Séance SM
Il fait jour ; le soleil de ce début dété est déjà chaud. Je flemmarde un peu en me caressant tout le corps. Je me tords les tétons ; aujourdhui, jai envie de trucs bizarres : de devenir lesclave des filles, de je ne sais pas quoi… Jimagine des choses insensées, violentes, davoir mal aux fesses. Je mimagine attachée et suspendue par les bras ; je ferme les yeux. Le fouet vient de marracher un cri ; mon entrejambe minforme que lenvie est déjà là. La porte de la chambre souvre avec violence, un hurlement me ramène à la réalité :
Alors, espèce de flemmarde, encore au lit ?
Cest Tatiana qui me hurle dessus ; elle a des trucs dans les mains. Je commence à me lever, mais elle et Élodie sont plus rapides que moi : elles sautent sur le lit et me bloquent les bras. Jai à peine ouvert la bouche pour protester quelles me mettent une boule tenue par un lacet noué derrière ma nuque ; je hurle, mais le son ne franchit pas mes lèvres. Jai des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles. Mon souhait se réalise ; mon excitation est terrible, je mouille, je nen peux plus. Tatiana me tire hors du lit ; les bracelets des poignets sont attachés à une laisse. Élodie menvoie une terrible claque sur le cul. « Moi qui rêvais de douleur il ny a même pas un quart dheure, jai le pressentiment que je vais être servie » Je dévale lescalier, toujours tirée par Tatiana. Nous sortons devant la piscine.
Tu as pris une douche ? me demande Élodie.
Ne pouvant pas parler, je fais « non » de la tête. Sur un coup dépaule, je perds léquilibre ; à peine le temps de retenir ma respiration que je me retrouve la tête la première dans leau fraîche de la piscine, à trois mètres de profondeur. Très bonne nageuse, je traverse en apnée le bassin dans le sens de la longueur pour ressortir par lescalier. Les filles mattendent ; elles reprennent la laisse.
Ça fait du bien, nest-ce pas ironise Élodie.
Jaffirme dun signe de la tête. Le vent frais matinal me fait frissonner.
Tu as froid ? Tinquiète, on va te réchauffer, me dit Tatiana en mentraînant vers le garage.
Avant de passer la porte de derrière, Élodie me met un bandeau sur les yeux. Je ny vois rien. Elle me tire ; je nai pas dautre alternative que de les suivre. On me détache, on saffaire autour de mes chevilles et de mes poignets qui sont tirés vers le haut, les bras et les jambes écartés au maximum. « Que sont-ils en train de faire ? Dame Erika ! La croix de Saint-André ! Les filles attachées nues, et le seigneur de crier "Foutez-moi ces sorcières !" »
Aïe ! La douleur est vive Le fouet a sifflé à trois reprises : une fois sur mes fesses, puis la lanière sest enroulée autour de mon torse et son extrémité ma frappé les seins, et la troisième ma certainement strié le dos. Plus rien. Le silence. Sans doute mont-ils laissée là. Non : mes bras redescendent, on me force à masseoir puis à mallonger sur le sol ; sur un tapis, je pense. On saffaire autour de moi. Pas un mot, pas une parole. Je stresse un peu, inquiète de savoir ce quils vont maintenant imaginer.
Mes poignet sont entravés, je ne peux plus les rapprocher. Mes pieds sont tirés vers le haut. Jentends le bruit dun cliquet, et mon corps sélève inexorablement. Je suis la tête en bas, les bras tendus attachés au sol. On me palpe la vulve inondée par mon jus ; quelque chose entre dans mon vagin. Cest rond, un gode ? Il senfonce en moi ; il est gros de plus en plus gros. Il tourne. Ils sont en train de me visser un gode en forme de spirale ; jen ai vus sur un site : plus tu tournes, plus il grossit. Il ressort, maintenant. Ça va mieux, jai cru que jallais exploser ; mon vagin doit être rempli de cyprine.
« OUAÏÏÏE ! Mes tétons ! La vache Cest quoi ? Des pinces ? » Des pinces avec des poids me tirent les seins vers le bas ! Ça fait mal, mais jaime, cest clair ; et en plus, je suis maso Aïe ! Oh, putain ! Je viens de prendre une claque sur les deux fesses à la fois, puis une autre et encore une : moi qui avais froid, eh bien me voilà réchauffée !
Je me sens descendre. Les pinces enlevées, je regrette presque que ce soit déjà terminé : ce fut intense et bon. Me voilà à nouveau allongée. Deux mains me prennent les chevilles ; je reconnais les mains puissantes de Pat, et deux mains de femme magrippent les bras. On me soulève, me porte comme un cochon pendu. Je suis littéralement jetée et atterris sur un transat ; enfin, je crois, il a lair grand. Je suis de nouveau attachée en croix par les bras et les jambes.
Un liquide coule sur moi ; à lodeur, cest de lhuile de massage. Une main étale le liquide, puis une seconde, une autre, et encore une ; jen compte six. Attachée je suis, obligée de subir, je savoure ce moment délicieux, cette douceur après cette violence que je désirais tant. Ce massage à six mains est extraordinaire !
On menlève le bâillon ; une langue le remplace. Je la connais : cest celle de mon homme. Il membrasse avec fougue, nos langues jouent. Le bandeau glisse : enfin le jour ! Je ne peux pas bouger la tête non plus, il me la tient, me caresse les joues, les yeux et les sourcils. Il y a encore quatre mains et deux bouches qui mexplorent minutieusement. Chaque caresse, chaque coup de langue, chaque pincement memporte vers le plaisir décuplé sans doute à cause de ces liens. Une bouche aspire les lèvres de ma fleur, une autre lèche et pince mes tétons ; les mains parcourent mes cuisses, mon ventre, et Pat joue avec tendresse avec mon visage.
À lintérieur de moi est en train de se préparer une tornade. Je la sens venir ; elle va être dune telle violence que je vais me tordre de plaisir. Jessaie de bouger, mais cest impossible : les liens sont tendus au maximum, ils me tirent sur les bras et les jambes. Je voudrais que Pat entre en moi, je ne vais pas tenir encore longtemps. Je le supplie du regard mais il semble ne pas comprendre. Heureusement, des doigts pénètrent en moi ; jen voudrais plus. Je nai pas longtemps à attendre ; encore ! Des doigts forcent le passage ; une main, maintenant. Je mouvre le plus que je peux, ondule du bassin : cest la seule partie de mon corps que je peux bouger.
Lorgasme arrive, je ne peux plus le retenir. Il menvahit, puissant. Et cette main qui progresse toujours en moi et qui me bloque le bassin Je nai encore jamais connu un tel orgasme. Habituellement, cest tout mon corps qui est secoué ; mais là, ce nest que lintérieur qui vibre. La tête me tourne. Pat me lâche, la main sort de moi. Ils me détachent, me retournent et me rattachent. Cette fois-ci, cest de la crème quils métalent sur les fesses et le dos. La douleur a disparu ; sans doute quils appliquent la crème pour éliminer les traces. Pat se penche vers moi :
Ça va ? Pas trop mal ?
Oh oui, que ça va ! Vous êtes complètement fous : vous mavez fait mal, mais cest extraordinairement bon ! On recommence quand vous voulez. Merci, mon amour, tu es génial ; je taime
Puis je lui souffle :
Quest-ce que vous allez me faire ?
Chut, mon amour, mais prépare ton cul.
Je fonds de bonheur : mon cul peut-être quils vont agrandir mon trou ? Quelque chose de bizarre pénètre mon anus ; ça a lair plat. Lobjet glisse à lintérieur de mon boyau, puis rapidement je le sens sécarter de plus en plus. On me détache la main droite, on me la guide jusquau niveau de mes fesses pour saisir une sorte de poignée à deux branches ; une main maccompagne et me montre comment la serrer. Quand je serre, mon anneau sécarte de plus en plus.
Cest toi qui va te le faire, on te laisse gérer. Enfin, si tu veux continuer.
Je reconnais la voix de Tatiana.
Oui, je continue, je vais le faire.
Nous allons nous baigner ; ton chéri reste avec toi.
Pat me détache mon autre main. Je regarde ce large bracelet de cuir noir avec son anneau et son mousqueton. Jai une drôle dimpression : un sentiment de domination qui me fait peur et mexcite à la fois.
Dis-moi, les bracelets, vous les enlevez quand ?
Pourquoi ? Tu ne veux plus ? Tu veux arrêter le jeu ?
Non, non, cest juste pour savoir, cest tout.
Oh, tu vas les garder encore un bon moment je pense, et jai un petit cadeau pour toi.
Je sens passer autour de mon cou un large collier quil ferme avec deux attaches. Je me sens encore plus soumise ; le sentiment de lui appartenir totalement est très fort. Je suis en train de vivre ce dont je rêvais : ne plus être maître de soi, obéir, ne rien dire, se soumettre à tous les caprices des uns et des autres. Jusquoù vont-ils memmener ?
Je voudrai le sucer. Je tends la main pour attraper sa bite raide ; elle est là, devant mon nez. Je salive. Je presse la poignée du spéculum qui mécartèle lanus à chaque coup de pompe. Pat vient de me prendre cette main trop pressée datteindre le membre tant convoité pour lattacher à laide dun mousqueton au collier. Je regrette davoir pris cette initiative inconsidérée. En contrepartie, il me masse les épaules, le dos, les fesses, lentrejambe, les cuisses et les jambes, sans oublier les pieds, avec une douceur et une délicatesse sublime.
Maintenant totalement immobile, les yeux clos, je mabandonne à ce plaisir. Le temps sarrête ; cest long, très long Jai faim, jai soif, je nose réclamer, jattends en savourant cet instant.
Plus de caresses. On me prend la main droite, le spéculum se détend ; je vais souffler un peu, sans doute. On me détache les pieds et la main gauche. Je suis libre ! Une odeur de café. On me souffle à loreille :
Tu peux tasseoir et manger.
Je me retourne. Au-dessus de moi, trois têtes, le sourire jusquaux oreilles. Pat se penche sur moi, membrasse avec sa fougue habituelle puis se retire avec un « Bonjour, ma chérie ! » Élodie sapproche, me prend le visage entre ses mains, me dépose de petits baisers partout sur le visage ; cest bon, doux, sensuel, puis elle se retire aussi avec un « Bonjour, Julie ! » Tatiana se penche à son tour, me prend la tête entre ses mains. Ses lèvres effleurent les miennes, sa langue les remplace, jentrouvre la bouche, sa langue sinfiltre, jouvre encore, ferme les yeux. Cest la première fois que jembrasse une fille ; cest bon, mon cur bat très fort. Nos langues se mélangent un court instant. « Il faut que japprenne à Pat à embrasser comme ça ! » Elle aussi se retire en me disant « Bonjour, Julie Allez, mange un peu, prends des forces. » Son sourire en dit long.
Je me redresse. Le transat est très large : cest un deux-places tout neuf. Je massois en tailleur, et Pat dépose un plateau de lit garni de café, jus dorange, fruits, viennoiseries.
Merci, merci beaucoup !
Prends tout ton temps ; savoure ton petit déjeuner. Nous, on te regarde, reprend Élodie.
Elles se sont installées, nues, sur la balancelle en face de moi et me dévisagent avec un sourire de satisfaction sur les lèvres ; je me demande si elles ne sont pas en train de mijoter un truc Javale la moitié du délicieux jus dorange maison, puis jattaque un croissant. Les filles, lair sournois, se caressent en mexcitant par des balayages de langues sur les lèvres tout en simulant un début dorgasme. Elles se lèchent, couinent comme deux chattes en chaleur. Tiens Elles miaulent, maintenant ! Elles doivent avoir faim pour se téter les seins aussi goulûment. Elles me font mouiller, ces deux salopes Je suis en train de déjeuner tranquillement, et elles se pelotent comme des folles !
Mon chéri sy met, maintenant ; et que je te tripote, et que je te bisouille. Putain, je mouille comme une folle ! Le café est divin, tout est beau, magnifique ; je suis amoureuse et heureuse.
Jai terminé mon café. Elles se lèvent, sapprochent, me remettent le bâillon-boule, mallongent sur le ventre et mattachent à nouveau. Je suis immobilisée, la chatte et le cul exposés, offerts à leur merci. Ils doivent se régaler de ce spectacle Je ne sais pas ce quils me réservent, mais jen suis déjà toute excitée.
Un liquide froid et gras coule sur mon anus et ruisselle jusqu’à ma chatte. Un objet rond entre dans mon vagin, senfonce ; un autre entre dans mon anus sans difficulté. Ils sont gros, de plus en plus gros. Jai compris : ils veulent me défoncer mouvrir. Je serre les poings, anticipe la douleur. Elle ne vient pas : cest une douce vibration puis une seconde qui menvahissent. Elles sont de plus en plus fortes ; elles excitent mon point G, ce qui engendre la production dune substance qui procure une sensation de bien-être puis va memporter vers lorgasme. Sans prévenir, lorgasme explose comme une bombe en moi. Je mords la boule, crie dans ce bâillon qui mobstrue la bouche, je pleure de bonheur, crie de joie, gesticule comme une anguille. Je suis bien.
Le calme est revenu. Ils me débouchent. À ce moment-là je sens un souffle dair entrer en moi par mes deux trous béants. Les yeux fermés, je me régale de ce moment de sexe intense et je mendors attachée, bâillonnée.
Les rayons du soleil me caressent le dos. Jentends parler à côté de moi. Je nai plus de bracelets, de collier ni de bâillon. Je me redresse ; ils sont là, à boire lapéro.
Bien dormi ?
Oui, merci, cétait génial ! Merci infiniment, cétait extraordinaire !
Du moment que ça te fait plaisir, pour nous cétait excitant et très amusant ; jaime bien jouer, surtout avec une poupée comme celle-là, me répond Élodie.
Je peux piquer une tête ?
Va, on fait une pause.
Il ne faut pas me le dire deux fois ! Je plonge. Les filles et Pat me rejoignent ; nous nageons et chahutons, les bisous sont aussi présents. Une fois bien rafraîchis, nous sortons. Sous la tonnelle, nous avons disposé des fauteuils et un canapé autour dune table basse, le tout en faux rotin. Sur le plateau de verre de la table, lapéro est servi : pour moi, un Pineau des Charentes blanc, cest celui que je préfère, servi frais avec des glaçons ; les filles en ont pris aussi. Pour Pat, le Pastis ; et de Marseille, peuchère !
Ma chérie, on fait une pause. Donne-nous tes impressions, quon sache si nous avons bien travaillé.
Je vous remercie pour le plaisir que vous mavez donné ; jen mouille encore, vous voyez ? je réponds en exhibant mon anatomie, cuisses grandes ouvertes sans aucun complexe.
Et tu veux aller encore plus loin dans la découverte ? me demande Élodie.
Oui, mais je ne sais pas quoi.
Ne tinquiète pas : nous avons encore plein de choses à te faire découvrir, tu verras.
Super ! Quand ?
Ça
Bon vous ne voulez pas me le dire, cest ça ? Mais en tout cas, je peux vous affirmer que vous avez été géniaux. Jai découvert des sensations nouvelles ; jai sincèrement tout adoré, et je crois que je vais devenir gourmande ou nymphomane. Je vais en faire une super histoire et la publier.
Nous rions de bon cur. Si elles ont des idées, moi aussi, ce qui me met en joie : le picotement en moi est la preuve de mon enthousiasme.
Je trinque avec eux et leur raconte sans détours en sans pudeur mes sensations, mes envies ; je me lâche totalement. Les filles se sont aussi assises en tailleur, sans doute pour mexciter ou pour me montrer que ce que je leur raconte les excite également. Je raconte, les yeux fixés sur leurs vulves humides où suinte doucement ce liquide, signe dune excitation grandissante. Je détaille toutes les sensations : les coups, les entraves, les godes, le spéculum, lexhibition, le resto
Pat allume la plancha. Au menu : côte de buf à la bordelaise ; un régal ! Cest cuit. Nous passons à table. Tous participent, nous rions de mes exploits. Pat me félicite de ma détermination et admet prendre un très grand plaisir à participer à ces jeux et nexclut pas daller plus loin.
[ à suivre ]