Après le départ de son grand-père, Chloé avait passé le reste de la journée dans sa chambre à se remémorer de ce qui venait de lui arriver. Une partie delle était dégoûtée par les événements, par ce quelle avait fait, par ce quil lui avait fait. Ce nétait pas son genre de se laisser faire. Ce nétait pas normal. Cétait son grand-père, après tout, quelquun de sa propre famille. Ils nauraient jamais dû aller aussi loin. Et si quelquun lapprenait…
Mais, dun autre côté, elle avait encore envie de jouer avec le feu, den découvrir plus. Une autre partie delle avait aimé ce quil sétait passé dans sa chambre, comment il lavait doigtée et léchée, comment il avait posé sa main sur sa bite, comment il avait enfoncé sa queue dans sa bouche de vierge, comment il avait enfoncé son doigt dans sa petite chatte toute serrée. Alors quelle se remémorait les gestes de son grand-père, elle se rendit compte quelle mouillait encore. Elle avait envie de ses grosses mains rêches, de goûter à sa queue. Il sétait occupé delle, pourtant, il lavait fait jouir, mais elle avait encore envie de lui.
Elle avait passé le reste de la journée à se doigter en pensant à ce quil lui ferait demain, et navait pas osé sortir de sa chambre jusquà ce que sa grand-mère lappelle pour le dîner. Elle enfila son débardeur en satin et un short dans la même matière, sans rien mettre dessous, bien déterminée à exciter son grand père. Elle voulait voir jusquoù il irait, même si une partie delle nétait pas sûre de vouloir le savoir. Cétait encore un terrain inconnu pour elle, ce qui avait tendance à lui faire peur.
Lorsquelle descendit à la cuisine, sa grand-mère sindigna du fait quelle nétait que très peu couverte. Son grand-père, lui, ne put sempêcher de regarder sa poitrine. Son débardeur était tellement échancré quon pouvait voir la naissance de ses seins sur le côté. On frappa à la porte. Cétait un voisin qui venait dîner. Il devait être aussi âgé que ses grands-parents. Chauve, ridé, il avait un gros ventre qui tombait presque sur ses jambes. Au départ, Chloé était un peu gênée ; elle ne savait plus trop où se mettre et regrettait un peu davoir choisi une telle tenue. Jouer à la salope devant son grand-père était une chose, le faire devant un parfait inconnu en était une autre. Finalement, elle se rendit compte quelle aimait lattention quon lui portait et commença à en jouer. Lorsquelle fit tomber la bretelle de son débardeur « accidentellement », elle attendit un peu avant de la remettre.
Dès quelle croisait le regard du voisin, elle lui lançait un sourire aguicheur ou faisait mine de sucer le bout de son doigt. Elle était à la fois honteuse et satisfaite de leffet quelle faisait.
Lorsque le repas fut terminé, son grand-père monta se coucher et le voisin sen alla. Chloé, qui était restée sur sa faim, aidait sa grand-mère à ranger lorsquelle se rendit compte que le voisin avait oublié son téléphone.
Tu peux aller le lui ramener. Et tant que tu y es, tu pourras aller chercher le tournevis quil nous avait emprunté. Il ne ramène jamais rien…
Dun soupir blasé, Chloé fit mine que cette idée lui déplaisait. En réalité, elle nattendait que cela. Elle voulait voir jusquoù elle pourrait aller avec le voisin. Elle savait quelle ne devrait pas, que cétait probablement une mauvaise idée. Mais les regards quil lui avait lancés lavaient excitée au plus haut point et elle avait besoin dune queue.
Quelques minutes plus tard, elle enfila un blouson et des chaussures avant denfourcher son vélo. La maison du voisin nétait pas bien loin, mais le prétexte de la balade à vélo lui sembla être un bon alibi, au cas où sa visite devrait se prolonger un peu plus longtemps que prévu.
Une fois arrivée devant la porte, son cur battait à cent à lheure. Elle manqua de se raviser, elle avait peur. Et sil la rejetait, et sil racontait tout à ses grands-parents ? Cétait risqué, mais cétait trop tard : elle était déjà en train de frapper à la porte.
Vous avez oublié votre téléphone, dit-elle en le lui tendant.
Ah, merci jeune fille.
Et ma grand-mère voudrait récupérer son tournevis.
Ah… Je dois lavoir quelque part. Rentre, si tu veux.
Elle ne se fit pas prier. Elle entra dans le salon et sassit sur le canapé. Le voisin sabsenta un moment à la recherche du tournevis, mais revint bredouille quelques minutes plus tard.
Je nai rien trouvé, je chercherai demain.
Elle hocha la tête, son plan allait tomber à leau. Elle sentait quelle lavait chauffé pourtant. Elle avait tout fait pour.
Est-ce que je pourrais avoir un verre deau ?
Bien sûr.
Elle se rendit compte quil nallait pas faire le premier pas ; pas comme son grand-père. Cétait à elle de prendre des initiatives si elle voulait obtenir ce quelle voulait.
Elle enleva son blouson. Il lui porta le verre deau. Elle prit une gorgée avant de le poser sur la table. Dun geste innocent, elle fit tomber une bretelle de son débardeur, puis deux, ce qui révéla sa poitrine. Les yeux fixés sur ses seins pointés, il ne dit rien. Comme sil attendait. Presque déçue, elle se mit à se malaxer les seins, à tirer sur ses tétons. Lui, il la dévorait du regard, ne sachant pas sil avait le droit de la toucher. Elle éprouvait un certain plaisir à savoir que cétait elle qui contrôlait la situation.
Soudain, elle écarta les jambes, révélant une tache de mouille sur son short en satin. Sa main droite glissa de son sein jusquà sa chatte, se faufilant un chemin sous le tissu. Elle se branlait devant lui en le regardant droit dans les yeux. Elle gémissait, comme la salope quelle était. Il sapprocha delle, et elle pouvait discerner la bosse que formait sa queue dans son pantalon, là, juste en face delle.
Il déboutonna son pantalon. Il tenait sa bite durcie juste en face de son visage. Elle était différente de celle de son grand-père. Plus fine, plus longue aussi. Chloé sut tout de suite ce quelle avait à faire. Elle prit la bite entre ses doigts et cette queue quelle ne connaissait pas se mit à frétiller dans sa main. Elle la lécha, de bas en haut, de haut en bas. Elle branla cette grosse queue avant de lenfourner dans sa bouche de petite chienne. Elle faisait glisser ses lèvres le long de ce membre qui avait un goût de pisse, mais cela ne la dégoûtait pas autant que cela la faisait mouiller. Le voisin poussa un râle au premier contact de sa bouche avec sa queue. Elle, elle gémissait comme une pute et elle jouait avec cette bite. A un moment, il lui ôta sa bite de la bouche et colla sa tête contre ses couilles. Elle comprit le message. Pendant quil se branlait sur elle, elle lui suçait les couilles et tirait dessus.
Lui, il la tenait fermement par les cheveux quand il lui enfonça sa bite dun coup dans la bouche, puis dans la gorge. Elle manqua de sétouffer et reprit sa respiration, essoufflée, lorsquil se retira. Elle se remit à le sucer pendant quil tripotait ses seins. Il lui pinçait les tétons.
Taimes ça, salope, hein ?
La bouche pleine, elle ne pouvait pas répondre ; mais, oui, elle aimait cela. Elle aimait sétouffer sur une queue, elle aimait sucer, elle aimait le plaisir que cela lui provoquait. Elle aimait quil lui touche les seins, quil tire dessus. Elle aimait ses mains rugueuses contre sa peau de pêche.
Montre-moi ta chatte.
Un dernier coup de langue sur sa bite, puis elle sexécuta. Elle enleva son short et écarta les jambes, lui laissant voir sa chatte imberbe et luisante de mouille. Alors quil approchait sa main pour la toucher, elle lui dit:
Non, tu touches pas. Tu regardes.
Elle eut du mal à se reconnaître, avec son air autoritaire. Il se tenait face à elle, docile, en la regardant, attendant ses ordres. Elle se mit à se branler devant lui. Son corps ondulait. Elle le regardait dans les yeux, elle gémissait fort. Personne ne pouvait les entendre, de toute façon. Lui, il se branlait frénétiquement en la regardant. Elle faisait tout pour lexciter, se mordillant les lèvres en le fixant. Elle prenait sa chatte à pleine main, puis elle se mettait un doigt, puis deux, mais sa chatte était encore trop serrée. Elle portait ses doigts à sa bouche, les suçait en poussant des gémissements de salope. Il a joui quand elle sest fait jouir, aspergeant son visage de foutre. Il appuya sa bite contre sa joue et elle la reprit en bouche pour la nettoyer.
Cest ça, nettoie ma queue, sale chienne.
Elle jouait avec son gland, lui donnant des coups de langue, le gobant légèrement. Ses lèvres montaient et descendaient le long de sa queue, et il poussait des râles de satisfaction. Elle finit par racler son visage avec ses doigts pour avaler tout le foutre quil avait laissé sur son passage. Elle passa ensuite ses doigts sur sa chatte pour déguster sa propre mouille, sous le regard fasciné du voisin.
Tes vraiment une grosse salope.
Et toi, un gros pervers.
Elle ne se reconnaissait pas. Elle, qui navait jamais touché personne avant aujourdhui, venait de sucer deux bites en lespace dune journée et de sexhiber devant un parfait inconnu. Pourtant, il y avait quelque chose de profondément libérateur dans ces nouvelles expériences. Elle se rhabilla rapidement, au grand regret du voisin qui ne manqua pas de la regarder une seule seconde. Et elle repartit chez ses grands-parents.