J’arrive devant chez Pierrot. Ça sent bon le barbecue. J’entre sans frapper. Je suis accueillie par mon ami qui est déjà à poil. J’en fais de même en jetant mes affaires sur le canapé, Pierrot me les pliât méticuleusement. Ah, légionnaire un jour, légionnaire toujours.
L’effet de la pilule se fait sentir, j’ai une érection.
— Où sont les filles.
— En bas, elles se préparent. Allez, viens boire une binouze.
On est installé sur sa terrasse quand Mél réapparait. Elle est allée chercher sa tenue de soubrette chez moi. Belle initiative, Pierrot la trouve bandante. Gégé est nue, ravissante. Elle arbore ses nouveaux piercings aux seins, de gros anneaux reliés entre eux par une chaînette. Idem à ses lèvres intimes. Quand Li arrive à quatre pattes, elle est nue et se met en position d’attente, la tête en appui sur ses avants bras, le cul relevé.
Je joue avec mon Prince Albert, tout en me branlant doucement. Pierrot, moins délicat que moi, s’astique le poireau. Mél est au barbecue, Gégé aux boissons. Li attend. Li a 35 ans mais un corps fluet de midinette. Je lui demande de se rapprocher et de me lécher le gland. Dieu, que c’est bon. Sa petite langue joue avec mon anneau, c’est vite l’extase. Je perle, je coule de la bite. La petite Li se régale. Pierrot n’est pas en reste, il a embroché sa fille en levrette et la pistonne à la hussarde. Il souffle comme un buf. Elle crie son bonheur. Pendant ce temps, Mélissa dresse la table en surveillant la cuisson des viandes et des frites.
Quand Pierrot atteint le paroxysme, au bord de la jouissance, il se retire et éjacule à l’entrée de la chatte gluante de Gégé. Il est rouge écarlate, le bougre. Il gémit tout en présentant à la bouche, sa queue à sa fille qui se régale.
— C’est presque prêt, nous dit Mél qui transpire à grosses gouttes.
Elle se rapproche et m’embrasse à pleine bouche. Je lui prends la tête et la dirige vers mon rostre. Elle ne se fait pas prier, elle gobe mon sexe en entier. Elle est devenue experte en massage de la sorte. Li, quant à elle, me lèche les boules. Pierrot nous ressert un Pastaga et vient s’assoir à côté de moi. C’est Gégé qui s’occupe de la cuisson, pendant que je déboîte les mâchoires de ma black. Entre la pipe que me prodigue Mélissa et les caresses de Li, je ne suis pas long à venir, je lui donne mon élixir. Partageuse, elle embrasse la petite asiatique.
Après un repas copieux, je vais dans le salon et prends l’enveloppe. Je la lance à Pierrot. Il l’ouvre, il me regarde, regarde le chèque et fond en larmes. Gégé aussi, elle a compris. Mél, pas bête, viens sur mes genoux.
— Tu vas aider Pierrot ?
— C’est fait.
Elle se lève et s’en va derrière Pierrot.
— C’est super, on va travailler en famille…
— Et tes études ? Tu y penses à tes études ? Lui dit-il.
— Bin quoi ? La journée à l’école et le soir au salon des plaisirs… Que demander de mieux ?
— Allez, papa, tu ne vas pas tout gâcher.
— Mais si les résultats ne suivent pas, dis-je, interdiction de sortie. Il nous faut une infirmière à plein temps.
— Merci, vieux frère.
— Non, associé. Tu as une société pour les travaux ?
— Euh… Non.
— Je m’en charge. Allez, je vais me baigner.
Les travaux battent leur plein. Le bar est terminé ainsi que les toilettes, les douches et les salons privatifs. On pense inaugurer pour la nuit de la saint-Sylvestre. Les invitations sont prêtes et les "Flyers" sont imprimés.
Mél a repris ses cours et se débrouille plutôt bien. La boutique a été transférée dans un vaste local attenant avec une petite salle de projection. Tout est bien dans le meilleur des mondes, mais il y a une chose à la quelle nous n’avions pas pensé. Le recrutement du personnel. Il nous faut deux mecs et trois nanas "ouvertes". On a convoqué ce soir les nanas, aucun mec n’ayant répondu aux annonces passées sur le Net et dans des revues spécialisées. On attend. Mél, Li et Géraldine s’occupent à charger le bar. Pierrot est impatient, il est 20 h 00, l’heure du rendez-vous.
On sonne, Gégé appuie sur le bouton qui autorise l’ouverture. On pousse la grosse porte blindée et une petite blonde, une grande rousse, oups deux grandes rousses, une brunette et un mec rachitique font leur entrée et s’alignent, comme demandé dans les annonces. Je demande :
— Vous allez donner votre prénom, âge et votre motivation. On commence par vous, Mademoiselle. Dis-je en désignant la petite blonde.
— Coralie, Coco pour les amis. 22 ans. Je suis là parce que j’ai besoin d’argent et le salaire (1500 euros net) me convient et j’aime le cul. Voilà. (J’aime cette petite nana, elle sait ce qu’elle veut).
— Nous c’est Julie, Juju et Sébastine, Seb. On est jumelle. 23 ans. Nous aussi on aime le sexe et nous faisons tout ensemble, dit la première des deux rousses. On est célibataire, disponible tous les soirs.
— Moi, Annie, dit la brunette, 25 ans et la loque que vous voyez à côté de moi, c’est "bâtard", mon soumis. On a répondu à votre convocation pour le salaire unique pour nous deux. Lui, il n’est là que pour me servir et servir à d’autres.
— Bon, afin de voir vos atouts, vous allez vous mettre nus. Dis-je. Toi le petit "bâtard", tu seras rémunéré, mais ce sera Maîtresse Annie qui percevra ton salaire ; contrat oblige.
Pour les accompagner, on se met nu également. C’est du sexe tendu que l’on s’approche. Les rousses, c’est sûr, elles font déjà partie de l’équipe. Petit cul bien rebondi, seins moyens et fermes en forme de poires, petite bouche bien pulpeuse. La petite blonde, ira donner la main à Li, Mél et Gégé derrière le comptoir. Quant à Maîtresse Annie, je lui demande ses pratiques. Elle aime faire souffrir aussi bien les hommes, que les femmes. Son "bâtard" n’a que la peau sur les os, mais possède un sexe hors norme. Il ne bande pas à fond, elle le branle en se mordant la lèvre inférieure. Elle finit par le réveiller, la taille de son sexe sera un ravissement pour les salopes qui fréquenteront notre "club". Je leur précise que cet endroit est à vocation fétichiste, SM et toute autre forme de dépravation. Qu’ils pourront participer ou pas, rien n’est obligatoire. Leur tenue sera topless et string noir aux couleurs de notre Club, "Le Marquis". Ils acquiescent tous, sauf le "bâtard" qui ne pipe pas un mot.
— Quant à toi, ce sera nu, ou affligé d’un costume autorisé par Maîtresse Annie.
Je me retourne vers Pierrot qui se masturbe lentement, sacré pierrot.
— Qu’est-ce tu en penses ?
— Très, très bien. Embauchés, vous êtes tous embauchés.
— Parfait, allez, Mél. Champagne !
Les trois coquines se sont désapées. Les deux rousses ainsi que la petite blonde sont bouche bée devant la beauté de ma plantureuse black. La brune a attaché son soumis à une croix et vient nous rejoindre. L’ambiance est bonne enfant, quand Mél me demande l’autorisation de rentrer, elle a cours demain. Elle se rhabille et s’en va, accompagnée de Li qui ouvre notre boutique à 09 h 00, comme tous les matins depuis deux semaines déjà. J’attends que ma voiture ait quitté le parking pour rejoindre la joyeuse troupe. Je me ferais raccompagner par Pierrot ou par sa fille. Je compte bien me faire la petite blonde, elle m’excite.
Je prends Coco, la petite blonde, à part, en me décalottant pour faire apparaître mon anneau doré.
— Moi c’est Jean, ou plutôt Maître Jean. J’ai une soumise. La black qui vient de partir Mélissa, ma perle noire.
— Oui, elle est belle… Pardon, magnifique.
— Ça te dirait de jouer avec elle… Et moi ?
— Hihihi. Vous êtes direct vous. Mais j’aime bien les mecs comme vous, bien bâti (en me mettant la main sur mon torse), et bien membré (en me palpant les couilles).
— Tu n’as pas répondu à ma question.
— J’ai envie de réfléchir… Hihihi. Oui, j’aimerai jouer avec vous.
— Parfait, demain 10 h 00 ?
— WAHOU, vous êtes un rapide !
— Demain c’est son anniversaire.
— Dans ce cas.
— Tu trouveras mon 06 sur les flyers qui sont derrière le comptoir.
Pendant ce temps, Pierrot est en train se draguer la Maîtresse Annie pendant que les jumelles aguichent le "bâtard" de leur langue. Coco, excitée, joue avec mon anneau d’une main, de l’autre, elle me tire pour un baiser des plus torrides. Je lui appuie sur la tête, elle comprend vite. Agenouillée comme une petite salope, elle écarte les cuisses et entame une fellation. Elle est jeune et devra encore apprendre, mais elle y met du cur en me fixant de ses yeux verts. Dix minutes plus tard, je lâche de longs jets. Elle garde tout en bouche et me les montre avant de la refermer et de déglutir. HALALA, les films pornos ont du bon. Je la relève et l’embrasse tendrement.
Le lendemain, samedi donc, je me lève à huit heures. Mél et Li sont déjà parties.