BDSM et sextoys, suite.
Sara !
Surpris, je me retournai ; je cherchais la fameuse Sara, mais il n’y avait personne. J’interrogeai ma sur du regard.
Oui, je vais t’appeler Sara ; c’est un joli prénom, tu ne trouves pas ?
Oui, Maîtresse, comme il vous plaira.
Parfait. Alors à la tienne, Sara !
Nous trinquâmes et je bus une gorgé de ce liquide à l’odeur piquante : je reconnus du whisky ; je suis peu habitué à ce genre de breuvage dont les effets peuvent devenir rapidement désastreux sur mon organisme. En descendant dans mes entrailles, le liquide me provoqua une intense chaleur ; une bouffée remonta de mon estomac jusqu’à mes oreilles : j’avais maintenant aussi chaud à l’intérieur qu’à l’extérieur de mon corps. Pourquoi m’avait-elle donné cet alcool ? Peut-être pour me donner du courage pour la suite ? Je n’en savais rien.
Elle m’ordonna d’aller chercher de quoi grignoter pour l’apéro, et m’indiqua qu’après nous mangerions. Quoi ? Je n’en savais rien. Avant, elle voulut ajouter une touche à ma tenue, prétextant qu’il manquait quelque chose. Elle s’absenta un instant puis revint, une perruque blonde à la main qu’elle me posa sur la tête. S’ensuivit une mise en ordre soignée ; j’étais prêt, ou plutôt prête. Il fallut vérifier si la cage et le plug étaient bien restés à leur place ; que le string était bien enfilé, avec les chaînettes bien mises, ne faisant pas des huit. Ensuite j’eus le droit de m’asseoir, les fesses sur le bord d’une chaise pour que le plug me rentre encore plus dans le cul. Ma bite fatiguée de forcer le métal avait déclaré forfait ; la cage et mes baloches pendouillaient lamentablement et se balançaient au moindre mouvement, ce qui avait tendance à faire rire ma maîtresse.
Je devais lui faire la conversation : raconter mon ressenti sur ce qui venait de se passer, et insister sur les moindres détails. Justine, assise en tailleur sur le fauteuil d’en face, commença à se toucher la chatte. Je devais raconter et contempler le spectacle ; plus mon récit était croustillant, plus elle se touchait. Ma bite reprit de la vigueur mais, toujours emprisonnée dans sa cage, elle me faisait mal.
Je suppliai ma maîtresse :
S’il vous plaît, Maîtresse, pouvez-vous libérer mon sexe de sa cage ?
Non, pas maintenant. Il te fait mal, je suppose ; ce n’est pas grave : il faut souffrir pour être belle, tu le sais ?
Oui, Maîtresse, comme vous voulez. Je vais attendre, alors.
Je dus garder cet engin de torture ; putain, qu’il me faisait mal, ce con ! Seule solution : ne pas penser au cul, sauf que raconter ça sans bander m’était impossible. Je revivais ces instants avec un plaisir indescriptible, et c’est résigné que je continuai mon récit. Ma frangine s’en donnait à cur-joie, se fourrant les doigts dans la moule et se l’astiquant. La salope, elle se tripotait partout ! Ses tétons pointaient à travers le paréo et elle se branlait comme une malade, gémissait, gloussait comme une oie lorsqu’elle fut traversée par un orgasme si puissant qu’elle en fut toute secouée comme une poupée de chiffon puis, une fois remise de ses émotions, elle me dit :
Tu racontes admirablement bien, je te félicite. Je vais t’accorder une faveur, si tu veux bien.
Tu parles que j’en voulais, de sa faveur ! Elle allait me libérer et aussi me laisser me branler car j’avais les couilles pleines. La faveur ? Tu parles… elle m’autorisa à choisir la pizza que je mangerais ce soir. Comble de bonheur, ce sera un une pizza de pizzaïolo livrée à domicile.
Elle prit son téléphone et numérota.
Allô, bonsoir.
…
Je voudrais une regina et une calzone, s’il vous plaît.
…
2 Grand’ rue.
…
Vous sonnez ; ma domestique ira les prendre.
…
Merci, à tout à l’heure, au revoir.
Un flash traversa ma tête : « Ma domestique ira les prendre. » ! Ce n’est pas elle qui va y aller ? Je vais devoir sortir récupérer les pizzas dans cette tenue, le comble !
Sara, tu iras chercher les pizzas tout à l’heure ; tâche d’être à la hauteur.
Et si je refuse ?
Si tu refuses ? Tu n’a pas de cervelle, ma pauvre Sara ! Tu iras quand même, et à poil, quitte à ce que je te tire avec la laisse s’il le faut.
Le message était clair : il ne fallait pas que je fasse le malin. Résigné, je me préparai psychologiquement à me retrouver nez à nez avec le livreur de pizzas. Quand la sonnerie du portail se fit entendre, je commençai à flipper : qui allais-je trouver en face de moi ? Mon cur tapait à tout rompre dans ma poitrine.
Allez, prends le porte-monnaie et vas-y !
Je sortis et parcourus l’allée qui mène au portail ; il faisait presque nuit. J’ouvris le portail. Je suis persuadé que moi et ma tenue firent un effet surprenant sur le livreur : il écarquilla les yeux, me dévisagea, me toisa de la tête aux pieds et me dit, d’une voix gênée :
Bonsoir… je vous apporte les pizzas.
Bonsoir, je vous dois ? lui dis-je avec la plus grande désinvolture possible.
Mais… je… vous… Enfin… fille ?
Devant son embarras et son regard troublé, je repris la situation en main.
Qu’y a-t-il, vous avez des problèmes ?
Non, non, mais c’est vous, je n’ai jamais vu une servante dans cette tenue ; vous êtes vraiment canon !
Merci. Je vous dois combien ?
Euh… vingt euros. Je m’excuse, mais je pourrais vous revoir ? Enfin…
Tu ne serais pas en train de me draguer, par hasard ?
Il baissa le front, piteux, et je continuai :
C’est mon cul que tu veux, hein, c’est ça ? Bon, OK. Ce soir, je ne peux pas, mais demain, si tu es libre, je suis d’accord.
Oh oui ! Demain, je termine à midi et après je suis libre.
Très bien, moi aussi je suis libre. Voilà ce qu’on va faire : demain la patronne va commander une ou deux pizzas, et tu n’auras qu’à te débrouiller pour les livrer. Ça te va ?
Super ! Et après ?
Tu auras une belle surprise… Allez, à demain.
Je fis volontairement tomber le porte-monnaie et m’accroupis pour le ramasser, laissant le bas de la robe remonter suffisamment haut sur ma cuisse pour qu’il puisse voir ma jambe, mais pas le reste. Juste pour le motiver : il fallait qu’il revienne, j’avais une petite idée en tête… Après un petit signe de la main au livreur Justine avait le nez collé à la vitre de la cuisine je retournai à l’intérieur avec mes deux pizzas.
Alors, Sara, tu as fait la causette avec le livreur ?
Il m’a dragué.
Cool ! Tu aurais dû le faire entrer et vous auriez pu vous amuser.
Il ne pouvait pas : il n’a pas terminé ses livraisons.
Dommage… Comme tu as été docile, je vais te faire une faveur.
Merci, Maîtresse, vous êtes trop bonne.
OK, n’en fais pas trop non plus : je pourrais changer d’avis, me dit-elle en se levant.
Oui, Maîtresse.
Va prendre ce qu’il faut pour manger les pizzas, et à boire aussi ; je prendrais bien un peu de rosé. Et attends-moi pour commencer, je reviens.
Bien, Maîtresse.
J’oubliais : tu enlèveras la robe et tu m’attendras à genoux devant la table basse, ta pizza devant toi.
Avant qu’elle ne disparaisse, je pus admirer en contre-jour sa croupe et sa silhouette à travers le paréo. Je m’exécutai et pris tout ce qu’il fallait : couteaux, roulette à pizza, deux verres (un pour moi et un pour elle) et le rosé ; un petit rosé de Provence, un nectar !
Quand elle revint, j’avais adopté la tenue et la position demandées ; j’attendais sagement, les mains croisées sur les fesses encore chaudes. Elle s’approcha de moi, avec son sourire toujours aussi pervers, et me dit :
Coupe ta pizza en quatre et je t’enlève la cage.
Ce n’était que du bonheur : j’allais être enfin libre ! Elle tint sa promesse et libéra mon engin que je regardai se déployer tranquillement. Le fil de fer avait marqué ma peau, mais je le sentais revivre ; une érection commençait à revenir doucement. Le mouvement s’accéléra à une vitesse impressionnante quand je sentis la morsure des pinces à seins et leur poids tirer mes tétons vers le bas. Je bandais à nouveau ; que cela faisait du bien ! Je fermai les yeux pour mieux savourer cet instant.
Lèche ! gronda-t-elle.
Elle était debout, sa chatte à hauteur de mon nez ; je sentais son odeur, ce mélange de sueur et de cyprine était presque enivrant. « Lèche ! » m’avait-elle dit… Tu parles, en guise de mise en bouche, je n’allais pas m’en priver ! Je lapai son jus telle une bête ; je ne ressemblais pas à autre chose : un fauve qui n’a pas vu de femelle depuis une éternité. Je fis un bond : le gode anal venait de se mettre en route. Tout vibrait en moi, de mon trou du cul à mon ventre en passant par mes couilles ; un immense plaisir montait en moi et devenait de plus en plus fort. Il fallait que je me branle, ce supplice était horrible.
Justine avait pris place en face de moi dans un fauteuil, assise en tailleur comme d’habitude ; une part de pizza dans une main, et l’autre jouait avec son clito.
Branle-toi, maintenant !
À genoux devant la table basse, j’avais la queue juste au-dessus de ma part de pizza. Je pris ma bite en main. Oh, putain, que cela faisait du bien ! Je mastiquais le jonc avec force. Justine m’ordonna d’éjaculer sur l’italienne. Surexcité, mais inconscient des conséquences de ce que j’étais en train de faire, j’éjaculai sur le fromage râpé et répandis liquide gluant sur la galette encore fumante.
Justine était aux anges. Entre deux gloussements, elle me dit :
Mange, ça va être froid ; et continue à te branler : je veux goûter une pizza au sperme, alors il faut que tu emplisses cette part.
« Pas de problèmes, ma belle : si tu veux goûter, je vais t’en donner ! » pensai-je.
Entre deux bouchées, je continuais à m’agiter le dard, persuadé que je travaillais pour le plaisir de ma maîtresse. J’en mis une seconde rasade, et tant qu’à faire j’étalai consciencieusement le liquide avec mon gland ; une sorte de vengeance. « Tu vas bouffer mon jus que j’ai étalé avec ma bite, ma salope ! » Je jubilais intérieurement. Puis, prétextant qu’il n’y en avait pas assez, elle décida de faire une pose et me retira ces maudites pinces qui me martyrisaient les tétons.
J’avais terminé ma part de pizza quand elle se leva et désigna la part de pizza restante :
J’en ai pas assez, il faut en rajouter. Allez, vas-y, à moins que tu veuilles que je le fasse ?
Qu’elle me le fasse ? Un rêve… Bien sûr qu’elle pouvait me le faire ! Sans même attendre ma réponse, elle attrapa mon engin et le branla avec une énergie telle que je sentais déjà la poussée dans mes testicules. Pour augmenter la production, je décidai de me titiller les tétons, et ça, ça marche vachement bien ! Je lui envoyai une telle quantité de purée sur la galette au fromage qu’elle en fut entièrement recouverte. J’étais fier de moi, j’avais le sourire satisfait au coin des lèvres. Justine alla se rasseoir, les jambes grandes ouvertes comme sa moule, d’ailleurs et me dit de sa voix suave :
Je suis désolée, Sara, mais je n’ai plus faim. Alors, comme ici on ne jette rien, tu vas la manger ; tu vas voir comme c’est bon, une pizza à la compote de gland ! Et si tu ne veux pas, je te laisse le gode dans ton cul jusqu’à demain.
Comme j’en avais plein le cul de ce gode, je me résignai à avaler le reste de ma pizza. L’odeur était horrible et le goût très étrange ; j’ai dû boire deux verres de rosé pour faire passer ce truc immonde. Ma maîtresse savourait ce moment. Durant tout ce temps, elle se masturbait et avait même joui. Elle gloussait, miaulait, s’agitait dans tous les sens et lâcha un grand :
Ouiiiii… Oh, putain, que c’est bon…
Une fois le calme revenu, elle m’enleva le gode ; j’avais la sensation d’avoir le trou du cul grand ouvert. Elle me dit se sentir fatiguée de cette journée de folie ; elle avait parfaitement raison, car moi aussi. Après avoir mis de l’ordre, elle me débarrassa de mon sort de gonzesse et je repris mon rôle de mec. Après m’avoir enduit le dos et les fesses de pommade, nous nous sommes couchés. Je fus harcelé de questions ; elle voulait tout savoir : comment j’avais trouvé ça, qu’allais-je lui faire ? Je lui répondis simplement qu’elle aurait des surprises et mal aux fesses.
Elle s’est endormie sur un :
Chic, vivement demain ! Vivement la suiiite…
[À suivre]