Les gens passent, mais ne me remarquent pas, je fais partie du décor. Bien qu’impatient, je reste immobile sur le banc devant cette mer qui se déchaîne, en gardant l’oeil sur la sortie des ascenseurs. Enfin, tu apparais en forçant sur moi un sourire honnête et je me délecte de te revoir après toutes ces années. Tu cherches quelque chose dans ton sac à main en passant la sécurité, la surprise est totale lorsque tu relèves les yeux pour me voir face à toi. Ah, la tête que tu fais en me fixant! Nos regards se sont croisés, trahissant la fébrilité du moment. Il est temps de me lever pour marcher vers le restaurant. Où vais-je? Suis-moi, tu le verras bien! Un dernier regard au-dessus de mon épaule m’assurant de ta poursuite et j’enfonce la porte des toilettes. Personne bien entendu, chacun rentre chez soi. En entrant, tu prends le soin de barrer la porte derrière toi. Le regard plein d’interrogations, tu voudrais savoir quels mots utiliser, mais je me lance en premier:
-Tu croyais que j’avais oublié, n’est-ce pas?
-Je… Mais, qu’est-ce que tu fais ici?
-Je voulais te faire la surprise!
-Tu ne devrais pas être ici! Oh, mais je suis contente de te voir!
-Et moi donc! Je mourrais d’envie de te revoir. Quand je disais que je préparais quelque chose… tu ne seras pas déçue!
L’ambiguïté s’efface lentement, je ne tiens plus en place. Tu ne seras jamais aussi belle qu’en cet instant. Cette jupe ferait mon malheur si tu n’étais pas à ma portée et ce veston couvre une blouse d’une légèreté aussi affolante que l’idée de la déchirer. Chaque chose en son temps! J’avance d’un pas sûr et déterminé vers toi, posant les mains sur tes hanches. Voulant m’étreindre tu flattes mes épaules, je glisse en remontant le long de tes flancs et saisis tes poignets pour les plaquer contre le mur au-dessus de ta tête. Le souffle court, le pouls en détresse, nos bouches se frôlent. Je profite de la magie quelques secondes puis je cloue mes lèvres aux tiennes en laissant parler ma langue. Le discours est fougueux, la réplique enflammée, le temps immatériel.
Tandis que nos langues fondent l’une en l’autre, je ramène tes mains dans le bas du dos. Je caresse ta joue, descends sous l’oreille puis effleure un moment la peau douce de ton cou. La main droite retourne sur ta hanche pour rapidement monter vers la poitrine, se faufiler sous le pardessus et couvrir délicatement le fruit tendre. La douceur du geste ne semble pas répondre à tes attentes, si bien qu’après avoir abandonné ta position captive, tu poses la main sur ton veston en faisant pression, incitant la mienne à malaxer le sein gonflé. Le tempo accélère, je voudrais te prendre tout entière. Maintenant, j’ai une main sur ta gorge et l’autre sur ta hanche et comme le font les violoncellistes talentueux, je te fais pivoter. Nos têtes appuyées l’une contre l’autre, ta respiration sous mes doigts, je tiens fermement le bas de ton ventre pour te serrer contre moi. J’ai beaucoup plus à offrir que l’intense bandaison qui veut transpercer le tissu qui nous sépare. Ma langue parcourt toute la peau qui s’offre à elle, l’oreille, le cou, la nuque, les lèvres. En même temps, j’entreprends de relever ta jupe de la main droite. Tâche plutôt difficile puisqu’elle moule ton corps à la perfection, mais elle ne résiste pas bien longtemps. Je découvre ainsi une petite culotte en dentelle bien fine au toucher. La peau de tes cuisses est si douce et la chaleur qui s’y dégage ne fait qu’accentuer mon excitation. Je remonte jusqu’à ton entrejambe et y enfouis ma main entière, couvrant tout du pubis au rectum. Une légère pression, des mouvements réguliers, je sens monter en toi le désir. Jaimerais ne plus jamais retirer cette main, de l’autre je flatte en alternance ton cou ou tes seins. Pour ta part, tu descends le long de mon ventre et viens à la rencontre du poignard qui taillade tes fesses depuis un certain temps. L’intensité croit toujours, les mouvements sont de plus en plus fermes et incisifs, mais tu comprends que ça n’ira pas plus loin:
-Je ne suis pas venu pour te ploter dans une salle de bain!
-Ah! Mais, que veux-tu alors?
-Je suis ici pour te faire ta fête!
-Tu m’as mise dans un de ces états…
-Suis-moi, j’ai une surprise pour toi!
Un autre baiser, je sens l’odeur de tes cheveux encore une fois et t’aide à remettre ta jupe en place. Une fois les dernières vérifications faites, nous sortons comme pour fuir une scène de crime, la faute dans les yeux.
-Je réalise en marchant à quel point je suis mouillée, c’est terrible!
L’eau me monte à la bouche, c’est plus fort que moi. Je te montre en souriant la bosse qui déforme toujours mon pantalon. Nous marchons vers ma voiture, plus personne n’est aux alentours. Une fois assis, notre petit manège reprend vie de façon modérée. Je n’ai qu’une seule main pour nourrir mes phantasmes et les mouvements avec le levier de vitesse te refusent l’excès d’intimité qui brûle tes doigts. Peu importe, tu pars à la découverte des muscles qui me couvrent. J’avais bien sûr choisi la trame qui devait jouer durant le trajet. Quand je chante «I want you, all tattooed…», tu enchaînes sans hésiter «… I want you bad!». Tes questions sur notre destination ou mes intentions ne trouvent pas réponse, je me contente de sourire en disant que j’ai tout planifié.
Une fois dans l’entrée, tu reconnais l’hôtel. On y a passé une nuit il y a tellement longtemps, nous étions si jeunes. Ces souvenirs refont surface en toi. L’établissement est décidément de bon goût, ça te fait plaisir. Sortir de l’ascenseur s’est révélé beaucoup plus difficile que d’y entrer. Quelqu’un pourra remarquer l’empreinte de nos mains et de ton visage dans le miroir violé. Enfin, nous voilà seuls dans cette chambre immense. Tu remarques une bouteille élégante mise en évidence sur la table. Un brandy de 30 ans!
-Pourquoi la bouteille est-elle à moitié vide?
-C’est parce que nous n’allons pas toute la boire. Ne t’inquiète pas, je n’ai pas commencé sans toi!
Tu jettes un coup d’oeil furtif aux lieux, je nous sers un verre et lance le premier album de Led Zeppelin. Aucune parole, sourires fanatiques, regards avides. Le bruit des verres s’entrechoquant trahit une politesse qui dépasse les circonstances. Déposer les verres sur la table met le feu aux poudres, tel le canon qui signale le coup de départ. Nos corps entrent en collision, je saisis ton visage et t’embrasses longuement. Nos mains cherchent frénétiquement réponse à la curiosité qui les animent.
Difficile de se dévêtir plaqués l’un à l’autre. Tu interviens, la main sur mon thorax pour me repousser. Tu peux déboutonner ma chemise, mais ne compte pas sur moi pour te faciliter la tâche. Je rabaisse le veston sur tes coudes, ce qui te fait instantanément prisonnière affichant une colère hypocrite. J’en profite pour libérer ta jupe et saisir fermement tes fesses. Le cul que je pétris n’est pas celui d’une gosse qui pose pour une annonce de lingerie, oh non! Il est ferme, rond, puissant, généreux et parfaitement en accord avec ce corps qui me fait rêver. Le veston tombe, tes doigts fins achèvent d’ouvrir ma chemise quand ils ne doivent pas céder le passage à la blouse épargnée. Les vêtements s’envolent, disparaissent à toute vitesse. Face à face, je prends une pause. Tu remarques que j’ai conservé la forme, au toucher tu confirmes que ce ventre est d’acier. Il en va de même pour toi, tu déploies sous mes yeux les formes sensuelles d’une femme sportive! Je suis impatient de déballer cette poitrine, mais la vue de la lingerie m’impose un moment d’admiration. Alors que je détache ta brassière, je chuchote à ton oreille que je n’ai jamais autant désiré une femme. Je couvre de baisers ton buste puis me dirige vers le décolleté lorsqu’enfin tes seins jettent le voile, témoignant la respiration difficile qui t’afflige.
«Oh, woman, woman, I know, I know
It feels good to have you back again»
Quelle peau délicate, précieuse! Je garde le visage rivé contre le relief, j’entreprends d’envelopper chaque minuscule partie de ton intimité de mes lèvres chaudes portant ainsi à ébullition le sang qui gonfle tes seins. Les pointes dressées fièrement au sommet sont ensuite en proies sous l’action langoureuse de ma langue. Je lèche, suce, titille, chatouille, avale, je dévore en me régalant. L’envie de croquer dans la pomme est insoutenable! Une tempête se déferle sur toi et t’inonde d’une chaleur apaisante. Mes mains reprennent le travail avec vigueur. Tu ne réussis pas à dissimuler une certaine gêne, peut-être ta poitrine n’est-elle pas assez volumineuse ou ferme? J’aimerais tant trouver les mots justes pour crier haut et fort toute l’admiration et l’excitation que me procurent tes seins. La poitrine parfaite est en fait celle qui durcit au toucher, qui se gorge de sang pour celui qui la chérit. Ces seins sont parfaits parce qu’ils sont les tiens, ceux de mes rêves de jeunesse.
«You shook me so hard, baby»
Je caresse ton ventre, tes hanches, je descends vers tes cuisses en posant mes genoux au sol. Ta petite culotte humide tombe au sol, je suis devant ta chatte pulpeuse. La douce odeur qui s’en dégage me fait saliver comme un animal dangereux. Je me rince l’oeil à souhait, cependant tu agrippes mes cheveux pour plaquer ma bouche contre tes lèvres humides. Quelle sensation exquise, il ne fait aucun doute que tu veux ma langue au plus profond de ta chair! Les soupirs que tu laisses échapper me font redoubler d’intensité et je m’affaire comme si je pouvais contenir l’inondation. À mon plus grand plaisir, le barrage a cédé et je te bois enfin. Il y a assez pour me soûler, cependant ma soif est intarissable. En tripotant tes fesses, je t’attire vers le bas. Je me retrouve couché de tout mon long sur le tapis à quelques pieds seulement du confortable lit. Le plaisir que tu prends à chevaucher mon visage est trahi par la défaillance marquée de ta voix. Le mont de Vénus s’écroule sur mon nez, je veux bien mourir d’asphyxie pourvu que ce soit sous la musique produite par ton corps! Agrippée à mes cheveux qui cèdent sous ta prise ferme, tu masses tes seins ce qui me rend fou de désir.
Tu te places pour concentrer l’action de ma langue sur ton clitoris me libérant ainsi un accès à ta vulve. Je colle immédiatement le pouce tout juste à l’entrée pour jouer un peu avec tes lèvres. Je veux garder le meilleur pour plus tard, alors je n’entre pas. Dans un instant de lucidité, tu réalises le besoin urgent de partir à la recherche de ma queue. Tu te déplaces vers mon entrejambe, mais je t’attrape au passage pour te frencher comme un écolier. Nos langues se mêlent une fois de plus, tu n’as rien à faire de la mouille qui couvre mon visage ce qui ajoute considérablement à l’intensité du moment. Tes mains atteignent leur cible et tâtent allègrement un membre viril chargé à bloc. Je m’assois en te redressant, puis me relève afin de te permettre d’enlever mes boxeurs. L’élastique empêche une fraction de seconde de me libérer, l’effet catapulte te vaut un coup de queue théâtral sur la joue. Nous éclatons tous les deux de rire, tu joues la porn star enjoué qui avait vu venir la marque de domination tant attendue. Tu me fixes d’un regard terriblement sexy. Tu es en pleine possession de tes moyens et tu vas pouvoir démontrer ton savoir-faire. Tu me fais languir posant seulement la langue au bas du gland. Tu joues comme s’il s’agissait d’une crème glacée qui fond. Enfin, tu engloutis tout ce qu’il t’est permis de prendre faisant glisser tes lèvres brûlantes doucement dans un va-et-vient irrésistible. Je masse ta poitrine, tu caresses mes couilles. J’empoigne tes cheveux en prenant le soin de ne pas gêner tes mouvements. Je mets un pied sur le lit qui se trouve maintenant à portée et t’offre ainsi un accès idéal à mon entrejambe et mon cul. Cette fellation décuple mon désir pour toi, mais il n’est pas question de jouir si tôt et certainement pas en premier.
Je t’aide à te relever et t’embrasse afin de démontrer ma reconnaissance. Je t’invite à t’installer confortablement sur le lit pendant que je remplis de nouveau nos verres que nous vidons immédiatement. Tu devines à mon regard orgueilleux que je vais maintenant te servir ma réplique, je reprends le refrain:
«Your time is gonna come»
Je saisis tes jambes, tu m’appartiens. Je laisse glisser ma langue à l’intérieur de tes cuisses en faisant frissonner ta chair. Je mords tendrement les grandes lèvres rouge écarlate. Je ne te perds pas du regard, observant chacun de tes soupirs, ta réaction aux baisers qui couvrent ton sexe. Je vois avec plaisir que tu ramènes un oreiller sous ta tête, tu pourras fixer mon regard cochon et je te regarderai jouir. Je porte la main gauche sur ta poitrine, je ne négligerai pas le plaisir que peuvent te procurer tes mamelons. Mon pouce reprend les caresses à l’entrée de ton vagin. Je traîne la langue à l’intérieur des grandes lèvres en prenant soin de littéralement faire le tour du clito. Je fais le tour des lieux, je vais éveiller chaque parcelle de peau qui procure du plaisir. Je commence à jouer du bout de la langue en alternance de chaque côté de ton bouton qui se dresse à la rencontre de la jouissance. Je continue de faire monter en toi le désir en lichant délicatement tes petites lèvres.
Mon pouce fait une pression pour dépasser le seuil, tu entames un mouvement de hanche qui l’aspire lentement vers l’intérieur. Je l’enfonce aussi loin que possible en faisant de petites rotations. J’ai tous les autres doigts pour flatter ton anus et saisir une fesse. Les attentions de ma langue s’accentuent, tu ne tiens plus en place. Je trouve la cadence qui te fait craquer et je le maintiens alors que ton corps se crispe. Quelle vue j’ai! Je ne peux pas te permettre de jouir aussi facilement, j’augmente la pression en cassant le rythme en même temps que je t’afflige d’un furieux mouvement de pénétration. Ta concentration se porte maintenant sur mon doigt qui te donne de plus en plus de plaisir. Je plaque mes lèvres et commence à sucer ton bouton qui visiblement adore la sensation d’être aspiré. Tu reprends de plus belle tes marques, en route pour un orgasme génial. La tension monte, je bande tellement que j’en ai mal. J’observe les signes annonçant ton plaisir grandissant, tes jambes tremblent maintenant. Je ne ralentis pas de te doigter, tu peux jouir ainsi si tu le veux, mais je diminue la succion tout en titillant ton clitoris qui veut exploser. Plus tu t’approches de la jouissance et plus je ralentis. Tu sembles trop absorbée pour t’en rendre compte au début, puis tranquillement cette accumulation devient comme une boule d’énergie. Si je le décidais, tu exploserais. Pourtant, je veux en rajouter, j’en profite pour masser délicatement ton petit trou. Constamment sur le point de jouir, tu es maintenant sous l’emprise de violentes contractions. Je ne te liche pas assez vite pour mettre le feu aux poudres et tu le sais bien. Tu enfouis tes mains dans mes cheveux et me force à accélérer le mouvement ce qui te propulse au paradis. Je ne me restreins plus, je te mène plus loin, je te fais jouir plus vite, plus fort. Tu t’abandonnes et pousses des cris qu’il te serait impossible de faire en d’autres circonstances. Tes cuisses m’étranglent, tes pieds se tordent, tes mains s’affolent, ton corps entier se dresse comme pour léviter. Bouche sèche, respiration en détresse, le pouls qui veut tout défoncer, que tu es belle!
«How many more times, barrelhouse all night long
How many more times, barrelhouse all night long»
Après que tu lâches prise, je remonte goûter tes seins. De toute façon, tu ne serais pas en mesure de m’embrasser, tu sembles peiner à reprendre tes esprits. Heureusement, j’ai tout mis en place à l’avance. Je récupère près du lit un thermos, avale une bonne gorgée et répands le reste du liquide presque brûlant sur tout ton corps. Une odeur puissante de brandy se propage dans la chambre alors que tu gémis sous la chaleur qui t’enveloppe soudainement. À moi de me régaler, jentreprends de récupérer le liquide en passant ma langue sur ton corps entier. Lambiance change considérablement lorsque Dummy commence à jouer. Tu reprends rapidement vie sous mes caresses. Nous roulons ensemble sur le lit dans les bras l’un de l’autre, nos corps luisants et parfumés. Je présente ma verge devant ton fruit fendu. Je me frotte doucement alors que ta sensibilité s’estompe graduellement. J’écarte les lèvres et me positionne, tu me fixes et demandes à te faire pénétrer en disant mon nom. J’obéis promptement. J’entre lentement en toi avec facilité, tu es bien chaude.
«Cause nobody loves me
Its true
Not like you do»
Je n’entre qu’à moitié, puis ressors. Mon gland rigide agrandit l’ouverture et t’excite encore plus. Tu enroules les jambes derrière mes fesses en me suppliant de cesser de tourner autour du pot. Cependant, tes revendications prennent fin quand j’accélère la cadence. La chaleur gagne ton ventre. Je m’allonge sur toi pour réunir nos lèvres, nos yeux rivés. J’explore à nouveau tes seins tandis que tu découvres les muscles qui sculptent mon dos, mes épaules. Un long moment s’écoule nos êtres s’accordant au besoin de l’autre. Je profite autant que possible de cette position avantageuse en frôlant tes cuisses, tes fesses, je chatouille tes flancs, pose la main sur ton bas ventre tout près du pubis, remonte sur ta gorge, saisis ta mâchoire en t’embrassant, enfouis les doigts dans tes cheveux soyeux qui sentent les fruits. Mes coups réguliers de bassin te donnent tant de plaisir, mais tu ne t’attends pas à la suite. J’agrippe tes hanches et d’un coup je m’enfonce brusquement en toi jusqu’à la garde en tirant fortement ton basin contre moi. Le râlement que j’entends nourrira certainement mes rêves érotiques. Tes yeux reconnaissants s’entrouvrent et me cherchent, tu sais maintenant qui te fait l’amour. J’entreprends un va-et-vient très lent en faisant coulisser tout mon membre, je sors à chaque coup pour te pénétrer à fond chaque fois. Je saisis ta main droite et liches deux doigts pour ensuite les poser sur tes lèvres bouillantes.
-Je veux te regarder te masturber, ça m’excite tellement!
-Hum, avec plaisir! Je vais vouloir te voir à l’oeuvre aussi… mais tout à l’heure, n’arrête surtout pas!
«This salvation I desire
Keeps getting me down»
Je ne quitte plus des yeux chacun de tes doigts fins. Au passage, tu enveloppes ma queue pour la sentir glisser. Tu t’en retrouves enduite d’une généreuse couche de lubrifiant avec lequel tu couvres ton clitoris. Tu dois être affamée pour t’agiter de la sorte, quel traitement! Autant de passion me fait littéralement fondre. J’accentue ma charge ce qui produit un claquement notable sur ton sexe trempé. Tu reprends le chemin de l’orgasme, cependant j’interviens juste à temps pour t’en empêcher. Je te crucifie, tes poignets sont prisonniers sous mes doigts puissants, tu te retrouves totalement dépourvue de tout recours contre moi. Je souris fièrement en te narguant, tu me réponds par la grimace accompagnée d’un soupir de frustration. L’air est électrique, la sueur qui envahit nos corps se mêle au parfum relevé du spiritueux. Je poursuis l’exercice, je veux te faire jouir avec ma queue. Tu prends tes repères, j’ajuste le tir et maintiens la vitesse d’exécution. Tes bras n’offrant plus aucune résistance, je les laisse pour glisser la main gauche sous ton derrière. Tu sens mes doigts remonter chaque côté de ta chatte massant la peau délicate. Ensuite, je porte l’annuaire sur le clitoris, l’index redescend sur l’anus recouvert de la lave qui s’échappe du volcan. En courbant le dos, en appui sur mon bras droit je me retrouve dans une contorsion plus qu’inconfortable, mais qui me permet à la fois de sucer tes seins, te baiser à souhait, masser ton bouton et te foutre un doigt au cul si jamais tu y prends goût. J’adore la contraction de tes fesses, je redouble d’ardeur alors que tu gémis, hors de toi. Ton souffle dicte le massage que je fais subir à ton clitoris. L’explosion qui suit surgit des profondeurs tel un raz de marée, apportant tout sur son passage. Les vibrations sont électrisantes, mon corps est programmé pour exploser en entendant cette symphonie, mais je ne peux en aucun cas ralentir la cadence. Je maccroche pour entreprendre un sprint accéléré , leffort physique mempêchera de jouir seulement sil est démesuré. Je suis jeune et dans une forme exemplaire, je tiendrai aussi longtemps que tu pourras jouir! La sueur perle sur mon visage, je suis essoufflé, je tremble, mon cur semballe, le temps sarrête de nouveau et tu jouis pendant une éternité sous le tempo envoûtant de Glory Box.
Je te serre fort, toujours en toi je remue à peine le bassin pour te donner le temps de savourer le moment. Nos yeux ne se quittent pas un instant alors que nous nous embrassons. Mezzanine nous transporte lentement dans un monde sensuel sans pareil.
«Come from way above
To bring me love»
Je me libère et minstalle tel un cavalier au-dessus de ton ventre, le regard provocateur. La main gauche se nourrit de ta chair tandis que je pose la droite sur mon pénis en érection. Je commence à soulager ma tension en massant doucement mon gland sous tes yeux curieux. Tu empoignes mes fesses, effleurant ma raie. Mes doigts entourent mon membre, montent, descendent. Je nai pas besoin daccélérer le rythme, lorgasme me submerge. Je me raidis comme une barre de fer, ma respiration bloque, ma bouche grande ouverte produit un grognement primal intense alors que je gicle sur le haut de ta poitrine.
Pendant que je retrouve mon souffle, je lis la fierté sur ton visage. Tu sembles avoir aimé la démonstration. Je me lève pour aller chercher une serviette mouillée. Je récupère au passage la bouteille et te la tends. Jessuie le sperme et nettoie quelque peu nos sexes. Lalcool qui coule dans nos veines agit en parallèle avec les endorphines que produisent nos corps, nous berçant dans un bien-être sans égal.
Tu remarques que je bande de nouveau. Étonnée? Comment pourrais-je ne pas être excitée devant la tigresse en chaleur que tu es? Tu saisis mon membre, peut-être veux-tu juger de la raideur. Quimporte, tu ne seras certainement pas déçue. Jai tellement envie de toi, je veux te voir jouir de nouveau et tu le sais!
«Moving up slowly
Inertia creeps»
Tu me retournes sur le dos pour tempaler sur ma queue. Maintenant à califourchon sur moi tu es resplendissante, toute souriante. Je me redresse et porte ma bouche pour te téter affectueusement. Cela ne dure quun instant puisque tu me repousses et prends appui sur mon torse imberbe. Tu mets en marche un mouvement de hanche indécent, totalement irrésistible. Je suis au paradis. Mes mains effleurent ton corps en entier. Si javais dix mains peut-être pourrais-tu réaliser lintensité de mon désir. Ton corps ondule comme celui dun serpent, tu prends bien ton temps. Tes mains parcourent mes muscles abdominaux et pectoraux qui se contractent sous le traitement. Je suis obnubilé par le spectacle, le simple fait de voir comment tu frottes tes petites lèvres contre mon pubis suffirait à renouveler mon orgasme.
-Je vais perdre la tête si tu continues comme ça!
-Tu rentres loin dans cette position, jaime beaucoup trop!
Je te laisse gérer le rythme, je reste docile de ma position couchée. Je me rince lil et te flatte les seins, les hanches, le ventre et le clito, tout y passe. Ton sexe humide se trémousse en sonnant comme une pêche mûre qui serait dévorée par un affamé. Si tu ne t’amusais pas autant à me chevaucher, je devrais satisfaire cette envie de te manger. Maintenant, il n’est plus question de te frotter, tu te remues de plus en plus fort en me pompant et faisant claquer notre peau mouillée qui fusionne. Tu prends plaisir à la manière fabuleuse qu’ont les femmes de jouir sans fin, sans explosion finale, tout simplement en préservant l’intensité pendant un long intervalle.
Un bon moment passe, tu es essoufflée et luisante de sueur. Tu taccroupis sur moi, tes pointes viennent me picoter le torse, j’ai l’impression que tu le fais intentionnellement pour ajouter à ton excitation tout en me torturant. Si seulement tu savais leffet que ça produit sur moi! Ma langue vorace va chercher la tienne. Tu cesses ton mouvement, j’en profite pour taquiner ton bouton rose et je reprends doucement le va-et-vient.
«There is a man that live next door
In my neighborhood
In my neighborhood
And he gets me down»
Tu saisis loccasion de prendre une pause, essoufflée tu t’allonges sur moi. Reprends ton souffle si tu le peux, moi j’ai envie de te baiser comme si c’était pour la dernière fois. Je soulève juste un peu tes hanches pour sortir de ton vagin. Je saisis ma queue dune main, écarte tes grandes lèvres de lautre et pointe mon membre contre ton bouton rose. Je te masturbe avec le bout de mon gland et la sensation est exquise pour tous les deux. De longues minutes sécoulent ainsi au son de ta respiration dans mon oreille. Ensuite, je plante à nouveau mon engin en toi en prenant appui sur mes épaules et mes pieds pour lancer mon bassin à la rencontre du tien. Jai un malin plaisir à varier brusquement la cadence, tu sembles totalement déroutée entre lhésitation aux rebords de ta vulve et ces sensations de pénétration profonde qui proviennent den dessous de toi. Lentement, rapidement, fort, doucement, je joue avec ton corps. Je nous redresse, passe les bras sous tes jambes puis te soulève en me relevant du lit. Alors que je te supporte, je te plaque au mur pour prendre appui et ainsi pouvoir taffliger dimpulsions qui parcourront tout ton corps. Alors que le lit absorbait une bonne partie de lénergie de mes charges répétées, ici tu es adossée sur du solide et la différence est marquée. Tes genoux sont emboîtés à mes coudes et je te soutiens par les fesses, tes bras sagrippent à mes épaules. Je te baise férocement en mordant tendrement tes lèvres et ton cou. Tes cheveux sont en bataille, les miens bouclent sous l’effet de la sueur. L’exercice est épuisant, cependant cette sensation de baiser comme des sauvages est tellement satisfaisante.
Quel plaisir j’ai à te brasser de la sorte, mais ce n’est pas chose facile! La scène est digne d’une porno et je tiens aussi longtemps que possible. Il m’est difficile de déterminer si c’est l’orgueil ou le plaisir qui me permet de démontrer autant de vigueur, quoi qu’il en soit tu sembles en extase et c’est tout ce qui compte.
«Sunset so thickly
Lets make it quiet and quickly»
Assez des castagnettes, je vais maintenant te montrer de quel bois je me chauffe. Je te dépose une jambe à la fois et te retourne aussitôt. Le visage contre le mur, je pose tes mains au bas de ton dos et passe le bras gauche derrière tes deux coudes ce qui t’emprisonne. Ma main droite monte de ton ventre vers chacune de tes boules bien dures que j’empoigne avec tant d’avidité. Ensuite, je me dirige vers ta gorge que j’attire vers mon épaule tout en enfonçant deux doigts dans ta bouche chaude. Ta tête arquée vers l’arrière et mon bras dans le bas de ton dos produisent un effet de levier qui te fait relever le cul en l’air en te poussant sur le bout de tes pieds. Voilà, je peux enfin me défouler à ma guise et tu goûtes à mon traitement acharné!
J’accompagne tes gémissements par des grognements profonds qui témoignent à la fois de mes efforts et de l’euphorie qui m’afflige. Je diminue la cadence, te libère de ta prise, j’en profite pour fouiller ta chatte de nouveau. Tu saisis ma tête de tes deux mains pour la rapprocher de la tienne, nos souffles se mêlent.
«My sixth sense peacefully placed on my breath
And listening»
Je te ramène au lit et te penches vers l’avant. Je vais t’enfiler par en arrière, tu le sais bien, car tu écartes les fesses. J’agrippe fermement tes hanches, présente mon gland à l’entrée de ta vulve et pousse le bassin graduellement jusqu’à être entièrement en toi. Tu es toujours mouillée, mais cela fait un moment que je te culbute dans tous les sens, alors je redémarre lentement. Au début, je reste bien enfoncé en remuant tout doucement. Je vois bien que tu profites du répit, j’admire ce derrière qui me fait baver. Cette fois, je vais me faire plaisir. Il ny a plus de musique autrement que nos corps qui sentrechoquent, le tempo ira progressivement en augmentant. Tu empoignes les couvertures, tes seins se balancent d’avant en arrière. J’ai atteint le rythme qui me fera venir et je le maintiens. Je glisse une main dans tes cheveux pour y prendre prise, j’ai maintenant oublié que je baisais avec la femme de mes rêves, je suis plutôt en train de fourrer comme un animal en rut. Ce regain d’énergie et de passion semble t’exciter, tu recommences tes gémissements et c’est ce qui va me porter à l’orgasme. Cependant, tu me bats de vitesse et exploses en criant ta jouissance, je crois bien que tu mords les draps. C’est plus que je ne peux le supporter!
-Je vais jouir!
-Noooonn! N’arrête pas, n’arrête pas!
Je mords mes lèvres pour ne pas te laisser tomber, je pourrais jouir à tout instant! J’ai la chair de poule quand tu pousses ton dernier cri. Tu t’affales sur le lit à demi consciente, je m’allonge à côté de toi toujours sur le bord de l’orgasme. Nous restons immobiles un instant, puis tu embarques sur moi. Nous nous embrassons avec beaucoup plus de passion que ce que nous avons vu jusquà maintenant. Tu poses tes lèvres sur mon corps en te dirigeant vers le bas. Je comprends tes intentions à ton regard pervers.
-Si tu me suces, je vais jouir en quelques secondes!
-Je sais que tu en as envie, laisse-moi te faire plaisir!
-Si tu veux vraiment me faire plaisir, alors viens tasseoir sur mon visage.
Toute souriante, tu texécutes et pivotes pour tinstaller en position 69. Dès linstant que tu commences la fellation, je réalise que je nai jamais eu autant de plaisir. Je suis tout près dun orgasme puissant et je peux tout à la fois boire la douce liqueur qui coule entre tes jambes. Je promène ma langue partout comme pour te laver, tu engloutis une bonne partie de ma queue et me masses les couilles. Je me laisse finalement aller, je me relâche pour me contracter presque simultanément. Mes orteils crochissent, mes jambes se raidissent, mon souffle coupe, mes mains te serrent comme pour te faire comprendre lintense satisfaction qui me frappe. Je lâche plusieurs jets alors que tu me suces toujours, je ne peux me retenir de crier ton nom plusieurs fois.
Je suis littéralement paralysé, mon corps tout entier sest vidé je nai plus aucune force. Tu viens me coller, nous nous enlaçons très fort et nos bouchent sunissent de nouveau.
-Bonne fête, jespère que tu apprécies la surprise?
-Oh, merci! Cétait vraiment génial, je ne pouvais pas demander mieux!
-Tu crois que cest terminé? Ah, attends un peu de voir ce que jai prévu pour le bain
Fin