CHAPITRE 2 – LA SIESTE
Je monte me reposer après le repas. Le voyage, le décalage horaire et nos débordements dans la piscine, m’ont mis sur les genoux. Je me déshabille et glisse sous les draps. Je repense à Raymond et Florence, elle surtout. Elle n’avait que dix-sept ans quand je l’ai quitté. J’ai le souvenir d’une adolescente empruntée, mal dans sa peau, toute timide qui rougissait quand je parlais devant elle des garçons qui me courtisaient. Elle a bien changé ! Je retrouve une vraie femme avide de plaisir. Je n’aurais jamais pensé que des caresses féminines m’émeuvent à ce point. Serai-je une lesbienne qui s’ignore ? Et Florence ? Préfère-t-elle les femmes aux hommes ?
A ce moment de ma réflexion, j’entends un grattement à la porte.
— Oui, entrez.
Florence apparaît dans l’encadrement.
— Je te dérange pas ?… Je voudrai parler avec toi.
— Viens me rejoindre, dis-je en soulevant le drap de dessus et tapant sur le lit.
— Oh ! Tu es toute nue !
— Je peux me rhabiller si cela te gêne.
— Pas du tout, je préfère. Ça te fait rien si je fais comme toi ?
— Dépêche-toi de me rejoindre !
En trois mouvements elle quitte ses vêtements. Je ne l’avais pas admiré à sa juste valeur tout à l’heure dans la piscine. Elle est adorable. Ses seins hauts perchés pointent avec arrogance, ses hanches dessinent une amphore encore étroite et au milieu la touffe de poils châtains voile imparfaitement son sexe. Elle s’allonge à mes cotés, nous recouvre du drap avant de se blottir dans mon dos. Je suis tout émue de sentir son jeune corps vibrer. J’ai une envie folle de toucher cette chair ferme de la patouiller mais j’attends qu’elle fasse le premier geste. Elle ne bouge pas. Je sens sur mes omoplates les battements de son cour. Je m’enfonce dans une douce somnolence.
Je suis réveillée par un tiraillement sur la poitrine. Mes seins sont gonflés, les tétons durcis, pourquoi ? Un ongle qui tourne autour de l’aréole me renseigne. Ma sour, ma petite sour est entrain de me caresser ! L’attouchement est furtif, presque immatériel. On dirait un insecte qui se promène sur mon sein, qu’un rien ferait enfuir. Je me garde de bouger et calme ma respiration pour ne pas me trahir. La caresse est légère, loin des patouilles auxquelles m’ont habitué mes amants. Je mesure en cet instant la différence entre les doigts d’homme et de femme. Le frottement continue, à la limite de l’énervement. Mon dieu que ce trouble est délicieux !
Les doigts quittent le mamelon. Je réprime un soupir de frustration pour frémir la seconde d’après : le doux frottement se déplace vers mon ventre, évite le nombril, descend sur la cuisse. Je tremble de désir refoulé. Je mouille comme ce n’est pas permis ! Jamais je n’aurais imaginé que des caresses féminines fassent autant d’effet. Les doigts se perdent dans mes poils. Ils vont découvrir mon émoi, non pas ça !… Si !
— Aah !
Je n’ai pu étouffer le gémissement. Pfouit ! La main s’envole !
— Je t’ai fais mal ? s’inquiète Florence.
En guise de réponse je me retourne et applique les lèvres sur sa bouche. Elle reçoit le baiser avec ferveur.
— Mmmmh !
Les doigts sont revenus à la charge, écartent les lèvres de mon sexe et trouvent le petit bouton sensible. Qu’elle est habile ma sour !
— Aaah !
— Caresse-moi aussi, supplie-t-elle.
— Je… Je saurais pas…
— Mais si, imite-moi… s’il te plait, insiste-t-elle devant mon indécision.
Timidement, ma main rampe sur son ventre, trouve la fourche de ses cuisses, recouvre les poils de son sexe.
— Ton doigt !… s’il te plait…
Le sien me montre le chemin. Je reproduis ses mouvements.
— Ouiii ! murmure-t-elle.
Je me prends au jeu. Donner du plaisir tout en recevant est une jouissance à nulle autre pareille. Nos clitoris se dilatent sous la caresse. Un doigt tourne à l’entrée de mon puits d’amour, puis s’introduit dans la grotte humide. Mon index l’imite vite suivi du majeur car ils sont deux qui vont et viennent dans mon vagin. Nos langues s’entortillent dans un ballet lascif, nos baisers étouffent nos gémissements. Ensemble nous tressaillons, rattrapées par un orgasme commun.
— Mmmmh !
Nous restons plusieurs minutes immobiles à savourer les ultimes frémissements de nos corps. Florence a posé la tête sur mon épaule. Elle se love contre moi, présentant sa poitrine à mes doigts. Je ne sais pas comment cela s’est fait, mais je réalise tout à coup que je triture un tétin qui s’allonge sous la caresse. Je veux retirer la main, mais elle la bloque, me faisant comprendre qu’elle désire que je continue mes attouchements.
— On est bien n’est-ce pas ? interroge-t-elle sans me regarder.
— Où as-tu appris ces caresses ?
— T’as pas aimé ?
— Oh si !… C’est la première fois tu sais… avec une femme.
Cet aveu lui fait plaisir car elle se tortille contre moi comme si elle voulait rentrer dans ma peau.
— Moi j’ai toujours eu envie de te caresser, mais toi tu faisais pas attention à moi. J’ai jamais réussi à t’avoir pour moi toute seule. Tu me trouvais trop petite ?
— Tu étais bien jeune quand je suis partie aux Etats-Unis.
— Oh ! J’avais presque dix-huit ans. Je connaissais les caresses que je pratiquais avec mes copines.
— Je n’étais pas une grande sour attentionnée car autrement je l’aurais remarqué. Je le regrette.
— C’est pas grave, tu es là maintenant.
Nous restons couchées l’une contre l’autre. Ma main enveloppe son sein tandis que la sienne joue avec mes poils pubiens.
— Tu sais, continue-t-elle en introduisant le doigt dans ma fente, je voyais ce que tu faisais avec Denis. J’étais jalouse, mais jalouse !
— Ça a commencé comment Denis et toi ?
— Je l’ai rejoins dans son lit après ton départ. Il voulait pas au début mais j’ai su le convaincre.
— Et avec Raymond ?
— Oh lui, j’ai pas eu de difficulté ! Au contraire ! Il me courait déjà après, avant que tu t’en ailles, mais je voulais pas commencer avec lui.
— C’est Denis qui t’a dépucelée ?
— Oui, pas toi ?
— Raconte-moi, dis-je en éludant sa question… s’il te plait.
— Ben euh… Comme je t’ai dit, je l’ai rejoins dans sa chambre. Il se caressait nu sur le lit et m’avait pas entendu entrer. Tu peux pas savoir l’effet que ça m’a fait de voir sa longue queue dressée avec le gland qui émergeait de sa main. Je suis restée un moment à l’admirer puis je me suis avancée en ôtant ma robe de chambre. Il a voulu se recouvrir du drap, je l’ai empêché. Il m’a supplié de partir. Au lieu de lui obéir, je suis montée sur le lit à cheval sur ses cuisses. Il tenait toujours sa queue, j’ai du forcer pour qu’il la lâche et que je puisse la prendre en main. C’était la première fois que je tenais un sexe d’homme. Que c’était gros ! Je tremblais, j’avais peur, je voulais reculer. S’il avait dit quelque chose, je me serais enfuie, mais il bougeait pas, les yeux fermés. J’ai soulevé le bassin et présenté le bout du gland devant mon ouverture, puis je me suis accroupie. J’ai senti la pénétration. Oh ! J’en tremble rien qu’au souvenir. Je voulais me relever, mais les forces m’abandonnaient et je descendais lentement. A un moment j’ai senti une résistance. Je sais pas si c’est moi qui ai forcé ou Denis qui m’a aidé, mais il y a eu comme une déchirure et je me suis retrouvée les fesses sur ses cuisses. Son engin gonflait mon ventre. Ça me tirait et à la fois j’étais heureuse de le sentir en moi. Je savais pas quoi faire. Nous sommes restés immobiles plusieurs secondes, puis Denis m’a prise à bras le corps et je me suis retrouvée sous lui.
— Ça te faisait mal ?
— Un peu, mais j’avais tellement de plaisir !
— Denis est habile, n’est-ce pas ? Il fait bien l’amour.
— Oui, répond-elle rêveuse, il fait bien l’amour… Embrasse-moi !
L’évocation de son initiation lui fait autant d’effet qu’à moi. Nous nous étreignons. Je suis sur le dos. Florence me donne des bisous dans le cou pendant que sa main triture mon tétin. Du cou sa bouche descend sur le sein.
— Aah !
Je caresse ses cheveux. La bouche poursuit son exploration.
— Non, pas là, tu chatouilles ! m’écrie-je quand sa langue s’insinue dans le nombril… Aaah ! Qu’est-ce que tu fais ?
La coquine écarte les lèvres de mon sexe et prend mon petit bouton entre ses dents.
— T’aimes pas ?
— Ooooh !… Siii !
Elle se redresse sur les coudes et me dévisage.
— Tu sais ce que j’aimerais, Sylvie ?
— Dis-moi tout, petite sour.
Ses doigts jouent dans mon sexe.
— J’aimerais que tu me fasses ce que je te fais…
— Comment ? dis-je étonnée par sa demande. Je vois pas… Oh ! Comme avec un garçon quand on fait 69 ?
Je capitule devant son air implorant.
— Bon, j’accepte. Guide-moi, c’est la première fois que je le fais avec une fille.
Nous nous retrouvons bientôt tête-bêche, elle au-dessus. De voir sa chatte rose me fait sourire. D’habitude ce n’est pas une fente féminine que je contemple dans cette position ! J’attire son ventre contre mes lèvres au moment où sa bouche tète mon clitoris. Je lèche avec application, heureuse de la sentir vibrer.
Un ombre occulte la lumière. Une queue s’avance devant mes yeux. Une queue lisse dont les testicules sont à peine poilus, la bite de Raymond !
— Plus moyen d’être tranquille une minute !
— A qui tu parles ? demande Florence.
— A Raymond ! Il n’y a que lui pour venir nous interrompre.
— Je veux pas vous interrompre, je viens seulement mendier une miette de plaisir. Tu as un si joli cul, Flo, déclare-t-il en approchant le gland des fesses qui me surplombent.
Un frémissement me parcourt à la vue du gland violacé à quelques centimètres de mes yeux. Brusquement j’ai envie de le voir entrer dans le petit orifice brun dont il se rapproche.
— Dis Florence ! Il peut ?
— Si ça pouvait lui suffire ! De toute façon il s’en ira pas, alors…
Raymond satisfait de l’autorisation pousse pour s’introduire dans l’anus.
— Aïe ! Tu me fais mal !
— Espèce de brute ! Tu peux pas attendre que je la prépare ?
J’empoigne la queue d’une main et la retire des fesses, pendant que de l’autre je barbouille le petit trou brun de mouille.
— Oui ! approuve Raymond. Badigeonne bien, enfonce le doigt pour humecter l’intérieur, ça glissera mieux.
Il veut reprendre sa queue. Je résiste.
— Attends ! Ne sois pas si pressé !
J’enduis le gland de salive en le léchant sur toutes les faces.
— Aah !
— Que faites-vous ? C’est pas encore fini ? s’inquiète Florence qui pendant tous ces préparatifs n’a pas cessé de lécher mon sexe.
— Il est prêt, dis-je en retirant le sceptre de la bouche et en le présentant en face du trou.
Raymond pousse. J’observe comment l’orifice se dilate, comment le bouclier du gland se fraye un passe puis disparaît, avalé par les muscles du sphincter. J’ai déjà vu cette scène dans des films pornos, mais le spectacle qui se déroule sous mes yeux est autrement excitant ! La tige n’en finit plus de s’enfoncer jusqu’à ce que les testicules chatouillent mon front.
— Aarrgghh ! grommèle Florence… Continue de me caresser devant, Sylvie !
Je titille le clitoris tandis que les bourses de Raymond entament un ballet devant mes yeux.
— Ouiii ! s’écrie Florence.
— Fais-nous… comme tout… à l’heure, ahane mon frère.
Tout à l’heure ? Ah oui ! Comme dans la piscine ! J’introduis un doigt, puis un autre dans le jeune vagin. Je sens la grosseur du sexe aller et venir dans l’orifice voisin. C’est tout proche. Si j’arrivais à introduire le pouce, je pourrais la saisir… Non ! J’ai trop peur de faire du mal à ma petite sour qui sous l’emprise d’un orgasme violent se trémousse avec des mouvements désordonnés.
— Aaaahhh !
— Aïe !
Florence m’a mordu ! Je ne lui en veux pas, elle ne sait plus ce qu’elle fait ! Encore une secousse puis elle s’affaisse sur mon corps, le souffle court. Raymond continue de la pilonner.
— Arrête ! Tu vas lui faire mal.
Il ne m’obéit pas. Je pince un testicule.
— Ouille ! Hé ! Lâche-moi !
— T’avais qu’à te retirer !
A contre cour il obtempère.
— C’est que j’ai pas fini moi !
— Sylvie s’en chargera, n’est-ce pas sourette ?
Sans attendre ma réponse, Florence s’allonge à mes cotés et m’attire au-dessus d’elle. Les rôles sont inversés, c’est mon cul qui pointe devant Raymond, c’est mon petit trou qui reçoit la visite de l’index de Florence, pour l’élargir prétend-elle. Une douce grosseur appuie dessus, je sens l’orifice se dilater, accepter l’introduction.
— Aaah !
Dans ma grotte voisine, deux doigts s’introduisent. Oh ! Quelle sensation ! Je suis tiraillée de toutes parts. Florence coordonne ses mouvements avec les coups de reins de Raymond. Vive la double pénétration ! La jouissance m’envahie, je résiste pour en profiter le plus longtemps possible. Peine perdue, je succombe, lâchant les vannes de mon plaisir.
— Aaaaggghhh !
Les muscles de mon vagin et de mes intestins se contractent spasmodiquement précipitant l’éjaculation de mon frère.
— Mmmhh !
Florence s’extrait de dessous nos corps. Elle me caresse la joue.
— Hein que c’était bon ?… Oh ! Denis ! T’étais là ?
— Oui, vous n’êtes pas discrets, vous savez. Je vous entendais depuis ma chambre.
— Il y a longtemps que tu es là, Denis ?
Je souris à la silhouette en robe de chambre au pied du lit.
— Assez pour savoir que tu apprécies la sodomie.
— Comme si tu le savais pas !
— Mais tu aurais pu changer d’avis en trois ans !
Je tire sur sa robe de chambre. Il semble nu dessous. Une bouffée de désir m’envahit. Je glisse la main le long de sa cuisse. Il se retire en souriant.
— Ce soir, mon chou, ce soir ! Quand les petits seront couchés !
— Les petits, les petits ! On n’est pas si petit que ça quand tu nous rejoins dans le lit, rouspète Raymond… Aïe ! Pas si fort !
Denis lui a asséné une maîtresse claque sur les fesses !
— Mais en attendant de te combler, continue-t-il, permets-moi de m’amuser un peu.
Denis soulève le bassin de mon frère et l’oblige à se poster à quatre pattes sur le lit. C’est nouveau pour moi ça ! Il s’en est passé des choses pendant mon absence !
— Eh oui ! admet Denis qui a remarqué mon regard interrogatif. Il a bien fallu que je compense ta fuite… Bouge pas toi ! Sinon je te ferai mal !
Il suce son doigt et humecte le pourtour de l’anus. Florence se précipite.
— Attends !
Elle engloutit le gland et l’enduit de salive.
— Aides-moi ! me lance-t-elle en tirant sur une fesse de mon frère.
J’écarte l’autre globe. L’anus bâille, Raymond n’en est pas à son coup d’essai ! Il grimace à peine quand le gland fraye son passage et disparaît avalé par l’intestin.
— Aarrgghh !
Florence se penche sous le ventre de son frère.
— Oh ! Le petit coquin ! Regarde Sylvie ! On lui suffisait pas ! s’exclame-t-elle en s’amusant avec la queue qui se développe. Je sais ce qu’il veut ce gros cochon !
Elle se glisse sous Raymond.
— Florence, lui reproche Denis, laisse ta sour… découvrir… ce dont son frère… Aah !… est capable.
— Tu as raison Denis. Prends ma place Sylvie.
— Qu’est-ce qu’il faut faire ?
— Oh ! Pas grand chose, juste permettre à Raymond te baiser pendant que Denis l’encule, tu verras, ça vaut la peine, ajoute-t-elle en s’extrayant. Arrête un instant Denis, que Sylvie s’installe… Oui… Toi, passe la jambe sous leurs corps, me guide-t-elle… là… soulève le bras Raymond, que ta sour puisse se mettre en place… bon… Oui, tu peux l’embrasser si tu veux… Ecarte bien les jambes Sylvie… Non Raymond ! Pousse pas encore…
Je sens le gland manipulé par Florence séparer les lèvres de mon sexe.
— Là, vous y êtes !
— Aaaah ! gémit Raymond quand sa queue s’enfonce sous la poussée de Denis.
— Ooh !
Je suis surprise par le tremblement de la verge. C’est délicieux.
— N’est-ce pas que c’est bon ?
— Oh ouii !… Aaah !
Denis et mon frère coordonnent leurs mouvements. Florence s’amuse à nous caresser tous trois. Je n’avais jamais senti une telle vibration qui se transmet à tout mon ventre. La chambre s’emplit de nos gémissements. J’essaie de capter le regard de Raymond. Ses yeux sont révulsés, signe de l’intense émotion qui l’étreint.
— Aaaahh !
Une secousse m’ébranle, une onde de jouissance m’enveloppe. Denis halète. Il accélère la cadence. Je devine qu’il n’en a plus pour longtemps. En effet il pousse des cris rauques et effondre de toute sa masse. J’ai de la peine à respirer. Ouf ! Florence le fait basculer. Raymond reprend sa chevauchée. Je suis déçue, la vibration qui m’émouvait tant a disparu. Je subis presque passive la fin de l’étreinte.
— Alors ? questionne Florence pendant que les hommes reprennent leur souffle.
— T’avais raison, c’est fabuleux !
— T’as joui ?
— Oui, juste avant que Denis termine… il était temps…
— Bah ! T’auras l’occasion de recommencer, mais dis… tu m’en laisseras un peu ?
— Je veux pas te priver de ce plaisir.
Pour la rassurer je l’embrasse tendrement. Denis et Raymond sont couchés sur le dos le souffle court. Je m’agenouille entre eux et m’amuse à triturer leur verge docile.
— Alors Sylvie ? Heureuse d’être de retour ?
— Oui Denis, très heureuse.
— Nous allons passer des vacances formidables.
J’étouffe un soupir. Je leur dis ou je ne leur dis pas ? Non, attendons demain. Aujourd’hui je me consacre à ma famille. Je me lève et entraîne Florence.
— Laissons les hommes récupérer. Viens dans la piscine, tu me raconteras tes amours à la fac avec tes copines.
— Euh… J’ai aussi des copains. Ça te gêne ?
— Pas du tout, j’en suis heureuse pour toi.