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Escapade lors d'un weekend prolongé – Chapitre 1

Escapade lors d'un weekend prolongé - Chapitre 1



Escapade lors d’un weekend prolongé (histoire vraie écrite en 06/214)

Après notre aventure à trois lors du salon de la lingerie à Paris en début d’année, j’avais poursuivi mes échanges avec Jade sur ce site communautaire que beaucoup d’entre nous connaissent. Libre de toute attache, au fur et à mesure de nos dialogues, j’étais parvenu à la convaincre de passer quelques jours avec moi avant l’été

Etant mariée de son côté, elle devait pouvoir s’échapper du domicile conjugal avec la complicité d’une amie de longue date avec laquelle il lui était arrivé de faire quelques frasques coquines avant leurs mariages respectifs.

J’avais trouvé à louer un petit studio attenant à une grande maison non loin de la frontière espagnole, en altitude pour bien profiter du grand air et pour nous délasser. Nous voulions faire quelques randonnées en montagne lors du weekend prolongé de la mi-mai. La fraicheur toute relative et le calme des grands espaces allaient nous faire du bien. D’après les photos et le descriptif vu sur la toile, les lieux étaient enchanteurs, la vue dégagée sur toute la vallée. Le studio bien aménagé nous offrirait un confort appréciable. Le couple de propriétaires (des quinquagénaires) était, selon les commentaires des usagers précédents, très sympathique.

Nous nous sommes retrouvés sur le parking de la gare de Pau où nous avions rendez-vous, puis en voiture, nous avons gagné notre lieu de villégiature.

Le premier soir, arrivés tardivement, nous avons diné avec les propriétaires et un couple avec deux enfants qui occupaient un autre gîte. Je ne vous dis pas comment se sont passées nos retrouvailles Dès le lendemain, nous avons entrepris nos ballades en montagne.

Le dernier jour, nous étions partis depuis plus de deux heures lorsque nous nous sommes fait surprendre par une averse qui menaçait depuis quelques minutes, nous n’avions rien pour nous abriter. Heureusement, sur les conseils du propriétaire du studio où nous passions cette petite semaine de vacances, nous avions pris des vêtements de pluie pour protéger au moins le haut du corps. La pluie était tellement forte que le temps de sortir nos blousons du sac à dos, nous étions trempés jusqu’aux os.

Nous avons continué notre chemin, luttant contre les éléments et le vent qui se déchaînait. Nous savions être proches d’un abri possible que nous avions aperçu au loin avant que la pluie nous tombe dessus. Après une dizaine de minutes de marche rapide, nous arrivons devant une petite bâtisse en pierres sèches adossée à la pente avec juste une porte et une petite fenêtre donnant vers l’est. La porte n’est pas verrouillée. Nous entrons pour nous mettre à l’abri d’autant que la pluie redouble d’intensité.

L’abri est sommaire mais bienvenu. Devant la fenêtre, il y a une table bancale et deux tabourets. Dans un angle, un âtre avec quelques buches et du petit bois et à l’opposé, une vilaine paillasse faite de bottes de paille accolées les unes aux autres. Çà ne nous semble pas très confortable mais suffisant pour nous abriter. Une échelle de meunier se perd au travers du plafond. Nous ôtons nos vêtements mouillés que nous mettons à sécher devant le feu que je viens d’allumer. Jade n’hésite pas à me mettre en petite tenue car il ne fait pas froid dans cette bergerie puis, curieuse de voir ce qu’il y a au dessus, elle entreprend l’escalade de cet escalier presque vertical.

Quelle n’est pas sa surprise en débouchant en haut de l’échelle ! Le grenier est plein de foin coupé de l’an passé ! Çà sent si bon qu’elle a immédiatement envie de se rouler dans cet amas odorant et souple dont le parfum se mêle à celui de la terre qui exhale ses senteurs au contact de la pluie :

GG., amour, viens voir !

Lorsque je débouche en haut de l’escalier, je suis surpris car Jade a mis à profit ces quelques instants pour se dépouiller de son soutif et de son tanga et, allongée dans le foin, elle me tend les bras :

Viens, fais-moi l’amour ! Depuis le temps que je rêve de le faire dans le foin, profitons-en !

Je quitte immédiatement mon boxer et je me mets à genoux entre les cuisses de Jade déjà ouvertes. Je retrouve instantanément les souvenirs du début de l’année : cette peau blanche, cette toison brune bien fournie mais disciplinée qui orne son bas ventre et ses seins ronds et fermes veinés de bleu !

Je me penche sur ses lèvres et l’embrasse dans une série de baisers passionnés, mêlant ma langue à la sienne jusqu’à en perde le souffle. Dans ce corps à corps improvisé, je sens la chaleur du corps de Jade qui irradie contre le mien : Que c’est bon ! Mon excitation monte entre mes jambes Puis je descends jusqu’à la poitrine et commence à mordiller et faire rouler les tétons qui pointent déjà. Il ne faut pas longtemps de cette caresse pour que la chatte soit inondée de cyprine.

Mon sexe qui bat entre mes cuisses, puissant, bandé à mort, est désormais prêt à porter l’estocade ! Nous sommes entrés de plain pied dans notre fantasme et nous sommes prêts à baiser :

Viens, ne me fait pas languir ! Prends-moi !

Jade a pris ses jambes derrière ses genoux et les a relevées au maximum le long de son buste. De cette manière je vais pouvoir la prendre comme un sauvage, plantant ma belle queue courte mais puissante en une seule fois au fond de sa chatte. J’aime bien un peu de rudesse de temps à autre et là, assouvir ce fantasme de baiser dans le foin, j’étais prêt à malmener un peu ma maîtresse ! Cela ne semble pas lui déplaire lorsque Jade devine de telles dispositions.

Jade raconte :

Quand ce coquin est arrivé au fond de ma chatte, j’ai eu l’impression de manquer d’air tellement il était puissant. L’un comme l’autre, nous étions terriblement excités par cette baise improvisée mais que nous attendions depuis déjà plusieurs années dans nos fantasmes respectifs.

Je n’étais jamais parvenue à convaincre mon homme que baiser dans le foin de notre grange me faisait fantasmer au plus haut point !

Puis GG a commencé à me baiser à longs traits, sortant et entrant à chaque fois de ma chatte qui ruisselait de plaisir. Le foin grattait un peu mon dos, mais j’étais si bien que je ne prêtais pas attention au picotement des brins d’herbe sèche totalement concentrée sur les autres sensations qui naissaient dans mon corps ! J’avais chaud et pourtant je tremblais comme si j’avais eu froid ! C’était l’excitation, encore et toujours cette excitation qui m’emporte lorsque je fais l’amour avec mon mari ou un de mes amants.

GG continuait de me limer comme un sauvage à croire qu’il était en manque et qu’il était pressé de jouir une première fois ! Mais non ! Nous avions déjà baisé les deux soirs depuis notre arrivée, c’est l’ambiance qui l’excitait autant qu’elle mettait le feu à ma libido. Je sentais une boule lourde et chaude qui grossissait dans mon ventre, signe que ma jouissance n’allait pas tarder :

Je vais venir ! Lâche-toi !

Ce coquin retenait son plaisir comme il sait si bien le faire pour que je m’éclate au moins deux fois avant de jouir en même temps que moi ! Et çà n’a pas manqué, au moment où la vague de plaisir m’emportait, il m’a inondé le fond de la chatte avec quelques belles giclées de sperme. Waouh ! Que c’était bon et qu’est ce que j’ai joui, lançant un cri de fauve à l’ultime moment. L’un et l’autre nous étions quelques peu essoufflés de cette joute amoureuse si bien que nous sommes restés enlacés de longues minutes avant de nous désunir.

Merci amour ! Tu es merveilleux !

Toi aussi, belle coquine, çà t’a plu ?

Oh oui ! De puis le temps que j’en avais envie : baiser dans le foin ! Le pied total !

Nous sommes redescendus et nous avons enfilé nos vêtements encore un peu humides mais au dehors il ne pleuvait plus, il y avait un magnifique ciel bleu après cette averse malencontreuse ( ? ) qui nous avait conduits dans cette bergerie qui me laissera un souvenir que je ne suis pas prête d’oublier.

Lorsque nous sommes arrivés au studio au terme de notre randonnée, il faisait presque nuit. J’étais épuisée, moulue de toutes parts, le dos plein de petites griffures mais HEUREUSE ! J’avais assouvi un fantasme longtemps refoulé ! Je n’aurais jamais pensé qu’à près de cinquante ans, c’est un amant bien plus âgé qui me ferait ce plaisir

Le lendemain, nous reprenions la route

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