Encore épris de notre jouissance, nous nous pressâmes néanmoins de nous rhabiller pour éviter d’être surpris. Magalie se rinça le visage à l’eau du robinet, et je remontai prestement mon bermuda tout en allant ouvrir la fenêtre de la cuisine pour effacer toute cette odeur de sexe.
J’entrepris alors de remonter les collants de Mag et de lui réajuster sa jupe. Les deux étaient tâchés de sperme mais les traces commençaient à devenir plus discrètes, on ne voyait que deux ou trois zones de tissu ou de nylon qui semblaient briller ici et là.
Magalie eu juste le temps de se recoiffer un peu et de s’essuyer le visage que nous entendîmes Jenifer descendre les escaliers. Le son d’un tiroir de la commode à chaussures qui s’ouvre puis un claquement de porte nous indiqua qu’elle était partie. Au moins, nous évitions qu’elle nous voit encore tout essoufflés.
Nous montâmes à l’étage en faisant un petit passage par la salle de bain, histoire que Magalie se refasse une beauté et pour nous brosser les dents. Ma mère était sûrement en train de choisir sa tenue dans sa chambre. Il faisait relativement frais dehors pour un mois de septembre, mais une paire de collants avec une jupe ou même une robe longue aurait amplement fait l’affaire. Au lieu de ça, nous aperçûmes ma mère dans une tenue beaucoup plus stricte tandis que nous sortions de la salle de bain. Elle portait un pantalon noir en toile, sûrement une taille trop grande, largement évasé, et ne lui donnant aucune forme. Un haut vert en tweed immonde et à manches longues finissait d’annihiler toute trace de féminité chez ma génitrice. Avec une silhouette, certes fine, mais très agréable à contempler, ma mère faisait un véritable massacre de son corps.
Même Magalie se sentit obligée d’intervenir :
— Jessica, vous n’avez pas chaud comme ça ? demanda-t-elle hésitante.
Ma mère se retourna brusquement, comme si elle remarquait seulement notre présence.
— Oh non ce sera très bien, c’est juste pour sortir le dimanche.
— Je sais mais peut-être que vous serez plus à l’aise dans une robe légère, surtout pour les essayages, plus simple à enlever, et plus simple à remettre.
Ma mère se mit à rougir légèrement et à esquisser un sourire gêné, de sorte que Mag n’insista pas davantage.
— Mais vous êtes tout de même très bien comme ça, reprit-elle.
— Merci ma belle.
— Si vous voulez je vous aiderai à trouver quelque chose, on pourrait se conseiller mutuellement toutes les deux d’ailleurs, proposa-t-elle.
— Oh oui avec grand plaisir. Ça me manque les séances shopping de ma jeunesse
— Raison de plus, ça vous fera du bien. On y va ?
Elle se retourna vers moi pour me poser la question.
— Après vous mesdames, dis-je pompeusement en m’inclinant.
Elles rigolèrent toutes les deux et nous descendîmes au RDC pour accéder à la porte du garage.
Nous prîmes la route et arrivâmes assez rapidement à la zone commerciale environnante. Il était tout juste 14h passées. Nous étions parfaitement à l’heure.
C’est Magalie qui prit les commandes. Elle nous orienta pour commencer avec Promod, puis Jennyfer (un comble), et suivirent Tati et surtout Rouge Gorge. C’est pour moi le temple de la lingerie : collants, bas, porte-jarretelles, soutifs, strings, shorty, nuisettes, etc se trouvaient à profusion, tous plus sexy que les autres.
Ma mère fut particulièrement troublée quand nous passâmes les portes de ce dernier magasin. Ses yeux papillonnèrent comme une jeune fille timide qui entre dans un endroit uniquement réservé aux femmes mûres. Elle parcourait les allées quasiment sans lever les yeux, se contentant de suivre Magalie pas à pas, comme si elle ne voulait pas avoir affaire à toute cette débauche de sensualité.
— Vous voulez essayer quelque chose ? demanda Magalie à l’adresse de ma mère.
— Oh non ! Regarde pour toi et on y va, je suis fatiguée de toute façon.
Ma mère semblait botter en touche, elle ne se sentait pas du tout à son aise ici, et elle aurait sûrement prit la fuite si Mag ne l’avait pas encouragé un peu.
— Allez, vous n’avez rien acheté de la journée encore. Il y a bien quelque chose qui vous ferait plaisir
— Je ne sais pas, vraiment, c’est, euh
Magalie tourna les yeux vers moi et je compris que je devais m’éloigner un peu d’elles. Elle emmena ma mère un peu plus loin et elle sembla lui montrer quelques modèles d’ensemble de lingerie plus ou moins sages. Au bout de quelques minutes, je les vis toutes les deux se diriger vers les cabines d’essayage avec quelques modèles choisis par Mag. Je me demandai si elle avait pu convaincre ma mère d’enfiler quelque chose.
Je reçus un message quelques secondes après leur départ, et je pressentais déjà quelque chose d’étrange.
Sms Mag to Antho : Entre discrètement cabine 3, ta mère ne doit pas t’entendre.
Un peu étonné de sa demande, je m’exécutais et me faufilai bientôt dans la cabine précitée à pas de loups. Je demeurai seul, dans l’expectative pendant des minutes qui me parurent anormalement longues, et c’est là que je reçus un électrochoc. Mon portable venait de vibrer, et ce que je vis sur mon téléphone me laissa sans voix. Magalie m’avait envoyé une photo d’un magnifique ensemble de lingerie composé d’un soutien-gorge rembourré rouge et noir et d’une culotte des mêmes couleurs porté par ma mère !
Mes yeux s’agitaient comme des fous à la vue de cette beauté. Et les photos se multipliaient, j’en reçus deux, puis trois, et quatre ! Je commençai à m’exciter comme un dingue, contemplant les merveilles du corps de cette sublime femme. Les seins de ma mère étaient resserrés et paraissaient époustouflants avec le volume augmenté que leur procurait le soutif à effet push-up. Un petit nud noir satiné en finition sur l’entre-seins me conduit directement à poser une main sur mon entrejambe.
La culotte était elle aussi très excitante : un effet satiné sur la partie rouge à l’avant, deux élastiques en dentelle noir très fine qui reliaient les parties avant et arrières de chaque côté , mais c’est surtout la grande découpe en forme de cur à l’arrière qui me résolut à ouvrir ma braguette.
Je ne pouvais détacher mon regard de cette femme qui me tentait au plus haut point. Ma main finit immanquablement par essayer de branler ma queue, mais je luttais pour ne pas céder à cette perversité supplémentaire, et qui plus est très dangereuse en public.
J’allais remonter ma braguette et ranger mon matos quand j’entendis Magalie dire :
— Vous voyez, j’ai eu raison de vous le faire essayer. Votre mari va adorer, et je vous assure que vous pouvez vous permettre de porter de la lingerie comme celle-là, ayez confiance en moi.
— Oui, mais je me sens trop vieille pour porter ce genre de chose, c’est très aguicheur, entendais-je ma mère répondre à voix basse.
— Soyez tranquille, il y a bien pire que ce genre d’ensemble ; celui-ci est à la fois classe et sexy. Il est juste sublime, ni vulgaire, ni chaste.
— C’est vrai qu’il est très beau, conclut ma mère, visiblement éprouvée.
— Allez, je vous laisse vous rhabiller et on y va, je ne vais pas vous mettre à plus rude épreuve.
J’entendis quelqu’un sortir, et je vis presque instantanément Magalie apparaître devant moi. Elle constata ma queue raide qui prenait l’air et un sourire moqueur se dessina sur ses lèvres. Elle prit ma queue en main et colla ses lèvres contre mon oreille.
— Alors petit pervers, tu la trouves comment notre Jessica ?
Elle ne me laissa pas même le temps de répondre et se mis accroupie pour engloutir ma queue au plus profond de sa bouche. Elle commença à me tailler une pipe monstrueuse et je ne pus m’empêcher de valser en arrière jusqu’à m’adosser contre la paroi de la cabine. Elle suivit mon mouvement et continua de me pomper comme une chienne, expulsant une quantité de bave sidérante par les commissures de ses lèvres. Je savais qu’elle voulait me faire venir très vite car le temps nous était encore une fois compté, mais ça ne suffirait pas pour moi. J’avais besoin de chatte !
Je la saisis par les aisselles et la relevai comme une poupée. Je lui plaquai le dos contre la paroi du fond, et me baissai pour soulever sa jupe. J’attrapais à deux mains ses collants et tirais un grand coup vers l’extérieur pour les lui arracher au niveau de l’entrejambe.
Magalie eu à peine le temps de protester que je me relevai pour lui plaquer ma main sur la bouche et lui enfoncer mon chibre profondément par l’ouverture des collants. Je la besognai à coups rapides et répétés, ma bite progressait facilement dans sa petite chatte, et je la sentais dégouliner de mouille sur ma bite. Elle me saisit la tête à deux mains pour me rouler une pelle dantesque, jouant habilement avec sa langue.
— Alors t’aimes ça baiser en pensant à ta mère hein ? me susurra-elle en relâchant son étreinte.
— Petite salope, t’es vraiment la plus perverse qui soit.
— Hum oui, traite-moi de salope, baise Jessica comme une chienne vas-y !
Ça devenait beaucoup trop délirant ! Je saisis Mag par les hanches et la retournai en penchant son buste sur le banc au fond de la cabine. Je pris alors ma queue fermement, fis glisser ma queue tout le long de sa chatte pour bien l’imbiber de mouille et remontai pour planter ma queue entièrement dans son cul en un seul coup. Magalie poussa un hurlement et j’entendis un jet de cyprine éclabousser brutalement le sol. Tout sembla se figer un instant. J’hésitais à continuer mais Mag me rappela vite à l’ordre en ondulant outrageusement son cul en arrière. Je pris ses hanches de mes deux mains et lui assenai des coups de bite monumentaux, déchirant son petit trou à chaque poussée supplémentaire de ma chaire dans son corps.
— Oh putain je vais venir ! soufflai-je à court d’oxygène.
— Haaan oui ! Vide toi mon fils ! Inonde le cul de maman avec ton foutre tout chaud ! répondit Mag dans une ultime provocation.
Je perdis complètement la notion de réalité à ce moment-là. J’imaginais ma mère au bout de ma queue et je me vis lui asséner un dernier coup de pine colossal avant de décharger toute ma semence dans son cul, me vidant comme un puceau qui attend la première délivrance sexuelle de sa vie.
Le cul de Mag était rempli de sperme. Lorsque je me retirai enfin, un torrent de substance blanche opaque et crémeuse s’écoula de son orifice anal et finit son chemin à terre, puis dégoulina le long de ses superbes jambes gainées des collants rapiécés de ma sur.
Magalie me regarda amoureusement, éprouvée comme jamais, mais visiblement ravie de nous avoir emmenés plus loin dans sa perversion, et la mienne.