Jusque la Caroline reste très réservée à mon égard. Elle travaille comme vendeuse au rayon habillement dans un grand magasin du centre ville. Le samedi nous faisons souvent nos courses dans ce magasin là. A l’époque chaque vendeuse gérer son rayon. Depuis qu’on est ensemble Mireille porte des belles lingeries pour soit disant me faire plaisir. Sa mère la conseille avec un petit sourire sous entendue. Généralement pendant les séances d’essayages je pars faire un tour aux autres rayons. Ce jour là j’assiste aux essayages et aux recommandations de Caroline à sa fille. Me demandant mon avis sur cette guêpière que porte Mireille, je fus pris d’une trique devant ce spectacle, voulant essayer un ensemble combinette et string. Caroline lui en apporte et referme le rideau et attend. Lorsqu’elle vit ma bosse, Caroline me regarda avec un sourire sans commentaire. J’étais gêné et ne savais comment me comporter, heureusement que Mireille appela sa mère et tout repartis. Les emplettes terminer j’avais qu’une hâte rentrer faire l’amour. Un dimanche nous fumes invités. Jocelyne et Daniel qui avait leur petite fille malade ne vinrent pas. Brigitte était partie chez une copine, nous étions seul avec ses parents, Caroline habillée d’une robe décolletée faisait merveille. A la fin du repas nous partîmes faire une promenade dans les bois. Les femmes partirent devant nous échangeant leurs confidences. Avec le père de Mireille tout n’était que commentaire de boulot, politique et foot. Pendant qu’il parlait je regardais les croupes des femmes devant nous qui sous leurs pas ondulées leurs robes légères, un délice. Quand nous partîmes j’aperçu les cuisses de Caroline en s’asseyant sur le siège avant de la voiture, nos regards se croisent. Quelques temps plus tard, la société de Mireille l’envoya faire un stage de formation. Un midi en frappe ? J’ouvre c’est Caroline toute souriante. – Rentrez! Dit-je tout étonner. – Bonjour mon chéri, dit-elle avec un sourire, je ne te dérange pas ? – Non! Madame! – Caroline entre-nous dit-elle, en avançant. Elle connaissait l’appartement car nous venions d’aménager. – Comme t’ai seul cette semaine, je me suis dite (vas voir ton gendre qui habite à deux pas de ton travail) d’autant plus que Mireille est en stage, elle ne te manque pas trop ? Quel aplomb, ne venait-elle pas me draguer ?- C’est sympas dit-je, c’est vrai que tout seul c’est triste quel bonne idée d’être venue, vous partagée mon repas?- Merci! Mais le midi je ne mange qu’un petit sandwich pendant la coupure. – Je vous offre un café ? – Un thé si tu as ? Mais continu de manger je vais le préparer dit-elle. Caroline enlève sa gabardine, très en beauté avec sa jupe noire et son chemisier blanc, laissant apercevoir la dentelle d’un soutien-gorge très remontant. Pendant que je fini mon repas j’admire ses jambes gainée, elle se retourne pour aller chercher les sachets et pose son regard sur moi avec son sourire en coin. Gêné je baisse les yeux, Caroline porte les tasses sur la petite table du salon et verse l’eau sur les sachets. Assis sur le canapé, une espèce de relation commence à s?établir, gorge nouée j?avale mon thé, Caroline sa main sur mon bras me dit – Doucement tu vas te brûler t’ai pressé ? – Non ! Dis-je d?une voix qui sort de ma gorge encore serrée. Sa figure est proche de la mienne – Fait chaud aujourd?hui, dit-je, Caroline ne bouge pas et me regarde lèvres entrouverte, prenant mon courage à deux mains j’approche mes lèvres des siennes et l’embrasse. Ma queue déforme brusquement mon pantalon de façon évidente, son regard se fixe dessus, puis remonte jusqu?à mes yeux. Seul avec elle dans cet appartement, jambes croisées avec sa jupe légèrement relevé. Ma respiration s?arrête, elle croise et recroise ses jambes en le faisant assez haut pour me permettre d’apercevoir ses jarretelles. Son sourire s?accentue à nouveau – Tu aimes ce que tu vois ? – Oui, dit-je d’une petite voix. Elle boit une gorgée de thé, puis me dit – Personne n’en sera rien je sais que tu me désire mais tu n’ose pas car je suis la mère de ta femme hein ? – Oui dit-je plus rassurer. Caroline n?hésite pas et déboutonne ma chemise, la couchant sur le canapé je retrousse sa jupe et enlève sa culotte de dentelle. La pénétrant lentement avec délice dans la chaleur et d?humidité de son vagin. Caroline m’embrasse pendant qu’elle enfourche mes reins, la pistonnant doucement elle m’accompagne dans mes mouvements. – J?ai vue comment tu me regarde depuis quelques temps dit-elle en ondulant sous moi. Un vrai volcan pensé-je. La passion et ses caressent m’amenèrent sur le point de jouir, Caroline se tord le cou pour me voir. – Laisse-toi aller je suis protéger! Sortant jusqu?à l?extrême limite de son vagin, je replonge en elle d?un puissant coup de rein éjaculant au fond d?elle. Caroline qui sent mon liquide l?envahir accélère son va et viens, serrant fortement ses cuisses pour sentir mon sexe au fond d’elle, mordant ma langue je comprime ses fesses prenant un lobe dans chaque mains, je chatouille du bout des doigts son anus quand son ventre émet des petits sursauts, Caroline jouis en me serrant bras et jambes contre elle jusqu’à ce qu’elle se soit calmer. Reprenant ses esprits - ?a m?a plu, tu sais et toi ? – Oui! Et quand la prochaine fois tu reviendras, nous prendrons notre temps dit-je. – Mon chéri tu me fais plaisir! Avec toi c’est intense. Je l’embrasse et elle me rend mon baiser répondant de sa langue. Nous, nous réajustant et caroline remonte sa petite culotte – La salle de bain est là. – Non dit-elle je te garde toute l’après-midi et à demain si tu le veux. Mon regard se passe de réponse. Le lendemain toujours pendant l’absence de Mireille Caroline retire sa veste. En jupe ample légèrement au dessus du genoux avec tee-shirt à fines bretelles. Elle m’embrasse et sans attendre plus longtemps, se débarrasse et m’apparaît en porte-jarretelles noir assorti d’une culotte et d’un soutien gorge de même couleur et ses jambes gainées de bas noirs translucides se dirige dans la chambre, se couche et me dit – Viens m’enlever le reste! Ma main sur son pubis je constate au travers du tissu qu’elle est mouillée. – Tu vois mon chéri, comme je suis impatiente. Retirant sa culotte, je pose ma bouche sur son sexe recueillant la sève qui coule, elle s’assoie me regarde – J’aime ça dit-elle! C’est bon! Oh ça fait si longtemps! Oui fait glisser ta langue dans le sillon de mes lèvres. Très rapidement je me déshabille et Caroline retire son soutien George, mais je lui demande de garder le reste. Sans perdre de temps ma bouche lui fait un cunnilingus pendant qu’elle me prodigue une fellation chaude et profonde en massant mes testicules. Quand j’éjacule lui remplissant sa gorge de foutre, Caroline n’as aucun recule, avalant mes jets lui arrachant des soupirs de bonheur, masturbant de ma langue son clitoris bandé au maximum comme une petite bite, des ondes de plaisir parcourent son ventre et son corps tout entier. Après de longues minutes, elle revient près de moi et sa langue fouille ma bouche, – Merci mon amour! Mireille a de la chance dit-elle. Ma main se pose sur mon minou, elle saisit son membre et ma queue se dilate doucement dans sa main. Nous restons un long moment ainsi, encore aujourd’hui il faut nous quitter à la hâte. Tout en remettant sa culotte Caroline me dit – Aujourd’hui tu ne coulera pas dans ma culotte car tu es dans mon estomac. Mireille revient de son stage toute radieuse et le week-end nous le passâmes au lit portant seulement une nuisette, ses seins très fermes pointent fièrement vers le haut. Sa poitrine se développe comme je les aime. – Tu les aimes hein! Je crois que depuis je prend la pilule ils prennent du volume, l’autre jours maman l’a remarquer et m’as demander si je la prenais. – Et que lui as tu dis ? – Du tac au tac je lui ai demandé si elle la prenait! – Et que t’as t-elle dit ? Silence, puis. – C’est une affaire de femmes dit-elle, en rejetant sa tête en arrière m’offrant son cou pour l’embrasser, je descend l’embrassant sur ses épaules et arrive sur ses seins, sa main se pose sur mon entrejambe me caressant doucement en léchant mon lobe de l’oreille, puis sa bouche descend vers mon sexe et mes testicules gonflées à bloc, ses lèvres chaudes et humides se posent sur mon gland puis approche sa langue de mon anus, c?est divin. A mon tour ma langue effleure son clitoris elle mouille de plus en plus je sens déjà son odeur le long de sa fente, en position de 69 elle se cambre – Prends-moi ! Encule-moi! dit-elle. Elle présente sa croupe de la meilleure manière et mon sexe s?introduisit doucement sans m?arrêter dans son anus la sodomisant sans retenue. Plaçant deux doigts dans son vagin je la branle énergiquement avec le pouce en même temps. Aujourd’hui nous maîtrisant bien notre plaisir. Mireille en spasmes tourne sa tête vers moi, – Fini-toi dans ma bouche dit-elle. Me dégageant de son cul, je décharge dans sa bouche car elle apprécie sentir les jets de sperme frapper son palais. Trois mois plus tard, un dimanche que nous étions tous réunit chez les beaux parents. Mireille dit qu’elle part pendant une semaine poursuivre sa formation. Caroline dit! – Venez manger le soir avec nous, Brigitte est en internat ça fait un vide dans la maison et son père ajoute pourquoi ne resterai-tu pas coucher, la chambre de Mireille est disponible. Mireille leurs dit si ça ne vous dérange pas. Le soir quand j’arrive en sortant du bureau, Caroline me dit. – Nous souperons vers 19 h car mon mari commence demain à 5 heures du matin. Nous soupons et ensuite nous passons dans le salon, pendant que nous bavardons Caroline part préparer le lit, quand elle redescend son mari après une bise à sa femme par se coucher. Je me lève pour allez également coucher quand il me dit – Reste bavarder avec Caroline ça la changera un peu. Nous attendons un moment, puis caroline s’allonge sur le canapé. Je caresse ses seins gonflés et je m’agenouille devant son ventre. Ecartant ses jambes pour que je puisse atteindre son sexe, elle respire plus vite quand ma main glisse entre ses cuisses pour aller titiller son l’anus. J?introduis mon index dans son petit trou pendant que ma langue lèche son bouton. Elle me relève et m’attire, je pénètre sa chatte brûlante d’un seul coup et commence quelques va et vient, je dégage mon sexe luisant de mouille et je posent ses jambes sur mes épaules sous ton regard intriguée, puis pousse mon sexe devant ton anus. Caroline se redresse descend ses jambes de mes épaules et me demande ce que je veux faire ? – J’ai envie de ton petit trou ! – Je ne l’ai jamais fait dit-elle. – Tu n’as pas envie ? – Je ne sais pas! Mes doigts s’activent sur son clito dur et gonflé, j’ouvre ses jambes et lèche sa moule – Viens dit-elle en ouvrant la bouche. Elle s’agenouille sur le tapis et me suce en me regardant, j’empoigne sa tête et rythme le mouvement de sa bouche sur ma queue, j’éjacule en poussant ma bite au fond de sa gorge, après deux giclées elle recule légèrement sa bouche pour éviter d’étouffer (le même réflexe que sa fille) pensai-je. Une fois terminé nous regagnons chacun notre chambre. Le matin une odeur de café surprend mes narines je regarde le réveil il est 7 heures, je me lève vite fait Caroline sort de la salle de bain dans une ravissante petite tenue. – Bonjour tu as bien dormi ? Tu peut disposer de la salle de bain, je fini de m’habiller. Un regard, je ne suis pas en avance j’entre dans la salle de bain et prend une douche vite fait. Quand j’arrive dans la cuisine Caroline est assise buvant son café, quand elle se lève je distingue ses sous-vêtements sous sa combinette qui me fait bander.- Satisfait dit-elle en regardant ma réaction, je part finir de m’habiller, nous allons être en retard. Sur le pas de porte nous prenons chacun notre voiture et elle me lance. – En déjeune ensemble à midi? – Oui! Chez moi dit-je la gorge sèche. Le midi elle m’attend dans sa voiture. – Tu es belle, aurais tu rendez-vous avec ton amant dit-je? Elle me prend le bras et m’entraîne vers l’ascenseur. Dans le vestibule la porte refermé elle me pousse contre le mur retire sa robe m’attirant dans la chambre en m’embrassant. – A tu faim dit-elle ? – Oui de toi Elle se jette sur le lit me tend les bras s’offrant en gardant sa lingerie. Je ne bouge pas l’admirant dans cette tenue très excitante. Mon sexe durcit dans mon pantalon, j’approche elle s’assoie et me déboutonne, le pantalon tombe ainsi que le slip, je sens son souffle à la hauteur de mon sexe, mais Caroline se tourne et se cambre pour m’offrir ses fesses. J’enlève seulement sa petite culotte, sa tenue sexy m’excite ma bite est très dure. – Met-toi à genoux dit-je. Caroline ne dit rien, debout derrière elle je lèche sa raie lui provoquant des petits frissons. J’entre dans son vagin et après quelques va et viens je pose mon gland sur son anus. J’introduis le bout du gland qui rentre un peu, mais elle est tellement crispée que je n’y arrive pas, Caroline se retourne et mouille ma bite de salive, je salive son anus et elle se remet à genoux. – Guide-la toi-même dit-je. Ma bite dans sa main Caroline me guide, la cramponnant par les hanches j’entre lentement et régulièrement ma queue, des petits cris sort de sa bouche mordillant ses doigts contractant ses muscles, j’attend ma bite à moitié rentrer dans son cul la maintenant fermement par la taille. Je glisse une main entre ses cuisses et caresse son clitoris entre deux doigts, ce qui a pour effet de la décontractée. Je pousse ma pénétration, à fond lui arrachant un cri et laisse Caroline se détendre. Dans son étui chaud et très étroit je la lime en caressant son clito. Sa main cherche mes couilles qu’elle comprime, je vais et viens maintenant plus aisément dans son rectum, la faisant jouir la première. Lorsque j’éjacule dans ses intestins, elle joui encore et encore, sentant mon sperme gicler dans elle, lui arrachant des petits cris de bonheur. Bien ancré en elle, je veux sortir. – Pas tout de suite dit-elle, laisse-moi profiter de ton sexe, c’est trop bon et elle pousse ma main sur sa chatte. – Quelle sensation! Dit-elle une fois revenue de ses émotions. Sans me désaccoupler je monte sur le lit et me couche contre elle la maintenant toujours avec ma bite dans son cul. Elle est magnifique en sous-vêtements, je la caresse à travers le tissus soyeux, Caroline bien cabrée commence à jouer avec ses muscles culier, je suis en demi érection, glissant un doigt sur le renflement de sa toison j’entre dans son antre trempée. Son parfum ajouter à son musc me ravive, Caroline le sens et me dit – Remplit-moi encore mon chéri, je te sens grossir. Elle s’active du cul, reprenant mes allers et retour dans son cul je répond à son assaut elle pousse des petits cris, sa jouissance est imminente j’augmente le rythme ma queue sort presque de son fourreau, elle est tellement excitée qu’au moment de ma seconde jouissance je l’empale au plus profond de son cul libérant mon flot de sperme. Caroline pousse un long râle jouissant également. Quelques minutes plus tard, nous nous sommes levés puis lavés. Je la regarde avec ses sous vêtements, elle m’excite terriblement mais nous devons partir. Habillés je lui met une main aux fesses, Caroline se retourne collant son bas ventre au mien. – C’est sensible et j’ai le cul tout bouillant dit-elle en se plaquant contre mon ventre. Jeudi soir Caroline est assise sur le canapé les jambes croisées elle porte une petite jupe plissée et un chemisier qui laisse deviner la courbure du soutien-gorge. Je dégrafe le haut de sa jupe et descend la fermeture éclair pendant qu’elle soulève ses fesses je glisse sa jupe le long de ses jambes. Dans une belle petite culotte blanche ornée de dentelle avec des bas auto-fixant à dentelle blanche, son corps est terriblement attrayant et elle déboutonne lentement son chemisier. Un ravissant soutien-gorge blanc orné de dentelle lui donne une poitrine merveilleusement belle. Mes yeux se gave devant tant de merveilles. Mon érection en devint presque douloureuse. Caroline ! Sait quelle est belle, un sourire au coin des lèvres elle ferme les yeux et s’allonge sur le canapé. Du bout de ma langue je touche son ventre, un frisson s?étend sur tout son corps, délicatement avec mes dents je mord et tire sur les petits poils qui s?aventurent hors du slip. Elle pose sa main sur ma tête et me pousse sur son pubis, je lèche sa petite culotte en nylon qui s’humidifie et je pousse mon bout du nez sur sa fente, sa respiration se saccade. Un soupir d?impatience, Caroline retire sa culotte empoigne ma bite et l’attire dans son sexe. Je glisse en elle et elle m’enserre, alors que plusieurs vagues déferlent, elle était au bord de l’orgasme, ses violents spasmes me firent éjaculé précipitation Caroline ondule lentement m’accompagnant en me regardant suspendue à mon cou les jambes croisé autour de mes hanches avec un sourire de satisfaction sur son visage. Je me lève doucement du canapé récupère sa petite culotte et mes vêtements avant de monter me coucher. Notre liaison dura plusieurs années même après que Mireille et moi ce soit séparé.