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Cathy, la copine de mon fils – Chapitre 3

Cathy, la copine de mon fils - Chapitre 3



Cathy 3

Cathy, la petite amie de mon fils, et moi, venons de faire l’amour.

Je sors d’elle lentement et tandis qu’elle met sa main pour retenir le sperme qui s’échappe de sa vulve. Elle lance un Humm ’ admiratif à l’adresse de mon sexe encore tendu, qu’elle voit enfin.

Je viens de ressentir un plaisir indescriptible avec elle, plus que l’amour charnel, j’ai eu le sentiment d’être en totale harmonie, en totale symbiose, en vibration moléculaire avec cette jeune femme. C’est un sentiment étrange, qui doit correspondre à ce que l’on appelle le coup de foudre. J’ai connu des femmes, y compris mon épouse, mais là, c’est différent, c’est magique !

Je courre vite lui chercher une serviette pour qu’elle puisse éponger ma semence et m’assieds auprès d’elle. Elle me regarde de ses yeux magiques, emplis de vie et ensorceleurs à la fois.

Nous nous enlaçons et elle me chuchote :

« Marc Je ne veux plus te quitter ! »

Ces paroles me gonflent de bonheur, moi non plus, je ne veux plus la quitter, mais ce rêve devenu réalité, reste à gérer. Un petit coup de blues m’envahit. Est-ce raisonnable d’être en couple avec cette jeune fille ? Notre différence d’âge est importante, elle a tant à découvrir de la vie sans s’encombrer d’un homme mûr comme moi. Et puis, mon fils dans tout ça, Et nos familles, que vont-elles penser ?

Voyant mon air contrit, elle me chevauche et m’invite à exprimer mon souci. Je fini par balbutier que je l’aime plus que tout au monde, mais et j’énumère les différents écueils.

Ce à quoi elle me rétorque avec tout ce charme qui lui est propre:

« Pour ta famille, je n’en sais rien. Pour la mienne, il faut que tu saches que papa à dix-neuf ans d’écart avec maman, alors tu vois, ils ne peuvent rien dire !

Pour Paul, on va voir. Il n’y a plus d’amour entre nous, c’est juste sexuel. As-tu remarqué le moindre geste d’attention  pour moi de sa part depuis que nous sommes arrivés ? »

« Ben non, c’est vrai, pourtant le premier jour, j’ai l’impression que vous passiez une bonne nuit »

« Je simulais ! Ca l’excite et ça va plus vite comme ça ! »

Même secoué par ces révélations qui me font entendre qu’il n’y a plus rien entre eux, je reste bloqué quant à dire à mon fils que je le trompe.

« Cesse de t’inquiéter mon amour, allons nous baigner. Tu veux que je mette un bikini ou bien je reste nue ?  »

« Reste nue, mais gardons un maillot à proximité au cas où … »

Elle marche nue, le long de la margelle qui entoure la piscine et je la suis pour ne pas perdre une miette de son corps admirable qui ondule. Elle se retourne de temps en temps en me lançant un regard complice. Elle s’arrête près de l’échelle, pose sa serviette et s’assied les jambes dans l’eau.

Sa pose cambrée fait ressortir le saillant de sa poitrine.

C’en est trop ! Je m’agenouille pour gober un mamelon offert. Elle me laisse téter chaque sein puis me soupire à l’oreille :

« Tu ne veux pas aller dans l’eau ? »

J’ai compris et rapidement je descends les échelons. L’eau me paraît froide, mais qu’importe, je suis pressé de la rejoindre !

Elle m’attend, les jambes écartées, pour que je vienne la manger. Et mon appétit est féroce.

Malgré la position inconfortable, j’arrive et gobe son abricot sans le moindre préliminaire. Son antre est humide et a encore le goût de mon sperme. Je vaincs mon appréhension et lape consciencieusement son sexe offert. Elle geint et frémit à chaque passage sur son clitoris.

Ses jambes se resserrent sur ma tête au point de m’étouffer ; Son orgasme est proche, mais ce n’est pas ce qu’elle veut. Elle se lève, vient dans l’eau, mais pas pour me rejoindre. Elle effectue quelques brasses et va dans une zone moins profonde, l’eau lui arrive au niveau de la poitrine. Elle me lance un petit regard de défi et se retourne pour me présenter son dos magnifique.

Elle se tient au rebord et regarde fixement devant elle. Je m’approche, me colle à elle et l’enlace. J’ai mon sexe tendu dans ses reins et elle ne l’ignore pas.

Elle s’en saisit  en glissant sa main derrière elle et le positionne à l’entrée de sa vulve.

Elle est pressée que je la pénètre et, quand j’entre en elle, je ressens une douce chaleur qui m’enserre.

Je n’ai rien à faire ou presque, Elle monte et elle descend le plus possible sur mon vit. J’en profite de lui caresser les seins sans perdre l’équilibre.

« Oh, comme c’est bon Marc, comme c’est bon !!!

 C’est vrai ! Cette situation incongrue et les lents mouvements de ma partenaire me font monter l’excitation.

C’est elle qui jouit en premier, elle essaie de le faire discrètement eu égard au voisinage, mais malgré cela elle reste assez bruyante.

Je la saisis par les hanches et, en quelques coups de reins prononcés, je me répands en elle.

Quand je ressors, un long filet blanchâtre flotte dans l’eau.

En peu de temps, nous avons fait l’amour avec beaucoup de passion, presque sauvagement. Je m’interroge pour savoir si je vais pouvoir tenir ce rythme.

Nous allons nous allonger côte à côte et, comme si elle lisait dans mes pensées, me dit :

« Je dois t’avouer quelque chose »

Au même moment, toutes les cigales s’arrêtent de chanter et silence soudain nous fait éclater de rire.

« Tu sais Marc, je ne suis pas une assoiffée de sexe, c’est juste avec toi que j’ai une telle envie ! »

« Ben, et avec Paul ? »

« Paul m’a eue vierge, au début il était prévenant et j’aimais ça, puis ça a changé. Maintenant, il me saute dessus sans préparatif et me fait mal à chaque fois si je ne suis pas lubrifiée. Avec toi, c’est différent, c’est moi qui ai envie de te sauter dessus ! C’est si bon ! »

Nous passons une bonne partie de l’après-midi à échanger des gestes tendres et de nombreux mots d’amour, puis décidons d’aller faire un tour au village.

Après une petite marche, main dans la main, nous nous posons à la terrasse d’un café.

Cathy en profite pour aller aux toilettes. Durant ce temps, vient s’installer quelques jeunes du village qui, voyant apparaître Cathy, lui disent lourdement :

« Ouah ! Mademoiselle comment vous vous appelez, ça vous dit de venir à la féria avec nous ? »

Et ma chérie de répondre, avec à propos :

« Ah bon , il y a une féria, ça peut intéresser mon mari »

Quand elle me rejoint pour m’embrasser, nous entendons le murmure des messes basses qui feront vite le tour de la contrée. Peu importe, la situation nous amuse beaucoup car nos rires mutuels nous empêchent de nous embrasser correctement.

De retour à la maison, nous constatons que mon fils Paul est de retour. Sa voiture est encore chaude. Cathy déclare :

« Je n’ai pas envie de le voir, je vais prendre une douche ! »

Je rejoins mon fils au salon et constate deux choses. Tout d’abord, son sac d’affaires qui est à ses pieds et d’autre part quand il relève la tête je lui vois une mine embarrassée.

« Que se passe-t-il ? »

Avec gêne, il répond :

« Ben voilà, j’ai rencontré Marie-Charlotte et son père il y a plusieurs semaines et, comme ses parents ont une villa par ici, nous nous sommes revus au golf. Son père est une personne influente et ça pourrait booster ma carrière. Marie-Charlotte m’invite à les rejoindre pour le reste du séjour, c’est pour moi une opportunité unique ! »

« Si je comprends bien, comme tu n’étais pas sûr de la suite avec ta Marie-Charlotte, tu t’es dit je vais aller voir mon père qui habite à coté et au pire je reste avec Cathy ?

Il est penaud pour ajouter :

« Tu pourra expliquer ça à Cathy et la raccompagner au train ? »

Une bouffée de rage m’emporte, mais je la contiens, il est nécessaire qu’il reçoive une bonne leçon. D’autre part, il faut qu’il apprenne la nouvelle.

C’est à ce moment que Cathy sort de la salle de bain

.

« Cathy, ma chérie, tu peux venir ? »

Je lui tend la main et l’invite à s’asseoir sur ma jambe. Je lui enserre la taille et avant qu’elle ne soit gênée par mon attitude, je dis à mon fils :

« Paul, tu peux rejoindre Marie-Charlotte, ça n’embarrassera personne, n’est ce pas mon amour ? »

Cathy qui comprend immédiatement la situation, se penche sur moi et me dépose un baiser sur les lèvres, avant d’ajouter :

« Tu sais, Paul, ton père me fait admirablement l’amour »

Elle n’ajoute pas mieux que toi’. C’est inutile, Paul est vaincu par l’humiliation et c’est la tête basse qu’il referme la porte.

Cathy pouffe un peu de rire et me demande :

« On fait quoi maintenant ? »

« On va se marier et avoir beaucoup d’enfants Mais d’abord, allons changer les draps du lit et on pourra commencer à faire les enfants ! »

Nous ne sommes même pas arrivés à la chambre, avant de nous étreindre une troisième fois

Epilogue

Nous nous sommes mariés, alors que son ventre commençait à s’arrondir de notre première fille. Paul débordé’ par son travail n’a pas pu être disponible à la cérémonie. Par contre, sa mère, mon ex-épouse désormais célibataire, est venue. De même que ma fille aînée avec son compagnon.

Même si notre écart d’âge prête parfois à confusion ou quiproquo, nous restons fidèlement attachés l’un à l’autre.

Ce n’est pas un conte de fée, c’est juste vraiment merveilleux l’amour et à tout âge !

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