Les deux récits qui vont suivre ont été écrits à la suite de contacts répétés que j’ai eus sur un site coquin avec la protagoniste des faits. Je lui laisse la parole…
Septembre 2012.
Chers amis et chères amies.
Grâce à un ami qui écrit des nouvelles érotiques, je vais vous confier comment deux de mes fantasmes se sont transformés en une réalité bien chaude.
Le premier fantasme me hantait depuis quelques mois et il revenait sans cesse dans mes rêves. Au cours du début de l’été (2010), il s’est transformé en une belle partie de jambes en l’air. J’en garde un souvenir ému : trois jeunes hommes rien que pour moi !
Mais d’abord, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, laissez-moi me présenter. Je me prénomme Vanessa, je viens de sauter le cap de la trentaine. Je suis une grande et belle jeune femme (aux dires de ceux qui ont eu le privilège de me conquérir), blonde aux yeux verts, j’ai de longs cheveux blonds qui descendent jusqu’au milieu du dos. Ma peau blanche avec des éphélides est souvent bien bronzée car j’aime le soleil et la mer.
J’ai d’ailleurs fait un long voyage jusqu’en Australie et retour à bord d’un grand voilier et je ne vous dis pas comment tout mon corps était halé lorsque j’ai débarqué au retour… une couleur de miel ou de pain dépice.
Je suis très fière de ma silhouette avec de beaux seins en forme de pomme, bien ronds et opulents. Je fais un bon 85. C qui remplit bien mes soutifs. Ma taille étroite s’évase sur des hanches pleines et des fesses bien galbées. J’ai même deux fossettes au creux de mes reins…
Si aux yeux de mon entourage, je passe pour une timide, je suis quelque peu exhibitionniste : j’aime vivre nue et attiser le regard des hommes, quelles que soient les circonstances. J’aime danser en discothèque dans des tenues somme toute assez sages mais c’est ma silhouette et mes déhanchements qui me font remarquer. En club je n’hésite pas à me trémousser le long de la barre de pole dance et bien d’autres choses…
C’est aussi une des raisons qui m’ont poussé à une époque à m’inscrire sur un site érotique où je m’exhibe dans des petites prestations bien chaudes au gré des clients qui viennent me voir par webcam interposée. J’y prends beaucoup de plaisir et je suis devenue une accro aux jouets érotiques comme les boules Geisha, les chapelets Thaï, les godemichés simples ou doubles, les Plugs et autres vibromasseurs.
J’avais découvert la masturbation au cours de mon adolescence. La première fois, j’étais sous la douche, le corps enduit de mousse odorante, je me suis rendu compte qu’en passant mes mains sur la pointe de mes seins, le bourgeon s’érigeait et j’avais une sensation de chaleur dans le bas du ventre. Le corps s’éveille ! J’ai cru naïvement que c’était ma sexualité qui naissait.
Le lendemain, c’était samedi : pas de lycée ! Je flemmardais dans mon lit quand j’ai eu envie de caresser mes seins comme la veille sous la douche, juste pour voir ! A peine les paumes de mes mains posées sur mes pommes d’amour que les tétons s’érigeaient et je ressentais cette même boule chaude au niveau de mon pubis.
J’ai conservé une main à hauteur de ma poitrine pendant que je laissais l’autre descendre le long de mon ventre et se poser sur ma vulve légèrement poilue. Surprise ! J’étais tout humide entre mes lèvres intimes si bien qu’instinctivement deux doigts sont allés débusquer mon clitoris dans son capuchon.
Là, je ne vous dis pas quelles sensations j’ai eues lorsque j’ai introduit deux doigts dans l’ouverture de ma chatte ! C’était tout gluant et chaud. J’ai fait aller et venir mes doigts dans ma vulve jusqu’à ce que je me heurte à mon hymen.
Je n’ai pas forcé mais j’ai continué à me caresser jusqu’à ce que la jouissance déferle en moi pour la première fois. Peu à peu, j’ai pris l’habitude de me caresser tous les samedis matin avant de me lever et au fur et à mesure, je devenais de plus en plus experte mais avide de ces masturbations matinales qui me mettaient en forme et de bonne humeur pour tout le week-end.
Les mois ont passé et au cours des vacances estivales, j’ai rencontré un groupe de jeunes Parisiens, garçons et filles un peu plus âgés que moi. J’étais une habituée du club de voile aussi ai-je aidé le moniteur à les initier à la navigation côtière sur des petits dériveurs légers.
Quelle chance j’ai eue, tous étaient en couple de copains et après les séances sur l’eau, ça flirtait un peu dans tous les coins, un seul garçon se trouvait sans petite amie : elle s’était désistée au dernier moment !
J’ai tout fait pour attirer l’attention de Serge. Pour lui à 20 ans passés, je n’étais qu’une gamine de 18 ans à la silhouette certes agréable à regarder, mais une gamine qu’on ne touche pas…
Mes manigances ont fini par porter leurs fruits ! Le second soir, tout le groupe s’est retrouvé à la discothèque aménagée sur la plage. Bien sûr, j’étais de la sortie.
Ce soir-là j’ai perdu mon pucelage. Serge a été doux et si la première fois la légère douleur a pris le pas sur mon plaisir, les autres soirs, quel bonheur de sentir la jouissance m’envahir et me laisser pantelante entre les bras de mon amour d’été. Mais ce n’était qu’un amour d’été !
A 18 ans passés, j’étais désormais une femme à part entière ! J’avais repris mes habitudes de masturbation matinale et de temps à autre, je me laissais culbuter dans un coin sombre ou dans une chambre accueillante par un garçon avec qui j’avais flirté au cours de la soirée.
Je dois ajouter que grâce à la complicité d’une copine plus âgée, j’avais fait l’acquisition de plusieurs étuis de préservatifs et de quelques jouets sexuels bien planqués dans le fond de l’armoire de ma chambre. Il n’était pas question que ma mère les découvre !
J’avais pris goût à ces séances matinales et aux parties de jambes en l’air !
J’attendais avec impatience les mois d’été car je savais par avance que je n’aurais que l’embarras du choix pour trouver des amants de passage. J’avais toujours avec moi un étui de préservatifs bien garni qui me permettait d’échapper à toute transmission inopportune et grâce à la complicité (bienveillante ? ne m’avait-il pas pelotée plus que de mesure en m’examinant ?) du médecin de famille, je prenais la pilule en plus.
L’automne de mes 20 ans, ma meilleure copine m’a invitée au mariage de sa sur aînée. Nous devions lui servir de filles d’honneur pour le cortège. J’avais comme cavalier Kevin, un homme d’une trentaine d’années, beau comme un dieu grec, des cheveux ondulés blonds une peu longs, un teint hâlé éclairé par des yeux d’un bleu profond.
Quand il me regardait, j’avais l’impression de fondre. Nous avons dansé toute la soirée en bavardant sur un ton léger et badin.
En fait, il me faisait la cour !
Quand nous sommes sortis dans le parc du château où avait lieu le banquet, j’ai tout naturellement glissé mon bras sous le sien pour sentir au plus près sa présence virile et marcher de longues minutes au clair de lune. Il m’a pris dans ses bras pour m’embrasser, sa langue a immédiatement cherché la mienne et je me suis collée contre lui, offerte, pantelante, prête à céder à toutes ses exigences.
Ma robe bustier a bien facilité les choses. Mes seins sont sortis comme par enchantement du décolleté et Kevin a commencé à sucer mes tétons. Immédiatement, j’ai commencé à mouiller abondamment si bien qu’en moins de deux minutes mon string était trempé ! Nous savions ce qui allait se passer : nous allions baiser au clair de lune ! Le pied total !
Quand nous avons été bien chauds, Kevin m’a fait placer en appui le long d’un tronc d’arbre, il a remonté ma robe longue jusque sur mes reins et fait glisser mon string qu’il a empoché en disant dans un sourire amusé que ce serait un souvenir.
Il a fait coulisser le zip de son pantalon et s’est aussitôt collé contre mes fesses pour me faire sentir l’érection de son membre. C’est vrai, je m’en souviens comme si c’était hier, il bandait comme un cerf en rut. Il a écarté mes fesses et s’est introduit lentement en moi. Je ne sais pas à quel moment il s’était couvert ! J’étais tellement partie que je ne me suis rendu compte de rien.
En fait, dès que je l’ai senti à l’orée de ma chatte, c’est moi qui me suis embrochée sur sa queue jusqu’à ce que mes fesses soient en contact avec son ventre…
J’étais tellement excitée que je n’ai pas pu retenir ma jouissance très longtemps. Kevin était toujours en moi qui récupérais de mon orgasme. Puis il est sorti ! Déception… Je n’en avais pas eu assez… J’ai pensé que nous allions changer de position ! Mais non, ce coquin en voulait à mon autre pucelage : jai senti la pointe de sa bite contre mon anneau plissé qui s’est ouvert comme par enchantement face à cette intrusion. Quand j’ai été habituée à cette présence, je lui ai soufflé :
— Va doucement, c’est la première fois !
Il a commencé à me sodomiser lentement à longs traits, veillant à rester engagé dans mon petit trou puis il a accéléré ses mouvements, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je n’aurais jamais cru que c’était si bon de prendre une bite dans son cul ! Au moment où je jouissais pour la seconde fois, Kevin s’est lâché. J’ai senti son sexe prendre encore un peu de volume et cracher de longs jets de sperme qui sont venus s’écraser au fond de la capote.
Quelque temps après nous avons regagné discrètement la salle du banquet et nous nous sommes séparés au petit matin. Depuis cette nuit-là, quand un de mes amants veut me prendre par la porte de service, je ne dis jamais non tant cette prise de possession de mon corps me fait fantasmer par avance.
Aussi agréable soit-il, ce job d’animatrice érotique n’est pas une fin en soi ! C’est l’occasion de me divertir et un prétexte pour me caresser comme le souhaitent les clients. Après des études d’architecte d’intérieur à Paris, je viens enfin de m’établir comme autoentrepreneur avec un associé avec lequel je travaille le matin et le soir. Généralement après 18 heures je vois nos clients chez eux car là, je suis à même de bien appréhender ce qu’ils souhaitent en matière de décoration.
Mais venons-en à cet après-midi et à la réalisation de ce fantasme !
Sous le soleil de la Méditerranée, il est coutumier de faire une sieste en début d’après-midi et je n’échappe pas à la règle d’autant que je vis aussi beaucoup la nuit. Il n’est pas rare que je me couche vers deux heures du matin ou plus encore.
C’est justement au cours de ces siestes que depuis plusieurs semaines, des rêves récurrents viennent me troubler au point que, de plus en plus, le virtuel me hante au point d’avoir envie qu’il se transforme en réalité.
Depuis qu’il fait à nouveau très chaud sous le soleil du Midi, j’ai repris l’habitude de cette petite sieste réparatrice qui dure généralement une bonne heure. A l’ombre d’un parasol ou des frondaisons des arbres selon le lieu où je me trouve, je m’endors facilement sur la chaise longue bercée par le chant des cigales.
C’est là que mes rêves surviennent, jamais la nuit (ou alors je ne m’en rappelle pas).
Au début, je me souvenais m’être masturbée d’une main alors que l’autre caressait mes seins nus. Plus tard, je me faisais plaisir avec un beau godemichet que je voyais en détail, ressemblant à ceux que je possède… Lorsque le rêve devenait trop fort où que l’heure de repos était passée, je me réveillais avec la sensation que je n’avais pas rêvé, persuadée au bout de quelque temps qu’un inconnu avait versé un quelconque soporifique dans ma boisson et avait profité de mon inconscience pour abuser de moi !
En fait mes rêves étaient tellement forts et prenants que je me retrouvais au réveil avec mes tétons dressés et sensibles et ma chatte humide comme si un sexe l’avait visitée. Avec le temps, je ne m’étonnais plus. Au contraire je savourais cette délicieuse sensation qui mettait mon corps en émoi.
Mais quelques jours, le rêve est devenu réalité.
Comme d’habitude, j’étais allongée sur un transat à l’ombre des grands arbres de la villa où j’habite pour l’instant. Je dormais à moitié nue, simplement vêtue d’un maillot de bain deux-pièces des plus réduit avec des motifs colorés. Soudain, un bruit sur le gravier et la sensation d’être observée m’ont tiré de mon demi-sommeil.
Quand j’ai repris pied dans la réalité, je me suis aperçue que j’avais la main droite glissée dans la culotte du maillot mais la surprise a été de découvrir trois jeunes gens qui, à quelques mètres de moi, m’observaient avec envie. Un rapide coup d’il au niveau de leur short m’a immédiatement fait penser qu’ils devaient me mater depuis un moment car je distinguais une belle bandaison cachée par le tissu :
— Approchez ! Je ne vais pas vous manger ! Profitez de la vue !
S’ils étaient excités du spectacle inconscient que je leur avais offert, j’étais tout aussi émoustillée en pensant qu’ils devaient s’être régalés de me regarder.
Ils se sont approchés. Ils ne devaient pas avoir beaucoup plus de 20 ans mais ils n’avaient pas froid aux yeux car dès qu’ils ont été près de moi, il y en a un qui a fait glisser sa main entre mes cuisses jusqu’à mon sexe humide pendant que les deux autres me relevaient et faisaient sauter l’agrafe de mon soutif :
— OK les gars ! Je vois ce que vous voulez ! Baissez vos shorts que je vois quels beaux trésors vous cachez !
En moins d’une minute, j’avais sous les yeux trois jeunes bites bien bandées, dressées comme des épieux devant leur pubis, trois belles bites de taille normale avec les glands dégagés de tout prépuce comme je les aime. J’adore m’attaquer directement au champignon quand je suce une queue.
Les deux garçons qui m’avaient dépouillée de mon soutif’ continuaient de s’intéresser à ma poitrine en faisant rouler les tétons dardés entre leurs doigts et le troisième commençait à me manger la chatte après avoir retiré ma culotte. Waouh ! Ça démarrait fort ! J’avais sous les yeux les sexes des deux garçons et je n’ai eu qu’à tendre les mains pour les saisir.
Coquine jusqu’au bout, j’en ai guidé un jusqu’à ma bouche pour le sucer et de la main droite, je branlais l’autre et inversement…
Je ne voulais pas qu’ils déchargent leur plaisir ailleurs que dans ma chatte aussi, j’ai arrêté de sucer et de branler pour prendre dans mon fourre-tout les préservatifs dont je suis toujours approvisionnée ! On ne sait jamais ! Ça peut servir et là… ça allait servir !
J’étais prête car celui qui m’avait fait un cunni’ avait su y faire, j’avais la chatte déjà bien inondée mais je n’avais pas atteint le stade de la jouissance. J’ai relevé à moitié le dossier du transat et j’ai posé mes pieds de part et d’autre du repose jambes. Ainsi, j’étais installée confortablement, les cuisses entrouvertes, prête à me livrer aux assauts conjugués de ces trois jeunes gens.
Un de ceux que j’avais sucés s’est couvert le premier. Il s’est placé entre mes cuisses, d’une main il a mis son bout à l’orée de ma chatte et d’un seul mouvement, il m’a embrochée, faisant claquer ses couilles contre mon périnée. Ce coquin s’est aussitôt arrêté au fond de vulve :
— Oh ma belle, t’es trop bonne… je vais t’aimer comme une belle femme doit l’être !
En disant cela, il a commencé des va-et-vient amples, sortant à chaque fois pour mieux entrer à nouveau jusqu’au fond de ma chatte : jeune mais bon amant !
Pendant ce temps-là, je suçais celui qui avait préparé ma chatte (d’ailleurs elle est toujours prête). Il avait enjambé mon buste et je pouvais ainsi masser ses couilles qui étaient bien dures. J’avais repris la masturbation du troisième de façon à entretenir le feu… Chose surprenante, j’ai joui au moment où celui qui me baisait s’est lâché dans la capote. C’est rare lors d’une première fois de jouir en même temps, il y a toujours un décalage. Il s’est retiré, a ôté le préservatif et s’est essuyé la bite avec ma culotte.
Celui que je suçais s’est retiré de ma bouche, a pris un matelas de plage et s’est allongé dessus, la queue dressée comme un mat vers le ciel en disant :
— Allez, ma belle puisque tu as envie de baiser, c’est toi qui vas travailler.
Je l’ai enjambé et je me suis accroupie pour introduire sa bite dans ma chatte. Je lui faisais face en amazone. Je faisais des mouvements de haut en bas pour faire coulisser sa queue dans ma gaine humide et chaude. Quand elle était bien au fond, je travaillais le bout de mes muscles intimes avant de remonter en veillant à ne pas le faire sortir. Je me servais de lui comme si j’utilisais un gode à ventouse. Il ne restait pas inactif, bien au contraire. D’une main il triturait alternativement mes tétons qui étaient bandés sous l’effet de l’excitation et de l’autre il caressait mon pubis ou jouait avec le bijou qui orne mon nombril.
Les deux autres garçons étaient légèrement sur le côté et faisaient des commentaires sur mon anatomie, sur mes seins volumineux, sur ma taille étroite et mes hanches et mes fesses bien galbées :
— T’as vu cette meuf… les seins qu’elle a !
— Et ce cul qui s’ouvre à chaque fois qu’elle s’empale sur la bite !
C’était assez graveleux mais cela correspondait bien à l’ambiance de cette partie de jambes en l’air. Puis ils se sont rapprochés. Celui qui ne m’avait pas encore baisée m’a caressé le dos, faisant courir sa main le long de ma colonne vertébrale pour aller fouiner dans ma raie, prenant mes fesses à pleines mains pour les masser et ouvrir encore plus ma raie où je sentais mon anneau plissé palpiter d’envie. Celui qui m’avait prise en premier a enjambé le torse de son copain pour revenir se faire sucer. Je retrouvais sur sa queue le goût de son sperme et l’odeur de foutre qui emplissait mes narines. Soudain celui qui était derrière moi s’est écrié en appuyant une main entre mes épaules :
— Couche-toi sur mon copain, ton cul me fait trop envie ! Je vais me le faire !
Je me suis empressée d’obéir à cette injonction, comme dans mon rêve, j’allais avoir une bite dans chacun de mes trous ! Il a fait entrer un doigt, puis deux dans mon fondement pour ouvrir le passage et finalement c’est sa queue qui est entrée. Je me voyais mal protester car j’accepte rarement la sodomie sans y être préparée davance. En moi-même je pensais, finalement et heureusement pour moi, c’est celui qui a la bite courte et trapue comme je les aime dans mon p’tit trou qui me sodomise ! Je vais la sentir passer mais qu’est-ce que je vais jouir !
Ils ont coordonné leurs mouvements, quand l’un entrait au fond, l’autre sortait en partie. C’était si bon et si bien fait que je me suis mise à penser que ces deux-là devaient être des adeptes de la double pénétration. Pendant ce temps, je suçais toujours le troisième larron dont le sexe avait retrouvé toute sa splendeur entre mes lèvres. Waouh ! C’était vraiment chaud. Je sentais ma jouissance monter dans mon ventre et les signes avant-coureurs du plaisir fuser le long de mon dos :
— Allez-y mes cochons ! Baisez-moi bien à fond ! Profitez, ce n’est pas tous les jours où vous trouverez une nana dans d’aussi bonnes dispositions !
Et là, ça a été le déferlement ! Celui qui était dans ma chatte s’est mis à jouir ce qui a déclenché mon orgasme et la jouissance de celui qui me sodomisait. Je sentais les giclées de sperme s’écraser au fond des préservatifs et, quand celui que je suçais s’est dégagé de ma bouche pour gicler sur mes seins, c’est ma fontaine qui s’est déclenchée ! L’un d’eux s’est écrié :
— Quelle salope ! En plus de te faire sauter de belle manière, tu nous inondes !
— Eh oui ! C’est le témoignage que vous m’avez bien fait jouir !
Et celui qui m’avait sodomisée d’ajouter :
— J’aurais bien voulu cracher tout au fond de tes boyaux, tu aurais vu comme je suis généreux !
Ils se sont rhabillés et m’ont quittée rapidement. Je ne sais pas ce qu’ils étaient venus faire dans le parc ni même comment ils y étaient entrés. Mais moi, je savais que ces trois lascars m’avaient permis d’assouvir ce fantasme qui hantait mes siestes depuis le début de l’été.
Mars 2013.
Mon voisin ou mon second fantasme.
Je reprends ici, le récit de mon second fantasme qui me hantait depuis plusieurs semaines.
Ce second est plus récent et il vient tout juste de se réaliser la semaine passée…
Là, il ne s’agit plus de m’offrir une partie coquine lors d’une sieste. Ce n’est plus possible car j’ai déménagé depuis le début de l’année 2013 et désormais, j’habite dans un grand appartement au dernier étage d’un immeuble récent des hauteurs de Cannes dans le quartier du Prado. C’est merveilleux car la grande terrasse face à la mer que j’aperçois au loin, me permettra quand les beaux jours seront revenus, de me livrer facilement aux rayons du soleil pour faire dorer mon corps de blonde…
Depuis que j’habite cet immeuble, j’ai croisé à plusieurs reprises un homme, grand, brun, aux cheveux courts et ondulés, avec des yeux d’un noir profond et une carrure d’athlète aux épaules larges et à la taille étroite. Souvent la nuit, je rêve qu’il me prend dans ses bras lorsque nous sommes dans l’ascenseur et m’embrasse amoureusement.
Hélas, rien ne se passe… il semble ignorer la belle jeune femme qui se pâme discrètement alors que nous sommes seuls dans cette cabine.
Ce serait en été, j’aurais plus facile à le tenter… quelque petite robe moulante, des hauts un tant soit peu décolletés qui offriraient mes seins à sa vue, ce serait plus facile ! Hélas, l’hiver est là, et ce n’est pas une saison très propice pour s’habiller ainsi, même si j’habite sur la Côte. Je désespère chaque fois que nous arrivons à notre étage commun ! Va-t-il tenter une approche ?
NON ! NON ! NON !
Chaque fois, c’est Bonsoir ! et il se tourne pour ouvrir sa porte et entrer rapidement chez lui.
Mais là, ce samedi, la chance tourne en ma faveur. Je vais vous expliquer comment cela s’est passé mais avant, laissez-moi vous décrire un peu mon nouveau chez moi !!!
J’ai acheté cet appartement à la fin de l’an passé et vous vous doutez bien que je l’ai arrangé à mon goût. Pour moi qui vis seule (enfin la plupart du temps !), il est bien assez spacieux. Outre les deux chambres séparées par la salle de bain, un petit hall d’entrée, la pièce principale traverse tout l’immeuble. La fenêtre qui donne au nord éclaire la cuisine à l’américaine avec un bar qui me permet de bavarder avec des amis lorsque je finis de préparer un repas rapide. Ensuite, j’ai la partie salle à manger avec une grande table de monastère en bois ciré et les sièges qui vont avec. Face à la baie vitrée qui donne sur terrasse vers le sud, j’ai installé un immense canapé d’angle recouvert de cuir ivoire parsemé de nombreux coussins colorés et une table basse avec un dessus en verre et un piétement métallique. Dans un angle trône un piano laqué de blanc. Tout est à la fois sobre et fonctionnel. Mais depuis ces deux derniers mois, je n’ai pas encore tout à fait terminé mes aménagements. J’ai encore quelques cartons de livres et de bibelots à ranger ou à disposer çà et là !
La veille au soir, j’étais passée dans le magasin où j’avais acheté mes meubles au moment de l’emménagement et j’avais trouvé deux bibliothèques pour terminer ce que je voulais faire. Hélas, la livraison ne pouvait s’effectuer qu’au début de la semaine suivante et tout mon week-end était libre… Comment ne pas gaspiller mon temps si précieux entre mon job, mes cours de musique et mes activités coquines ?
Qu’à cela ne tienne ! Ce samedi en début d’après-midi, je retourne à la Bocca et je charge tant bien que mal les cartons (les meubles ne sont pas assemblés) dans ma voiture et je retourne à mon immeuble, un peu inconsciente de ce qui m’attend. Combien de voyages vais-je devoir faire avec l’ascenseur depuis le garage souterrain pour monter ces quatre cartons lourds et encombrants jusqu’au sixième étage ?
Un premier voyage me permet de monter les deux cartons les moins lourds mais aussi de changer de tenue pour mettre des vêtements plus appropriés… En fait, je garde le collant noir et épais que je porte depuis le matin, je change ma jupe un peu longue pour une jupe en jean qui m’arrive à mi-cuisse et j’enfile un haut, noir également, largement échancré qui découvre mes épaules barrées par les bretelles de mon soutien-gorge. Ainsi je serai plus à l’aise.
Au moment où je range dans l’ascenseur les deux cartons restants, je vois arriver mon voisin avec sa voiture. J’attends qu’il se gare et il me rejoint dans la cabine où pour la première fois nous échangeons quelques mots :
— Ils ont l’air bien lourds ces cartons ! Voulez-vous de l’aide pour les porter dans votre appartement ?
— Oh oui ! Ce n’est pas de refus ! Le premier voyage a déjà été bien difficile.
— OK ! ça marche !
Lorsque les quatre cartons sont enfin empilés dans ma salle à manger, je lui offre de prendre un café avec moi pour le remercier.
Il a 38 ans et s’appelle Ludovic. Il est seul en ce moment car sa copine l’a quitté à la fin de l’été. Alors en passant au tutoiement, Il me demande :
— Et toi ? Tu as quelqu’un ? Un copain ? Un ami ?
— Non ! Pas en ce moment ! J’ai trop de travail ! Mais pourquoi cette question ?
— Eh bien, ne t’offusque pas, plusieurs fois je t’ai entendu jouir ! Les cloisons sont assez minces ! Tu avais l’air de bien prendre ton pied !
— Non tu as tort ! Je suis seule ! Il n’y a pas d’homme dans ma vie ni de femme d’ailleurs !
Je ne m’offusque pas de ce passage au tutoiement, nous avons sensiblement le même âge, alors pourquoi pas ?
A voir son air ahuri, je vois qu’il ne comprend pas !
Alors je décide de tout lui expliquer, de lui dire comment je fais des coquineries devant une caméra vidéo sur un site érotique et afin de lui montrer ce que je vois à l’écran et quelles sont les demandes de mes clients voyeurs, nous passons dans la chambre où se trouve le matériel dont je dispose pour ces séances.
Ludovic a l’air particulièrement intéressé :
— Alors c’est comme ça ? Quand un homme sait te guider, tu vas jusqu’à jouir sous ses yeux ?
— Oui, d’ailleurs la plupart du temps, c’est ce qui se passe quand je suis bien excitée et échauffée par les propos qu’il m’a tenus auparavant… ou l’ambiance coquine des échanges avec les autres lors d’un t’chat.
En disant cela, je jette un coup d’il en coin et je constate que Ludovic tente vainement de cacher qu’il bande. Je vois distinctement la bosse de son sexe qui déforme le devant de son pantalon et je ne peux m’empêcher de tendre la main en disant :
— Dis donc coquin, ça te fait de l’effet ! Savoir que je m’envoie en l’air derrière ta cloison !
— Oh oui ! T’entendre, ça m’a déjà fait bander plus d’une fois en imaginant que je te baisais !
Et là, enfin, il s’approche encore plus de moi et m’embrasse à pleine bouche dans un baiser violent où nos langues se mêlent alors que Ludovic me presse contre lui dans ses bras puissants. J’ai très envie de lui et par un savant mouvement de mes hanches, je continue de le chauffer en faisant rouler sa bite entre nous deux : j’ai envie qu’il me prenne comme s’il me violait… Tout en puissance !
En moins de temps qu’il faut pour l’écrire, nous sommes entièrement nus. J’avais raison de flasher sur mon voisin ! Il possède un corps d’athlète aux muscles finement dessinés mais on voit bien ses pectoraux et abdominaux. Quel bel homme ! Il est si brun de peau que je fais un contraste saisissant avec ma peau de blonde plutôt pâle en cette saison hivernale :
— Oh oui ! Viens ! Fais-moi l’amour ! Il y a trop longtemps que je n’ai pas goûté une belle queue comme la tienne ! Les godes ou les doigts, c’est bien beau, mais une bite bien raide, c’est nettement mieux !
C’est vrai que Ludovic a une bite tout à fait remarquable : longue et relativement mince avec le gland rond et proéminent comme un champignon ! Je bascule en travers du lit qui nous accueille bras et jambes emmêlées en entraînant mon futur amant sur moi mais il se dérobe et descend entre mes cuisses. Je sens aussitôt son souffle sur mon mont de Vénus et sa langue qui fouille entre mes lèvres pour débusquer mon clitoris. Mon sexe ne tarde pas à s’humidifier sous cette caresse qui m’a toujours fait fondre comme neige au soleil. Je suis prête ! Discrètement, je tends un préservatif à Ludovic pour qu’il se couvre. C’est une habitude chez moi, il n’est pas question de commettre d’imprudence avec le monde de libertins de tous poils qui nous entoure… Je lui dis en ouvrant largement mes cuisses :
— Viens maintenant ! Baise-moi bien ! Je n’attends plus que ça ! Baise-moi fort !
Autant notre premier baiser a été violent, autant lorsque Ludovic me pénètre, il sait être doux en entrant doucement et progressivement dans mon sexe qui est déjà trempé tant je suis impatiente.
Il y a si longtemps que j’ai envie de cet homme à la beauté mâle tranquille. Dès la première rencontre sur notre palier, j’ai eu envie de lui ! Et là, il est entre mes cuisses et commence un va-et-vient lent qui le fait sortir à chaque fois de mon sexe avant d’y plonger à nouveau, de plus en plus vite, de plus en plus sèchement en faisant claquer son pubis contre le mien. Je sens sa queue qui vient buter tout au fond de moi qui commence à délirer tant c’est bon.
La boule chaude qui se répand dans mon ventre quand je suis sur le point de jouir grossit… je mouille de plus en plus et je pars dans les transes de la jouissance presque instantanément quand je sens Ludovic jouir au fond de moi. Waouh ! Qu’est-ce que c’était bon mais je dois dire que cette joute rapide et violente à la fois nous laisse pantelants tant nous nous sommes donnés, essoufflés, emboîtés l’un dans l’autre, bras et jambes emmêlées… nous sombrons dans un sommeil qui nous conduit aux dernières lumières du jour.
Nous avons basculé sur le côté et par de légers mouvements du bassin Ludovic fait renaître sa bandaison. Je me dégage de son étreinte et je descends ma bouche jusqu’à son pubis où, après avoir retiré la capote pleine, je gobe le gland, agitant ma langue sur le méat avant d’avaler plus à fond ce membre de chair qui m’a si bien fait jouir. Après l’avoir respiré, j’ai encore envie de le sentir en moi…
Il ne faut pas de longues minutes pour que ce beau membre viril retrouve sa splendeur et lorsqu’il ressort de ma bouche gourmande, je ne peux que continuer de fantasmer en pensant à ce que je vais faire ensuite : J’ai soif de sexe vrai ! Ça fait trop de semaines que je n’ai pas eu une vraie bite dans mes orifices et pour cette fois, je vais en profiter un maximum puisque Ludovic semble doué pour la baise ! Je n’ai pas envie de le faire juter dans ma bouche aussi, je ne poursuis pas ma fellation.
Par jeu, c’est moi qui couvre ce beau sexe d’un nouveau préservatif et en prenant appui sur la tête de lit, je me place en levrette.
J’offre ainsi la vue de mon dos à la taille étroite et aux hanches bien galbées, mais aussi une fente accueillante où je fais palpiter mon anneau plissé dans une invitation sans équivoque : cest un appel à la sodomie. Et là, elle sera profonde vu la longueur du sexe de Ludovic que j’encourage :
— Vas-y ! N’aie pas peur ! Tu as vu ! Tu es entré facilement ! Encule-moi fort !
Et il ne se le fait pas dire deux fois ! Dès qu’il sent que je semble habituée à sa présence dans mon antre secret, il commence de longs va-et-vient en veillant à ne pas sortir de mon anneau plissé. Sans le savoir, je suis tombée sur un bon baiseur qui sait prendre son temps pour bien faire jouir sa partenaire… Une main toujours en appui sur la tête de lit, je glisse l’autre jusqu’à ma chatte où je fais aller et venir deux doigts entre mes lèvres intimes et Ludovic continue de me sodomiser, allant de plus en plus vite tout au fond de moi en faisant claquer son pubis contre mes fesses jusqu’à exprimer dans un râle de plaisir partagé la jouissance qui déferle en nous.
Pour l’instant, nous sommes repus de plaisir et, dans les bras l’un de l’autre, lovés amoureusement, nous faisons plus ample connaissance. Il est divorcé et s’apprête d’ici quelques semaines à rejoindre son associé qui a monté une boîte de com à Los Angeles.
Dans le fond, cela m’arrange ! Si j’ai fantasmé à ce point sur mon voisin, je ne suis pas prête à entamer une liaison aussi torride soit-elle. J’aime trop mon indépendance…
En début de soirée, je commande des pizzas que nous dégustons avec un rosé de Provence. Nous n’avons même pas pris le temps de nous rhabiller. Je crois que l’un et l’autre, nous savons comment va continuer la soirée. En fait, c’est moi qui ouvre à nouveau les hostilités (si on peut dire cela).
Pendant que Ludovic fume une cigarette, je le coule entre ses cuisses et j’entame une fellation à gorge profonde, enduisant sa queue d’une salive abondante et en la faisant coulisser entre mes lèvres. Mais ce dont j’ai envie, c’est de voir son sperme gicler pour moi ! J’ai senti par deux fois ses jets au fond de moi, mais je sens qu’il a encore de bonnes réserves.
Quand je sens que mon amant est assez échauffé par mes talents de suceuse, je sors sa bite de ma bouche et je m’arrange pour venir la loger entre mes seins que je resserre autour d’elle. J’entame une branlette espagnole en le regardant dans les yeux d’un regard de salope :
— Viens ! Tu vas me juter dessus ! Après mes trous, j’ai envie de voir ton foutre jaillir !
Et ça ne tarde pas ! Quelques allées et venues entre mes seins et voilà quelques jets qui tapissent ma poitrine jusqu’à mon cou tant ils sont puissants.
Toujours salope finie, je ramasse le sperme du bout des doigts et je les porte à ma bouche… je m’en délecte, savourant ce goût un peu salé si caractéristique.
Nous retournons dans la chambre où nous continuons nos ébats. Je veux l’épuiser, profiter de sa belle queue longue avec ce champignon bombé qui lui sert de gland : un baiseur de cette qualité, il ne faut pas le laisser passer.
Avant de nous endormir, Ludovic me baise encore une fois en levrette mais je lui réclame une double pénétration et lui tendant un gode de belle taille et un tube de lubrifiant pour qu’il me sodomise avec ce sexe factice : Faute d’avoir deux hommes, c’est une solution de remplacement tout à fait satisfaisante, et mon amant sait si bien s’y prendre, faisant aller et venir alternativement sa bite et le gode dans mes orifices que je ne tarde pas à partir une nouvelle fois dans les transes de la jouissance avant de sentir une fois encore d’abondants jets se briser au fond du préservatif.
Voilà comment ce à quoi j’aspirais s’est déroulé ce dernier week-end de février.
Merci Ludovic ! Tu pourras revenir avant ton départ !