Joignant sans attendre le geste à la parole, ma main droite claqua assez fortement sa fesse homolatérale et y resta appuyée deux bonnes secondes comme pour en apprécier le moelleux et absorber la chaleur nouvelle que je venais d’y produire.
Elle avait poussé un petit cri venu du fond de la poitrine.
La seconde tomba sur la même fesse un peu plus bas, et exerça la même pression prolongée avant de reculer et de recommencer un peu plus à l’extérieur.
Je la fessais avec la main largement ouverte en signe de possession comme si celle-ci s’en arrogeait la pleine propriété.
C’est vrai que j’avais envie de ce gros fessier, plantureux, bien épanoui, envie de parcourir sa chair sur toute sa surface, et même son épaisseur.
Alors vicieusement, en prenant bien mon temps, à un rythme égal, lent et régulier, je claquai uniformément la fesse droite puis la gauche, osant même monter tout près des reins, bien que plus doucement car la peau étant plus tendue et moins grasse, la douleur peut être intense.
En fesseur expérimenté et même expert en la matière, je sais exactement comment doser les claques pour qu’elles soient bien ressenties, qu’elles provoquent juste ce qu’il faut de cuisson mais pas de douleur lancinante et insupportable.
Un bon fesseur doit aussi se caler sur les réactions de sa partenaire, mais aussi les anticiper et aussi savoir faire sans.
Et ma belle blonde aux cheveux bouclés ne sétait pas encore montrée très "démonstrative" jusquà là. J’aurais pu avoir la faiblesse de croire que ma fessée ne lui faisait pas beaucoup d’effet, qu’elle était trop en deçà du seuil de sa douleur, mais elle poussait quand même des petits "HA" secs qui montraient que la sensation la secouait, sans être insupportable.
Afin de vérifier ma théorie, je me mis à accélérer et à lui administrer des claques un peu plus fortes et plus sèches sans laisser, cette fois, ma main en appui ; l’effet est garanti et provoque une sensation de cuisson qui devient rapidement intense.
Ma belle antiquaire ne mit pas longtemps à réagir et se mit à pousser des petits cris dès la cinquième claque. Sa belle chair qui avait été à peine rosie et avait pris l’empreinte de mes doigts se mit à prendre une teinte franchement rouge.
Je fis une petite pose et admiratif, la félicitai sur son anatomie :
" – Vous avez vraiment un beau cul, Madame l’antiquaire ! Et je suis un connaisseur ! Il est développé à souhait, avec des fesses aux formes comme je les aime, épanouies, pleines, opulentes humm la perfection à mon sens !
— Merci" répondit-elle, émue.
— C’est vraiment un plaisir de vous fesser. Votre cul est vraiment une pièce de choix pour un fesseur tel que moi. Je suis ravi que vous ayez souhaité tenté cette expérience.
Mais bon, assez parlé… Vous ne demandez pas encore grâce, je peux continuer?
— Ou oui pas trop fort
— Faites-moi confiance. C’est moins douloureux qu’avec la strappe, n’est-ce pas ?
— Ah oui, c’est sûr !
— Alors continuons. Mais nous ferons les pauses qu’il faut pour que vous ne saturiez pas et que vous ayez bien le temps de sentir monter la cuisson dont je vais vous gratifier"
Je recommençai à un rythme lent puis variable, prenant bien soin d’alterner le site choisi pour l’impact de ma main, ainsi que la façon de lui claquer sa chair, tantôt de façon appuyée, tantôt sèchement, en effleurant à peine la peau.
Selon la force de la claque elle poussait des geignements brefs, à peine sentis, tantôt des cris de surprise sous mes claques un peu vaches. Son volumineux fessier prenait peu à peu une délicieuse couleur tomate, avec des stries un peu plus sombres.
Je commençai vraiment à avoir envie de son cul.
J’arrêtai un instant, comme promis. Elle s’était un peu avachie, le torse vautré sur le dossier du fauteuil.
Je descendis ses bas jusqu’au pli du genou, lui déclarant :
" – Vous avez aussi des belles cuisses. Elles seraient jalouses si je ne les traitais pas de la même façon
— Aïe la peau est sensible, là Doucement.
— Je sais doser. Je connais parfaitement l’anatomie, et encore plus l’anatomie féminine, ma belle" dis-je en lui caressant la peau on ne peut plus douce du derrière de ses cuisses, comme pour la flatter, mais surtout pour le plaisir de ce contact avec une telle surface fraîche et satinée.
" Et je dois dire que vous avez des magnifiques cuisses, elles ont une forme splendide, une surface parfaite Je dois dire que si j’étais votre amant j’aurais plaisir à vous voir vous promener avec des robes et des jupes courtes, en bas et en bottes.
— Oh, jamais je n’oserais ! Vous savez comme les femmes sont dures entre elles, je me ferais moquer et me prendrais des remarques acides
— Si vous étiez à mon bras, elles n’oseraient pas"
Puis je me mis à les lui claquer doucement. Sa peau fine était sensible, elle cria un peu, sursauta parfois.
J’alternai cuisse droite, cuisse gauche, la peau rosit doucement.
J’interrompis. Je fis glisser la culotte en dessous de ses genoux, lui ôtai complètement. Puis lui ordonnai de bien ouvrir les cuisses, ce qui me permit de mieux en claquer l’intérieur, mais aussi d’examiner juste après, et sans ménager sa pudeur, les lèvres de son sexe que j’entrouvris ; d’abord les grandes, charnues, bronzées, puis les petites, fines et délicates, délicieusement ourlées, rose vif et perlées de sa rosée qu’elle continuait à secréter, sous l’effet de mon regard inquisiteur et vicieux.
Enfin, je lui entrouvris les fesses, puis les lui écartai mieux afin de contempler avec un air consciencieux et concentré son petit illet bistre.
Elle ne broncha pas, mais elle devait bien ressentir l’humiliation de cet examen.
Le petit cratère froncé était néanmoins impeccable, absolument propre et net de tout poil.
Je mouillai mon index et du bas des reins je le fis glisser lentement, bien au fond du sillon fessier. Il passa sans s’arrêter sur la rosette (à ce moment-là, je sentis qu’elle frissonna), puis descendit en glissant sur la fente vulvaire.
Je me retins pour ne pas la doigter.
Mais par ce geste je lui avais montré qu’elle m’appartenait, que tout ce que je touchais m’était accessible et disponible, et elle ne protesta pas ni n’émit aucune plainte, me confirmant ce que je venais d’indiquer par ce geste, me prouvant que j’avais raison, et à savoir qu’elle serait toute à moi !
Conforté dans cette conviction, encouragé par sa passivité, sa docilité, et les réactions physiologiques qui prouvaient qu’elle appréciait mon traitement, de plus en plus excité par cette grosse poule qui m’avait offert son généreux corps l’air de rien, d’un ton très autoritaire je lui ordonnai :
" – Allez, foutez-vous entièrement à poil maintenant ! Je vais vous fesser en travers de mes genoux !"
Elle ne discuta pas, je vis dans ses yeux pendant un dixième de seconde de la surprise (bien qu’elle pût alors s’attendre à tout de ma part, du moment que j’eus son consentement, ou plutôt son acquiescement tacite), yeux qu’elle baissa aussitôt, et regardant vers le sol, d’un air honteux ou gêné (était-ce la honte ou la gêne à prendre du plaisir à se prêter à mon jeu, à recevoir des ordres et m’obéir sans discuter, à m’offrir son corps gras et mûr sans rechigner, plus que de la pudeur ?)
Elle finit de descendre ses bas jusqu’à ses pieds, ouvrit sa ceinture qu’elle enleva, retira sa robe par le haut, dégrafa son soutien-gorge et se retrouva devant moi nue comme au premier jour, m’exhibant son corps potelé et replet bien blanc.
Elle leva ses yeux vers moi, un peu penaude, et son regard interrogateur était doux et soumis.
" – Remettez vos jolis escarpins à talons hauts, vous serez encore plus bandante comme ça."
Elle rechaussa ses souliers vernis et brillants, tandis que, sans la toucher, je m’assis confortablement dans le fond du canapé et lui ordonnai :
" – A plat ventre, en travers de mes genoux !"
Elle s’allongea, maladroitement, gênée de cette proximité et du contact de nos deux corps, et je dus la faire se repositionner plusieurs fois afin que son somptueux fessier déjà rougi soit bien dans la juste trajectoire de ma main.
Je sentais la chaleur de son ventre étalé sur mes cuisses, et je ne savais pas si son flanc allait sentir le bâton dur qui était de plus en plus à l’étroit dans mon pantalon.
Je posai ma main gauche sur sa large taille, m’installant bien confortablement.
Nous étions positionnés idéalement pour son tannage de cul.
Je commençai à caresser doucement sur toute sa surface sa mappemonde dont la peau était déjà bouillante. Mon pouce s’immisçait de plus en plus loin dans le profond sillon de cette belle pêche.
Je voyais ses seins plantureux écrasés sous son torse.
Tout son corps voluptueux était un appel au plaisir.
De ma main gauche je caressai doucement son dos, avec une sensualité rare.
Puis, mettant fin à ce tendre intermède (en conformité avec mes règles selon lesquels il faut alterner douceur et sévérité), je me mis à la fesser lentement, fermement, avec application, et méthodiquement.
Je m’interrompais souvent, la laissant reprendre son souffle.
Elle se mettait à crier rapidement dès le début des claques (poussant des cris brefs et excitants) et encore plus quand je me mettais à accélérer méchamment, répartissant les claques sur toute la surface des fesses et des cuisses, alternant, changeant ; je m’efforçai de la surprendre, bien qu’objectivement, elle n’avait même pas le temps d’anticiper, de deviner où la suivante allait tomber : pour elle le résultat était le même, c’était un déluge brûlant qui s’abattait sur ses pauvres hémisphères, et je voyais avec émotion les ondes de choc se propager dans sa chair grasse et remonter jusqu’à ses flancs plantureux.
Emporté par mon excitation je lui lançai avec enthousiasme, presque joyeusement :
" – Vous savez que j’adore fesser les bourgeoises, surtout quand elles sont grasses et un peu avachies, quand on sent qu’elles ont bien profité comme vous ?!
— Aïe ! Aïe ! AAH !
— Oui, j’adore punir les bcbg mûres et vicieuses comme vous, surtout quand elles ont l’air de ne pas y toucher, et qu’elles s’amusent l’air de rien, à m’allumer, sans leurs airs !
— Ouille ! Aïe ! HAA !
— J’adore les femmes au corps gras et aux formes bien épanouies comme vous, au cas où vous ne vous en seriez pas aperçue, bien-sûr ! J’aime j’adore en avoir plein les mains ! Que ce soit pour les fesser ou les palper, les peloter à pleines pognes !"
Elle ne répondit pas à toutes ces remarques, ne relevant même pas l’ironie de mon propos. Il faut dire qu’elle était concentrée sur la cuisson de ses fesses, la sensation de brûlure de ses cuisses
Interrompant un instant ma claquée et comme pour corroborer ce que je venais de dire, je palpai fermement les chairs souples et rouge vif de ses larges fesses, pressant dans mes doigts des replis de peau grasse, allant jusqu’à peloter sans retenue les abondants bourrelets qui s’étalaient de son ventre en débordant sous moi :
" – Et on peut dire, ma chère Madame, que vous êtes plutôt bien pourvue ! On voit que vous avez bien vécu D’autant – il faut vous l’accorder – que vous êtes une excellente cuisinière."
Ma forte antiquaire commençait à se trémousser sous l’action de mes doigts et réprimait des gloussements.
" – Bon" annonçai-je d’un ton martial, "et si nous finissions cette punition ? Il est temps maintenant de vous administrer le coup de grâce
— Oooh" se mit-elle à geindre, d’une façon plaintive et qui trahissait une appréhension.
Je ne lui laissai pas plus longtemps redouter ce qui allait s’en suivre ; joignant le geste à la parole, je débutai le bouquet final :
je me mis à faire pleuvoir une grêlée de claques fortes, sèches, éparses, réparties le plus également possible sur les fesses, le haut des cuisses, le gras de ses hanches, et j’eus bien du mal à maintenir son corps lourd sur moi, qui, pour le coup, avait retrouvé une nouvelle vigueur et des ressources en énergie insoupçonnées, puisqu’elle l’agitait en tous sens, et surtout avec des ruades vers le haut qui cherchaient à la libérer de mon emprise, tout ceci accompagné de cris déchirants, aigus, intenses.
Pour un peu, elle m’aurait attendri et l’envie d’abréger son châtiment corporel me tenaillait.
D’autant que la peau de ses grosses joues fessières carrées était uniformément framboise bien mûre, et que je ne trouvais plus un coin de peau qui avait été un tant soit peu épargnée par ma main vengeresse.
Mais je savais cette dame mûre très courageuse ; je songeais en même temps à la façon héroïque avec laquelle elle avait reçu la strappe dans son magasin d’antiquités, sans faiblir, avec à peine des larmes dans ses yeux en fin de punition, et je me dis qu’un bon tannage de cul, même vigoureux, à la main, n’était pas une torture pour une femme de son âge.
Aussi, en modérant mon ardeur toutes les deux ou trois claques, je lui administrai cette bonne et intense fessée jusqu’au terme des deux minutes que je m’étais approximativement fixées pour ce final.
D’autant que, même si elle se débattait et criait, jurait, faisait des bonds contenus par mon bras autoritaire, à aucun moment elle ne demanda pitié ou grâce, ou ne me supplia d’arrêter.
J’étais autant excité par ses cris de femelle soumise qu’ému par autant de volonté, de ténacité, de fierté bien placée (si on peut dire, parlant du moelleux postérieur de cette belle blonde quinqua.)
Quand la dernière claque tomba (les trois dernières furent volontairement les plus vigoureuses) elle haletait. Je lui donnai aussitôt cet ordre bref et sec :
" – Levez-vous. Et allez vous mettre à genoux là-bas, dans cet angle de votre salon, tournée vers le mur, les mains sur la tête Vous ferez pénitence cinq bonnes minutes ! Et vous ne vous lèverez que quand j’y mettrai fin !"