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Dix-sept heures trente – Chapitre 1

Dix-sept heures trente - Chapitre 1



CHAPITRE 01:00

Je me souviens parfaitement de ce jour-là : le jour où jai commencé à me dire que quelque chose ne tournait pas rond chez moi. Javais toujours trouvé que ma mère était une belle femme, mais ce matin-là elle était bien plus que cela. Elle était charmante, envoûtante, désirable. Jétais irrémédiablement attiré par ce corps de femme mûre. Il faut dire que la tenue quelle portait naidait en rien, bien au contraire. Jétais pourtant loin dêtre un gamin tout juste pubère, à la découverte de sa sexualité, se laissant facilement impressionner par la vue dune peau dénudée.

Jétais tranquillement en train de prendre mon petit déjeuner en compagnie de ma petite sur quand ma mère est apparue et a en quelque sorte bouleversé ma vision de la famille. Elle nétait vêtue que dune nuisette. Bien que pas spécialement subjective, celle-ci était légèrement usée et laissait apercevoir par transparence la couleur brune appétissante de ses tétons et la rondeur lourde et parfaite de sa poitrine. Elle sest présentée à nous sans aucune gêne, comme elle lavait fait de nombreux matins auparavant, comme si de rien nétait, sans simaginer un seul instant que jaurais pu poser sur elle un regard bien moins innocent quhabituellement.

Ce jour-là, quelque chose se déclencha en moi, quelque chose qui par engrenage allait bouleverser ma vie. Mes yeux ne purent se décoller tout de suite de ces formes maternelles. Je ne compris pas pourquoi mon regard était si attiré. Je ne saisis pas sur le coup ce quil marrivait. Je savais juste que cétait anormal. Ce nest que la honte ressentie pour quelque chose que je ne parvenais pas encore à définir qui me fit détourner les yeux. Ma sur Charlotte lui lança un bonjour détaché, mes lèvres suivirent avec émotion, ma mère sinstalla à table et la journée débuta comme dhabitude.

Ce fut un choc pour moi. Je navais jamais ressenti cela auparavant, je ne lavais jamais désirée. Je men serais bien passé. Cétait ma mère, tout de même ! Comment pouvais-je me permettre de la voir autrement ? Cétait mal.

Javais beau chasser ces désirs les jours suivants, ils revenaient me hanter plus fortement quils ne lavaient fait la veille. Dès que ma mère faisait son apparition le matin dans sa nuisette, mon cur ne pouvait pas sempêcher de faire un bond et une chaleur mirradiait. Mes désirs reprenaient possession de moi. Ils continuèrent de grandir avec le temps. Je ne pouvais plus mempêcher de poser mon regard sur elle dès que jen avais loccasion que je cherchais dorénavant à provoquer dès que ses vêtements mettaient ses formes en valeur ou me permettaient de voir un centimètre carré de peau inhabituellement découverte. Mon problème était maintenant très clair : je fantasmais sur ma mère, je désirais même une relation incestueuse, bien que jen eus honte. Jeus beau me retenir, mais ma mère réussit jusquà envahir mes pensées quand je me masturbai. Je finis par me faire jouir en mimaginant lui faire lamour ou tout simplement la caresser. Contrairement à ce que jespérais, même ma première copine ne réussit pas à chasser ces désirs honteux de mon être.

Je navais pas remarqué à quel point tu avais grandi.

Cétait un matin, quelque temps après. Je rougis tout de suite de la remarque et détournai mes yeux de sa poitrine. Elle sapprocha de moi et passa sa main tendrement dans mes cheveux en me lançant un sourire rassurant. Si elle mavait pris sur le fait ce que javais cru au départ elle navait pas lair de men vouloir.

Tu es devenu un vrai jeune homme, mon chéri, déclara-t-elle affectueusement. Tu vas faire craquer beaucoup de filles.

Tu crois ? fis-je, dubitatif.

Bien évidemment. Tu es si mignon…

Et elle partit sans rien dire de plus. Ces quelques mots mavaient donné chaud au cur. Ma mère reconnaissait mon charme. Cela me donnait lespoir de voir un jour mes fantasmes se réaliser, même si, dans ma tête, cétait très peu probable. En tout cas, cela permit de les nourrir davantage.

Je ne sais pas si elle sétait vraiment rendu compte que mon regard sur elle avait changé, que je ne la regardais pas tout le temps comme une mère, mais en tout cas elle na rien fait pour me calmer. Bien au contraire, javais plutôt limpression quelle cherchait à se dévoiler un peu plus par quelques postures innocemment impudiques comme quand elle se baissait, me permettant dapercevoir dans son décolleté une magnifique fente dessinée par ses imposants seins. Ces gestes, elle ne les avait jamais autant faits auparavant, à moins que je ne les aie pas remarqués.

Plus jobservais cette magnifique femme aux formes envoûtantes, plus je me laissais hypnotiser. Ma mère avait dépassé la quarantaine mais avait lair den avoir dix de moins. Elle semblait dotée dune classe naturelle qui la sublimait quelques soient les situations. Ses longs cheveux étaient châtain clair, à la limite du blond, et elle savait parfaitement mettre en valeur ses yeux vert émeraude avec un subtil et léger maquillage qui lui rendait le regard pétillant. Elle affichait toujours un sourire rayonnant et à toute épreuve.

Javais toujours été admiratif delle et de sa joie de vivre. Elle ne sétait jamais laissée abattre par les difficultés de la vie, et avait toujours su comment rebondir, contrairement à mon père qui avait plutôt tendance à se refermer sur lui dès quun problème pointait le bout de son nez. Même quand ce dernier sétait retrouvé au chômage après la fermeture de son usine, nous mettant dans une position financière difficile, elle ne sétait pas laissée abattre : elle avait enchaîné les heures supplémentaires tout en gérant la dépression de mon père et en soccupant de ma sur, de moi et de la maison. Finalement, elle avait réussi à trouver une piste pour mon père grâce à ses contacts, ce qui lui avait permis de retrouver une bonne place. Cétait une femme forte et courageuse.

Cétait un samedi, je crois. Tout du moins, cétait le week-end. Jétais allongé sur le canapé, un bouquin à la main, mais mes yeux étaient irrémédiablement attirés par ma mère en train de dépoussiérer les meubles. Elle portait une jupe assez courte qui lui mettait le fessier en valeur. Impossible de me concentrer sur mon bouquin bien que je fisse tous les efforts du monde. Voir ses fesses remuer à chacun de ses mouvements mhypnotisait.

On frappa à la porte. Ma mère cria à ma sur daller ouvrir tandis que lexcitation me gagnait peu à peu. Je sentais mon sexe se tendre doucement dans mon pantalon. Pris de honte, je modifiai ma position pour cacher mon état naissant. Je tentai, mais sans succès, de chasser les pensées incestueuses qui me traversaient lesprit.

Cest Julien, me surprit ma sur, il voudrait savoir si tu veux faire un foot.

Je ne lavais pas entendu arriver, trop concentré sur le derrière maternel, si bien quelle me fit bondir, ce qui la fit rire. Heureusement, elle neut pas lair de comprendre vers quoi se portait mon attention. Aller prendre lair et me défouler un peu me sembla une bonne idée. Cétait lexcuse parfaite pour mettre fin à ma séance despionnage. Je demandai donc à ma sur daller dire à Julien que jarriverais dans quelques minutes, prétextant une page à finir. Je me donnais ainsi le temps de calmer un peu mon état.

Charlotte partit transmettre mon message en arborant un sourire espiègle, le même que celui de ma mère. Ce nétait pas dailleurs le seul héritage que lui avait transmis ma mère ; Charlotte possédait nombre de ses charmes et était devenue une très belle jeune femme. Elle avait gagné les mêmes yeux verts et les mêmes cheveux, quoiquun peu plus dorés, que ceux de ma mère. Elle respirait aussi la fraîcheur et se montrait dotée dune grande curiosité et dune grande ouverture desprit.

Le match de foot me fit, en effet, un bien fou et me permit de me changer les idées. Je rentrai vers dix-sept heures trente pour me laver. Javais beaucoup transpiré et étais recouvert de boue suite à une chute. Je me dirigeai donc dans la salle de bain pour prendre une douche méritée.

Je me déshabillai doucement. Les vêtements glissaient les uns derrière les autres. Prêt à les jeter dans le panier des affaires sales, je remarquai au sommet de la pile une petite culotte en dentelle appartenant à ma mère. Je ne sais pas pourquoi mon regard resta fixé sur ce sous-vêtement.

Je repris mes esprits et grimpai dans la douche. Leau coulait doucement sur mon corps. La chaleur de ce jet me détendait. Je me savonnai et commençai à me frotter, mais mon regard fut attiré par ce tissu. « Je pourrais peut-être » Non, il me fallait chasser cette idée imbécile de la tête.

Je finis de me laver et me séchai pour enfin enfiler un caleçon propre. Avant de franchir la porte, je ne sais pas pourquoi je fis deux pas en arrière et je memparai de la culotte maternelle. Je me précipitai comme un voleur dans ma chambre et fermai promptement ma porte après mon entrée. Pourquoi avais-je fait cela ?

Je massis sur mon lit et observai ce si doux tissu dans ma main comme un précieux cadeau.

Une chaleur exquise envahit mon bas-ventre, une torpeur sempara de mes muscles et mon membre se raidit. Je ne pouvais que reconnaître que la culotte mexcitait. Je me sentais stupide, mais javais envie de sentir son odeur. Dun bras hésitant, je la portai à hauteur du nez pour en humer le parfum. Les arômes me firent tourner la tête. Je finis par me débarrasser de mon propre sous-vêtement et libérai mon sexe tendu. Ma main lenserra délicatement et commença à glisser sur tout le long. Je me retrouvai à me masturber tout en respirant le parfum qui imprégnait la culotte maternelle. Javais honte, mais cétait si excitant !

Mon Dieu, mais quest-ce que tu fais ?

Cette voix me fit sursauter. Je jetai un regard sur le visage choqué de ma petite sur.

Non, attends, cnest pas ce que tu crois !

Mam commença-t-elle à hurler.

Je me précipitai sur elle en un instant et plaquai ma main sur sa bouche pour la faire taire. Je lattirai ensuite violemment à lintérieur et fermai la porte dun coup de pied pour enfin plaquer Charlotte sur le mur. Elle se défendit mais je la maintins en me servant de mon corps.

Ne crie pas, sil-te-plaît. Je peux tout texpliquer. Tu promets de ne pas crier ?

Elle me répondit positivement dun signe de tête. Je pris donc le risque de lui libérer la bouche.

Ne me fais pas de mal, implora-t-elle.

Te faire du mal ? Mais tes cinglée ou quoi ? Pourquoi te ferais-je du mal ? Tu es ma sur, tout de même.

Je croyais que tu allais me Tu tes plaqué contre moi et

Non ! Non ! réagis-je soudain en comprenant de quoi elle voulait parler. Jai juste paniqué Excuse-moi

Daccord, se rassura-t-elle. Tu peux donc me lâcher. Tas ton truc pointé sur mon ventre.

Oh merde, désolé, obéis-je.

Et la prochaine fois, évite de mobstruer la bouche avec la main qui tenait ta bi ta chose.

Bon, écoute, encore désolé. Mais je te promets que ce nétait pas ce que tu crois.

Pas ce que je crois ? Tu nétais donc pas en train de te branler avec la culotte de mman ?

Euh Je te promets que cétait la première fois. Je ne sais pas ce qui ma pris. Écoute, Charlotte, tu dois me promettre de ne rien dire à mman. Il ne faut pas quelle le sache.

Ne rien dire ? Mais tétais en train de te

Je ten prie. Elle va me tuer si elle le sait.

Bon, daccord. Mais toi, tu dois me promettre de ne jamais recommencer.

Marché conclu, mexclamai-je, rassuré.

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