Le samedi matin toute la smala arriva. Ce fut dabord le patron. Puis sa fille Laure avec ses enfants, et son époux. Et enfin l’autre fille Irène accompagnée de ses enfants mais pas de son mari. À chacune des arrivées je me devais de monter les bagages à leurs chambres respectifs.
Une fois cette opération effectuée j’allais rendre une petite à Mauricette. Comme à son habitude quand le temps était clément elle se tenait sur sa terrasse. À peine arrivée, elle m’évoqua la mésaventure de son mari. Survenue lors de notre relation téléphonique.
— Oui, fis-je. J’avais bien entendu qu’une femme avait fait irruption dans la chambre.
— Il paraît qu’il ne savait plus où se mettre.
— Se faire surprendre bite dans sa main par sa mère cela ne doit vraiment pas mettre à l’aise.
— Non ! Je te le certifie… répliqua-t-elle en pouffant de rire. Je te sers un café ?
— Avec plaisir. Je pense qu’avec cela il a dû changer ses plans ? M’informais-je.
— Oui, il devrait rentrer demain matin.
Bien évidemment c’était loin de me satisfaire. D’ailleurs elle le lut sur mon visage.
— T’inquiète ce n’est que partie remise… fit-elle en collant ses lèvres sur les miennes.
L’après-midi je l’avais passé chez moi. Devant la télé. Le soir venu j’avais été fermé les volets du manoir. Et discuté un temps avec le patron. De chose et d’autre devant un verre de vin. Son épouse était sagement assise à ses côtés. Discrète, lair pensif. Loin de la femme sulfureuse que j’avais culbutée la veille. Il ne men fallait pas plus que des images croustillantes se bousculaient dans ma tête.
Après avoir bu mon verre, je pris congé. Leur souhaitant une bonne nuit. Puis je filais rejoindre Mauricette qui m’attendait pour dîner.
Le lendemain comme à chaque fois qu’il y avait du monde au manoir, je me rendais à la boulangerie. J’y trouvais Véronique. Qui comme à son habitude, s’impatientait à nêtre pas encore venu visiter le domaine. Une requête qu’elle réclamait pour la énième fois, et dont je n’avais jamais honoré.
— Tiens mardi cela vous va ?
— Heu… j’aurais préféré lundi. La boutique est fermée ce jour-là.
— C’est que je ne sais pas si les patrons seront partis ?
— Et si je passe lundi après 17H00.
— Oui à cette heure pas de risque qu’ils soient encore sur place. Bon c’est entendu, faisant comme ça. S’ils ne sont pas partis on improvisera
Ce fut sur cet accord que je quittais la boutique avec en mains, pains et viennoiserie. L’incendie de la veille avec Mauricette avait laissé des séquelles sur ma forme de linstant. Surtout que j’avais mal dormi. Des rêves érotiques avaient peuplé mon sommeil toute la nuit ou presque.
Par la porte de service j’entrais directement dans la cuisine et déposais le pain et les viennoiseries. Sur la table une partie des enfants déjeunaient bruyamment. Je m’affairais à ouvrir les volets. C’est le moment que choisit Laure assise devant son petit déjeuner avec les adultes dans la salle de séjour, pour interpeler :
— Alain vous tombez bien. Le tuyau de la douche est soi-disant percé.
— A bon ! Répliquais-je.
— Oui parait-il. Pourtant j’ai pris ma douche sans problème.
— Comme je l’ai prise moi sans rien remarqué d’anormal fit Irène à son tour…
— Et alors ? M’inquiétais-je.
— Alors quand Juliette a voulu la prendre le tuyau fuyait.
— Bon je vais aller voir ça.
— Merci Alain…
— Mais comment allez-vous faire Alain, s’alarma la patronne, aujourd’hui dimanche tout est fermé.
— Je sais cela parfaitement madame. J’avais l’intention de l’échanger avec celui d’une des maisons de location.
— Comme toujours parfait. Alain vous êtes un père pour nous fit la patronne.
Elle n’avait plus ce ton soupçonneux ou courroucé comme avant notre relation. Elle me souriait même. Prenant un air affranchi.
— Que lui avez-vous fait Alain pour qu’elle soit aussi avenante avec vous ce matin. Lança Laure
Je me gardais bien de leur avoué la cause de son changement humeur. Cela aurait sans doute mis le feu dans la famille, et moi j’aurai pris la porte.
Quelques instants plus tard, pince en main je me dirigeais dans une des deux maisons de location. À ma sortie je croisais les deux voitures pleines à craquer qui partaient comme à l’accoutumer au marché en ville. Une aubaine pour moi. J’allais pouvoir bricoler sans être importuné. À mon arrivée dans la salle de bain je trouvais comme souvent sous le lavabo la petite lingerie de ces dames. Hormis le string de Laure que je reconnaitrais au milieu de tant d’autres.
Transparent noir qui devrait laisser le sexe partiellement dénudé. Une grosse rose sur le devant pour masquer la partie la plus intime de son anatomie. À croire qu’elle n’avait que celui-là à se mettre. Ou bien elle se le réserver que pour la campagne. Le second se tenait pas très loin du premier. Par déduction il devait appartenir à la sur, Irène. Comme très souvent je pris le string à Laure et le portais à mes narines. Le dégustant avec délices. C’était pour moi aussi bon qu’une confiserie. Je l’aurai rendu propre, mais je me suis retenu. Ça lui aurait paru suspect s’il avait été parfaitement net. J’éprouvais une certaine frustration. J’aurais tant aimé dévorer tout ce qui était sorti d’elle.
Mais alors que je me soulais de son odeur une petite voix se fit entendre.
— En voilà des manières. Fit-elle.
Je me tournais pour y découvrir Juliette. Dans un tee-shirt beaucoup trop grand pour elle qui révélait la majeure partie de ses seins nus.
— Tu n’es pas parti avec les autres ? La questionnais-je.
— Et comment j’aurais pu, je n’ai pas pu me laver… répliqua-t-elle d’une voix sèche, en haussant des épaules.
— Ce n’est pourtant pas les salles de bains qui manquent… répondis-je en laissant la petite lingerie à hauteur de mes narines.
— Oui ! Mais moi je préfère celle-là. Ça va je ne te gêne pas ? Aboya-t-elle.
— Pas le moins du monde…
— C’est la première fois que je vois un mec flairer une culotte. Et de ma mère de surcroit…
Je notais que son intonation était légèrement plus rauque.
— Par ce qu’il ne connaisse rien… tes mecs. Ils ne savent pas ce qu’ils ratent.
— Et je peux savoir ce qu’ils ratent ? Comme tu dis si bien…
— Plein de choses très agréables. Ripostais-je en me saisissant de la seconde, que je portais à mes narines.
Elle resta comme scotchée sur place, la bouche ouverte en train de me regarder…
— Après réflexion et ce n’est pas par ce que tu es là, mais vois-tu je préfère celle de ta mère. Plus proche de mes attentes…
— Et je peux savoir c’est quoi tes attentes…
— Un cocktail de senteur divers. De la mouille, mélanger à du pipi, tu vois la chose.
Mais aussi un brin de transpiration et pourquoi pas une emprunte d’anus. Que le coquin aurait tamponné sur le tissu. Voilà c’est ça que j’aime. Et bien ta tante ne me donne pas tout ça, ou une partie. Alors que ta maman… elle…
— Mais dis-moi, me coupa-t-elle. Tu n’as pas peur que j’aille te dénoncer auprès de ma mère.
— Et pourquoi le ferais-tu ? Ça d’avancerai à quoi de faire ça ? Et d’ailleurs il faudrait que tu le prouves. Ce qui est loin d’être joué…
Et même si elle lui avait dit cela aurait été une aubaine pour sa maman. Une excuse comme une autre pour me mettre dans son lit. Et je ne me mouillais pas à avancer ça. Elle qui à chacune de nos rencontres me toisait, me déshabiller des yeux. Mais ça, je le gardais pour moi. Pas question de le révéler à la gamine.
— Tu veux la mienne ? Me dit-elle.
— Tu veux dire… ta culotte ?
— Oui de ma culotte…
— Si cela te dit… pourquoi pas.
Pour se faire elle se tourna me donnant son dos, aventura ses mains sous le tee-shirt. Prenant sa culotte par l’élastique, elle la fit glisser sur ses hanches dévoilant les fossettes sous la taille. Puis vint
Le début de la raie, et enfin toute la splendeur des fesses hautes et rondes profondément fendues. Elle avait la chair de poule. Ce petit jeu n’était pas pour la déplaire. Puis elle l’accompagna le long de ses jambes. L’enjamba avant de se tourner et de me la donner. Elle était en nylon de couleur mauve foncé et très moite au touché. Je l’avais scruté quelques instants avant de le porter à mes narines. Il s’en dégageait un long vécu.
Sa mère passait pour une novice dans l’art de tapisser son slip par rapport à la fifille.
— Alors qu’en penses-tu ?
— Que tu as vraiment besoin d’une bonne douche.
— Oui… à part cela ? Ça te fait bander… Sa voix était brûlante de désir. J’affrontais son regard,
— Bien sûr que ta culotte me fait bander. Je dirai même très fort…
— Montre ?
— Je veux voir ta chatte avant…
Loin de se dégonfler, la coquine s’approcha de moi à me toucher, et là s’exécuta. Se saisissant des deux mains l’ourlet de son long tee-shirt pour le remonter sous le menton. Je fis la connaissance de ses jambes et plus haut dun triangle parfaitement isocèle. Ses poils noirs très épais, emmêlés. Ils recouvraient le haut de sa fente d’une fourrure bestiale qui masquait son clitoris.
— Tu as une belle chatte, Juliette, j’aime beaucoup les filles poilues comme toi. En plus tu es brune, c’est bandant.
Pas le temps de m’attarder dessus que déjà elle laissa tomber le rideau.
— Terminé…
— Tu ne te rases jamais sous les bras non plus ?
— Non, il paraît, enfin j’ai lu cela sur le Web que les hommes trouvent cela excitant.
Elle avait montré ma queue d’un doigt.
— A toi maintenant…
Pour ce faire je me défroquais, puis baissais le slip déformé par mon érection. Ma queue bandée jaillit comme montée sur un ressort pour le plus plaisir de Juliette.
— Houais… Putain ! Quel morceau… fit-elle les yeux grands ouverts.
— Elle te plaît ?
Elle resta sans voix, fixant ma chose.
— Tu peux la caresser, tu sais… Tu sembles en avoir tellement envie.
— Ah oui ! Riposta-t-elle en tendant timidement sa main.
Je lui pris doucement le poignet et l’attirais vers mon membre. Qu’elle referma d’elle-même ses doigts autour. Mon pouls se mit à battre follement. Elle imprimant à son poignet un va-et-vient lent. Se mordillant nerveusement sa lèvre inférieure. Ses seins sous son tee-shirt tressautaient sous les oscillations régulières de son bras. Elle avait les yeux brillants. Le rouge aux joues.
Je savais bien que c’était une folie mais je ne pouvais me résigner de stopper ce qui se dérouler. Car il n’y avait aucun doute quant au fait que je vivais actuellement l’expérience sexuelle la plus incroyable de toute ma vie. Jamais je n’avais été autant excité et jamais je n’avais autant désiré jouir. C’était presque devenu vital. Il fallait que j’aie un orgasme maintenant. Je sentais qu’il serait mémorable.
Comme je n’avais pas envie de succomber de par sa main, je la fis s’agenouiller devant ma verge dure comme du granit. Je lui saisis la tête d’une main et de l’autre promenais ma queue sur son visage. La frottant sur son nez, contre sa bouche. J’étais dans un tel état d’euphorie, qu’il était difficile pour moi de ne pas forcer l’entrée de ses lèvres. Elle m’avala entièrement. Sa langue tiède et mouillée s’activait si gauchement autour de ma queue que je n’avais pas pu résister à lenvie de lui faire la remarque :
— Tu n’as jamais sucé ?
La plus extrême confusion se lut sur le visage de Juliette. Je l’aurais pourtant imaginée plus émancipée. En quelques mots brefs, je lui donnai les fondamentaux pour mener à bien un homme à la petite mort. Elle passait la langue autour du gland. Le suçotant un moment. Elle enduit ma verge de salive, tout en me pressant doucement les testicules. Puis les lécha. Les prenant chacun leur tour dans sa bouche. Elle y mettait beaucoup de bonne volonté. Elle méritait une offrande.
Pour ce faire, j’immobilisais sa tête entre mes mains et me mis à donner de furieux coups de reins. Contre toute attente, la coquine resserrait les lèvres sur ma verge. J’avais baisé sa bouche comme je laurai fait avec sa chatte. Et je ne mis pas longtemps à me répandre dans sa gorge.
Je ne pris même pas la peine de cuver mon plaisir, tant l’envie de sucer sa jeune chatte m’avait submergé.
Je l’avais pour cela pris dans mes bras pour la mener jusqu’à lavabo. Où je l’avais déposé, le cul sur le marbre. Puis je m’agenouillais devant elle. Approchant mon visage de sa vulve. Impatient de la respirer, je longeais mon nez le long de la plaie rose et humide.
Humant à plein poumon le parfum sécrété par les glandes sexuelles.
— Oh ! Comme tu mouilles…
Mes yeux dans les siens, j’approchais ma bouche et m’emparai
De sa fente, trempée de désir. Elle ferma les yeux, et un râle sortit de sa bouche. Elle emprisonna ma tête entre ses deux mains. Comme pour mieux l’attirer contre son ventre.
J’en aurai mis ma main à couper que c’était la première fois qu’elle avait une bouche et une langue dans cette partie de son anatomie.
Mes sens en furent basculés. D’une langue dardée, j’allais et venais dans sa fente avec douceur. Poussant à son maximum l’exploration. Goûtant l’intérieur du vagin. De la mouille envahissait ma bouche. Plus salée que dans la fente. Je la torturais délicieusement, avant de m’emparer de son bouton. Elle récompensa mon audace de râles. Oscillant au rythme de ma langue qui l’astiquait sans retenue. Un irrépressible raz-de-marée, d’une violence inouïe sempara delle.
J’attendais quelques secondes qu’elle récupère pour remettre ça. La fouillant de nouveau profondément toujours avec ma langue. Très vite un nouvel incendie la consuma. Lui faisant agiter son bassin. Le souffle court elle jouissait pour la seconde fois dans ma bouche. Haletant, rejetant rythmiquement l’air de sa poitrine avec une sorte de cris rauque qui couvrait le silence. Des râles qui semblaient ne jamais devoir finir.
— Oh ! Clama-t-elle… j’ai joui ! Que c’était bon… j’en demande encore…
J’avais pour ma part la mâchoire crispée par une crampe atroce, et ma langue me brûlait. Je me redressais et l’embrassais à pleine bouche. Partageant les sécrétions de son plaisir.
Comme il était temps que je conclue, j’avais amené mon gland contre son ventre. Au contact de ses lèvres soyeuses, j’avais ressenti une véritable décharge électrique. Qui se répercuta dans tout mon corps. Je m’étais affaissé de quelques centimètres. Suffisamment pour trouver pile en fasse de ma cible. Dès mon intrusion, une bague chaude enveloppa mon gland. Elle me fixait, et d’une poussée elle m’absorba. Son sexe se dilatant autour de moi. Je la saisis aux fesses à pleine main et me mis à donner de puissants coups de reins. Faisant ainsi aller et venir ma bite à l’intérieur du vagin chaud et humide de Juliette. Le plaisir qu’elle prit alors fut au-delà de ce que j’aurai pu imaginer. J’en avais pourtant déjà beaucoup donné, du plaisir. Que ce soit avec mes doigts ou avec ma langue. Mais ce que je faisais désormais avec ma queue était tout simplement divin.
— Entoure tes jambes autour de ma taille.
Elle s’exécuta. Enroulant ses jambes pour s’arrimer à ma hanche. Dans un élan irrépressible, je la plaquai contre moi. Nous étions debout, face à face. Elle me regardait dans les yeux. Juliette mouillait abondamment. Tant et si bien que je sentais ma verge baignait dans son jus. Me tenant par la nuque, elle se mit à onduler d’avant en arrière contre moi. Poignardant son sexe avec ma verge dure.
— Oh que c’est bon comme ça ! Fit-elle.
Sa voix avait pris des accents rauques que je ne lui connaissais pas. Emboîté l’un dans l’autre, je sortais de la salle de bain pour me rendre jusqu’à la chambre de sa mère. Une fois sur place je me positionnais juste en face du grand miroir accroché au mur et qui surplombait le lit. Je m’enivrai du reflet qui nous renvoyer.
Tout en se regardant dans la glace, elle se mit de nouveau en mouvement. D’avant en arrière dans un rythme lent. Ma queue enflammée n’avait pas connu pareil bonheur depuis si longtemps. Elle allait et venait sans relâche. À un moment je l’avais immobilisée pour lui envoyer avec férocité une série de coups de reins plus rapides et plus brutaux, qui redonnait à ma jeune partenaire assez de voix pour exprimer sa vive émotion.
— Tu prends la pilule ?
— Oui… t’inquiète inonde moi de ton sperme.
Il ne men fallait pas plus pour me déchaîner sans aucune retenue. Je lui agrippais les fesses comme un sauvage, à lui faire mal. Et je la pris aussi fort que je le pouvais. Faisant pénétrer ma queue au plus profond de sa chatte. À un rythme effréné. C’était bon et bestial. Son visage était noyé de sueur. La bouche tordue par le plaisir. Elle jouissait une autre fois. Je sentais un liquide chaud enrober ma queue qui continuait à la besogner. Faisant vibrer tout son corps. Ses cris se mouraient en râles. Son vagin comprimait ma queue, qui glissait dans une écume poisseuse.
— Oh Alain… tu vas me tuer…
Je mouillais mon index de salive, et l’appuyais sur la pastille froncée de l’anus. L’anneau s’ouvrit de lui-même, engloutissant mon doigt.
Peu à peu je me rapprocher de la jouissance, me laissant envahir par cette sensation extraordinaire qui grandissait en moi. Un picotement, qu’il allait se transformer très vite en tornade lorsque le plaisir arrivera. Je sentais que le point de non-retour s’approcher. J’avais une fois de plus augmenté la cadence de mes coups de butoir, jusqu’à éjaculais avec force au fond de son fourreau affamé.
Je l’avais ensuite, ramené jusqu’à sa chambre, où je l’avais déposée sur le lit avant de trouver un endroit pour permettre de reprendre vie…