Les 12 servitudes d’Hélène – êta, favorite d’Hyppolitée la reine des Amazones (suite)
Au petit matin êta dormait encore tandis que Lysippée donnait déjà ses ordres pour préparer la cérémonie destinée à rendre compte à La Reine Hyppolitée de l’expédition rentrée la veille. Sous la conduite de Gardiennes ayant revêtu de rutilantes armures et brandissant des fouets au cuir luisant, plusieurs hittites capturés s’afféraient… Guerriers hier, ils étaient désormais esclaves des Amazones et celles qui les surveillaient ne leur laissaient pas le loisir de l’oublier. Les fouets claquaient au-dessus des têtes et les esclaves courbaient docilement l’échine tout en se préparant à figurer au nombre des cadeaux que Lysippée offrirait tout à l’heure à sa reine, en signe de succès de l’expédition menée… Afin de leur rappeler le statut qui était désormais le leur, La Chef de la cavalerie des Amazones avait désigné deux de ses prises qui avaient été enchaînées dans la cour intérieure de la villa et livrées au fouet. Puis devant la masse servile, ils étaient exposés avec d’énormes olisbos d’ivoire qui avaient été enfoncés dans le fondement de ces deux mâles martyrisés. Depuis des heures, ils demeuraient là, sous le regard apeuré des autres esclaves
Lysippée envoya enfin une de ses servantes réveiller êta, en lui intimant l’ordre de se comporter avec la plus extrême douceur. La servante aux allures de sylphide s’approcha donc avec légèreté de la couche où êta somnolait et glissa doucement sa tête rasée sous le fin drap qui recouvrait la blonde captive. Avec douceur, de sa langue éduquée à prodiguer les plus délicats plaisirs, elle commença à lécher l’intimité d’êta qui rêvait à ce moment là des ébats par lesquels Lysippée l’avait épuisée la veille… la douce langue qui lapait ses chairs la tira donc d’un rêve impudique pour la plonger dans les délices d’une lente jouissance. êta sentait la cyprine qui s’écoulait lentement sur ses cuisses largement ouvertes. Elle gémissait doucement et sentit une autre présence… Lysippée se tenait debout au-dessus d’elle et la contemplait dans son plaisir, un sourire carnassier aux lèvres.
— Tu es décidément insatiable ! Tu vas plaire à Notre Reine, Elle aussi n’est jamais repue de plaisirs !! Allons, debout maintenant ! Tu dois être apprêtée pour figurer parmi les présents que je Lui destine…
Lysippée frappa dans ses mains et d’autres esclaves vinrent entourer êta pour la guider à nouveau vers les bains privés où elle avait déjà été préparée la veille. Une heure durant, la blonde esclave fut lavée, parfumée, coiffée, maquillée, son corps paré pour offrir à sa future Maîtresse le plus délicieux et désirable des spectacles. Tout au long de la préparation, une esclave ne cessait d’aller et venir aux cuisines, afin de servir à êta une sorte de tisane au goût un peu amer… l’esclave en absorba ainsi un grand nombre de tasses tandis qu’on la préparait. L’énorme masse des cheveux blonds ondulés d’êta avait été ramassée en une épaisse natte garnie de perles et de nacre… Elle était entièrement nue, mais toute d’or et de bijoux parée. Un collier d’or fin habillait son cou, garni d’un seul anneau d’où une longue chaînette d’or descendait entre ses seins et se terminait par une fine pince en or aussi placée sur les lèvres intimes de l’esclave. Ses seins d’albâtre étaient également décorés de bijoux en forme de fleurs fixés par des pinces à ses tétons. Une autre chaîne, fine et toute d’or, enserrait sa taille et descendait entre ses fesses pour se séparer en deux, chaque extrémité étant fixée à des anneaux de cheville également en or… Tandis qu’un long cortège se mettait en place, êta fut placée sur une sorte de grand plateau d’airain qui fut soulevé par quatre esclaves mâles qui ne portaient rien d’autre qu’une cage (de chasteté) d’or emprisonnant leurs membres virils. Mené par Lysippée montée sur sa plus belle monture, le cortège s’ébranla depuis la villa et commença sa traversée de la Cité, en direction du Palais royal. Derrière La Cavalière venaient des esclaves mâles à la musculature impressionnante, enchaînés les uns aux autres sous la surveillance de Guerrières équipées de fouets…
Puis venait êta et son attelage encagé, suivis d’autres esclaves portant des coffrets garnis de toutes les richesses arrachées au camp hittite lors du raid qui avait vu Lysippée s’emparer d’êta. Tout au long du parcours, une foule de femmes s’était massée pour profiter du spectacle. êta remarqua qu’il y avait fort peu d’esclaves mâles. Seulement un par ci, un par là, généralement tenus en laisse par Une Amazone… Ils se tenaient accroupis, les yeux fixés vers le sol et parfois, Une Amazone s’amusait à leur délivrer un méchant coup de pied qui les envoyait bouler contre la terre battue du chemin pour le plus grand amusement de la foule féminine qui s’en désintéressait cependant fort vite, bien plus intéressée par la richesse exubérante du cortège de Lysippée. Enfin on approcha du Palais. Ici la foule était contenue par deux rangs de guerrières aux armures très richement ornées. Le chemin montait, les fouets claquaient pour forcer les esclaves à maintenir le rythme de leur marche malgré la chaleur déjà étouffante, la souffrance éprouvée par la marche pieds nus sur les cailloux du chemin et le poids des coffrets qui pesait de plus en plus, rendant chaque muscle un peu plus douloureux à chaque instant. Enfin, une ultime volée de marches de marbre menaient dans le vaste hall du Palais royal. Un immense espace vide, à l’exception d’un trône au sommet d’une petite pyramide de marbre, aux angles de laquelle étaient enchaînés des esclaves. Lysippée avait abandonné son cheval et s’inclina avec respect devant La reine qui la contemplait depuis son haut siège au-dessus de tout.
— Voici, Ô ma Reine, l’offrande de votre humble servante après le succès de l’expédition contre les hittites. Permettez-moi de mettre à Vos Pieds les richesses confisquées, les esclaves capturés… ainsi qu’une pièce exceptionnelle dont j’espère qu’elle saura Vous combler
D’un simple geste, Hyppolitée fit signe à Lysippée de se redresser
— Je contemple ton offrande, fidèle guerrière. J’apprécie cette nouvelle victoire et j’ai hâte de goûter aux saveurs de ce présent que tu me dis si exceptionnel ! répondit Hyppolitée.
On fit déposer les lourds coffrets dégoulinants de pièces dor et de richesses au pied de la pyramide, puis les Gardiennes Royales menèrent le troupeau des esclaves vers les stalles du Palais. Ne restèrent en présence de la Reine que Lysippée et êta. La reine descendit alors de son trône et vint saluer Lysippée en lui prodiguant un long baiser, signe de Sa satisfaction et de l’affection qu’elle éprouvait pour cette formidable et fidèle guerrière. Puis elle se dirigea vers êta qui demeurait immobile, le buste droit mettant en valeur la rondeur et la fermeté de ses seins ornés de bijoux qui serraient ses tétons maintenus en état d’excitation permanente.
— Quelle beauté ! s’exclama simplement Hyppolitée…
Vue de près, La Reine semblait soudain plus frêle sous son épais manteau de velours et d’hermine. Elle n’était plus toute jeune, les rides striant son front et son visage… Sa main fripée se promenait maintenant sur le corps de la jeune esclave, flattant les fesses dêta, appréciant la courbe des hanches, la fermeté de la croupe, le galbe de la poitrine… Elle porta un doigt contre les lèvres d’êta, la forçant à ouvrir la bouche afin de promener son doigt sur les dents, constatant ainsi sa perfection. Elle poussa ses doigts entre les lèvres, afin qu’êta puisse respectueusement les lécher… puis les retira et les passa entre les cuisses, appréciant de sentir que, déjà, son nouveau jouet était abondamment humide.
— Comme je les aime ! dit-elle avec satisfaction à Lysippée, Tu me combles décidément ! Comme toujours ! Je la veux tout de suite ! Suis nous, tu as bien mérité d’assister au plaisir de ta Reine
Et les trois femmes quittèrent le vaste espace, se glissant derrière une épaisse tenture et Hyppolitée manoeuvrant d’invisibles mécanismes afin de provoquer l’ouverture d’un pan de mur qui donnait sur un étroit tunnel. Tandis que le mur se refermait dans leur dos avec un frottement, Hyppolitée s’avançait dans cet inquiétant couloir sinueux en descente, suivie par Lysippée qui poussait êta devant elle. Elles marchèrent encore un long temps, avant que le sol ne redevienne droit et plat… Le couloir aboutissant dans une grande pièce taillée à même le roc sur laquelle débouchait une douzaine de portes…
— Les portes du plaisir… Que dis-je des plaisirs susurra Hyppolitée, avec un petit sourire vicieux, à l’oreille d’êta.
On poussa l’esclave vers une première porte qui fut ouverte… La pièce était petite, blanchie à la chaux, au centre un trou étroit au sol dans lequel se tenait un esclave mâle qui ne pouvait être que debout et où sa tête dépassait, tête levée regardant le plafond mais aussi tête à la bouche grande ouverte
— Place toi au-dessus du trou, ordonna la Reine à êta qui obéit promptement… Bien, et maintenant, ouvre bien les cuisses et pisses !!" lança Hyppolitée… Pisses car si tu ne le fais pas, tu seras châtiée !
êta comprit alors la raison des tisanes qu’elle avait dû absorber. Anticipant les désirs de La Reine qu’elle connaissait bien, Lysippée avait préparé la blonde esclave à la satisfaire. Depuis un bon moment déjà, êta retenait d’ailleurs un besoin pressant d’uriner. Sans état dâme, elle prit donc la position requise sous le regard gourmand d’Hyppolitée et commença à pisser… un abondant et intarissable jet d’urine dorée qui s’écoulait et venait éclabousser la tête et le corps de lesclave mâle où il n’avait aucune possibilité d’échapper à cette douche odorante. Lurine débordait de la bouche ouverte telle une cascade pour sécouler. Hyppolitée était aux anges et ne quittait pas des yeux l’intimité d’êta d’où finissait de s’écouler l’urine, maintenant goutte à goutte…
— Lysippée ! ordonna simplement la Reine.
Et la Guerrière se saisit d’êta, lui saisissant également les hanches pour la soulever…
— Ecarte les cuisses, dit Lysippée
Tandis qu’Hyppolitée s’approchait et dardait sa royale langue entre les cuisses portées à hauteur de ses lèvres sans qu’Elle eut à s’incliner… La reine lécha ainsi la liqueur à la source même, savourant le parfum et la saveur intimes de l’esclave. Puis, elle s’approcha du trou et en interpella celui qui y était emprisonné
— J’espère que tu as apprécié ce privilège, esclave. Car avant demain, tu n’auras nulle autre boisson, lança Hyppolitée
Puis la Reine se tourna ensuite vers êta que Lysippée avait reposée à terre
— Celui-ci, dit-Elle en désignant le trou, était Roi chez les Scythes et narguait notre puissance. Il est là depuis quelques mois et va y rester encore fort longtemps. Lorsque je m’en serai lassée, il sera affecté aux travaux des champs. Parfois je viens le soir et je l’entends pleurer, douce musique à mes oreilles !… Alors pour le consoler, il a le privilège de mapporter quelques plaisirs buccaux avec sa chienne de langue et jai tout le plaisir à le souiller de ma royale mouille de ma jouissance sur son visage mais aussi de me soulager comme tu viens de le faire
Et La reine éclata de rire tout en quittant la cellule, suivie de Lysippée et de l’esclave.
— Tu as bon goût petite, dit encore La Reine, je savourerai désormais chaque jour la liqueur de ta source…
Elle ouvrit une deuxième porte. Dans cette nouvelle cellule, deux hommes étaient attachés, chacun sur une croix en forme de X. Ils étaient nus, leurs sexes emprisonnés dans de minuscules cages d’acier…
— Sans doute ignores-tu qui ils sont, dit Hyppolitée à êta… Les capitaines d’une cité qui maintenait sous sa coupe toute une vaste contrée. Ils se comportaient en pillards, et se vantaient d’avoir violé toutes les femmes des terres alentour… Nous les avons pourchassés et capturés. Parfois on leur permet de voir la lumière du jour, une fois par mois, lorsqu’ils sont menés au camp des hommes afin de permettre à ceux qui ont bien travaillé de se vider dans leurs culs ! Cela fait si longtemps qu’ils sont encagés, qu’ils ne doivent même plus se souvenir de l’emploi que l’on peut faire de ces organes dont ils vantaient à outrance la virilité et qui ne sont plus désormais que deux pauvres escargots rabougris !
êta regardait les deux prisonniers qui tremblaient à chaque mot de La Reine… Hyppolitée attira l’esclave vers Elle et la saisit entre ses bras. êta s’abandonnait avec langueur aux caresses que lui prodiguait sa nouvelle propriétaire… La Reine se révélait experte, et êta gémissait déjà, tandis qu’elle avait à peine posé ses doigts sur elle… Lysippée quant à elle avait libéré les sexes des deux mâles de leurs cages et leur avait intimé l’ordre de regarder la blonde esclave qui était exhibée sous leurs yeux… La Reine avait abandonné êta dans une état d’excitation extrême après de longues et perverses caresses et doigtages vicieux et l’esclave femelle se tenait maintenant allongée sur le sol, usant de ses propres mains pour se mener jusqu’au plaisir…
— Admirez-la, espèces de chiens ! Dit la Reine en direction des deux esclaves mâles enchaînés à leur croix Plus jamais vous ne pourrez abuser d’une telle créature… Mais maintenant que vos petits escargots sont libérés, tentez donc de tendre vos pauvres larves, car celui qui tardera trop devra en payer le prix !
Mais malgré l’excitation, les deux prisonniers peinaient à bander malgré le spectacle tellement impudique d’êta qui se caressait en gémissant sous leurs yeux… Hyppolitée se réjouissait d’avoir ainsi réduit à néant leur virilité…
— Je vois que vous n’êtes plus vraiment des hommes, s’amusa-t-elle, alors dès demain, on s’occupera de vous et vous serez dressés pour devenir de bonnes putains destinés pour les esclaves mâles qui ont mérité une récompense… Et vous saurez ce que cest que dêtre abusés comme vous avez, durant tant dannées, abusé de pauvres femmes lors de vos nombreux pillages
(A suivre )
