Je n’arrivais toujours pas à y croire ! Je venais de vivre un tel orgasme avec ma belle-mère ! C’était tout simplement surréaliste. Moi qui fantasmais sur la belle Eva depuis un certain temps maintenant. Je venais de franchir un pas que je n’aurais même jamais osé rêver franchir un jour. J’étais cependant un peu resté sur ma faim après ce petit échange. Même si l’orgasme avait été délicieux et que belle-maman avait de vrais doigts de fée coquine, je ne parvenais toujours pas à me calmer…
Je me dirigeais maintenant vers la chambre mais avant de rejoindre Alexandra, un rapide passage à la salle de bain s’imposait.
En effet, j’avais le torse collant, encore couvert de toute cette jouissance abondante…
Face au miroir de la salle de bain, je me rinçais le torse quand mon attention se porta sur la manne à linge qui se trouvait juste à côté du lave-linge. L’idée me vint rapidement, sûrement dû au fait que j’étais toujours excité et un rien frustré de n’avoir pu aller plus loin avec la belle Eva. Je me mis à la recherche d’un petit dessous qu’elle aurait porté et souillé de son jus de femelle.
Je ne tardais pas à sentir du bout des doigts, un petit bout de tissu délicat. Je le sortis rapidement du panier pour découvrir qu’il s’agissait d’un petit string en dentelle rose. Ce dernier avait vraisemblablement été porté à en croire les petites taches blanchâtres, telles des perles qui devaient emprisonner une délicieuse odeur féminine… Sans même réfléchir, je portais le petit dessous à ma bouche et reniflais profondément le délicat parfum sucré qui était imprégné dans le tissu et me mis à le sucer longuement.
Le goût était relativement fort et délicieusement excitant ! Mon sexe regagnait en vigueur. Un grand gourmand comme moi, ne pouvait guère se contenter de cela. Je glissais rapidement le petit dessous dans ma poche et la queue bien dressée, je me dirigeais maintenant vers la chambre où m’attendait Alexandra. Discrètement je tentais d’ouvrir la porte, mais comme à l’habitude, un petit grincement trahissait ma venue. Alexandra était allongée sur le lit face au mur. Elle portait son petit short de pyjama et un tout petit top en dentelle noire.
Bien que ses courbes n’étaient en rien comparables à celles de sa mère, je restais cependant toujours admiratif face au beau petit cul de ma belle qui m’était offert généreusement. J’avais bien remarqué qu’elle ne dormait pas. Elle faisait juste semblant d’être endormie et restait immobile.
En m’approchant, elle me fit une remarque à peine audible;
T’aurais dû passer la nuit avec ma mère tant qu’à faire.
Quoi ?! Répondis-je.
Un rien anxieux et angoissé qu’elle ait découvert notre petit moment coquin…
Bah oui, dès qu’elle boit un verre de trop, elle t’accapare ! Tout ça parce que son vieux mec ne lui donne pas d’attention ! Ça me gave.
Ouf ! Nous n’avons pas été découverts, la demoiselle était juste un peu jalouse, et j’allais pouvoir en profiter comme je le souhaitais.
Je me mis à la chauffer, la taquiner et à la chatouiller en lui disant que la jalousie était un vilain défaut.
Elle tentait de me repousser, mais excité comme je l’étais, il m’était inconcevable de me voir obtenir un refus.
Je me montrais un peu plus entreprenant en lui disant très directement;
Tu m’aguiches avec ton bon petit cul hein petite salope.
Alexandra semblait un rien surprise de mon attitude. Je l’étais moi-même ! A vrai dire, je n’avais pas pour habitude de lui parler de manière si directe mais mon excitation était telle que je ne pouvais pas me contrôler.
J’enchaînais en lui agrippant les fesses à pleine main.
Je vais te bouffer ton bon petit cul avant de te prendre en levrette ma salope.
Mon attitude semblait lui plaire ! Je la basculais sur le ventre et lui ôtais son petit short d’un coup sec ! Son superbe petit cul bien rebondi me faisait bander davantage.
En lui ôtant son petit top, j’en profitais pour lui coller mon sexe bien dressé contre sa petite fente…
Mmmmm il t’excite tant que ça mon petit cul alors ?! Vas-y ! Bouffe-moi.
Je ne me faisais pas prier ! Je faisais danser ma langue sur sa petite rondelle délicieusement humide en prenant soin d’écarter ses bonnes fesses pour pouvoir enfoncer ma langue bien au fond de son délicieux petit trou.
Je sentais que ma caresse la faisait bien mouiller ! Sa petite chatte dégoulinait d’excitation ! Je m’empressais de récolter ce miel délicieux avec les doigts et venais le mixer à ma salive sur sa petite rondelle bien préparée ! Le goût de sa cyprine et de son petit trou délicat était tout simplement divin.
Après un bon moment passé à la dévorer et encouragé par ses gémissements de plus en plus intenses, je décidais qu’il m’en fallait plus ! Ma queue était gonflée comme jamais et devenait douloureuse ! Je devais la posséder.
J’agrippais ses mollets et la faisais glisser sur le ventre pour l’approcher contre ma queue.
Ses fesses étaient brûlantes de désir et son petit trou bien mouillé de salive venait buter contre mon gland gonflé.
Après un rapide moment d’hésitation, je me décidais à lui enfoncer ma queue d’un geste franc dans sa petite rondelle.
Alexandra sursautait ! Nous ne pratiquions la sodomie que très occasionnellement et de ce fait, elle n’était absolument pas prête à ce que je la pénètre de la sorte.
Je posais rapidement ma main sur sa bouche pour l’empêcher de crier comme elle l’aurait sûrement fait d’instinct.
Sans bouger, ma queue bien au fond de sa petite grotte je lui glissais quelques mots crus à l’oreille;
Du calme petite salope ! Laisse-toi faire ! Sens comme ma queue est bien dure pour toi ! Ton petit cul de chienne m’appartient ! Je vais bien te remplir.
Je sentais qu’elle se laissait faire et commençait même à apprécier cette petite sodo un rien forcée quand je sentis qu’elle me léchait la main… Elle se mit à sucer mes doigts et à tortiller du cul comme une vraie petite salope…
Je la possédais un moment accélérant de plus en plus mes coups de reins… Je sentais qu’elle était sur le point de jouir tant son corps se crispait.
Ses gémissements s’intensifiaient ! Une contraction violente la menait à l’orgasme ! Je ne tardais pas non plus à atteindre un orgasme long et ravageur ! Je me déversais dans le petit cul cambré d’Alexandra qui semblait épuisée.
Nous restions un moment dans cette position, nos corps trempés de sueur collés l’un à l’autre.
Ma queue, elle ne semblait pas vouloir perdre de sa vigueur ! L’orgasme avait pourtant été délicieusement puissant.
Je me rendais compte que durant tout ce petit moment bien chaud à baiser vigoureusement sa plus grande fille, je n’avais cessé de penser aux charmes de la belle Eva…
