Cette histoire c’est réellement passé et continue à ce jour. Tout a commencé l’été 2007, ma femme qui n’avait pas revu sa soeur depuis plus de 5 ans attendait depuis des mois son départ pour le bled où l’attendait pour l’occasion toute sa famille Pour le coup, elle allait emmener avec elle notre fille de 5 ans qui n’avait jamais mis les pieds au bled. Moi, je devais rester là encore trois semaines avant des les rejoindre. Cela ne m’enchantait pas de rester bosser mais je n’avait pas le choix.
Trois semaines seules, cela me paraissait une éternité. Bien sûr, j’avais répondu avec joie à l’invitation du cousin à ma femme qui me proposait de venir de temps en temps manger chez lui. Il a deux filles dont une de 18 ans, Asma, long cheveux noirs, une peau légèrement colorée, une taille de guêpe, un corps parfait avec de belles petites fesses bien ferme. J’avais depuis toujours beaucoup d’affinité avec elle, plus jeune déjà lorsqu’elle n’avait que 13 ou 14 ans elle ne manquait pas une occasion pour se coller à moi.
Les relations que j’avais avec ma cousine Asma n’en restant pour autant que platoniques. Il y avait cependant dans son regard quand il m’arrivait de la ramenais chez ses parents un quelque chose de troublant qu’on a du mal à exprimer. Enfin rien de vraiment sérieux.
Je n’avais surtout pas le courage de passer aux actes et de voir s’il pouvait y avoir plus. Que serait-il passé si cela avait mal tourné ou si ce que je croyais comme troublant n’était en fait que le fruit de mon imagination ?
Donc comme convenu, je passais deux jours après le départ de femme manger chez son cousin. Asma m’attendait comme à l’habitude tout sourire. Le soir même en rentrant chez moi elle m’appela sur mon portable pour me dire qu’elle passerait demain me ramener de quoi dîner.
Le lendemain en rentrant du boulot, je la trouvais déjà présente à l’entrée de ma porte avec une petite marmite. Je la fit rapidement entrer.
Elle portait une robe courte à mi-cuisses et un beau chemisier vert clair qui laissait transparaître légèrement des sous-vêtements noirs. Je luis proposé de la ramener chez elle, elle me répondit qu’elle avait le temps, que ces parents étaient invités chez des amis et qu’elle préférait rester avec moi encore un peu si je voulais bien.
Pendant que je rangeais ma sacoche de travaille, Asma se mit à la fenêtre. Les volets étaient quasiment fermés cela permettait de conserver un peu de fraîcheur et de ne pas faire entrer trop de lumière dans la pièce.
Elle se positionna de façon provocante, jambes légèrement écartées et dos cambré au maximum. Etait-elle consciente de la situation ou était-ce de la provocation ?.
Je n’osais pas faire la moindre remarque
Elle me demanda toujours penché à la fenêtre si j’avais des nouvelles de ma femme, je n’écoutais que d’une oreille, je ne pouvais détourner mon regard de ces superbes fesses. Quel cul elle avait !
Planté à trois mètres derrière elle, je ne pouvais détourner mes yeux de ses fesses.
Puis la conversation s’engagea sur ses difficultés à l’école.
Tout en parlant, elle tourna son visage vers moi. Consciente je suppose de l’émoi qu’elle provoquait en moi, elle me sourit. Je m’approchais d’elle et lui dis d’une voix douce que si elle ne se mettait pas à travailler sérieusement cette année, je lui infligerais une fessée qu’elle n’oublierait pas de sitôt.
Elle me lança avec sa voix claire et en penchant une nouvelle fois son visage à la fenêtre :
T’es pas cap !
Elle me n’arqua de plus belle en fessant balancer sa croupe de droite à gauche.
J’étais à ce moment là à quelques centimètre de son splendide corps comme attirait par un aimant.
Je fis une des choses les plus folles de ma vie. Ma main claqua sur ces petites fesses.
J’attendis un long moment la réaction de Asma qui n’arrivait pas.
Ces quelques secondes d’attentes n’en finissaient pas. J’étais en proie au désarroi mais au bout d’un moment, elle rangea son visage dans ses bras toujours penchés à la fenêtre et cambra de plus belle ses fesses.
Elle attendait que la fessée continue.
Je repris ma lancée et une nouvelle fois ma main claqua sur ces fesses, puis une troisième, une quatrième..
Son cul venait maintenant au devant de ma main. Pris par le jeu, je relevais de l’autre main sa robe. Elle portait un string noir. A chaque claque sur son postérieur, je laissai maintenant ma main en contact avec sa peau quelques secondes.
Au fil des minutes son cul avait pris des couleurs et je pouvais sentir une chaleur intense s’en dégager.
Elle ne disait rien, pas un mot, je fis descendre ma main gauche sur son sexe encore protégé par son string. Et je continuais pendant tout ce temps là à lui administrer machinalement sa fessée de l’autre main.
J’écartais son string de ma main gauche et fit glisser mes doigts sur son sexe tout mouillé, mes doigts glissés sans efforts sur son clito. D’une main je sévissais et de l’autre je consolais.
Maintenant, elle se lâchait, elle émettait des râles de plaisirs. Mes doigts passés de son clito à l’entrée de son vagin. Je fis entrer un doigt dans son vagin encore vierge.
Quelle salope, elle prenait littéralement son pied. Quand elle finit par jouir, elle se retourna vers moi et m’embrassa sans retenue.
Tous en l’embrassant, je continuais à la caresser de partout sans ménagement. Elle aimait se faire brusquer cela lui donnait apparemment beaucoup de plaisirs.
Je lui dis de se remettre à la fenêtre et de se pencher légèrement. Je dégrafais mon pantalon et je viens me placer avec beaucoup d’assurance derrière elle. Mon sexe était tendu à l’extrême. Je présentais mon gland à l’entrée de son vagin.
Je me demandais pendant un instant si mon gland allait pouvoir entrer tellement elle paraissait étroite.
Je mis mes mains à sa taille et poussa très fort mon sexe. J’avais du mal à y entrer malgré la mouille qui coulait de son sexe. Un soupir de plaisir et de douleur sortie de sa bouche. J’avais entré entièrement ma queue dans son vagin. Ma queue sortit légèrement rouge, m’acculée du sang de son hymen encore il y a une seconde vierge. Je pouvais la limer à présent.
Elle aimait ça à chaque coup de boutoir elle en redemandait plus.
Elle râlait de plaisir, Tout son corps était en excitation.
Elle était maintenant tout à moi. Sans un mot et en même temps que je l’embrasais ma queue plantée en elle, je finis son déshabillage.
Elle était là, entièrement nue. Je la poussais sur le canapé afin de la prendre en levrette.
Elle aimait vraiment ça, je glissais dans son vagin sans effort. Je titillais par instant son clito, mes doigts étaient tous mouillés.
J’étais sur excite et aidé par sa mouille qui collait à mes doigts, j’ai commencé à caresser l’entrée de son anus. Au moment d’y forçait un doigt, un râle profond sortit de sa bouche.
Ma bite plantée dans son vagin et un doigt dans son cul tout serré quel spectacle.
Je repris de l’autre main la fessée et l’effet ne fut pas long à attendre. Elle mordillait l’oreiller du canapé pour étouffer ses cris de plaisirs. Mon doigt dans son cul fessait à présent de petits va et vient, elle était au bord de l’orgasme.
Je sortis ma queue de son vagin béant et je dardais mon gland à l’entrée de son petit trou d’où je venais de sortir mon doigt. Ma bite était grosse comme jamais.
Trempée par son jus d’amour qui coulait le long de ses cuisses, je commençai à forcer l’entrée de son joli cul rouge. Pour accompagner sa douleur je me mis à malaxer la pointe ses jolis petits seins.
Elle ne put s’empêcher de crier quand ma queue déchira son petit cul encore vierge.
Je m’y longtemps avant de jouir dans son petit cul serré, elle eu le temps d’avoir un nouvel orgasme ravageur bien aidé pour cela d’un doigt agile posé sur son clito.
Et quand j’ai sortis ma bite de son cul. Il est resté grand ouvert pendant un long moment, mon sperme coulant lentement de son cul brisé.
Je la retournais délicatement et nous nous sommes embrassés amoureusement.
Passé l’exaltation, elle se confia à moi et me dit que cela fessait des années qu’elle était amoureuse de moi. Je compris au fil de la conversation qu’elle fantasmait sur ce moment depuis de longue date.
De mon côté, je prenais conscience qu’en plus de la rendre femme, je lui avais dévoilé son penchant pour la fessée et certainement la soumission.
Elle se blottit contre moi en me serrant très fort et me jura sans que je lui demande quoi que se soit qu’elle était prête à tous pour me garder. Je la transportais dans la salle de bain où nous avons pris la douche ensemble. Elle n’en finissait pas sous la douche de m’embrasser, de dire qu’elle m’aimait et qu’elle était prête à tous pour me faire plaisir tout en se plaignant par ailleurs que son petit cul et sa chatte lui fessait atrocement mal.
Je la raccompagnais chez ses parents et lui dis sur le chemin que si elle voulait me faire plaisir elle n’avait qu’à passer après demain car je m’arrangerais pour prendre la journée pour elle. Elle était toute joyeuse à cette idée.
Prenant mon courage à deux mains et très excité par l’idée d’avoir une femelle prête à assouvir mes phantasmes, je lui dis d’une voix ferme qu’il avait par contre une contrepartie à sa venue après demain. Elle devait venir chez moi à pieds (un bon quart d’heure de marche) et faire le chemin sans porter de culotte ni de soutient gorge, juste la jupe qu’elle portait aujourd’hui.
N’entendant que des oui et aucun refus de sa part, je forçais encore la chose en lui demandant de se raser dorénavant le sexe. Elle me dit en sortant de la voiture que je pouvais tout lui demander à présent.
Le lendemain, je passais prendre le dîner chez le cousin à ma femme qui est aussi le père de Asma. Le dîner s’est passé comme si de rien n’était mis à part que Asma me regardé avec des yeux tous sucre.
Le jour venu, elle frappa à la porte à 10h, elle était vêtue apparemment comme je l’avais souhaitais, jupe courte et petit chemisier. Elle me sauta au cou pour m’embrasser à pleine bouche. Je la gratifia d’une pelle comme on n’en voit qu’au cinéma. Ma main pris le chemin de ses cuisses et remonta lentement sur son sexe. Elle avait tenu parole pas de culotte et une chatte toute lise.
Sa langue dans ma bouche virevoltée. Mes carrasses lui fessaient de l’effet. S’en ménagement j’ai introduis un doigt dans sa chatte. La mouille coulait à flot et ses lèvres intimes étaient gonflés. Je sortis mon doigt et constatais que sa mouille avait coulait à l’intérieur de ses cuisses.
Je lui en fit la remarque :
? Je constate que tu as pris du plaisir à t’exhiber comme ça le cul nu et le sexe rasé ! ?
Pas de réponse de sa part
? Tu es une vilaine petite cochonne qui aime s’exhiber ?
Je ne lui laissai pas le temps de répondre et lui dit fermement
? Tu seras puni pour ça, mais pour l’instant, viens je fais te montrer le plaisir que va te procurer une belle petite chatte rasée ?
Je la vis s’asseoir sur le canapé et remonta au maximum sa petite jupe, j’écartais ses cuisses à l’extrême. Un baiser sur sa bouche et me voilà à embrasser sa chatte imberbe. Quel bonheur, son jus remplissait mes narines de son odeur de femelle soumise, ma langue glissé de son clito à l’entrée de son vagin. J’aspirais sa liqueur d’amour qui ruisselait de son puits étroit.
Elle jouit en moins de cinq minutes en poussant des petits cris de bonheurs.
Je me relevais et m’assis à côté d’elle le temps qu’elle reprenne sa respiration.
J’ouvris ma braguette et sorti mon sexe déjà bien tendu.
Je ne suis pas un étalon mais je suis tout de même bien monté, 20 cm pour un diamètre de 5cm, y a mieux mais aussi beaucoup plus petit.
Je lui dis que maintenant c’était à son tour et que je la guiderais dans ces premiers pas de suceuse.
Elle me regarda avec une grimace, apparemment cela ne l’enchanté pas vraiment.
Elle commença par sucer le gland avec le bout de sa langue et des petits baiser sur la verge. Elle n’osait pas la prendre en bouche. Je la forçais donc avec ma main sur sa nuque à mettre mon gland dans sa bouche. Je lui dis de faire jouer sa langue sur ma queue, d’aspirer mon gland dans sa bouche et de caresser mes couilles en même temps. Elle prenait de l’assurance et mes encouragements ont fini par lui enlever son écoeurement des premiers pas.
Avoir entre les jambes, une petite salope aussi bien foutue que Asma qui me sucé avec enthousiasme ne m’a pas permis de tenir bien longtemps. J’ai craché mon sperme dans sa bouche en maintenant sa tétée avec la main toujours posée sur sa nuque. Elle s’étouffait littéralement, elle ne devait pas s’attendre à cela.
Je lui donna l’ordre d’avaler.
? Avale ma chérie c’est pour toi ?
Elle recracha la moitié sur le sol, complètement dégoûté.
? Moi, j’ai sucé et avalé avec envie ta mouille, cela m’a pas dégoûté bien au contraire mon amour. Tout de toi me plait ? lui dis-je.
Conscient du dégoût que lui procuré mon sperme dans sa bouche, je devais la ramener à apprécier ma queue.
Elle me sourit et avala fièrement le peu qui lui resté en bouche.
? La prochaine fois j’essayerais d’avaler tout ? me dit-elle.
J’en profitais pour lui faire la remarque que cela fessait deux
? Deux quoi ? ? répondit-elle
? Tu seras puni aussi pour ça mais pour le moment, il faut te préparer ?
Je lui dis de se réajuster et de se préparer à sortir. Je l’emmenais dans une ville voisine de 100 km, là où personne ne nous connaissait. Elle voulu mettre son string qu’elle gardait rangé dans son sac, je lui interdis et nous partîmes dans la foulée.
Dans la voiture à peine avions nous faits une dizaine de kilomètre que je lui ai demandé d’ouvrir le vide poche. Elle en sortit un sac plastique. Sac que j’avais préparé activement juste avant son arrivée.
Je lui dis d’un ton très autoritaire :
? Ouvre le sac ?
Elle ouvris le sac qui contenait un tube de Nivéa et une carotte épluchée et découpée de façon à imiter la forme d’un god d’une dizaine de centimètre avec une basse de 5 centimètres.
? Ta première punition. Une petite queue à te mettre dans ton cul pour que ton joli cul s’habitue à être dilaté ?
Elle rougit et ne dit rien. Voyant qu’elle ne bougeait pas. Je lui répétai et lui donné une serviette pour qu’elle ne salisse pas son siége. Je lui soulevais sa jupe, ouvris d’une main la crème Nivéa et lui étala de la pommade sur et dans son anus.
? Vas-y maintenant met toi la dans ton cul ?. Elle s’exécuta avec peine mais fis entrer tout de même la carotte dans son cul serré.
Une main sur le volant et une autre sur sa chatte, je continuais ma route. Arrivé à destination, je l’autorisais à enlever l’objet coincé dans son cul. En sortant de la voiture sa démarche paraissait plus chaloupé qu’a l’habitude.
Je lui pris la main et nous nous dirigeâmes vers les magasins d’habits de la ville.
Entrée dans le premier magasin qu’on trouva, je lui choisis des habits très sexy à essayer. Elle se mit dans une cabine d’essayage et commença un long essayage. On recommença l’essayage dans deux autres magasins jusqu’à ce que je sois satisfait de sa tenue. Je lui acheta un l’ensemble qui mettait en valeur corps.
J’avais remarqué qu’elle était très excitée de se faire trimballer d’un magasin à l’autre le cul à l’air et la chatte rasée. A chaque essayage, je lui rappelais que c’était une belle cochonne bien vicieuse que je promenais.
Je l’emmenais devant une cabine de toilette publique et lui dis :
? Maintenant tu vas entrer dans la cabine et mettre ce que je t’ai acheté ma belle ?
Elle m’embrassa avec passion et entra dans la cabine de toilette publique.
Au bout de cinq bonnes minutes, elle en ressortit. La petite beurette toute douce et obéissante c’était transformé en pute de luxe.
Des talons à aiguille, une jupe courte en lin blanc qui tranché avec sa peau bronzée, un chemisier blanc ouvert largement devant et derrière.
Elle s’approcha de moi en m’embrassa à nouveau et me demanda si je lui plaisais ainsi.
Je lui dis à l’oreille que sa chatte et son cul aller la faire souffrir tout à l’heure.
Je la guidais dans un Théroom, du centre ville sous l’oeil réjoui des passants. On s’essaya au fond de la pièce principale l’un en face de l’autre. Elle me demanda si elle pouvait aller aux toilettes.
Certainement pas pour ce repoudrer le nez mais plutôt pour s’essuyer le sexe qui je l’avais remarqué au fil des essayages coulait de mouille.
Elle se rassit en face de moi, toute fière apparemment de son nouvel accoutrement de salope. Un homme d’une soixantaine d’année s’installa à une table prés de la notre. De l’endroit où il se trouvait, il avait ma Asma en face. J’avais vu qu’il avait lorgné sur elle en rentrant et je suppose que le choix de sa table n’était pas le fruit du hasard.
Je pris mon téléphone et envoya à ma Asma un flot d’ordre par SMS
? Ecarte tes cuisses bien grand ?
Elle s’exécuta sans broncher
? Relève légèrement ta jupe ?
? Plus haut ?
? beaucoup plus haut ?
? Ouvre encore plus ton chemisier ?
Elle obéissait sans se poser de question. Pourtant elle avait bien remarqué notre voisin qui ne la quittée pas des yeux. Ses nouveaux habits fessaient d’elle une super salope avec lesquels elle pouvait tout s’autoriser.
Biensur personne ne la connaissait ici mais avant tout ce qui la poussait à suivre mes ordres c’était la réalisation de son fantasme me confia-t-elle plus tard.
Mon dernier SMS lui demanda de se caresser la chatte et de ne s’arrêter que lorsque je lui en donnerais l’ordre.
Notre voisin avait les yeux qui sortaient de ces orbites, je pouvais l’entre apercevoir par les petits miroirs posés au mur. Je me suis levais en rappelant à Asma de ne pas s’arrêter et je me suis assis en face de notre voisin de table. Il paraissait surpris et n’osa plus regarder ma belle. Je me mis à parler assez fort pour que Asma entende
? Belle salope, n’est-ce pas ? Ma femme a le cul en chaleur et cherche des bites à mettre en bouche. Cela vous intéresse peut-être ? ?
Un silence s’installa.
? Oui ? répondit timidement mon interlocuteur.
Je renchéris en vantant ces qualités de suceuse insatiable.
Mon interlocuteur qui ne voulait pas passer à côté de cette opportunité se précipita sur l’offre et nous invita à le rejoindre chez lui où il vivait seul.
Nous nous sommes levés ensemble sans porter un regard à Asma qui nous suivi docilement en ayant pris soin avant de se rajuster. Il habitait un bel appartement au deuxième étage d’un petit immeuble du centre ville. En entrant, il nous dit de nous mettre à l’aise. Je m’assit dans un canapé confortable. Asma voulu s’asseoir à mes cotés, je lui dis de se remettre debout et de se déshabiller. Une fois nue, je demandais à notre nouvel ami de me dire comment il trouvait ma salope.
Asma baissait les yeux. Je la fit se cambrer et je la forçais à écarter ses jambes.
Je mis deux doigts dans son anus et deux autres dans chatte inondée.
? Elle aime ça ma petite pute, vous voyez ?
Assayez- vous sur le canapé dis-je à notre ami, ce qu’il fit rapidement
Je fis mettre ma salope à quatre pattes et lui intima l’ordre de sortir la queue de monsieur et de commencer à le sucer.
Elle ouvrit avec maladresse son pantalon aidé par le vieux monsieur et hésita un moment avant de commencer sa succion.
Je dégrafais moi aussi mon pantalon et me positionna derrière elle. Ma première claque sur ces fesses raisonna fort dans l’appartement. Elle ne parasait pas surprise, à partir de la quatrième claque son cul était bien plus cambré et semblé venir au devant de ma main. Ce petit jeu continua 10 minutes alternant caresses et fessées. Surexcité par la situation, j’interrompis la séance et mis mon gland à l’entrée de son anus que je força sans aucun ménagement.
Je la pistonnais sans retenue la traitant de tous les noms.
Le god improvisé qu’elle avait gardé pendant une petite heure dans la voiture lui avait dilaté convenablement son anus.
Sa bouche ne quittait pas la verge de notre ami malgré les soubresauts que lui imposé ma cavalcade effrénée.
Je dis à notre ami qui avait sa queue dans la bouche d’Asma qu’elle allait avaler tout son sperme, c’était là sa deuxième punition de la journée.
Il déversa sa semence qu’elle avala sans en perdre une goutte avant de sortir sa queue ramollie de sa bouche.
Je la pris ensuite dans son vagin d’où giclait littéralement sa mouille sous le regard lubrique de notre ami. Je finis par la faire jouir sous les coups de boutoir de ma queue. Me sentant jouir moi aussi, je sortis ma queue de son vagin et alla la planter dans sa bouche qu’elle avala avec plus de peine, sentant certainement le goût de sa mouille mélangé à celui de son cul. Deux trois va vient et je finis par jouir dans sa bouche. Elle n’en perdit pas une goutte sous le regard approbateur de notre complice.
Je lui dis d’aller se rhabiller et de mettre ses vêtements de ce matin. Nous quittâmes notre nouvel ami, ravi de cette rencontre et prés à ces dires à recommencer.
Nous prîmes la route immédiatement.
Asma pris une douche à la maison avant que je la dépose près de chez elle.
La nuit nous conversâmes par SMS. Elle m’avoua n’avoir jamais autant joui qu’aujourd’hui.
Elle m’avoua aussi que dans ses rêves érotiques d’adolescente, j’étais sans cesse présent.
Dans ses rêveries, je la fouettais tout en la caressant et qu’ensuite je l’inondais de sperme son corps.
Elle reconnus sans honte avoir pris du plaisir à être exhibé et à être un objet sexuel.
Elle m’écrivis comme un serment qu’elle me laisserait continuer à lui inculquer les choses du sexe tant que je le jugerais nécessaire et qu’elle me donnait tout droit sur son corps et son coeur.
Je lui proposais que la prochaine fois je l’emmène à l’hôtel et que je l’attache nue avec un bandeau sur les yeux avant de lui faire l’amour. Mon idée première étant de filmer et de photographier nos ébats et ensuite de l’exhiber sur le net.
Ceci ne c’est pas exactement passé ainsi car d’autres éléments ont très largement pimenté la chose.