Ils tapent comme des sourds, ils veulent enfoncer la porte.
"Ce sont de vieux copains" dit Charles à Anne encore sous le coup de la frustration.
"Veux-tu que je les renvoie ? Ils peuvent te faire passer un moment de folie… et te faire jouir comme une bête, mais si tu n’es pas tentée, je les renvoie"
Anne est en manque, Charles l’a baisée au rabais, il s’est vidé les couilles sans se soucier d’elle… elle a besoin d’être baisée comme une chienne, à eux deux…,ou trois…, qui sait Charles s’y mettrait peut-être aussi…, ils pourraient la mener à des sommets qu’elle n’a jamais atteint….
"Laisse-les entrer… j’ai besoin d’être prise comme une bête, une femelle en chaleur, comme une chienne…."
Charles crie : "ENTREZ !!! on n’attend plus que vous…."
La porte cède tout dun coup, bruyamment, deux hommes cagoulés entrent, repoussent la porte, bousculent Charles qui sen va tomber sur la chaise de bureau dans le coin. Ils attrapent Anne sur la table, la bâillonne rapidement, lui passent une cagoule qui la laisse respirer, elle ne voit plus rien, sent quon la retourne, elle tombe presque de la table, courbée de force par lun deux, pendant que lautre maintient ses mains sur le plateau de la table. Nue, aveuglée, debout contre le bureau, un homme lui écarte les jambes, elle entend le bruit de la fermeture à glissière dun pantalon. Il la prend la pilonne, elle subit. Le premier homme se retire, laisse la place au second un pieu la transperce, il cogne au plus profond de son ventre, elle gémit, elle se cogne à nouveau contre le bord du bureau il va la faire jouir. Il se retire. Il se redresse, la soulève…, ils la tiennent tous les deux leurs mains sur son corps nu. Leurs mains qui traînent sur ses seins, entre ses cuisses, une main qui se referme sur sa chatte, crispée. Il y en a un qui sest assis sur le bureau, ils lempalent sur son membre, et elle sent à nouveau ce pieu il la ramone elle va jouir à nouveau et . Oh. Le bout dune bite sur son cul elle en a toujours rêvé on lencule. Une bite dans chaque trou. Un pieu devant une grosse bite derrière. Il senfonce elle ne sait plus où elle en est. Ils la remplissent si bien, brutalement comme elle aime, mais sans violence, et elle jouit, elle crierait si elle pouvait. De plaisir, orgasme sur orgasme lhomme de son cul se retire, et il est remplacé ils sont trois… Ça cest Charles il la défonce à grand coup de reins, elle sent sa respiration. Elle jouit de nouveau, lhomme au pieu aussi et Charles qui décharge, il vide ce qui lui restait dans les couilles pense-t-elle. Enfin ça passe dans son cerveau parce quelle ne pense plus, elle ressent, des orgasmes, des bites, le troisième revient, il na pas joui remet sa bite, pénètre son cul, pilonne, jouit,. Cest fini ils enlèvent sa cagoule, retirent le bâillon, la reposent sur le bureau, elle reste sur le dos, les pieds sur le plateau du bureau, cuisses largement ouvertes, vulve béante, le cul encore ouvert. Offerte aux regards des hommes . Elle reprend son souffle. Elle regarde les deux costauds qui retirent les capotes et les jettent dans un coin,ils se rhabillent. Charles qui la regarde, les deux autres tournés vers lui, qui retirent leurs cagoules à leur tour ils sont contents deux se tournent vers elle.
« Toi ma belle, je sais pas, mais nous on a aimé ! »
En fait elle aurait bien aimé un deuxième tour de double pénétration. Du sperme à déborder de tous les orifices elle sucerait bien ce gros pieu ENCORE! BIS !
Ils ne demandent pas mieux. Et elle a droit à un deuxième tour elle suce ce gros pieu quelle a du mal à prendre entièrement elle pompe. Lautre la prend par derrière la baise, cogne contre ses fesses et enfonce sa bite aussi loin quil peut dans le con quil pilonne quand le pieu estime quil a assez profité de cette bouche affamée il se retire, descend du bureau, . Il aide Anne à sempaler sur la grosse bite et il lui enfonce son pieu dans le cul. Elle crie plante ses ongles dans le dos de celui quelle chevauche mais le pieu senfonce, laboure son cul pilonne sans ralentir brutalement elle pourrait penser que le pieu lui remonte lestomac à chaque coup de rein brutalement. Il geint, ahane, les mains crispées sur les seins dAnne qui adore sentir ces gros doigts s’enfoncer dans sa poitrine il crie, grogne et lâche la purée il lui remplit le cul de son sperme pendant que lautre décharge à son tour elle jouit à peine la douleur était trop forte mais elle se laisse aller entre leurs mains, repue épuisée par les coups de reins brutaux quelle a subi de tous les côtés, épuisée par ses orgasmes. De nouveau allongée sur le plateau du bureau, ouverte, la vulve et le cul laissant échapper des trainées de sperme. Ils regardent ajustent leurs pantalon en contemplant le corps quils viennent de posséder. Elle profite de ces regards, se cambre un peu pour mieux soffrir à leurs yeux.
« Merci »
Elle ne reconnait pas vraiment sa propre voix.
« Quel pied je vous invite à manger quelque part pour la peine vous avez besoin de reprendre des forces. »
Jo, le plus grand, entrevoit un espoir de remettre ça.
« Non, merci, cest fini, mais on peut faire connaissance. Vous avez des choses à me raconter tous les trois, jen suis sûre »
Une demi-heure plus tard, ils sont dans une brasserie, ils mangent choucroute, poissons, fruits de mer vin blanc.
Cest Jo qui parle le plus, Charles leur laisse la parole, il aura tout le temps, Paulo complète de temps en temps.
Charles leur a proposé de faire une blague (cest le mot quil a employé, si, si). Ils ont monté le coup ensemble, repéré les lieux, mis une serrure sur la porte du bureau ils cognaient pour faire du bruit et créer de la tension, et cacher le bruit de leur clé.
Jo insiste lourdement, Charles leur devait bien ça avec toutes les bonnes occasions quils lui avaient trouvées quand ils étaient étudiants. Les filles quils avaient partagées, Charles et Jo surtout « Parce que cétait la première double pénétration pour toi ma belle, mais Charles et moi ça nous est arrivé assez souvent en fait à cette époque là.
Charles se tait, un peu gêné et en fait il la toujours été. Cette fois encore il a senti le pieu de Jo dans le corps dAnne, sa bite frottait contre le pieu à travers les parois internes Cétait pareil dans les corps de femmes quils se partageaient ça faisait un peu bizarre.
Ils se sont connus à luniversité le même sport, du basket, Jo et Charles les marqueurs, Paulo distribuait à eux trois ils faisaient gagner léquipe.
Une année, une équipe de fille a suivi le même parcours queux cétait sympa des entrainements ensemble, des déplacements ensemble parfois des douches Il y avait des filles sages et trois salopes ça tombait bien ça faisait des parties de cul interminables. Charles était le plus coureur une fois il a failli être exclu de léquipe parce quil sétait tellement épuisé avec une paire de filles rencontrées dans un train quils avaient perdu.
Une autre fois Jo et Charles avaient rencontré deux filles de léquipe par hasard au gymnase, ils sétaient enfermés dans les douches de filles. Ils avaient baisé chaque fille a eu droit à sa double pénétration pendant que lautre regardait. Sous la douche. Il y en avait une qui lavait provoqué à faire un truc. Elle sest mise à pisser sous la douche, debout, devant eux en les regardant puis elle sest mise à genoux sest approchée deux. Cest Charles qui a compris le premier il sest mis à pisser vers elle et elle a ouvert la bouche. Après, continue Jo, cest moi et puis sa copine. On a fait de ces trucs
Anne écoute, tout le monde mange Charles va faire un tour aux toilettes Quand il revient Anne referme son sac. Le repas est fini Jo a sans doute donné son numéro de tél, ou Paulo qui ne dit rien, mais sait y faire mieux que personne..
Reste à reconduire Anne au parking.
« Je naurais jamais pensé que vous prépareriez ce genre de guet-append. »
« Cest un reproche ? »
« Non, merci, quand jy repense beaucoup dexcitation et de plaisir, mais la prochaine fois, demandez-moi ce que j’en pense »
« Comme vous voulez. »
La fois suivante cest le tour dAnne dappeler. Elle a réservé un gîte quelque part au milieu de nulle part. Ils sy retrouvent. Elle vient se faire baiser. Il la baise Elle lui donne tout, il prend tout. Elle le suce, avale, elle le lèche partout, il se demande un moment si elle ne cherche pas à lui mettre sa langue dans le cul… elle se masturbe et se fait jouir devant lui, debout, couchée les jambes largement ouvertes… pour lexciter. De longues séances de masturbation, devant la cheminée, sur un tapis recouvert de serviettes pour éviter de trop le tacher. elle caresse ses seins, sa vulve, y enfonce ses doigts, une partie de sa main. Elle le veut au comble de lexcitation, pour mieux se faire prendre ensuite, se faire défoncer le cul Deux jours de stupre absolu
Puis sous la douche devant lui, pissant debout, essayant de diriger le jet avec ses doigts sur la vulve vers les jambes de Charles qui laisse faire. Elle coupe leau, saccroupit pour finir de pisser comme le premier jour, elle ouvre la bouche quand elle a fini. Elle attend… obscène, provocatrice, animale…
Charles qui avait oublié cet aspect des séances de douches collectives se met à pisser vers elle, dirigeant le jet vers la tête, les cheveux pour un shampoing spécial elle prend sa douche ouvre la bouche…. Elle recrache un geyser durine, une première fois, une deuxième fois, ouvre à nouveau la bouche comme Charles finit de vider sa vessie. Elle le regarde déglutit. Charles sen trouve remué, plus que lorsquune femme à genoux le regarde en déglutissant après quil a vidé ses couilles dans sa bouche.