On ne peut pas vraiment dire que la soirée ait bien commencer… un lapin posé a l’autre bout du canton.
Un peu dépitée je reprend le train pour rentrer chez moi. Heureusement je m’en fous un peu, je ne le paie pas. Bref… il fait nuit, il n’y a rien a faire.. je m’ennuie et mon esprit vagabonde… Un peu trop d’ailleurs.
Je me souviens de ce jeune homme rencontré il y a quelques temps.. De ce train que nous avons pris ensemble.. De cette étreinte courte, mais intense. Du plaisir dans ces yeux au moment de sa jouissance.
Aïe aïe… Voila que je commence à mouiller… Hum pas vraiment le bon endroit pour se toucher. Personne directement à côté de moi, mais il y a plusieurs personnes dans mon compartiment… Pourtant le désir devient plus fort… Ca y est je divague. Je m’imagine assise sur cet homme en train de me faire pilonner.
Tant pis, je prends le risque… Je glisse mon bras droit a l’intérieur de mon manteau et glisse ma main dans ma culotte. Évidement il fallait qu’aujourd’hui j’ai envie d’en mettre une ! J’attends mon clito encore tout endormi et le masse gentiment.
Que c’est bon de s’abandonner ainsi. Je place une jambe sous mes fesses pour avoir plus d’aisance tout en gardant un air innocent. Mon sac a main couvre l’endroit du délit. Je sens mon sexe s’ouvrir, devenir humide. Au bout de quelques minutes mon clito a bien gonflé sous mes caresses.
Évidemment le plaisir monte plus lentement, je ne peux pas bouger comme je veux, et ne suis pas dans une position idéale.. Mais je me ferai jouir avant l’arrivée à Genève.
Les yeux a demi clos, tourné vers la fenêtre, je m’adonne a mon plaisir en solitaire alors que les gens discutent autour de moi. Mon clito devient glissant tellement je mouille, difficile de me toucher correctement sans me blesser. Et pourtant j’ai tant envie de jouir !!!
5 min avant l’arrivée, je me glisse au toilette. il faut que je vienne. Assise sur le siège, jupe relevée, culotte baissée, je me laisse même aller a quelques gémissements et petit cris. HUMMMMMMMM délivrance suprême. Ma main se crispe sur mon sexe dégoulinant dans un dernier râle de plaisir… Il était temps, nous entrons en gare.
Quelques seconde pour reprendre mes esprits, et encore un peu tremblante, je sors des toilettes et me joins à la file des voyageurs qui s’amassent devant la porte pour descendre sur le quai.