La semaine c’est terminée sans problèmes , sauf que maman m’a annoncée son intention de me faire une surprise pour samedi, justement le jour de mon rendez-vous avec Sylvie! .Je n’ai rien dit à Sylvie et l’heure du rdv est arrivée sans que je puisse deviner les intentions de ma mère. Cet apres-midi la, vers 16heures, est arrivée une amie de maman que je voyais de temps en temps, mais plutot en soirée. Elles avaient l’habitude de sortir ensemble, de diner en ville toute les deux et de rentrer tres tard; en general lucie restait dormir à la maison et partageait le lit de maman.Il faut dire qu’il n’y avait pas d’autre possibilité, n’ayant que 2 chambres dans notre appartement. En genéral, ces jours la ,elles se levait trés tard toute les deux, mais je n’avais rien remarquée de special, seulement qu’elles s’entendaient bien et j’avais remarquée aussi qu’elles dormaient nues toute les deux, pour etre entrée une fois dans la chambre par hazard. Lucie que j’avais reveillée m’avait fait signe de venir , et m’avait faite une place entre elles deux. Une fois glissée dans le lit, c’est vrai qu’elle m’avait un peu chatouillée pour rire.Comme maman avait rouspetée en disant qu’elle voulait encore dormir, elle m’avait faite passer de son coté, par dessus elle, me gardant quelques instants plaquée sur son corps en me serrant un peu contre elle.J’avais bien aimée la chaleur de son corps sous le mien et j’en avais meme profitée pour lui embrasser la poitrine et lecher au passage un seins que je trouvais à l’epoque tres gros et trés beau. Elle m’avait laissée faire en souriant et me traitant de bébé.J’ai bien sentie qu’elle pressait mes fesses , mais ce fut tout.Une fois sur le dos , allongée à coté d’elle, elle a voulue voir ma poitrine qui commençait à prendre de belle forme. Je l’ai laissée ouvrir ma nuisette et me toucher un sein puis l’autre.Elle les a longuement palpés, puis ses gestes se sont transformés en caresse autour de chaque seins, de la base et autour puis sur mes tetons a peine formés. A l’oreille, elle m’a demandée si je commençais a avoir des poils entre mes jambes.Lui repondant par l’affirmative, elle a voulue touchée pour voir .Devant mon acquiessement, sa main a quittée ma poitrine, descendue sur mon ventre, comme une caresse,puis sur mes cuisses pour trouver le bas de ma nuisette.Elle a remontée sa main sous le tissus, tres lentement en me regardant dans les yeux, comme pour m’hypnotiser, mais avec un sourire tendre et complice.Elle c’est attardée sur mes cuisses, cherchant à caresser l’interieur et me forçant comme cela à les ouvrir un peu.Sa main est enfin arrivée a la jonction, sur mon aine qu’elle a longuement caressée de chaque cote , m’obligeant comme cela a ouvrir encore plus les jambes.Enfin elle est arrivée sur mon pubis gonflé, en a fait le tour avec son doigt, l’a pris dans sa paume et j’ai sentie ses doigts se refermer sur les levres, et toucher mon bouton d’amour. C’est à ce moment que maman c’est reveillée et Lucie a trés vite retirée sa main, me demandant de partir preparer le petit dejeuner. Sylvie devait arriver vers 18h et cette visite finallement faisait bien mon affaire.Comme cela nous serions seule et tranquille pour nos jeux.Maman viens me voir et me demande d’aller faire des courses, Lucie reste souper avec nous ce soir, il faut aller au supermercher, tu vas y aller seule, nous on a à faire! -Mais j’attend ma copine tu sais bien! – Fais vite cherie, ta copine t’attendra avec nous, nous ne sortons pas! -bon, j’y vais, mais tu sais que j’en ai au moins pour 2 heures, je sais pas si elle voudras attendre! on peu l’inviter pour diner aussi? -oui bien sur , des qu’elle arrive je le lui dit Je suis donc partie faire ces courses, sans arriere pensées et ce qui suit , c’est Sylvie qui me l’a racontée. Sylvie est arrivée vers 18h , elle c’etait habillée en petite fille sage , pour faire bonne impression a ma mere. Corsage blanc et pull, une jupe kilt avec une grosse epingle sur le coté, comme c’etait la mode a ce moment la, mais pas trop courte, a mis cuisse.Dessous un sg tres sage à balconnet et des bas autofixant, le tous couronné par une petite culotte trés sage.Dans son sac, sa surprise. toute une panoplie de gadjet pour jouer au docteur comme elle disait. Elle a ete acceuillie par les deux amies qui papotaient dans le salon et l’invitation a tout de suite ete transmises et acceptée. Sylvie invitée à se mettre a son aise. Elle a donc quittée son pull car il faisait trés chaud dans l’appartement.Apres les presentations coutoises, ma mere lui a precisée que je lui avait parlée d’elle avec beaucoup d’interet et tres en detail ce qui gena sylvie , ne sachant pas trop ce que j’avais pu dire.Surtout que le ’trés en detail ’ avait ete trés appuyé et assorti d’un regard plutot genant. -Mais levez vous que l’on vous vois mieux ! Sylvie qui c’etait assise sur une chaise fut assez surprise par cette invite mais sur l’insistance des deux femmes s’executa. -Tournez doucement et approchez vous, tenez montez donc sur la table du salon ! Sylvie est montée sur la table trés intriguée et a commencée a tourner lentement.Lucie c’est alors levée et a ete chercher le sac de Sylvie, revenue s’assoir sur le canape , elle a regardée ce qu’il contenait; et Sylvie les a regardée fouiller ses affaires en protestant debout sur sa table basse.Les deux amie ce sont regardée, n’on rien dit de leur decouverte, mais ont sorties du sac un cordon sur lequelle etait attachées des boules espacées, de differentes grosseurs et ce terminant par un oeillet . Sylvie à rougie et ne bougeais plus.C’est alors qu’elles lui ont ordonnée de continuer a tourner, mais en plus d’ouvrir son chemisier, et ce sur un ton ne supportant pas de replique.Devant les protestations de sylvie, les deux femmes se sont levées et lui ont envoyée une giffle magistrale et sans commentaire, puis rassisent tranquillement attendant l’execution de l’ordre. Sylviea commencée a deboutonnée son chemisier en tounant et esquissant un pas de dance sur la musique de fond. -Tu vois bien ma fille que tu peu etre obeissante! et tu vas l’etre encore plus! Je vais t’apprendre moi a essayer de faire du mal à ma fille. -Je ne lui veux pas de mal, au contraire, dit sylvie en sanglotant -Mais nous non plus , ma fille; surtout si tu est obeissante! Le chemisier est ouvert maintenantet laisse voir le sg et sa superbe poitrine comprimée au dedans -met toi torse nue, comme a la visite medicale Sylvie qui a compris ce qui lui arrive en regardant les deux amie se rapprocher et commencer à ce caresser mutuellement.Elle quitte son chemisier et enleve son sg devant les deux amies et se touche , caresse ses seins de jeune femme bien ferme et rond, sans defauts. -Je vois que tu est raisonable dit Lucie qui c’est separée de son amie et caresse les mollets Sylvie maintenant à sa portée. Elle c’est accroupie devant elle et sa main remonte sous la jupe et caresse l’aine, s’attarde sur la petite culotte, redescend entre les cuisses , trouve ce petit triangle de chair ferme et si doux,le caresse du bout des doigts, part a la recherche de tresors enfouies, ce qui paralyse Sylvie et la met dans un etat second. L’autre femme caresse son amie, lui decouvre la poitrine, remonte sa jupe et la caresse, reveille toutes les emotions possible sur le corps de sa maitresse, et apres un long moment de caresses intense, se rassoit et leurs demandent d’arreter ce jeux. Sylvie, torse nue,porte toujours sa jupe et sa culotte deja toute humide malgres l’humiliation qu’elle viens de subir. Apres un baiser pasionné, les deux amie s’ecarte et demande a Sylvie de venir s’assoir entre elles.Sylvie descend de la table et viens entre les deux femmes, s’assieds , callée au fond du canapé, jambes legerement ouverte, attentive à ce qui vas lui etre demandée. Elles prennent possétion d’elle, chacune de son cote, lui caresse les seins, puis les cuisses, arrivent ensemble à l’obstacle de la petite culotte oubliée, tente d’en forcer le passage, n’y arrive pas , Sylvie restant inerte, en fausse victime. Elles la font remettre debout, la roule doucement et avec beaucoup de soin et de caresse,mettant ses fesses a nue devant elles,et eliminent l’obstacle a leur desirs. Caressée et finalement obligée de rester debout, des doigts s’insinuent entre ses fesses, caressent , descendent, remontent ;On l’oblige a se plier,poser ses mains sur la table, puis s’ecarter pour laisser la place à cette inquisition caressante,qui la cherche et la fouille dans ses intimités.Elle se sens léchée, apprivoisée, puis violée, forcée, mais elle aime ,monte en elle une vague de chaleur, elle cherche la position et commence à surfer sur son plaisir.Il monte , il viens, elle s’offre, se cambre, Helas tous s’arrete, les mains l’ont quittée, ces mains ont trouvées d’autres plaisirs, les jupes sont relevées, les culottes tombées, les doigts enfouis dans d’autres intimitées et elle peut voir monter d’autres plaisirs que le sien Elle veut se remplir, se sentir, elle se touche, s’ouvre, se trouve; les amantes la , regarde faire.Elle retrouve la vague, s’instale dessus, prete à ce faire coiffer par elle. Un ordre ferme la stop, une tape sur ses fesses cambrée, elle veut continuer, on lui enleve sa main salvatrice, et reçoit une fessée magistrale. Chaque coup lui arrache un cri mais la prepare à une vague plus forte, elle le sent . Le martinet s’infiltre en elle, lui ouvre les chairs, devient amant et elle finie par demander grace, prète à tous les sacrifices à lesbos, son dieu de toujours.
Education – Chapitre 3
3 ans depuis
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