s’il serait d’accord.
— Mais oui, il le sera, je peux même te dire qu’il l’est. C’est lui qui est chez moi et on t’attend avec impatience.
— Salope, tu m’as bien eu. Passe me le cet enculé.
Je prend le téléphone et on échange quelques mots. Il ne m’en veux pas de cette embrouille, au contraire, et me dit qu’il s’empresse d’arriver.
A suivre…