CHAPITRE 1
Bonjour à tous, lecteurs et jespère surtout, lectrices
Si je mets mon histoire sur ce site cest que je suis une salope !
Salope ! Eh non ! Je suis une bourge très bcbg, avocate réputée, bien roulée dit-on de moi, très baisable selon certains frustrés, pas bégueule comme vous pouvez le constater. Je ne vais pas faire une plaidoirie mais vous parler de moi A linstigation de…Vous la saurez plus tard !
Comment ai-je pu devenir ce que je suis maintenant ?
Oh ! Je ne prétends pas être une oie blanche, loin de là quand même ! Ma vie sexuelle a été émaillée, depuis mes quinze ans, dexpériences qui bien que passagères, ont laissé en moi dindélébiles traces.
Ainsi ma sur aînée, particulièrement délurée et de tous temps avide de sexe, ma initiée au lesbianisme. De tempérament dominateur, elle a fait de moi jusquà mes dix huit ans une parfaite soumise. Décidant de chacun de nos rapports sexuels, de ma jouissance Tout cela dans la plus grande discrétion envers nos parents, nos relations familiales et scolaires. Cest ainsi que jai appris à travestir la vérité et à considérer que le mensonge pouvait être une solution élégante pour se tirer daffaires.
Autorisée par elle à découvrir le sexe masculin, jai été dépucelée réellement par un sexe dhomme après mes dix huit ans. Ce fut dès le début de ma scolarité à la faculté un étudiant que javais séduit. Cette liaison de courte durée me fit découvrir lorgasme avec un homme la fellation, dans laquelle je devins très rapidement une experte pour tous mes amants de passage.
Car loin de me laisser le choix de mes amants, ma sur, toujours plus vicieuse proposa à nombre de ceux qui venaient la sauter de se taper aussi la jeune que jétais. Ce qui était apprécié par les mecs en question, de se taper les deux frangines successivement. Quelque part jétais devenue la pute de ma sur.
Mais la pute que jétais devenue refusait toujours à ces amants multiples la pénétration de son anus. Je tolérais occasionnellement lintromission de godes, ou de chapelets de boules, par ma sur a condition que mon excitation soit due à une longue préparation et soit à son paroxysme, et encore ce nétait que des instruments peu dimensionnés.
Lorsque je rencontrai celui qui allait devenir mon mari, ce nétait autre quun de ceux qui mavaient baisée comme frangine et qui avait apprécié ma soumission, il devint mon amant régulier avant de me demander de devenir sa soumise et sa femme. Comme il était infatigable au lit il me convainquit rapidement. Jétais accro au sexe, et le sentir se répandre en moi plusieurs fois dans une nuit me plaisait, je devenais nymphomane avec lui. Il mépuisait par des orgasmes répétés.
Sachant que jétais bi, puisque à la disposition de ma sur, il tolérait mes gouinages avec elle me promettant dautres aventures lesbiennes. Eblouie par ces promesses, jen oubliai de me protéger avec lui et bien-sur je fus enceinte.
Cest dans ces conditions que le futur médecin devint le fiancé de la future avocate, car il nétait nullement question davortement. Pendant cette période ma sur sétait mariée avec un cadre dune banque et avait eu une fille. Ce qui justifiait ma liberté pour baiser à ma guise avec Yves.
Mes études interrompues je devins maman.
Inconsciemment ma libido sétiola et je mis la diminution de nos relations sexuelles sur le respect de la part de mon mari. Ce dernier entre temps sétait établi dans un cabinet comme médecin généraliste et était particulièrement occupé ce qui justifiait dautant plus son abstinence sexuelle. De mon coté javais repris mes études de droit et envisageais lavenir avec confiance. Quant à ma fille elle était gardée dans la journée par sa grand-mère en compagnie de sa cousine.
Lorsque à mon tour je clôturai mes études par ma prestation de serment davocate au barreau, je voisinais bientôt la trentaine. Mon père mannonça alors, quil avait joué les prolongations pour me céder sa succession.. Bien entendu, je ne pouvais quaccepter avec tout ce que cela comportait de difficultés, car tous ses collaborateurs partaient en retraite dans les quatre ans à venir. Je devins alors recruteuse davocats(tes). Avec le recul je me dois davouer que mes recrues étaient généralement des femmes dages divers mais agréables à mes yeux. Sans doute des relents de mon lesbianisme originel Toujours est-il que, deux années plus tard nous étions quatre femmes de quarante à vingt cinq ans et deux hommes proches de la retraite.
Jétais débordée, mon mari aussi, du moins je le pensais et ma fille grandissait gardée par ses grands parents le mercredi en compagnie de sa cousine, dont la mère, ma sur, menait une vie plus que dissolue à ce que jen savais. Car malheureusement, jétais tellement occupée par mon activité, je ne répondais que brièvement à ses sollicitations de moments entre surs.
Certes, je me négligeais, ne prenant pas garde à mon apparence, insouciante de ma féminité alors que je me délectais des tenues parfois affriolantes de mes collaboratrices.
Cest dans cette ambiance que tout sécroula.
Si la suite vous intéresse, dites-le-moi !