Il est tard ; je suis encore sur mon tchat dans l’espoir de trouver une bonne queue à sucer : je ne trouve rien depuis un moment.
Puis soudain je me mets à parler avec un gars ; il veut que je le pompe. Il est bien membré, tout ce que j’aime. Mais il a une demande : il veut que l’on trouve un autre actif bien monté pour que je leur bouffe la queue à tour de rôle et quils se défoulent dans ma bouche.
Bon ; après une heure de recherche sur le même site, on ne trouve rien. Il se décide quand même à venir seul. On se rejoint sur un parking le long des quais, à côté d’un petit parc de quartier. Jarrive ; il m’offre une bière, puis on marche un peu dans le parc où il y a des toilettes publiques. Je vois où il veut en venir donc, je le suis.
À peine entré à sa suite dans les toilettes, je vois qu’il a déjà son beau et même très beau chibre à l’air, à demi mou, pas encore tout à fait dur. Je me penche en avant et c’est parti. Il passe une main derrière ma tête tandis que de lautre il enserre la base de son sexe. Il me baise la bouche comme j’aime ; il me la remplit même plus que ce que je voudrais ; j’en étouffe Il relâche parfois un peu la pression pour me laisser respirer, mais juste le temps d’une inspiration et il repart de plus belle.
Son gland est magnifique ; je suis surexcité. Son petit jus qui coule parfois est bon. Apparemment, ma bouche lui plaît beaucoup J’ai une main sur ses couilles et l’autre sur mon cul. Je baisse mon jogging, toujours penché en avant et me faisant limer la bouche dans ces chiottes publiques. Alors que je me cambre au maximum, une de ses mains se précipite sur mon cul ; deux doigts plongent directement dans mon trou. Je gémis beaucoup quand je pompe et lorsque mon cul est utilisé de quelque manière que ce soit. Il aime : plus je gémis, plus il durcit et plus il me lime la bouche.
Jen peux plus ; j’ai mal. Sa queue est vraiment grosse ! Jai mal à la mâchoire. Jessaie de retirer sa queue de ma bouche, mais il me force à la garder : il me viole la bouche. Humm
Quand j’arrive enfin à la faire sortir, je lui demande expressément de cracher tout : je veux son jus. Je rouvre la bouche ; il a compris, et il enfourne sa queue au plus profond. Il donne des petits coups de rein qui deviennent de plus en plus amples. Son gland est dans ma gorge ; je sens sa colonne de chair se crisper encore J’étouffe. Il crache tout directement dans ma gorge ; jen avale beaucoup et, en sortant sa queue, je prends une ou deux bonnes giclées sur ma gueule. Après avoir nettoyé bien à fond son très joli sexe, je me redresse ; il referme son pantalon et on repart en direction du parking.
Arrivés à la voiture, il me dit "J’en veux encore !" Alors je monte dans sa voiture et on commence à rouler. Au bout de dix minutes, il s’arrête sur une place recouverte de gravier. Je me penche. Il sort son sexe encore tout dur ; je le suce. Il a conservé son bon goût de sperme de la première pipe. Peu de temps après, il me dit de descendre. Je le rejoins de son côté ; il tient fermement sa bite dans la main. Je m’agenouille et je commence à prendre directement sa queue si bonne, si belle et si juteuse au fond de ma gorge à grands coups de va-et-vient. Il me lime comme pour la première pipe. Il se laisse aller en se crispant ; je me cambre et gémis de plaisir en recevant tout le foutre qui gicle de cette si belle queue. Après avoir déchargé, il se retire et me frappe le visage avec sa bite ; elle est si dure, si brûlante, mais j aime tellement ça
Il me reprend par la bouche comme sa salope ; cela dure longtemps, certainement plus dune demi-heure à me faire ramoner la gorge comme une traînée, comme sa traînée. Il jouit de nouveau à grands jets. Javale, puis il me ramène.