Pour la petite présentation, je suis Sandrine, j’ai 27 ans, 1m70, brune aux yeux marrons, une allure commune, ni mince, ni trop épaisse. Mon mari, Pedro, a 28 ans, il mesure 1m90, il est brun, très foncé, les yeux bruns foncé aussi. Il est plutôt bien fait sans être trop athlétique. Il a surtout des fesses que j’adore.
Il y a quelques temps, par jeu, mon mari m’a lancé le défi d’aller au travail nue sous ma robe. Me disant que personne ne remarquerait l’absence de sous-vêtement, j’acceptai ce défi même si je ne me sentais pas exhibitionniste. Le lendemain matin, j’ai enfilé une jupe et un chemisier, Pedro a pris une photo de mon sexe nu sous la jupe et est parti de son côté au travail. Nous travaillons dans la même société mais pour des raisons de déplacements réguliers, nous avons besoin de nos deux voitures – celle de Pedro étant une voiture de société. Après son départ, J’ai enfilé une culotte et suis partie au travail. En arrivant, j’ai ouvert ma boîte mail et fut prise de stupeur en y voyant un mail de mon mari.
« Enlève la culotte que tu as mise ou tout le monde recevra les photos… »
J’ai tout de suite appelé Pedro. Il était au courant que je n’avais pas respecté le défi mais semblait enclin à me laisser porter ce petit sous-vêtement car je n’étais « pas assez joueuse ». Piqué au vif par cette réflexion, j’ai filé aux toilettes pour retirer la culotte. J’étais maintenant nue sous ma jupe et j’ai passé toute ma journée ainsi. En rentrant le soir, quelque chose avait changé chez moi. Je ne me sentais pas mal à l’aise dans cette tenue, au contraire. Quand mon mari rentra à la maison, il me demanda comment je me sentais. Il fut étonné de ma réponse. Sa réaction fut aussi assez étonnante.
Il me poussa contre la table de la salle à manger et troussa ma jupe. Il glissa son doigt entre mes cuisses et y découvrit mon sexe humide. J’ai entendu sa ceinture puis son pantalon tomber au sol. J’ai ensuite senti son sexe entrer dans mon sexe sans même qu’il ne prononce le moindre mot. Il me baisa ainsi, presque avec rage. Il sortit ensuite de mon sexe et se présenta à mon petit trou. Étant donné que nous avons l’habitude de pratiquer la sodomie, il n’eut pas trop à forcer pour pouvoir entrer en moi. S’agrippant fermement à mes hanches, il me prit sans douceur. Il se pencha vers moi.
« Tu aimes te balader sans culotte, cochonne…
— Oui, j’ai aimé ça
— Et tu aimes te faire baiser le cul, hein?
— Arrête de me parler comme ça s’il te plaît…
— Non, tu mérites d’être baiser comme ça, salope ! »
Et sur cette dernière insulte, j’ai senti son jus chaud m’emplir les intestins. Pendant qu’il jouissait, il me plaqua contre la table m’y maintenant fermement. Puis il se retira et il me sembla disparaître. Je restait ainsi, figée, la jupe relevée et l’anus plein de plaisir de mon homme. Je n’osais plus bouger. Il n’y a que lorsque j’ai senti le sperme ressortir que j’ai réussi à trouver les forces nécessaires pour me redresser. En me retournant, j’ai vu que Pedro m’observait. Je restais sans bouger et je sentais le sperme qui commençait à couler le long de mes cuisses.
« Ça t’a plu ?
— Oui mais je suis désolé de t’avoir fait ça.
— Ne t’excuse pas, ça m’a plu aussi. »
Je suis ensuite allée me nettoyer mais je n’ai pas enfilé de culotte. Lorsque je l’ai dit à Pedro, il fut ravi de la nouvelle. Il passa la soirée à faire glisser sa main sur mes fesses et sous ma jupe. Il était visiblement ému par ma nudité cachée. Le soir, j’ai retiré mes vêtements devant ces yeux amoureux et son sexe envieux dressé. Il me demanda de ne pas mettre de nuisette et j’acceptai. Je redécouvrais avec émoi la sensation d’être nue contre lui. L’humidité de mon sexe trahissant mon envie de Pedro, nous avons refait l’amour avant de nous endormir.
Lorsqu’il a été l’heure de se préparer pour retourner au travail le jour suivant, j’ai compris le message de mon homme qui, avec un regard coquin, a remis mes sous-vêtements dans la commode. J’ai dû me contenter de mon jean et d’un débardeur pour seule tenue ce jour-là.
Et c’est ainsi que semaine après semaines, je me suis habituée à mettre de moins en moins souvent des sous-vêtements au travail et très rarement à la maison. Je me suis habituée aussi à dormir nue. Je me plaisait de plus en plus dans cette exhibition connue uniquement de mon mari. Mais ce dernier a voulu que nous franchissions un pas supplémentaire en me demandant d’aller dans un établissement un peu particulier. A la demande de Pedro, j’ai mis une jupe courte et ample, un débardeur et des chaussures à talon aiguille. Mon corps nu sous ses vêtements souhaitait les caresses de mon mari mais celui-ci les refusa.
« Il faut garder tout ça pour la soirée, me dit-il.
— Si tu veux, mais on ne fait rien. On regarde juste, d’accord ?
— On verra. »
En arrivant, Pedro se dirigea vers le bar. Il discuta avec le barman qui nous expliqua les différents coin de la boîte. Il nous offrit deux boissons de bienvenue. Nous avons siroté nos boissons en regardant la salle assez vide. La main de Pedro glissait sur ma cuisse passant régulièrement sous ma jupe. Elle s’arrêtait juste en touchant mon pubis ce qui avait pour effet de faire monter ma température. Des hommes nous observait ce qui commençait à me plaire. Puis des couples et même une femme seule arrivèrent. J’étais un peu plus détendue car je me sentais moins seule.
« Tu as envie de leur monter ?
— Non pas encore… »
Sur la piste, j’ai repéré une femme qui dansait de façon assez coquine avec un homme. Celui-ci lui caressait les fesses. Soudain, un deuxième homme s’approcha et se colla à elle dans son dos. Il commença à lui caresser les seins puis le premier s’écarta, rapidement remplacé par un autre qui entraîna tout ce petit monde dans le fond, là où se trouvait les « coins intimes » dont nous avait parlé le barman.
« Ça t’a bien plu ce petit spectacle, non ? Me demanda Pedro
— Pourquoi dis-tu ça ?
— Baisse les yeux. »
J’ai alors vu mes jambes écartées et ai alors repéré les yeux des gens autour fixés sous ma jupe. Une femme s’approcha alors de moi.
« Tu plais à mon homme. Vous seriez d’accord ?
— D’accord pour quoi ?
— Vous êtes nouveaux, non ?
— Oui, c’est notre première fois ici. »
C’est alors que j’ai compris ce qu’elle me proposait et l’ai décliné gentiment. Pedro se leva et me proposa de le suivre dans les pièces à l’arrière de la salle « pour voir ». Nous y avons retrouvé la femme qui j’observais plus tôt. Elle était nue en train de faire l’amour avec un homme tandis qu’un autre, nu aussi les observait en se caressant. Dans un coin, le premier homme avec lequel elle dansait observait la scène. Avançant un peu plus, Pedro trouva une pièce non occupée. Il m’invita à y entrer ce que mon corps réclamait. Il me pris alors dans ces bras et commença à m’embrasser à pleine bouche. Ses mains passèrent sous ma jupe pour caresser mes fesses. Il souleva ma jupe découvrant mes fesses. Puis il remonta vers mon débardeur qu’il retira. Sa bouche quitta la mienne pour s’occuper de mes tétons durcis et érigés par l’envie. J’ai alors senti des présences dans la pièce. Me retournant, j’ai aperçu un groupe à la porte de la pièce.
« Qu’est-ce fait, Pedro ?
— Le spectacle… »
Pedro m’entraîna alors vers la banquette et m’y assis. Il s’agenouilla devant moi et m’écarta les jambes. Il glissa son visage entre mes cuisses et j’ai alors senti sa langue sur mon sexe. Mon mari passait sa langue sous toute la longueur de mes lèvres et il tétait doucement mon clitoris extrêmement sensible. Ouvrant les yeux, j’ai vu trois hommes, le sexe sorti du pantalon en train de se caresser. L’un d’eux s’approcha. Un simple non, le fit reculer. C’est alors que j’ai senti le plaisir m’envahir. Un succulent orgasme me secoua.
Quand je revins à moi, Pedro était debout à côté de moi. J’ai alors défait le pantalon de mon mari et en ai sorti son sexe, dur comme jamais. Je l’ai pris en bouche faisant rouler ma langue sur son gland. Je l’ai léché et sucé tant que je pouvais car je souhaitais offrir à nos voyeurs le spectacle du plaisir de mon homme dans ma bouche. Mais celui-ci m’arrêta avant son orgasme. Il s’assit à côté de moi, glissant de nouveau sa main sur mon sexe qui s’humidifiait de nouveau. C’est à ce moment la femme qui s’était adressée à moi au bar entra avec son compagnon.
« On peut venir avec vous ?
— Avec plaisir, répondis-je »
Je suis venue m’installer sur Pedro pendant que la femme ouvrait le pantalon de son compagnon pour le prendre en bouche. Je faisais en sorte de prendre mon temps. Pedro crut alors bon de me dire:
« Ils sont toujours là à se masturber en matant tes jolies fesses.
— Combien ?
— Toujours trois… »
A nos côtés, le couple avançait dans leur exploration mutuelle. La jeune femme se mit ensuite à quatre pattes au sol. Elle m’invita à faire de même. Tentée, je me suis installée presque face à elle mais tout en me laissant la possibilité d’observer les hommes qui se caressaient. J’ai ensuite vu le visage de la femme changer quand son homme la pénétra. J’ai, peu de temps après, senti Pedro investir mon antre humide. La femme se mit à pousser de petits cris, relayant les coups de reins de son compagnon en elle. Mon regard passait de cette femme à l’homme qui était en elle jusqu’aux hommes qui se caressaient en nous observant. Je sentais mon plaisir décuplé par les regards sur moi.
Soudain l’homme accéléra le rythme. La femme se mit à gémir de plus belle sans aucune pudeur. Puis, dans un râle, il sortit de sa compagne et se répandit sur son dos et ses fesses. Elle se mit à regarder les hommes de la pièce en les détaillant. Elle pointa son doigt vers l’un d’entre eux et lui fit signe de s’approcher.
« On avait pas ce soir, lui dit son homme
— Je suis désolée mais tu ne m’as pas finie. J’ai besoin moi, lui répondit-elle. »
L’homme choisi, visiblement ravi de l’aubaine, passa derrière la femme et la pénétra d’un seul coup. Elle se remit à gémir. Ce changement de partenaire fut une surprise pour moi et eut raison de ma résistance. Un orgasme me foudroya. Les contraction de mon sexe autour du sien firent venir Pedro dont le liquide chaud s’écoula en moi. Pedro et moi nous sommes ensuite installés sur la banquette à côté de l’homme relégué au rang de voyeur. Nous observions sa compagne et son partenaire en plein ébat. Ils enchaînèrent les positions devant nous et la femme n’arrêtait pas de gémir et de pousser de petits cris ce qui avait visiblement le don d’exciter son compagnon à nos côtés. Devant ce spectacle, Pedro et moi récupérions de nos premières émotions. Au bout de quelques minutes, en chevauchant son partenaire, la femme finit par avoir son orgasme.
J’ai alors demandé à Pedro de nous déplacer un peu. Une fois les vêtements réajustées, nous avons quitté la pièce. Nous avons déambulé dans la boîte jetant un il dans toutes les alcôves disponible à la vue. Dans la plupart des femmes faisaient l’amour avec un et parfois plusieurs partenaires. Dans l’une d’entre elle, deux couples se donnaient du plaisir échangeant régulièrement de partenaire. A chaque fois, à la porte ou à l’intérieur, des voyeurs dont nous faisions désormais partie se délectaient des spectacles offerts.
Nous sommes ensuite revenus dans la pièce principale de l’établissement. Les danses y étaient maintenant effectuées par des femmes quasiment nue avec des hommes dont les mains étaient loin d’être sages. Sur les banquettes alentour, les coquineries de début de soirée avaient laissé place à des attouchements prononcés voire à des préliminaires. Pedro et moi avons pris place sur une banquette laissée libre par un couple qui venait de s’éclipser à l’arrière de la boîte.
Entre mes cuisses, je sentais mon envie reprendre. La main de Pedro remontant le long de ma cuisse jusque sous ma jupe ne devait pas être étrangère à cette poussée de désir. J’ai libéré son sexe qui avait repris des forces.
« J’ai envie de toi, lui dis-je
— Moi aussi mais ne préfères-tu pas que nous allions nous mettre à un endroit plus discret ?
— Non, je veux que tout le monde me voie regarde avec toi. »
Pedro et moi avons alors fait l’amour sans pudeur sur cette banquette. Les regards posés sur nous nous réchauffait et le plaisir que nous ressentions tout les deux été décuplé par la présence des voyeurs autour de nous. Lorsque j’ai joui, mon regard a croisé celui d’une grande blonde qui m’observait en souriant. Elle savait les ondes de jouissance qui parcouraient mon corps. Quand il s’est retiré, mon homme a présenté son sexe à ma bouche. Quelques coups de langues et quelques aller-retour de mes lèvres plus tard, j’ai senti son liquide chaud envahir ma bouche. J’ai nettoyé Pedro du mieux que j’ai pu puis nous nous sommes rhabillés et avons quitté la boîte non sans nous promettre d’y revenir très vite.