Jessica ouvrit les yeux à la fin du baiser qu’elle m’offrait pour constater que je la fixais, pétrifié.
— Qu’est-ce qu’il y a ? s’enquit-elle.
— Et bien… je ne m’attendais pas une pelle de ta part…
— Et c’est quoi le problème ?
C’était une bonne question. J’étais peut-être vieux jeu mais dans ma représentation de notre histoire d’amitié avec bénéfice, le baiser était une ligne que je n’étais pas prêt à dépasser. Pour baiser, on a juste besoin d’une bite et d’un orifice. Le baiser impliquait des sentiments que je ne ressentais pas / ne croyais pas ressentir / voulais pas ressentir (rayer la mention inutile). Je ne crois pas qu’un client embrasse une prostituée. Mais si je commençais à faire cette analogie entre ma meilleure amie et une pute, j’allais droit dans le mur de la claque dans la gueule et elle aurait raison. J’étais peut-être con mais pas au point de lui faire mal. Il fallait que j’aborde le problème autrement. Je décidai de jouer cartes sur table.
— Ecoute Jess, je suis vraiment terrifié à l’idée qu’on développe des sentiments l’un pour l’autre et qu’on perde ce qui existe entre nous et que j’apprécie. Cette soirée… elle était vraiment excellente. Je ne regrette rien. Mais ça reste une erreur je crois. J’ai vraiment le sentiment qu’on a été trop loin et que ça va nous emmener sur quelque chose qu’on va vraiment regretter.
Jessica m’écouta sans rien dire. Puis elle se redressa en balayant la pièce du regard. Je n’arrivais pas à savoir si elle cherchait ses mots ou si elle découvrait sa chambre pour la première fois. Dans tous les cas, je ne pus m’empêcher de jeter un regard appuyé sur sa poitrine nue en me disant qu’elle était vraiment magnifique. Ses tétons saillaient encore beaucoup, et malgré leur lourdeur, ses seins étaient d’une fermeté qui défiait la pesanteur. Et dire que tout à l’heure sur le canapé, ma queue coulissait dans ce vallon merveilleux. Je songeai soudain que les mecs ne pensent vraiment qu’au cul et je culpabilisai de faire partie de ce que la plupart des filles déteste. Fort heureusement, j’avais débloqué mon regard quand elle se retourna vers moi, les larmes aux yeux.
— Tu sais que je tiens beaucoup à toi, Ju. Et c’est tout à ton honneur de vouloir me protéger en m’empêchant de souffrir. Je sais que tu vis des choses difficiles en moment, à cause de nanas qui ont foutu le bordel dans ton cur. Mais moi aussi. C’est ce qui nous a rapprochés dès le début de notre amitié. T’es un mec génial. T’es gentil, attentionné, t’es marrant. Je ne veux pas te perdre parce que tu es ma bouffée d’oxygène en ce moment. Après, je ne vais pas le nier : dès le départ, tu m’as attiré physiquement dès le départ et tu as toujours été un gros fantasme pour moi. Tu n’as pas idée le nombre de fois où je me suis caressée en pensant à toi. Mais jamais dans mes rêves les plus fous j’aurai pu imaginer qu’on serait passés à l’acte. Ce soir, j’ai pris mon pied comme jamais j’aurais cru possible en accomplissant ce fantasme au-delà de toute limite. Je ne crois pas que ça t’ait déplu, pas vrai ?
Je secouai la tête. Elle avait complètement raison.
— Je crois que tu penses trop, reprit-elle. Je ne sais pas où on va mais tout ce que je peux te dire, c’est que ce moment présent, cette soirée, cette partie de baise démente qu’on a vécu, nous a fait du bien à un moment où on avait besoin de nous faire du bien.
Sa sincérité m’a beaucoup touché. Au fond, à qui faisions-nous du mal ? Nous étions tous les deux célibataires, très complices. J’étais vraiment con de me prendre autant la tête. En tout cas, je suis resté sur cette idée et à 3h du mat passé, je n’avais plus le courage de débattre avec elle.
J’aidai Jessica à changer ses draps, refis une rapide toilette et me dirigeai vers la chambre d’ami. Les parents de Jess revenaient plus tard dans la matinée et je ne tenais pas forcément qu’ils sachent que ma relation avec leur petite fille chérie avait tournée au stupre.
Je m’effondrai sur les draps bien frais et me laissai gagner par le sommeil, juste perturbé par mes douleurs lombaires.
Un discret mouvement de matelas me réveilla. Le soleil pointait le bout de son nez à travers les volets, et à travers mes yeux encore embrumés de soleil, je vis que le réveil annonçait 9h. Petite nuit… mais depuis mes sciatalgies, je ne dormais pas beaucoup de toute façon. D’autant que ce n’était pas mon lit, et c’est toujours perturbant de changer de matelas.
Une présence se lovait contre moi.
— Jess ? dis-je d’une voix pâteuse.
— Oui, c’est moi.
D’un autre côté, je ne voyais pas bien qui ça aurait pu être d’autre.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Crise d’angoisse, répondit-elle d’une petite voix étranglée.
Cela lui arrivait souvent. Normal avec une opération à cur ouvert prévue pour la fin de l’été. Je me retournai de l’autre côté pour la serrer contre moi en cuillère. Elle portait une nuisette bleu nuit au toucher soyeux, avec de la dentelle noire. Je sentais les reliefs d’une culotte sur ses hanches. Ses cheveux me chatouillaient les narines. Elle tremblait, et je sentais son cur battre la chamade contre mon torse. J’attendis un moment qu’elle se calme. C’était la première fois que je la prenais comme ça dans mes bras. Je fis cela de façon très naturelle, pour l’apaiser. Je fus frappé par l’affection que j’avais pour cette fille.
Depuis cette nuit, nos rapports amicaux avaient pris un tournant radical qui dépassait tout ce que j’avais pu envisager dans une amitié homme/femme.
Une citation de Nietzche me vint en tête, assez étrangement.
« Celui qui lutte contre les monstres doit veiller à ne pas le devenir lui-même. Or, quand ton regard pénètre longtemps au fond d’un abîme, l’abîme, lui aussi, pénètre en toi. »
Je fuyais aussitôt les abîmes de mes pensées et le monstre qui y habitait quand la voix de Jess reprit.
— C’est dingue comme tu m’apaises… enfin, tu m’excites et tu m’apaises en même temps.
Je ris. La chaleur de son corps, ses formes, n’arrangeait pas mon érection matinale. Et la coquine roulait des fesses contre la bosse qu’elle sentait bien raide contre elle.
— Jess, ce n’est pas sérieux ! Tes parents peuvent débarquer d’un moment à l’autre.
— Chut ! Ne me dis pas que la situation ne t’excite pas aussi.
Elle baissa sa culotte, l’enleva complètement. Puis sa main se faufila en remontant ma cuisse sous mon short de sport, pour dégager ma queue bien dure.
— Enfile-moi. J’ai envie de te sentir en moi, déclara-t-elle.
Elle m’aida à glisser en elle en écartant sa fesse droite. Ma bite entra en elle soudainement dans un râle commun. Ma main droite sur son cul, je la pénétrais régulièrement et profondément, très langoureusement.
— Humm… j’ai rêvé de ta queue cette nuit.
Tout à coup, un bruit de porte d’entrée qui s’ouvre, des pas, des voix, de bruissement de valises qu’on dépose dans l’entrée.
— Jessica ? dit la voix de sa mère. On est rentrés !
Complètement paniqué, j’arrêtai mes mouvements, et je m’apprêtais à sortir de la chatte de ma copine, mais elle me retint en plaquant sa main contre ma fesse pour me maintenir au plus profond de son vagin bouillant.
— Jess ? répéta sa mère en ouvrant la porte de sa fille de l’autre côté du corridor. Julien est toujours là ?
Pétrifié, je ne débandais néanmoins pas, miraculeusement. Ma salope de copine entretenait mon érection en effectuant d’imperceptibles coups de cul vers mon bassin.
— Je suis là, M’man ! dit Jessica en imitant très bien la voix de la fille qui se réveille.
La porte s’ouvrit, et la maman de ma meilleure amie apparut dans l’encadrure et je fermai les yeux pour faire croire que je dormais encore. La scène était irréelle : ma meilleure amie répondait à sa mère pendant que ma bite distendait les lèvres de son minou, comme si de rien n’était.
— Tu dors avec Julien ?
— Ouais on a discuté super tard et on s’est endormis dans le même lit. Papa est là ?
— Oui mais il voulait aller à la foire expo et y manger. Tu veux venir avec nous ? Julien peut venir aussi.
— Franchement maman c’est super gentil mais je crois qu’on est trop claqués pour se préparer à la va-vite. On voulait se faire une grasse mat’ entre potes et aller manger chez lui à midi pour se faire une après-midi DVD peinard. Ca ne te dérange pas ?
— Non pas du tout. Bon je file ton père m’attend.
— Passez une bonne journée !
J’attendis quelques secondes que la maman s’éloigne avant de réprimander Jessica.
— Jess, t’es malade ! Et si ta mère se doutait de quelque chose ?!
— Ju, ma mère se doute de quelque chose depuis que je te connais. Et je pense même que maman aimerait bien être à ma place là maintenant.
— Hein ?! sursautai-je.
— Chut ! ordonna-t-elle.
L’oreille tendue, Jess accéléra le rythme de ses coups de fesses contre mon pubis. Et lorsqu’on entendit la porte se refermer avec un silence complet, je virai la couette qui nous recouvrait tellement j’avais chaud.
Les belles fesses cambrées de Jess firent leur apparition, sous le liseré de dentelle de sa nuisette, et dans lesquels coulissait mon cylindre bien raide et huilé des sécrétions intimes de mon amante. Les quelques rayons de lumière du jour qui filtraient à travers les volets m’offraient une vision excitante de nos ébats
— Mmm ce que tu me remplis bien la chatte ! Je ne pouvais pas te laisser sortir de moi. Je suis devenu totalement accroc à ta bite.
— Je dois avouer que je raffole aussi de ta chatte.
Je lui écartais une cuisse pour accentuer la profondeur de la pénétration et je repris la main sur la cadence. Je sortis de son vagin pour enlever complètement mon short et mon t-shirt, puis replantais ma queue en elle en lui caressant le clito, après avoir mouillé mes doigts de ma salive. Elle se retourna sur le dos, les cuisses bien écartées et je l’enfourchai en la défonçant au maximum. L’un de ses tétons était sorti du tissu de sa nuisette et Jess se mit à le lécher du bout de la langue pour s’exciter et m’exciter aussi. Je la branlais à toute vitesse et elle se raidit soudain dans un orgasme puissant. Je sentis ses muscles vaginaux compresser mon gland. Je n’étais pas loin de jouir aussi, si bien que je ralentis en la laissant profiter de ses spasmes de plaisir.
Je sortis d’elle à regret quand elle m’annonça qu’elle devait aller aux toilettes. D’un autre côté, je me rendis compte que j’avais envie aussi. J’allai de l’autre côté de l’appart en laissant la salle de bain à mon amie. J’en profitai pour faire un brin de toilette. Quand je revins dans la chambre, Jessica était encore dans la salle de bain. Je m’allongeais nu en l’attendant, méditant sur cette nuit et cette matinée de folie. J’avais vraiment eu tort de me prendre la tête à ce point et me disait que j’étais quand même super chanceux d’avoir une fille aussi bonne au lit comme copine.
La porte de la chambre se rouvrit après 10 longues minutes pendant lesquelles je me demandais ce qu’elle faisait. Quelque chose avait changé chez mon amie: plus un poil sur le pubis. La coquine en avait profité pour se donner un coup de rasoir.
— Ouah ! fis-je.
Je me rendis compte à quel point elle était jolie. Des gros seins qui ne tombaient pas trop, une bouche pulpeuse et des superbes yeux verts, une taille assez fine malgré quelques kilos en trop, un cul de Brésilienne avec un peu de peau d’orange mais sans excès. Elle était assez petite, 1m64. Elle avait le regard lubrique d’une petite fille qui veut faire des bêtises et tenait à la main ce que je reconnus être un tube de lubrifiant.
— Je me doutais que ça te plairait. Excuse-moi si j’ai pris autant de temps, mais j’ai fait ce qu’il fallait pour que tu puisses me lécher et me défoncer tous les trous, expliqua-t-elle avec un grand sourire pervers.
— Tu vas déjà venir me sucer et je vais m’occuper de toi comme tu le mérites, répliquai-je en rentrant dans son jeu.
— Oui Monsieur.
Je rebandais comme un dingue et c’est une barre à mine qu’elle empoigna et enfonça dans sa bouche. Elle était à genou par terre et moi assis au bord du lit, la queue tendue à ses désirs. Elle me branlait vigoureusement en me suçant, son autre main me caressait les couilles. Son jeu de regard avec ma bite dans la bouche me rendait fou. Elle savourait vraiment ma bite, léchant le frein, suçotant mon gland, passait sa langue le long de ma hampe, lapait mes testicules et même en dessous avec une maîtrise et une lubricité qui m’étonnait d’elle-même après la nuit passée. Je dus la repousser avant de la couvrir de crème.
Elle se leva et d’un élan complètement spontané, je la pris dans mes bras et la bascula sur moi sur le lit. Je l’embrassai à pleine bouche, enfonçait ma langue dans sa bouche et elle répondit à mon roulage de pelle en gémissant. Sur le moment, je sus que je venais de briser un nouveau tabou, mais je m’en foutais. Si vous me l’aviez demandé à ce moment précis, je vous aurais dit que oui j’aimais Jessica. Je l’aimais d’un véritable amour. J’étais prêt à prendre un appartement avec elle, de me marier, de luis faire un enfant. Le plaisir sexuel fait parfois perdre les pédales et j’étais ivre comme si j’avais bu cinq shoots d’alcool fort.
Son corps nu contre le mien, sa chaleur, la moiteur de son sexe contre le mien, j’avais envie de me noyer en elle, d’oublier toutes les merdes de mon existence dans ses bras. C’était sûrement son cas depuis le début pour elle, mais ce n’était pas réciproque jusqu’alors. Un barrage en moi venait de céder. Et c’était tellement bon.
Je le retournais et elle se retrouva sous moi, en missionnaire. Mon sexe avide connaissait bien le chemin. Il plongea en elle. Je gémis dans la bouche de Jessica, et elle cria de plaisir en m’embrassant encore plus fort. Ses mains se posèrent sur mes fesses pour accompagner mes mouvements. Mon gland cognait contre son utérus et Jess m’accueillait en elle en écartant les cuisses au maximum.
Je quittais ses lèvres, et ma queue s’échappa de sa vulve dans un bruit humide. Ma bouche descendit le long de son cou. Je m’attardais sur ses tétons tout pointés en saisissant ses seins à pleines mains. Jessica n’en pouvant plus se masturbait pendant ce temps en poussant des petits cris et des soupirs. Elle laissa la place à ma langue et mes doigts quand je vins déguster sa chatte toute glabre. Elle sentait bon, un parfum fruité de mousse à raser pour femme et une odeur de savon intime. Sa chatte était trempée, mais je pris néanmoins une noisette de gel lubrifiant sur mon index et mon majeur avant de la pénétrer. Ma bouche vint de coller à son clitoris. Ma pénétration était profonde. J’explorais chaque millimètre de ses muqueuses par des mouvements de va et viens et de rotation de poignet. Je titillais le petit bourrelet de son point G sur la face antérieure de son vagin, vers l’entrée. Je plongeais plus loin dans des profondeurs plus lisses et palpitantes. Je lapais ses grandes lèvres à grands coups de langues. J’écartais ses fesses pour lui lécher ton anus plissé. Puis j’enfonçais un doigt dans son cul, timidement au départ, puis plus profondément. J’élargissais son sphincter pendant que je la branlais de plus en plus vite avec mes doigts dans sa chatte. J’avais deux doigts dans chaque trou et son clito subissait les assauts de la langue agile.
Jessica hurlait et je me disais que c’était une bonne chose que cet appart n’ait pas de voisin trop proche. Elle se malaxait les nichons, tirait sur les pointes, en criant de plaisir.
— Ah ! C’est trop bon ! Oh putain j’ai trop envie de ta bite dans mon cul. Je t’en supplie viens m’enculer !