Récits d’un jeune montréalais surmembré: Kelly
Je vous propose de vous raconter quelques-unes de mes histoires de baises récentes et plus anciennes. Je suis un jeune professionnel de 26 ans de Montréal de belle apparence, du moins si on en juge par le nombre de conquêtes d’un soir que j’ai eu depuis les dernières années. Il faut dire qu’à Montreal, il est plutôt aisé de finir la soirée avec une jolie fille à la sortie des bars. Vous l’avez vu dans le titre, j’ai ce que beaucoup d’hommes rêveraient d’avoir, un pénis de très fort gabarit, trop gros selon beaucoup de jeunes femmes avec qui j’ai couchées. Pour être honnête avec vous, c’est bien de pouvoir s’en gonfler l’ego, mais ça m’a apporté autant de problèmes avec les filles que d’avantages! Le fait est que, quand j’écris surmembré, c’est loin d’être une exagération, beaucoup de femmes sont incapables de faire avec. Pas question ici de commencer à lancer des mensurations en l’air mais disons que tant en longueur qu’en largeur, c’est hors norme. Je me devais d’être clair sur ce point pour que vous compreniez bien le genre de situations dans lesquelles je me retrouve trop souvent.
Je vous raconte tout d’abord mon aventure avec Kelly, qui s’est déroulée il y a quelques mois. Pourquoi celle-là? Disons que c’est un "one night" typique de ceux que je vis depuis des années, vous allez comprendre.
Alors qu’on parle du réchauffement climatique partout sur la planète, ici, c’est l’hiver le plus froid depuis une décennie, nous sommes vers la fin décembre à l’approche des fêtes. C’est le party soulignant le début des vacances de Noël à la faculté de sciences sociales de mon ancienne Université de laquelle j’ai gradué l’an dernier et obtenu un emploi en génie dans une firme de la métropole. J’ai toujours aimé les soirées organisées par les sciences humaines, les filles y sont plus…enclines disons. Contrastant avec le dehors, il fait chaud dans la salle polyvalente transformée en discothèque pour la soirée. Pour preuve, beaucoup d’étudiantes dansent en petites camisoles voire en soutien-gorge et plusieurs mecs sont torses nus. Plus tôt dans la soirée, il y avait une série de concours impliquant ingurgitation d’alcool, tout le monde semble fortement intoxiqué, je ne suis pas en reste.
J’ai placé quelques collets au fil de la soirée, eu des conversations prometteuses, mais il est 2 heures du matin maintenant et aucun dossier ne semble cheminer. J’en suis à me demander si j’abdique ou si je tente de forcer un peu les choses quand une main m’agrippe le bras par derrière et me retourne, la jeune femme se colle à moi pour m’embrasser langoureusement sans avertissement, tout n’est pas perdu! Je suis agréablement surpris de constater qu’il s’agit de Kelly, une jeune étudiante en socio avec laquelle j’avais parlé au tout début de la soirée. La petite brunette doit se hisser sur le bout des pieds pour m’embrasser, elle ne doit pas faire plus d’un mètre soixante, moi je suis plutôt grand avec mes un mètre quatre-vingt dix. Elle est superbe, comme je les aime, mince, probablement sportive, de petites fesses légèrement bombées, bien rondes et ferme, j’ai tôt fait d’y passer la main pour le constater. Elle semblait si timide il y a quelques heures à peine, l’alcool l’a complètement desinhibée. Elle s’accroche à mon cou, nous nous embrassons furieusement, ses intentions sont sans équivoque.
Aussitôt, sans mot dit, elle me prend la main et m’entraîne vers le vestiaire où nous récupérons nos manteaux d’hivers pour rapidement nous diriger à l’extérieur. Le changement de température brutal ne nous affecte pas, vu notre taux d’alcoolémie prononcé. Elle me guide vers sa résidence étudiante qui, heureusement, est tout près. Nous montons au quatrième à sa chambre. Nous rions et faisons des blagues tout le long du trajet, son petit rire aiguë est si mignon. Je n’ai qu’une idée en tête, la sauter, son petit cul me fait déjà bander. Je referme la porte derrière nous pendant qu’elle se projette sur son lit lequel elle n’avait pas pris la peine de faire ce matin. Elle s’assoit face à moi sur sa couchette, les pieds au sol, je suis debout tout près d’elle. Elle est si jolie, l’érection se confirme dans mon pantalon. En me fixant dans les yeux, avec son regard à la fois naïf et invitant, elle retire son chandail et son soutien-gorge, elle se dévoile sans pudeur. Ses petits seins bien ronds ornés de mamelons rose pâle, presque rose bonbon, sont magnifiques. Ce panorama offert termine le travail déjà amorcé et mon membre se retrouve en expansion complète, très à l’étroit dans mon pantalon. Elle l’effleure doucement du bout des doigts à travers l’épais tissu de mon jeans. Elle le parcourt sur toute sa longueur refermant sa main autour autant que le pantalon le permette. Ses yeux affichent un regard amusé qui évolue vers la perplexité à mesure qu’elle masse mon pénis, elle sent qu’il y a quelque chose qui cloche. Elle ouvre lentement ma braguette et abaisse précautionneusement mon jeans et mon boxer. Mon phallus se déploie hors de son confinement. Kelly porte ses deux mains à sa bouche grande ouverte, ses yeux s’écarquillent et elle ne peut retenir un "oh my god".
Comme la jeune étudiante semble figée par la surprise et regarde ma queue sans bouger, je prend sa main droite et la pose autour de celle-ci. Docilement elle m’empoigne et commence lentement à me branler. Sa main ne fait pas le tour de ma circonférence. Elle a tôt fait de se servir de ses deux mains et se met à me masturber vigoureusement tout en me laissant savoir par de nombreux qualificatifs ce qu’elle pense de ma bite. "Elle est énorme, je n’ai jamais rien vu comme ça!". C’est gigantesque c’est fou!". T’as vraiment une grosse queue toi ça n’a aucun sens!. J’ai toujours été très excité par ce genre de commentaires, cette fois-ci n’y fait pas exception. Elle me branle vaillamment, comme si elle voulait me faire venir tout de suite, comme pour éviter la suite des choses. Voyant que ça ne serait pas si simple, elle me lance alors: "j’suis pas certaine que tu vas pouvoir me prendre tu sais, je sais pas si ça peut entrer en moi ce truc". En guise de réponse, j’approche mon gland tout près de sa bouche, elle me regarde d’un air soumise et ouvre légèrement les lèvres d’un geste incertain pendant que j’y insère mon membre. La jeune femme me suce du mieux qu’elle peut tentant de me prendre en bouche sur la plus grande longueur possible. Elle astique admirablement bien mon gland, elle lèche et aspire sans dédain, les bruits de succion que sa bouche produit ne la gêne pas du tout. Ses deux mains agrippent la base de ma bite pour la masturber, puis elle relâche pour n’utiliser que sa bouche. Elle alterne entre des deux techniques. Mon excitation monte rapidement à la vue de ses petites lèvres ornées de gloss brillant travaillant si fort autour de ma verge. Ma queue paraît encore plus énorme en contraste avec son mince visage. Elle suce et secoue valeureusement, sans relâche, avec intention évidente de me faire éjaculer au plus vite.
Il n’est pas question pour moi que ça s’arrête ainsi sans au minimum essayer d’aller plus loin, c’est trop souvent le cas. Je me défais de son emprise pourtant si agréable. La jeune étudiante se couche lentement sur le lit, résignée. Elle retire son leggings pour dévoiler son jolie string tout rose, un minuscule triangle à demi transparent cache sa fente, tout le reste n’est qu’une délicate bande de tissus passant sur ses hanches et entre ses fesses. À genoux, toujours au pied du lit, j’écarte ses fines jambes, d’une main, je tasse le sous-vêtements et de l’autre, mes doigts parcourent sa chatte, heureusement trempée. Son appréhension ne l’a pas empêchée de bien mouiller, prendre mon phallus en bouche lui a visiblement beaucoup plu. J’entre un doigt, caresse son clitoris, un autre doigt s’ajoute, tout va bien, elle gémit déjà doucement, elle est si mignonne. J’essaie avec un troisième doigt, je veux la préparer adéquatement. Elle fige un peu au début, c’est limite, son col est à peine capable de s’étirer assez. Lentement, je la pénètre de mes trois doigts, elle se détend à nouveau. Ses petits gémissements de plaisir reviennent, éventuellement, elle bouge même son bassin comme pour en demander davantage. C’est le signal que j’espérais.
Je m’installe à genoux sur le lit devant elle, mes cuisses écartées de chaque côté, pour que mon engin soit bien au niveau du lit, tout près de sa chatte. Il faut battre le fer pendant qu’il est chaud. Je tasse à nouveau son string hors du chemin, elle n’est pas complètement rasée, un jolie petit triangle en forme de V très discret orne son pubis. Je dirige mon gland gonflé vers l’orifice tout humide, les yeux fermés, elle me murmure d’y aller doucement. Je n’ai certainement pas l’intention de la brusquer. Je promène mon gland tout autour de son ouverture en le poussant légèrement vers l’objectif de plus en plus. Le gland entre, délicatement, j’avance ma bite en elle, Kelly a la tête bien appuyée sur le matelas, les yeux fermés et crispés, ses mains agrippent les couvertures autour d’elle. Quand la partie la plus large passe enfin, elle pousse un lent et profond cris qui a aussitôt un effet très excitant sur moi. J’adore les filles qui me font savoir par leur gémissements ou leurs paroles a quel point elles se sentent emplies par mon organe. Je la pénètre maintenant d’un tempo encore lent mais plus régulier, je pousse ma verge pour l’insérer entièrement en elle, la pauvre étudiante pousse un cris de surprise, probablement d’inconfort aussi. J’ai touché le fond, je dois retenir mes ardeurs quelque peu. Elle place une main sur mon ventre pour bloquer une éventuelle autre tentative de ma part de l’empaler à nouveau ainsi. J’accélère le rythme et pousse systématiquement jusqu’où sa main me permet, ses gémissements sont désormais des cris aigus et puissants, tous le pavillon doit maintenant savoir que la petite Kelly du 424 est en train de se faire défoncer. Ses deux mains sont maintenant appuyées sur mes abdominaux pour retenir mes ardeurs qui sont de plus en plus incontrôlables. Elle m’implore d’éjaculer au plus vite.
J’aimerais bien répondre à sa demande et venir en elle immédiatement mais je n’y suis pas encore. Elle pousse un soupir de soulagement au moment où je me retire. Je la retourne pour un changement de position qui sera, je l’espère, plus agréable pour elle. Elle se retrouve couchée sur le ventre devant moi, son petit derrière bombé si bien mis en valeur par ce fil qui lui sert de sous-vêtements. Je me couche sur elle pour la prendre ainsi par derrière. Cette position à l’avantage de ne pas permettre à mon pénis d’entrer sur toute sa longueur, son postérieur agissant comme zone tampon. Elle comprend alors que je n’ai pas fini avec elle et me lance: "ta queue est trop grosse pour moi". Sa phrase à peine fini, mon membre s’introduit brusquement en son sexe jusqu’au point où mon bas ventre percute son cul. Elle gémit, résiliée. Je vais et viens joyeusement en elle, ses mains sont agrippées aux barreaux de la tête de lit, elle mord dans un oreiller. La pauvre Kelly en a plein les bras, jamais elle n’a été pénétrée par un si engin si imposant. Elle me demande de finir, heureusement je me rapproche de l’extase mais j’aurais à la pistonner beaucoup plus ardemment pour y arriver, je n’ai pas le choix de me retirer. Un bruit de succion se fait entendre quand je me retire de son con, tout son corps crispé s’affaisse sur le lit, ses mains lâchent les barreaux, sa bouche pousse un soupir de satisfaction évidente. Je suis déçu qu’elle n’ait pas pu jouir, elle, semble n’en avoir rien à faire, elle est surtout soulagée que je ne sois plus en elle.
Je m’installe à califourchon juste au dessus de son postérieur et plaque ma bite sur toute sa longueur entre ses deux petites fesses. Kelly se retourne et me regarde d’un air presque terrorisé, appréhendant le pire, croyant que je veuille la sodomiser. Je la rassure que ce n’est pas mon intention, ça serait de toute façon, physiologiquement impossible. Non je veux tout simplement me servir de son cul pour m’y branler. Bien accroupie au-dessus d’elle, de mes deux pouces, j’enfonce ma verge dans ce sillon si invitant, la logeant bien au fond. La mince corde de son string rose contre son anus. Mes deux mains écrasent ses fesses contre ma queue gonflée et prête à exploser. Il y a tout juste assez de chair et de poigne pour me permettre d’y coincer mon membre. Je le fais coulisser lentement, ma queue paraît si grosse flanquée de ces deux petites fesses estudiantines. Kelly fini par assimiler mes mouvements de va-et-vient et se met à m’aider activement. Elle bouge langoureusement son bassin dans tous les sens. Elle se trémousse le cul de plus en plus, augmentant la vitesse, elle semble prendre plaisir à enfin pouvoir m’en donner, elle qui avait dû être plutôt passive depuis le début de cette baise. On dirait qu’elle veut se faire pardonner de ne pas avoir pu prendre ma bite comme elle l’aurait voulu. Je suis au bord de l’éruption, elle me murmure alors:"vient sur moi, aller, vient partout sur moi." Cette phrase m’achève. Un premier jet de sperme est propulsé avec vigueur et atterri dans sa chevelure, puis un autre éclate et s’étend de son cou à ses reins. Je resserre ses fesses autour de mon pénis pendant qu’il continue de cracher le foutre à chaque nouveau spasme. La douce peau auparavant immaculée de son joli dos cambré se décore impétueusement de mon sperme une salve à la fois. Je reprends un peu mes esprits après cet orgasme très satisfaisant, le jeune étudiante s’est laissée choir sur le lit, épuisée. Je demeure un instant au-dessus d’elle pour admirer la beauté du panorama, son dos est parcouru de plusieurs longues lignes de foutre blanc épais et visqueux. Mon dernier flot de sperme coule paresseusement entre ses fesses.
Je me retire et me hisse hors du lit pour me rhabiller. Kelly est couchée les yeux clos et semble merveilleusement bien. Alors que je m’apprête à lui demander si elle veut quelque chose pour essuyer tout ce sperme qui la tapisse, je réalise qu’elle dort probablement! Je tente de lui parler, rien a faire, elle est k.o. La pauvre, elle va passer toute la nuit ainsi, recouverte de sperme, elle se souviendra assurément de moi au réveil! Je lui laisse alors mon nom et numéro sur un bout de papier que je dépose sur la table de nuit. Qui sait, si l’envie lui prend de réessayer, je suis partant. J’étais loin de me douter qu’elle allait me contacter quelques semaines plus tard et surtout, à quoi cela allait me mener!