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Copains Coquins – Chapitre 3

Copains Coquins - Chapitre 3



Copains coquins 3

Pierre conte son aventure.

Un jour je n’ai pas refermé les barres arrières des logettes, en apercevant les truies dans tout le bâtiment je décide de les faire entrer dans leur box, seule solution un seau de farine et projeter dans chaque box une poignée daliment pour les inciter à se remettre en place, cela fonctionne bien juste les pousser avec les jambes pour finir de les faire entrer.

Une résiste, elle se colle à moi, je me baisse pour la pousser avec le bas de mon ventre, rien à faire, elle me résiste, elle ne la cherche même pas la farine.

Soudain je sens le bout de sa queue qui frétille, elle asticote mes couilles, je me mets à bander.

Depuis que je suis seul c’est la première fois que j’ai une sensation, mais voilà que ma bite se coince sur le côté, cela me gêne, ma main ouvre la braguette, je force un peu trop, le bouton du pantalon lâche, le bâton bien raide se retrouve dehors, le froc tombe, sa queue joue avec la mienne.

Je reste un moment à me faire caresser, je me recule un peu, face à sa fraise rouge, elle est en chaleur, mon gland est décalotté, je le pose sur la fente de sa vulve, elle recule un peu et je me retrouve dans son vagin. Depuis je continue seul inconvénient si elles ne sont pas en chaleur, elles refusent, le nombre me sauve.

Je raconte mon aventure, Pierre est ravi de partager ma découverte, jirai le voir pour le travail quil ma demandé, et pourquoi pas avoir un échange avec nos animaux.

— La semaine suivante je vais chez Pierre, il a reçu le matériel, il m’invite à visiter sa

porcherie, il est comme moi un méticuleux de la propreté, je suis obligé de quitter mes vêtements pour prendre une blouse, des bottes cela fait bizarre, passage dans un pédiluve (sorte de bac contenant un produit désinfectant pour les bottes) et voici l’atelier.

Nous sommes en hiver, la température intérieure est de 20°, au moins je n’aurai pas froid aux couilles, chance une cochette est en chaleur, nous allons procéder à l’insémination.

Mise en place du matériel, je lave la vulve, belle fraise, désinfection, essuyage méticuleux à faire, préparation de la sonde, il faut mettre du lubrifiant sur le bout en mousse, bien écarter les lèvres de la vulve, introduire lentement dans le vagin, il mesure plus de 20 cm, franchir le col de l’utérus pour se positionner dans les fleurs épanouies qui retienne la sonde ou la verge du verrat. Brancher le récipient qui contient le sperme, bouger d’avant en arrière la sonde pour la bonne mise en place dans les fleurs épanouies. Dès que le flacon est vide, je laisse la sonde encore 15 mn. Demain, il faudra en refaire une autre, soit 12 h après pour que tout soit parfait.

Pierre est surpris, content, mais il a apprécié le soin que j’apporte à la propreté de la vulve.

    – Max si tu veux essayer, tu peux.

    – Pierre ce n’est pas un peu serré ?

    – A toi de voir !

Plusieurs inséminations sont faites avec succès, Pierre est content de mes services, moi, je me suis habitué à la blouse et à toutes ses contraintes sanitaires.

Un jour j’ai 3 cochettes (jeune truie) en chaleur, deux ensemble, l’autre plus loin. Déjà une de faite, la seconde c’est en place, je m’avance vers la première ma jambe contre son ventre, ma main tapotant son flanc. Elle s’immobilise contre moi, je ne résiste pas, je la chevauche, je laisse poser mes fesses sur ses reins, je sens sa chaleur m’envahir le corps par l’intermédiaire de mes couilles, je déboutonne ma blouse, je m’allonge sur son dos, mes mains tenant ses flancs, que c’est bon.

Je glisse en arrière, sa petite queue frotte mes pruneaux, une douceur monte en moi, je glisse encore, mes bourses reposent sur sa vulve, intenable la chaleur, sa queue joue avec la mienne, je me sens pris de tremblements, je me retrouve derrière elle, la queue à la main, j’applique le lubrifiant pour la sonde sur ma verge, je me présente écartant les lèvres de sa vulve, en tirant vers le bas, mon gland se pose au bord, j’attends, soudain son muscle se desserre, j’entre dans le volcan, la cheminée est longue, mon pubis touche sa vulve.

Malgré mes 17 cm je ne risque pas de franchir le col de l’utérus je suis trop court. Lentement je me retire, je glisse bien, ma bite est un peu serrée, le gland pas excité, la surprise en reculant sa vulve est comme une sangsue sur la base de ma queue, elle s’allonge et coulisse doucement sur mon membre. Je me retire et dès que le gland est sur la vulve, je rentre à nouveau.

Mes mouvements sont lents, j’apprécie sa vulve collée à la base de ma trique, une impression, son vagin semble avoir des mouvements qui me font frémir, la jouissance ne viendra pas avec le gland, le désir monte du bas de ma queue, c’est bon, une impulsion se produit en moi, je me colle sur sa vulve, la jute parcourt ma verge, c’est l’explosion au plus profond. Je reste comme ma cochette immobile, pendant un long moment l’un dans l’autre, son vagin bouge par petites contractions, elle m’éjecte avec douceur.

Avec mon gland, je caresse sa vulve, elle bouge sa petite queue, la chaleur et la douceur de ma queue semble lui convenir. Je me relève, Pierre est là, la blouse ouverte, la bite en semi-érection, il est monté comme moi un peu plus court, les bourses par contre sont plus pendantes

    .- Max alors tu as essayé ?

    – Oui c’est autre chose, il me reste lautre.

  .- Ok tu me diras plus tard, moi j’ai un travail à faire !

Je quitte les deux cochettes, je me retourne, Pierre est à poil, sa bite sur le dos de sa belle. J’ai fini mon travail, Pierre me rejoint, toujours nu, il m’invite à prendre un café, me propose une douche, me rassurant qu’il n’a pas d’attirance pour les hommes, par contre il est naturiste, en fait, c’est sa femme qui l’avait initié à ce mode de vie.

Je prends ma douche, en me savonnant, je me mets à bander, c’est incroyable, mon corps est chaud, je me sens bien.

Moi à part lors de relations sexuelles, je n’ai jamais pratiqué le naturisme, lui, il a de la chance son atelier est chauffé, le mien, la température l’hiver 10° pas top.

En fait je pratique le freeballing sans le savoir ne portant jamais de sous-vêtements, cela ne serre trop le sexe, je suis mal à l’aise, j’aime la liberté de ma queue, c’est pour cela que dans mon ancien métier les femmes avaient une attirance voyant ma bite libre dans le pantalon, car cela elles le voient de suite.

Je lui conte mon aventure avec sa cochette.

Des avantages, bien à la hauteur, des sexes qui s’unissent parfaitement, une longue jouissance jusqu’à l’explosion, pas de risque de franchir le col de lutérus, nous sommes trop courts, il manque au moins 5 cm.

Si un homme est plus long il ne peut pas rentrer, trop gros.

Des inconvénients, il faut que le porc soit en chaleur, pas facile de sucer sa vulve, si la bite sort, il faut ouvrir la vulve pour entrer.

J’ai apprécié ce moment, nous convenons que Pierre vient me donner un coup de main en compensation des heures que je fais. Il n’a jamais essayé un veau ou une vache se serait l’occasion de le faire, c’est mon espoir.

Pierre accepte le principe, il viendra faire boire les veaux le soir en week-end, suivant les heures à me redonner. Je rejoins ma ferme.

J’ai la queue en semi-érection, l’impression que je suis toujours dans le vagin de la cochette, que sa vulve est restée collée au bas de ma trique et qu’elle me suce.

La semaine passe vite, samedi Pierre vient, aura-t-il la même passion que moi ?

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