Le réveil sonna. Dur !
Steph s’étira et vint se blottir contre moi. Je lui fis un bisou sur le crâne.
— Allez, c’est l’heure de ton p’tit déj.
— Bonjour toi. Oui, c’est vrai. Mes protéines matinales.
Elle y mettait toujours plus d’entrain et se débrouillait de mieux en mieux. Je ne tardai pas à lui lâcher la purée au fond du gosier.
Je filai directement à la douche et lui demandai d’aller prendre son café en attendant que je sorte.
Je m’habillai et filai à la cuisine prendre le mien.
— C’est bon, la salle de bains est à toi. Aujourd’hui, tu porteras ta robe blanche moulante et tes talons aiguilles. Maquillage léger autorisé.
— Parfait, c’est noté.
— Je te laisse fermer l’appart. Moi, je file. Garde bien ton téléphone avec toi, n’oublie pas de mettre ton uf et tiens-moi au courant si on te fait des problèmes.
Je l’embrassai et partis au boulot.
De son côté, elle se prépara comme je lui avais demandé. Vérifia son plug, inséra l’uf et se maquilla légèrement. La robe blanche moulante qu’elle portait mettait bien ses courbes en valeur.
Chaussée de ses talons, c’est ainsi qu’elle partit pour son job. Elle était secrétaire dans une société de transport.
Je reçus un coup de téléphone, juste avant midi. C’était elle. Elle était en larmes au téléphone. Elle me dit que ça s’était très mal passé ce matin, qu’une bande de mecs, qui travaillent à la logistique de sa boite, l’avaient traitée de pute, lui disant en plus qu’elle était laide.
Je la réconfortai du mieux possible, lui disant qu’au besoin, elle aille voir les ressources humaines pour se plaindre de harcèlement. Dans la conversation, j’avais compris que le chef de la bande semblait s’appeler Rachid.
Après avoir raccroché avec elle, je partis déjeuner. Sur le retour, j’appelai au standard de la société et demandai à parler à Rachid, de la logistique. Bingo, je ne m’étais pas planté.
Je me présentai et lui proposa de venir, lui et sa bande, ce soir à l’appart afin que l’on parle de tout cela. Que le choix de Stephanie n’avait pas à être discuté et surtout qu’elle n’avait pas à se faire insulter de la sorte.
Il le prit de haut et me dit qu’il serait présent ce soir, avec ses potes. Ce à quoi, je répondis qu’en attendant, il fallait la laisser tranquille.
J’envoyai un SMS à Steph dans l’après-midi pour savoir comment s’était passée sa séance de gym du midi et si ses collègues s’étaient calmés ? Sa réponse fut affirmative, à son grand étonnement. Je l’embrassai à distance et lui dis "à ce soir". Suite à quoi, jallumai son uf "gadget"…
Je rentrai vers 17h30 chez moi. Elle m’emboita le pas vers 18h00. Elle semblait fatiguée de sa journée, mais heureuse de me voir.
Je lui fis un câlin et on débriefa notre journée devant un verre d’alcool.
A 18h30, la sonnette retentit. J’allais ouvrir et fis rentrer les cinq mecs. Ils se présentèrent chacun leur tour.
Antoine, petit brun tout maigre. Eric, grand blond, comme moi, mais tout fin également. Christophe, le beau gosse de la bande, châtain, assez grand et musclé. Moussa, le black de service, grand et gros (bedonnant même) et enfin, le fameux Rachid, brun, peau mate, de corpulence moyenne.
Je leur demandais de se taire, le temps que je fasse les présentations et que j’explique à Steph la raison de leur venue.
A leur vue, elle resta littéralement figée, tétanisée, ne comprenant certainement pas la situation.
— Tais-toi. Ecoute lui dis-je.
— Bonjour messieurs. Si je vous ai fait venir, c’est pour qu’on discute du problème "Stéphanie" ici présente. Je crois savoir que vous l’avez humiliée ce matin, lui disant qu’elle était laide et que c’était une pute.
Voyant que je prenais les devants, et que je la protégeais, Steph retrouva un semblant de sourire. J’en profitai pour passer derrière elle et l’enlaçai. Je l’embrassai dans le cou et remontai mes mains sur le haut de sa robe, à l’échancrure de son décolleté.
Rachid voulut prendre la parole. Je le coupais instantanément.
— Messieurs, vous pensez vraiment qu’elle est laide ?
Dans la foulée, je glissai doucement à l’oreille de Steph : "Sois forte et rends-moi fier". Je déchirais alors sa robe, de l’échancrure de son décolleté jusqu’à sa chatte. Je déplaçais mes mains plus bas et déchirais le reste de sa robe dont j’envoyais les lambeaux à un des gars, Moussa.
Elle se retrouvait nue devant eux. Ils étaient médusés. Elle gardait la tête haute.
— Alors, elle est si laide que ça ? Non, elle n’est pas laide. Elle est belle, très belle même. Et je vois, à vos regards ahuris, que vous êtes du même avis que moi.
Christophe, le beau gosse osa une remarque.
— Ben, c’est vrai qu’elle est plutôt bonne, même. Z’êtes pas d’accord, les gars.
Une fusée de "oui" traversa la pièce. Je m’adressai alors à l’oreille de Steph.
— Tu vois Steph, tu n’es pas laide. Loin de là même. Ils bavent devant toi.
Un petit sourire dérida son visage.
— Donc, messieurs, je souhaiterais que vous vous excusiez devant elle.
Certains le firent. D’autres, dont Rachid et Moussa, non. Ils répliquèrent, par la voix de Rachid.
— OK. Elle est peut-être bonne, mais ça reste une TEPU !
— Pardon, une quoi ?
— Une TEPU, une pute quoi ! Regarde sa tête rasée, elle est à poils devant nous. Ça veut dire quoi !!
— Alors, ce n’est absolument pas une TEPU, comme vous dîtes, mais une soumise. La différence est assez énorme, mais j’aurais beau vous expliquer, vous ne comprendriez pas. Dans les grandes lignes, elle m’obéit, corps et âme et en contrepartie, je la protège et j’en prends soin. C’est une situation qu’elle a choisie de sa propre volonté. Quant au fait qu’elle ait le crâne rasé, c’est un acte de soumission très important.
— Elle obéit à tout ce que vous lui dîtes ? répliqua Rachid.
— Oui, à tout.
— Et nous, on peut aussi lui donner des ordres ?
— Non. Elle n’appartient et n’obéit qu’à moi. Sauf quand je lui dis autre chose. Mais pour clore le sujet, je vous propose une chose. Êtes-vous prêt à entendre ma proposition ?
— Vas-y, dis toujours.
— Vous stoppez immédiatement vos dires sur elle. Vous arrêtez de la dénigrer, de l’humilier. Au contraire, vous la respectez, voire même la protéger… en vertu de quoi, je vous laisse la baiser, tous les cinq, là, maintenant !
Steph ne réagit pas. Je suis certain qu’elle se doutait de cela. A partir du moment où je l’ai foutue à poils, c’était certain pour elle que ça allait dériver.
— Vas-y !! Tu nous dis qu’on peut tous les cinq la baiser, là, maintenant ?
— Oui, c’est tout à fait ça.
Ils se concertèrent et répondirent par la voix de Rachid.
— Ok. Deal mec. Et on se serra la main.
— Messieurs, elle est à vous. J’ai juste deux demandes à vous faire. Préservatifs, que voilà, obligatoires. Et à la fin, merci de verser le contenu du préservatif dans ce verre. Merci.
Christophe, encore lui, fut le premier à réagir. Il s’approcha d’elle pour l’embrasser. Je le stoppais.
— Ca, par contre, interdit. Elle ne vous embrassera pas. Par contre, vous pouvez bien évidemment lui fourrer la bite dans la bouche, avec préservatif, évidemment.
Il se rabattit sur son cou, ses seins, lui palpa les fesses et l’attira contre lui. D’autres mains se joignirent aux siennes et elle fût pelotée de partout. Aucun endroit de son corps n’était épargné.
L’un des gars, Antoine, la doigta et ressortit son uf. Moussa lui extirpa son plug. Elle n’était plus que trois trous prêts à être remplis.
Rachid fut le premier à se déshabiller. Il avait une belle queue, assez longue mais surtout large, qu’il habilla d’un préservatif. Il lui appuya sur les épaules pour qu’elle se mette à genoux et lui fourra la bite dans la bouche.
Pendant ce temps-là, Christophe s’allongea par terre et vint lui lécher la chatte, déjà bien mouillée. Il entrerait bien sa langue le plus profond possible. Steph aimait ça.
Rachid décida de changer. Il lui demanda de se mettre à quatre pattes, en position pour une levrette. Il vint se positionner derrière et rentrât dans sa chatte. Il coulissait bien en elle.
Moussa déballa alors la marchandise. Une grosse bite, longue et très large, noire au bout rosé. Flanqué de son habillage en latex, il força la bouche de Steph, dont la mâchoire semblait se disloquer.
De mon point de vue, c’était énorme. Christophe voulait sa part de gâteau. Il demanda à Rachid de lui prendre le cul, pendant que lui, allongé sous elle, lui prenait la chatte. Elle subissait alors sa première triple.
Les deux autres lascars avaient sorti leur sexe et se masturbaient en attendant leur tour. Antoine, malheureusement, ne put se retenir. S’étant saisi du verre, il éjacula dedans. Sûrement un puceau… !!
Christophe jouit à son tour et sortit de sa position, remplacé par Eric. Christophe n’oublia pas, en retirant son préservatif, de déverser le contenu dans le verre approprié.
Moussa demanda alors à tourner. Eric se retrouva à se faire sucer, tandis que Rachid était passé dessous… et Moussa s’empara du cul de Steph. Il eut du mal à rentrer… Mais quand il fût finalement dedans, j’avais l’impression que l’intégralité des boyaux de Steph bougeait au rythme des entrées et sortie de sa bite.
Rachid jouit aussitôt, suivi par Eric. Moussa les rejoignit deux minutes plus tard. Comme acté, ils n’oublièrent pas de déverser leur récolte dans le verre. Steph, de son côté avait joui plusieurs fois… et bruyamment !!
Steph était une loque, par terre. Je récupérais un plaid pour la couvrir.
Alors qu’ils se rhabillaient, je leur dis :
— C’est toujours une TEPU ? Elle est toujours aussi laide ?
Rachid voulut parler, mais Moussa le coupa net.
— Ecoute Mec. Cette gonzesse, c’est le pied ! Elle ne dit rien et accepte tout. C’est de la balle. Alors, non, ce n’est pas une pute. Et t’as raison. Elle est belle. Elle est bonne même.
— Eh bien messieurs, je suis content d’avoir pu résoudre ce malentendu. Je vous fais confiance pour le deal. Maintenant, si vous voulez bien nous laisser, je dois m’occuper d’elle.
— Pas de soucis Mec. Et promis, on respectera le deal. Et… Si vous voulez encore faire appel à nous, c’est quand vous voulez.
Ils prirent congé. J’apportais à Steph un verre… d’eau et mettais la récolte au frigo.
— T’as bien ramassé. Ma pauvre. Mais c’était la seule solution que j’ai trouvée. Pour preuve, ça a fonctionné.
— Franchement, j’ai eu très peur. J’étais mal. Mais ta petite phrase "Sois forte et rends-moi fier" que tu m’as glissée à l’oreille m’a boostée. Mais qu’est-ce que j’ai dégusté. Surtout avec Rachid et Moussa. Pfiou !!!
— Ouais, c’est vrai que t’as grave ramassé. Par contre, t’as bien joui quand même !!
— C’est vrai, je le reconnais. Je me suis faire défoncée, mais j’ai aimé ça. Est-ce que je serais en train de devenir une salope, une TEPU, comme ils disent.
— Non, c’est juste que tu découvres de multiples facettes du sexe… et que tu aimes ça.
— Tu sais me rassurer toi. Plus les heures passent, plus je suis contente, heureuse, d’avoir pris cette décision. Je suis vraiment bien avec toi. Je crois vraiment que je t’…
— Chut, ne dis rien. Pas de bêtises. Allez, viens contre moi faire un câlin.
Elle se lova contre moi et sentait que je bandais dur.
— Mais c’est vrai ça. Avec tout ça, toi, tu n’as rien fait… ça a du grave t’exciter car je te sens tout tendu dans ton pantalon.
— Ben, c’est vrai que ça m’a bien excité. Tu veux bien t’occuper de moi ? dis-je en me débarrassant de mes vêtements.
Elle se blottit à nouveau dans mes bras et de sa main vint gentiment et doucement me masturber.
— Est-ce qu’une petite pipe te ferait plaisir, mon cher ?
— Très bonne idée que voilà.
Il n’en fallut pas plus pour qu’elle se jette sur ma queue et qu’elle l’engloutisse.
— Je vais jouir dans ta bouche ma puce. Je veux que tu gardes bien tout mon sperme en bouche. D’accord ?
En guise de confirmation, elle leva un pouce en l’air.
J’avais été tellement excité par la situation précédente, que j’en avais mal aux couilles. Elles devaient être archi pleines. Ce qui ne tarda pas à se justifier au moment de lui envoyer toute la sauce. J’ai joui avec une force incommensurable. Une telle impression de bonheur et de soulagement.
Ça m’a paru durer une éternité.
Après cette longue et bonne jouissance, elle garda encore ma queue dans bouche quelques instants, le temps surement de bien pouvoir extirper tout le jus qui pouvait sortir. La sensation était divine.
Quand elle eut fini, elle releva la tête et sans que je lui demande, ouvrit la bouche. Elle était remplie à ras bord. Elle avait le regard fier. Je lui souris et lui fis un clin d’il. Elle avala ma semence.
— Ben dis donc. T’avais les couilles bien pleines. J’en ai jamais eu autant. Je me suis régalée. Merci Fabien.
— Je t’en prie. Tu sais, quand il faut rendre service…
— On se met un peu la télé ?
— Oui, si tu veux… pendant que je prépare la trayeuse !!!