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Dick – Chapitre 4

Dick - Chapitre 4



Il y a trois jours que jai perdus Dick, mon amant.

Les ouvriers ont posé le portail et je suis entièrement protégé.

Jai profité, quils étaient là pour transférer mes femelles dans le nouveau refuge.

Jai mis en vente à lagence immobilière locale lancien et jattends déventuelles proposition. .

Heureusement que jai mon travail et le chiot, car sinon les journées seraient interminables.

Le portail sensé nous protégés est un handicap, car cent fois dans la journée, je le déclenche pour voir sur la route sil arrive du village.

Je finis par laisser ouvert un vantail.

Jai de plus en plus de mal à supporter Bruno. Tout est sujet à disputes. Il est indifférent à lintérêt que je porte à mon joli chiot et refuse que je sois anxieuse pour un simple chien errant qui a repris sa liberté.

Je peux difficilement lui dire que le sexe de mon chien commence à sérieusement me manquer.

Je nai aucune possibilité de substitution certes, jai bien en pension un beau dalmatien mâle pendant quelques jours.

Dès que jai cinq minutes, je vais vers la route et ne voyant rien venir, je vais à lenclos.

Je regarde le chien et mon regard est toujours attiré par ses testicules qui sont bien moins imposants que ceux de mon amant.

Une fois jai même ouvert la cage, mais au moment de faire sortir le chien pour le conduire au laboratoire, jai reculé et je me suis refusé à franchir le pas.

Jai conscience quil me serait difficile de dire à sa propriétaire lorsquelle viendra demander pourquoi depuis que je lai eu chez moi il vient fourrer son nez sur sa chatte cherchant ostensiblement à la sauter.

Une plainte et je peux fermer mon élevage.

Alors, je prends mon mal en patience, Dick II a deux mois, dès un an, il sera capable de faire des chiots à mes femelles, mais lors de mes études, je sais que dès huit mois, il sera capable de saccoupler si on laide et comme mes chiennes reproductrices, je pourrais profiter de ses attributs et ainsi essayer doublier Dick le grand.

Mon plus grand regret, cest davoir pas pris assez de précaution au chenil où je suis allé chercher mon jeune labrador et que mon amant mait vu avec le chiot dans mes bras.

Il a dû être jaloux et pour me punir, il a cassé la portière et cest enfui.

Mon plus grand problème, cest que je reste une chienne, je pense chienne, je vis chienne, je me suis surprise un midi à avoir posé mon assiette par terre en face de celle du bébé chien, dès que Bruno est parti et mangé les croquettes qui me restent de mon amant.

Cette habitude que jai pris de faire entrer le chien jusque dans notre chambre a été le déclencheur de notre dispute dhier.

Il a senti son odeur qui imprègne le lit depuis que, je lai laissé gambader alors que jétais nue les cuisses écartées espérant quil vienne me lécher et ainsi se former à me satisfaire dans le futur.

Jai même pensé à aller prendre de la confiture pour men enduire et linciter à venir lécher la friandise.

Je suis resté sur mon envie frustrée, car je me suis souvenu que Bruno avait fini le pot hier et que les courses restent à faire.

Cet oubli me permet de redescendre sur terre et de redescendre le chiot dans le laboratoire.

Il y a vingt-neuf jours que Dick ma quittés et je vais de moins en moins au portail que je laisse fermer.

Pourquoi dans laprès-midi alors que jai carrément oublié de my rendre depuis deux jours, je passe près du portail et que jentends des gémissements ?

Ais-je, développé en baisant avec mon chien linstinct animal qui est très développé chez ces bêtes, je ne le saurais jamais.

Tout ce que je sais, cest que Dick est là dans un sale état, squelettique au possible, couvert de merdre sur les pattes et sur le corps, il est ensanglanté au cou.

Jouvre le portail et prenant le risque dêtre vue, je le prends par le cou et ma bouche lembrasse partout où je peux la poser.

Cest bien beau de lavoir retrouvé, mais si cest pour lincinérer, il aurait mieux valu quil meurt en chemin.

Je recule la camionnette et comme une femme amoureuse est capable de le faire, jarrive à le soulever et lentrer à larrière.

Je conduis comme une folle prenant tous les risques pour rejoindre le cabinet de vétérinaire situé à cinq kilomètres de mon refuge.

Je conduis dune main pendant que je téléphone à Christophe de lautre.

Jai la chance quil soit là et dès que jarrive, il a apporté un chariot pour mettre mon gros bébé dessus.

Dès quil est dans son bloc, il perfuse mon Toutou, mais souhaite que je sorte et que jattende dans la salle.

Deux heures à attendre regardant cette maudite pendule placée devant moi.

Voilà, cest fait, il est impossible que je me prononce à cette heure, mais si aucune complication ne survient dici quarante-huit heures, je pense quil sera sauvé. Jai rarement vu un chien avec une telle capacité de résistance et une telle énergie.

Je lui saute au cou et je lembrasse, je sais moi pourquoi il lui reste de la vitalité à Dick, il voulait retrouver sa chienne favorite, son amante, celle qui sait lui vider les couilles, qui sait lui sucer la queue et accepte quil saute sur mon dos pour me perfore la chatte et rester collé de longues minutes en sentant son sperme gonfler lintérieur de mon ventre mapportant des jouissante répétés quaucun amant homme ne mon apporté.

Attention, rien nest gagné, pour le moment je lai endormi pour éviter quil ne bouge trop.

Revient demain matin et tu me poseras toutes les questions que tu souhaites me poser.

Je peux tappeler ce soir.

Oui, après dix-neuf heures, mon assistante maura donné des nouvelles à cette heure-là.

Je tembrasse encore.

Heureusement que mon chien était endormi comme je lai fait au portail quand je lai retrouvé, jaurais été capable de le prendre dans mes bras lui prendre sa tête et de lembrasser amoureusement devant Christophe.

Avant de rentrer, je passe voir Danielle à son travail pour lui donner la bonne nouvelle.

Elle est contente pour moi et passera dans quelques jours le voir lorsque je laurai récupérée.

Deux jours après, Christophe me demande de venir pour le voir.

Il faut vraiment que je prenne sur moi lorsque je le vois afin déviter de lembrasser à pleine bouche montrant ainsi à Christophe le degré damour que je lui porte. Il mest difficile de rester femme et non la chienne que je suis pour lui.

Nous passons dans son bureau et je peux lui poser toutes les questions qui me viennent à lidée.

Ces pattes, qui les a blessées ?

Lui en marchant jusquau bout de ses forces. Je pense quil lui était impossible de faire un kilomètre de plus.

Pourquoi avait-il perdu son collier ?

Lorsque jai soigné les blessures au cou, elles étaient les plus impressionnantes. Je pense que dans un bois ou une forêt une branche a dû se glisser entre le collier et sa peau. Jai vu nettement les plaies longitudinales commises par la branche, jai même récupéré un morceau décorce dedans.

Dun autre côté tout le tour de son cou, les plaies montraient quil sest débattu fortement et quil a réussi à ce que le collier cède et quil reprenne sa route.

Tu as oublié de me dire où tu las perdu ?

En allant chercher un chiot à Montpellier, il sest échappé de ma camionnette.

Il a donc fait plus de 350 kilomètres pour rentrer, ce doit être un record.

Joublie de lui demander de ne rien dire.

Deux jours plus tard on sonne au portail.

Je vais voir et un journaliste de la presse locale me demande des renseignements sur mon chien et sil peut avec son assistante photographier mon élevage.

Le lendemain, Danielle mappelle pour me dire daller acheter le journal.

Sans problème, je suis abonné, dans mon travail les annonces entre les foires et les personnes recherchant des éleveurs sont une source de revenus. Il est ouvert devant moi à la page centrale où lon me voit avec Dick II dans mes bras.

En première page du Courrier, le titre annonce.

« Il retrouve sa maîtresse et sa maison après 350 kilomètres ».

Larticle est accompagné de plusieurs photos des enclos avec les mères et leurs petits.

Le journaliste a interrogé Christophe qui lui a donné les détails techniques du parcours du chien.

Sous ma photo avec le chiot, il a écrit que cest en allant chercher ce chiot futur vedette reproducteur mâle de mon élevage qui va remplacer son prédécesseur que jai été obligé dincinérer.

Sur Dick tout est dit sauf bien sûr que cest un baiseur hors pair et que jattends le moment où il sera remis sur pied pour me coller.

La photo la plus poignante pour moi est celle où on le voit couché sur son lit de souffrance endormi et intubé.

Cette nuit-là, je profite de ce que je sois seule, en plus de Dick II qui a le droit de rester sur mon lit, je mets la photo du journal devant les yeux de mon Dick lui disant que, dans peu de temps il viendra de nouveau me passer sa langue pour recommencer à me faire jouir.

On peut me croire folle, mais qui a déjà aimé passionnément peut comprendre que tout mes instant son tourné vers la survie de mon bon toutou.

Le lendemain, cest la télévision régionale qui souhaite faire un reportage, suivit le lendemain de la 2 et lémission sur nos amis les bêtes de la première chaîne.

Jen profite pendant quils filment pour faire la promotion des enclos que je suis en train de monter pour recevoir les chiens en gardiennage le temps des vacances de leur maître.

Dick en plus dêtre un exceptionnel amant me permet dêtre mon porte parole et fait la promotion gratuite de mon travail déleveur et de mon gardiennage.

Pendant trois jours, je vends tous mes chiots bientôt disponibles ainsi quune mère qui arrive au terme de son travail de reproductrice que joffre à une petite fille qui me téléphone ayant eu mon numéro dans le journal, mais qui veut un chien, mais qui me dit directement, elle a dix euros dans sa tirelire à me donner.

Je prends son adresse, elle habite dans le Morvan et je vais lui faire la surprise de lui apporter sa chienne.

Jai même déjà une liste dattente sur mes futures naissances.

Je joins léleveur qui me fournit mes mères, il en a deux à disposition dune très bonne lignée quil vient de conduire au mâle pour la première fois. Il se propose de me les amener voulant voir le phénomène dont toute la profession parle.

Il faut encore attendre huit jours pour que Christophe mappelle pour venir récupérer mon monstre qui va lui dévaster toutes ses cages.

Dick est dans mon coffre lorsque mon téléphone sonne.

Je marrête évitant comme dix jours plus tôt de prendre le moindre risque.

Allo, est-ce que vous vendez des mâles dressés ?

Cest une voix de femme qui minterpelle.

Je suis tellement étonné que ma réponse est courte.

Pardon ?

À ce mot la femme raccroche, il se peut que cette personne cherche un chien baiseur comme Dick.

Je me pose bien des questions, mais joublie rapidement lappel.

Arrivé chez nous, je place Dick sur la couverture dans le salon au pied du convertible.

Jai une idée quil me faut tenter.

Dick est faible et a eu du mal à venir seul sur la couverture ayant les mêmes symptômes quun humain qui sort après plusieurs jours dhôpital.

Je vais chercher Dick II et je lamène près de mon grand chien.

Un instant intéressé, il repose son museau sur ses pattes.

Je pose, le chiot qui vient sasseoir à sa hauteur.

Soit gentil avec le petit Dick.

Pour lencourager, je me baise lui saisi la tête et je lui pose un gros baisé sur sa truffe encore chaude.

Je nai pas le temps dattraper le chiot qui roule sur lui-même et tombe entre les grosses pattes de Dick.

Il ouvre la gueule persuadée quun coup de croc va terminer sa vie, mais jai la surprise de voir sa langue sortir et la passer sur larrière-train du bébé.

Le petit regarde, le grand sort sa langue et comme je lai faite, il lèche la truffe de son aîné.

Le petit sent que mon chien est hors du jeu, car il sallonge le long de la tête du malade et pose sa truffe sur ses pattes comme sil mimait ce que fait le grand.

Je me rassois sur le convertible regardant avec amour mes deux beaux mâles.

Cest comme cela que Bruno nous trouve et quil se met à crier que jai cinq minutes pour faire dégager mes chiens.

En temps normal, Dick aurait attaqué, mais là cest Dick II qui se relève et vient aboyer après Bruno lui montrant même les crocs.

Mon mari tourne les talons et je quitte la maison. Il me quittera pendant deux jours que nous passons la plupart du temps les trois ensembles.

Je les quitte aux moments ou je vais moccuper des autres et où le chiot monte la garde fièrement à côté de son copain.

Dès que jentre, je suis nue, je suis passé par le labo enlever ma combinaison avant de les rejoindre.

Je dors lorsque je sens que lon saute près de moi.

Je nai pas le temps douvrir les yeux que la grande langue râpeuse de Dick passe sur ma chatte.

Dans la fraction de seconde suivante, je sens une petite langue qui atteint mon clito. Afin déviter de les effrayer, jouvre les yeux doucement et jassiste à une scène dantesque, chaque fois que Dick me donne un coup de lèche sur ma vulve le petit fait de même sur mon clito.

Lorsquun orgasme se déclenche en moi, il mest impossible de dire quelle langue a été le déclencheur ?

Cest au moment où je jouis expurgeant les jours dangoisse que Bruno entre.

Salope, il y a quelques jours que je pensais que tu te faisais mettre par tes chiens. Javais raison, je vais demander le divorce.

Cest mon avocat qui parlera pour moi maintenant.

Et il quitte la pièce pour repartir avec une valise sachant quil na rien à espérer lors du divorce le contrat que ma grand-mère ma obligé à signer, ne lui donne rien de mes biens.

Alors lorsque je le vois repassé, je continue à me faire lécher sous les langues de mes deux amants

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