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Les Complices – Chapitre 2

Les Complices - Chapitre 2



LES COMPLICES 2

Salut à tous, il s’agit de la suite directe de l’histoire « Les Complices » écrite il y a maintenant Quelques temps ! J’espère qu’elle vous plaira à la lecture autant qu’elle m’a plu à l’écrire. J’adore recevoir des commentaires, n’hésitez pas ! Et je cherche toujours des partenaires d’ECRITURE !

Si cela fait longtemps, je vous suggère de reprendre la lecture du premier épisode de la série !

Bonne lecture à tous et merci à tous ceux qui me suivent et apprécient mes histoires trash

Merde merde merde merde. Ce petit con allait me faire prendre Lui et sa copine dominatrice vont me découvrir en train de les mater, à poil, dans le dressing de sa mère, la bite au garde à vous !

Quelle injustice, je n’avais même pas eu le temps de me faire jouir

J’éteins le téléphone et le cache sous une pile de pulls de Véronique comme par reflexe. Si je me fais prendre, au moins j’aurais un joli souvenir

Mathilde n’est plus qu’à quelques pas de ma cachette, mon cur va exploser je suis maintenant comme paralysé quand soudain, elle s’arrête net. Le visage illuminé à l’idée d’une nouvelle perfidie à n’en pas douter

–    Espèce de petite salope

Quoi ? moi ? M’avait elle vu ?

Elle se retourne sur Steve, la gueule toujours luisante de souillures.

Non !

–    Tu crois quand même pas que ta jute mérite une culotte propre !?

–    

–    Sous-merde tu crois vraiment que ta mère aimerait ça que tu te branles dans une de ses culottes propres ?

–    Non je  maîtresse vous avez raison

–    Où sont les sales ? Dans la salle de bain ?

J’avais trouvé ma nouvelle égérie, elle avait les mêmes fantasmes que moi cette chiennasse !!

Et ce pauvre Steve avait l’air d’en redemander lui aussi ! Il cachait bien son jeu le grand et fier sportif, macho !

–    Non ma mère n’aime pas mélanger ses sous-vêtements avec les fringues sales des autres, elle dit que c’est fragile

Et merde C’est vrai que Véro ne lave pas tes survêts plein de sueur avec sa lingerie délicate Ce pauvre Steve ne doit même pas savoir où elle sa mère les range avant de les laver à la main

–    Dans le panier là, à côté de sa table de chevet

Bien joué Steve ! Je me dépêche de reprendre mon portable et de filmer une nouvelle scène !!!

–    Ecoute moi bien ma petite pute, je vais t’en choisir une bien crade, une bien odorante ! Que tu pourras renifler si je le désire, petite chienne

Nous n’avions pas vraiment de points d’entente avec Steve, il a près de quarante ans de moins que moi et n’a rien dans le crâne, c’est un idiot. Mais là Conter le lit, les mains dans le dos le regard fou de désir, lui et moi partageons une toute nouvelle passion : sa terriblement sexy et autoritaire Maîtresse Mathilde

— Et puis, avec un peu de chance, on va voir si ta mère mouille pour son mec

La garce elle savait me parler Dans le panier en osier, du côté du lit de Véronique dépêche toi !!!

— C’est là oui, dans le panier en osier

— Tu vois que tu sais exactement ce à quoi tu aspires !

Elle sort lentement une à une les culottes de la semaine de Véronique. Nous sommes vendredi le choix est vaste et extrêmement varié

–    Dis donc elle a de jolies choses ta mère. Et vues les pièces, je peux te dire tout de suite que c’est une sacrée chienne Faudra que je fasse un tour dans sa boutique un de ces jours. Je pourrais lui demander ce qu’elle a de plus cochon pour exciter les mecs. J’en profiterais aussi pour lui parler de mes amants pathétiques, comme toi ! Et de la manière que j’ai de les humilier.

Je regarde fasciné, Mathilde sortir une à une les culottes sales de Véro, la mère de Steve.

Finalement, son dévolu se porte sur une petite culotte noire et pourpre, ciselée de dentelles. Je la reconnais c’est la culotte d’hier soir Elle ne va pas être déçue par ce choix !

Tout en revenant vers Steve, toujours cassé en arrière contre le bas du lit et la face dégoulinante de salive, elle porte la culotte sale de Véro à ses narines pour en humer l’odeur.

–    Hm Dis donc Je l’aime bien celle-là, oui Ca sent un peu la pisse mais y’a pas que ça ! Ta  mère vaut décidemment le détour, faudra que tu me la présentes, peut-être qu’elle broute du minou en plus de sucer des queues. Parce que je peux te dire qu’hier soir, ta mère était très excitée hmmm ça sent la mouille fraiche ! Ton beau père a dû la doigter au travers de la culotte pour en récolter autant ! hmm ! vraiment j’adore Je me demande si ce n’est pas un peu dommage de gâcher de ton sperme une culotte aussi kiffante

–    Mathilde, tu me rends dingue

–    Ta gueule

Oui ! Ta gueule Steve vas pas tout gâcher

–    Tu vois ces trainées là qui brillent un peu ?  C’est de la mouille petite pute, ta mère mouille bien pour son mec, si ça se trouve, il est bien membré et surtout, il sait s’en servir !

Et je n’attends que toi pour te montrer à quel point !

Mathilde a toujours la culotte sous le nez et elle ferme les yeux, lascive.

–    Hmm Et elle sent vraiment très bon. Elle doit se parfumer les cuisses aussi J’ai hâte de la rencontrer. Mais avant voyons voir quel goût elle a tu veux ?

Extraordinaire. Hors du commun Sensationnelle. Cette fille était un démon de la luxure sortie du paradis. Elle ouvre la culotte et se met à la lécher.

–    Elle a très bon goût tu sais ça ? Hmm, j’adore les femmes mûres ? Elles ont toujours les culottes les plus délicieuses, les plus fortes en gout

Ce pauvre Steve n’en pouvait plus et se tordait de douleur, impatient de se toucher le sexe, fantasmant de pénétrer sa tortionnaire Je la regardais moi aussi, fasciné

Elle lapait la culotte de Véronique, gourmande et avide Sans s’arrêter, elle s’approche de Steve et se laisse tomber de nouveau, cuisses écartées sur le visage de son soumis.

–    Bouffe moi pendant que je goute ta mère

Et à Steve de s’exécuter, encore une fois, obéissant, servile

–    Bouffe moi, mets moi ta langue, aspire ma jute, allez !

Mathilde se lève et crache une nouvelle fois sur Steve avant de lui présenter sa chatte à nouveau

–    Crache sur ma chatte toi aussi, je veux te glisser dessus !

–    Oui maîtresse

Oh que oui maîtresse

Tout en reniflant et léchant la culotte de Véro, Mathilde se rassoit sur son homme jouet et se met à onduler de lanière à offrir à Steve un angle encore plus satisfaisant Effectivement, maintenant que son visage est bien lustré, elle glisse comme sur du beurre !

–    Je crois que je vais te faire gouter C’est ce que tu veux n’est-ce pas ?

D’entre les cuisses, au milieu de bruits d’aspiration obscènes, Steve lui répond

–    Oui, je veux tout, je ferais tout ce que tu veux

Mathilde se redresse et ouvre de nouveau la culotte de la mère de Steve, elle l’approche de sa bouche et en laisse couler un long filé de salive

Elle referme la culotte et en frotte les parois pour bien humecter le tout

— Tu vas voir, c’est pour faire ressortir encore plus l’odeur de la mouille de ta mère

J’étais à deux doigts de jouir, sans même me toucher

Personnellement, j’aurais donner n’importe quoi pour gouter cette culotte imbibé du jus de chatte de Véronique et de la salive de Mathilde

–    Oui oui s’il vous plait, maîtresse, donnez moi tout ce que vous voulez

–    Je vois que tu commences à comprendre c’est bien Et comme j’ai pas toute la journée je vais te libérer, bientôt

–    Merci maîtresse

–    Renifle

Steve renifle.

Tout en lui faisant humer le fumet de sa mère, Mathilde dépose de sa salive sur le bout de ses doigts et s’approche de la verge hypertendue de Steve. Le pauvre hère n’en sait rien, il a fermé les yeux pour renifler plus fort la culotte de sa mère

–    Tu l’aimes l’odeur de ta mère ?

–    Oui maîtresse

–    Elle t’excite hein ?

–    Oh putain oui

Tout en lui parlant, Mathilde pose délicatement ses doigts sur le prépuce de Steve, prêt à exploser !

–    Ahh oui, touchez moi maitresse pitié oui

Mathilde fait glisser ses doigts lubrifiés de salive sur le prépuce étincelant de son esclave sexuel

 

–    T’as envie de te branler en pensant à moi ?

–    Hmm oui maîtresse

Mathilde saisit maintenant la verge gonflée de sang et la sert de ses doigts fins

–    Ouvre la bouche !

Steve ouvre la bouche

–    Tu te branlerais en pensant à ta mère qui se masturbe dans sa culotte ?

–    

–    Sors la langue !

Steve sort sa langue

–    Tu te branlerais en pensant à ta mère qui se fait enfiler par son mec ?

–    Hm, je crois oui

Mathilde frotte la culotte de Véro sur la langue de Steve, tout en accélérant son va et vient sur sa queue puissante Steve gémit de plus en plus fort.

Je n’en peux plus, planqué dans mon placard en train de mater ces deux là, j’attrape de nouveau ma bite prête à exploser elle aussi et je me masturbe

–    Putain tu m’excites petite pute, j’ai envie de te souiller de cyprine !

Mathilde lâche la queue de Steve et se redresse de nouveau au dessus de lui. Elle fait une boule avec la culotte déjà bien humide de Vero et l’enfourne dans la bouche de Steve.

Elle attrape la tête de Steve à deux mains et se met à se frotter la chatte contre son visage.

Mathilde gémit, Steve gémit à son tour et bon dieu que j’aurais aimé gémir moi aussi Je vais jouir là à poil dans le placard, je vais gicler contre les persiennes

Au fur et à mesure de ses frottements, Mathilde gémit de plus en plus fort et son visage se tort de grimaces lascives.

–    Je vais t’asperger petite chienne Ouvre grand ta bouche à jute !

–    Oui Maîtresse oui

Soudainement, Mathilde se cambre et s’écarte de Steve pour se masturber frénétiquement ! Elle est magnifique, animale, droguée de luxure, totalement désinhibée.

Face à ce spectacle, je n’en peux plus, je sens que la sève monte, je vais venir

Mathilde est toute rouge, elle grogne, elle mugit, elle, elle

–    Ouvre grand petite chienne, je vais te gicler à la gueule !

Ah ces mots me libèrent ! Je jouis !!

Sur ces mots, Mathilde explose littéralement elle aussi !! De multiples jets de cyprine, longs et puissants viennent s’écraser sur le visage de Steve, en extase.

Mes éjaculations de sperme sont comme synchronisées avec celles de Mathilde Elle hurle à chaque giclée, comme si elle le faisait pour moi ! Steve aussi gémit, aspergée de pisse clarifiée, chaude Il y a de nombreuses giclées, Steve est souillé comme jamais, il gémit de son plaisir de soumis.

Mathilde se calme elle a encore quelques soubresauts, tout comme moi De la cyprine goute de son sexe tout comme les dernières goutes de sperme au bout de ma verge endolorie.

Elle regarde Steve, animal pathétique toujours en rut Elle retire la culotte de Véro qu’il a gardé dans la bouche, imbibée maintenant de sa cyprine. Elle la déplie et essuie le visage de Steve

–    Chose promise, chose due, tu peux juter dans la culotte de ta mère maintenant

Mathilde laisse tomber la culotte souillée de sa mère sur la queue dressée de Steve comme l’obélisque et lui crache une dernière fois brutalement à la figure.

–    Laisse moi faire

Elle a dû prendre pitié

La culotte mouillée et chaude recouvre le prépuce de Steve et Mathilde passe de manière experte son pouce contre le frein de Steve

L’éphèbe gémit de plus en plus fort et, oh pauvre diable, annonce qu’il va jouir enfin que sa sève monte, que sa maîtresse est trop bonne, qu’il fera tout ce qu’elle souhaite, encore et encore et au moment où enfin monte le sperme le long de son urètre, Mathilde écarte sa main et laisse la sève sortir mollement de son sexe Steve gémit de frustration, elle saisit son sexe de ses mains endolories et jusque là prisonnières de la volonté de Mathilde mais trop tard La salope lui a ruiné son orgasme ses giclées de sperme sont molles et tristes

Il en pleure presque le pauvre

Personnellement, j’ai comme joui une seconde fois, de voir ce phénomène torturé son esclave jusqu’au bout

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