Chapitre 30 : Amour et désirs maternels
Je l’avoue je n’ai pas beaucoup d’expérience … avec les filles et encore moins avec les femmes. Oh, j’ai bien flirté avec plusieurs filles du lycée et même eu des relations sexuelles, mais làen cet instantc’est beaucoup plus intense. Ce n’est pas une jeune fille qui m’embrassec’est une femme … la femme que j’AIME ! Ma MÈRE !
Dans mon cur je sais déjà que je ne me lasserais jamais d’embrasser et de toucher ma mère, même si tous deux nous n’avons vécu cela jusqu’à ce soir.
Ma main glisse vers haut de sa cuisse et tout à coup je me rends compte qu’elle n’a plus son slip car mes doigts caressent sa toison douce et moitenonhumide.
Je passe mon doigt le long de la fente délicate de maman, et je suis émerveillé par la facilité de glisser entre ses lèvres intime et la chaleur de son sexe. Maman arrête de m’embrasser et sa main gauche quitte mon sexe pour intercepter ma main qui commençait d’explorer sa chatte.
— Whaou ! Tu ne perds pas de temps, mon cur ! Tu as l’habitude de tomber les filles rapidement
Je ris et lui vole un rapide baisé avant de répondre.
— Suis-je trop rapide pour toi, Maman ?
Maman prend une profonde inspiration et secoue sa tête avant de dire.
— Je ne sais pas trop mais quand nous avons quitté la maison ce soir, nous étions juste une mère aimante et son fils. Maintenant nous sommes enlacés et nous nous embrassons comme des amants et mon fils vient de toucher ma chatte humide pour la première fois !
Elle rit encore et ajoute.
— Je pensais toujours que tu étais un jeune garçon timide mais je constate que tu vas droit au but !
Je me penche et je l’embrasse de nouveau pour sentir sa langue rouler joyeusement sur la mienne. Je ne peux dire la douceur et le goût de sa langue mais c’est sublime.
— Je crois bien que nous n’avons jamais été une mère et un fils normaldans cette famille. J’ai eu des sentiments impurs pour toi, maman, depuis plus longtemps que tu peux l’imaginer.
— Ouais, je pense que nous sommes la famille la plus incestueuse qui puisse exister, non ?
Répond ma mère en pressant son corps contre le mien, ses doigts courant le long de la bosse maintenant très dure dans mon pantalon.
— Dis-moi, Tommy, quand es-tu tombé amoureux de ta maman ?
Je pousse un long soupir et dis.
— Ouah ! Je ne sais pas, maman. Je réfléchis un instant, puis dit.
— Je me rappelle très bien qu’un jour, vous et maman-Sabine vous étiez dans le jardin et vous avez été surprises par une tempête de pluie. Je vous regardais courir jusqu’à la maison de la fenêtre de ma chambre. Je suis allé chercher des serviettes et je suis descendu ici, sous le porche pour te voir avec Maman-Sabine trempées jusqu’à la peau et riant toutes deux. Je me souviens très bien que tu portais un chemisier et un mini short rouge et tes cheveux étaient collés sur ta tête. Ton chemisier était comme une seconde peau autour de tes seins refroidis par la pluie et tes tétons étaient dresséstous durs …
— Tiens doncet alors
Toi et maman-Sabine vous gloussiez comme des poulettes dans les bras l’une de l’autre et vous étiez juste entrain de vous embrasser lorsque je suis sorti sur le porche. Toi, Maman, tu me regardais en me souriant avec une telle expression d’amour que j’ai failli défaillir. Je me souviens que j’ai eu une de mes plus belles érections.
— Et c’est là que tu es tombé amoureux de moi, mon fils ?
Je hoche la tête et réponds.
— Je pense que oui … tout au moins en partie.
Je m’arrête de parler pour lécher mes lèvres et regarder ma mère qui me fixe de ses grands yeux plein d’amour.
— C’est probablement quelques mois plus tard quand l’entraîneur Parker m’a déposé plus tôt que prévu suite à une annulation d’un entraînement. Je suis entré dans la maison et toi et papa étiez sur le canapé et vous étiez … euh nus et toi au-dessus de papa, face à moi.
Je m’arrête un instant, me rappelant avec une parfaite clarté, maman à cheval sur la bite de mon père, son corps brillant de sueur, les seins rebondissant au rythme de ses aller retours sur la queue de papa, les yeux vitreux par la luxure et le plaisir qu’elle avait. Je la serre un peu plus contre moi et je continue.
— lorsque tu as réalisé que j’étais dans la chambre tu n’as même pas arrêté de te baiser sur papa. Tu m’as même souri affectueusement comme si tu étais heureuse de me voircontente de vous voir accouplés comme ça. Tu as même réussi à haleter.
-je t’aime, Tommy !
Maman m’embrasse longuement et durement avec sa langue presque surnaturelle et sa capacité de m’exciter follement avant de me demander.
— Et puis, mon cur ?
Je me sens rougir
— Je t’ai dit que je t’aimais aussi et je me suis sauvé dans ma chambre pour me branler et rêver que c’était moi, et non papa qui te faisait l’amour jusqu’à ce que je jouisse en imaginant que j’étais en toi.
Maman me regarde intensément et dit d’une voix rauque.
— Tu me baisais ! Tu baisais ta mère
Je hoche la tête et je lui dis dans un murmure.
— Ouais, je rêvais que je te baisais comme un fou, maman.
Maman laisse échapper un soupir langoureux
— Je ne me souviens pas très bien du passage avec Sabine sous la pluie, mais je me souviens parfaitement de ce jour d’été ou je chevauchais ton père.
Maman regarde sa main qui caresse le contour de mon pénis en érection, puis me regardant dans les yeux.
— Je me souviendrai toujours de l’expression de ton regard sur ton visage … le désir … l’envie. Tommy, ce fut le premier jour où je compris que peut-être … juste peut-être un jour, toi et moi, pourrons devenir ce que ton papa et sa mère sont … et partager ce qu’ils ont. Ensemble.
Nous sourions tous deux et nous nous embrassons encore, ma main retournant se poser entre ses jambes, pour caresser ses lèvres de chatte épanouies avant d’enfoncer mes doigts dans son sexe avec son jus qui recouvre mes doigts.
Lorsque j’arrête de fouiller sa bouche de ma langue, je me rends compte soudainement que ma bite est maintenant à l’air libre et frais de la nuit. Les doigts de maman me caressent doucement et lentement.
— Oh maman ! Maman
Maman me regarde et dit.
— Certaines personnes considéreraient qu’il soit inconcevable pour une femme bien éduquée de laisser son amoureux dans un tel état après un rendez-vous aussi galant. Je pense aussi que mon fils a besoin d’un certain soulagement !
Avec facilité et de la pratique, maman glisse entre mes genoux sur le plancher de la véranda pour s’accroupir entre mes jambes.
— Tommy, serait-ce décent si Maman suçait ta grande et belle bite ?
— Je hoche lentement la tête, puis je réussis à murmurer.
— Oh oui, s’il te plaît, maman !
Maman me fait son sourire sexy puis, ouvrant largement sa bouche, elle enveloppe ses lèvres autour de mon gland. Je pousse un gémissement de plaisir en sentant l’humidité de sa bouche et sa langue chaude qui déguste mon gland tout gonflé. Lentement et experte de la fellation, maman glisse ses lèvres vers le bas de ma queue. Elle fait une pause à mi- longueur et remonte pour revenir sucer doucement mon gland sans que ses yeux ne quittent les miens.
Je plane un peu comme dans un rêve ou le plus fort de mes fantasmes, devient réel devant mes yeux. Ma mère suce ma bite … C’est la première femme à le faire et ça me semble si naturel, si parfait, si bon !
Maman avale de nouveau mon sexe mais cette fois elle ne s’arrête que lorsque ses lèvres effleurèrent mes poils pubiens … mon gland est enfoncé au fond de sa gorge. Quand Maman exprime son plaisir par un long
— Huuuummmmmm
Tous mon pénis entre en vibrations avant qu’elles se propagent dans mon corps dans une sorte d’extase.
— OOOoohhhh, mon dieu, mamaaaannn. Je t’aime, maman! J’adore ta bouche … c’est doux, chaud et tu prends toute ma bite !
Maman me fait un clin d’il sexy et de nouveau elle se retire lentement tout en me suçant férocement. Sa langue tourne ardemment sur mon sexe avant de reprendre ses merveilleuses taquineries sur mon gland gonflé. J’ai tout à coup une idée plus claire de l’amour que papa peut ressentir avec maman-Sabine.
Maman ne laisse échapper ma queue de sa bouche que pour me montrer sa langue habile qui tournoie autour de mon gland prêt à exploser et murmurer.
— J’aime ta bite, Tommy! J’aime son goût. Et je ne me rendais pas compte de la taille qu’elle a ! Ta bite doit être plus longue et plus épaisse que celle de ton père !
Maman engloutit de nouveau profondément mon sexe dans sa bouche, me montrant sa facilité à faire une gorge profonde à son fils … avant de me sucer furieusement pour me rendre fou et gémir sur le canapé du porche. Ni mes masturbations ou mes brefs rendez-vous avec une fille ne m’a préparé à l’intensité du plaisir que me procure ma mère en suçant ma bite. Je suis stupéfait comment maman m’amène rapidement au bord de la jouissance. Je voudrais rester indéfiniment dans la bouche chaude de maman mais je sens mon sperme qui bouillonne dans mes couilles et je crie.
— Maman … ooohhhh, maman je vais jouiiirrrrr…
Je ne suis même pas surpris que maman refuse de lâcher ma queue et si j’avais encore une hésitation, son regard plein d’envie et d’excitation m’ôte toute crainte et je jouis !
Non ! J’explose dans la bouche de ma mère. J’éjacule mon sperme violemment avec à la fois un immense plaisir et une douleur qui fait sauter mes couilles à chacun de mes spasmes. Je n’arrête pas de juter dans la bouche de maman en gémissant de plaisir d’autant qu’elle fait des bruits de bouche démontrant qu’elle apprécie mes giclées de sperme chaud qu’elle avale pour la première fois.
Maman continue de me sucer alors qu’il ne sort plus rien de mon gland en feu. Sa langue passe et repasse sur ma bite toujours en érection pour prolonger mon plaisir. Mon extase semble durer une éternité avant que ma mère ne lâche mon sexe et s’assoie, son visage rayonnant d’’amour et de luxure.
— Ooohh, fils!
Maman soupire et d’une voix épaissie par sa dégustation elle me dit.
— Tu es bon mon fils. Ooohh, Tommy, j’aime le goût de ton sperme Je t’aime, Tommy … Je t’aime et j’aime ta bite … Maman t’aime tellement
Les yeux de maman se sont agrandi incroyablement et elle m’a giflé légèrement, comme si l’énormité de ce qu’elle vient de faire, sucer la bite de son fils pour la première fois l’avait accablée.
Je me penche vers elle et je lui caresse son visage avant de lui demander.
— Maman, tu vas bien tu ne regrettes..
Maman couvre ma bouche de sa main et je vois quelques larmes qui coulent sur ses joues. Dans un murmure rauque, elle répond.
— Oui, Oh mon dieu, oui! Je t’aime, Tommy.
Elle se relève, belle et sauvage à la fois, avec ses seins redoutables échappés de sa robe et je peux sentir et voir son excitation … sa chatte humide qui me remplit de désirs puissants et primaires.
Je veux la suivre lorsqu’elle s’éloigne de moi mais Maman me dit.
— Je t’aime, mon filsmais nous en reparlerons demain matin.
Elle se penche pour m’embrasser, sa langue dans ma bouche pendant un long et beau moment, pour que je goûte sa bouche et sa douce langue qui caresse la mienne avant de se retirer et d’ajouter avec un dernier regard tendre.
— Je t’aime, Tommy Hamilton!
Et elle se précipite à l’intérieur, me laissant étourdi et un peu confus.
Je ne sais pas combien de temps je me suis assis, là sur notre porche, revivant cette soirée et son apogée étrange et merveilleuse. Maman semble avoir aimé ce qu’elle a fait et n’a pas agi comme si j’avais fait quelque chose de mal, mais elle s’est enfuie pour ne pas aller plus loin. Je ne sais pas ce que je dois faire … suivre mon instinct et la rejoindre pour m’assurer qu’elle va bien ou attendre jusqu’à demain matin
En plein dilemme et réflexion je sursaute en entendant.
— Tommy … chériça va ?
Je lève mes yeux, m’attendant à voir maman, mais je trouve maman-Sabine, ses yeux fixés sur moi, son visage encore empourpré après avoir fait l’amour avec son fils … mon père. Maman et Maman-Sabine sont très semblables, avec pour différence ses cheveux blanc argentés qui encadre son visage … une belle crinière qui tombe au-dessous de ses épaules et bien emmêlés trahissant le fait qu’elle a récemment beaucoup bougé dans son lit.
— Oui, maman … euhSabine, je vais bien.
Murmurai-je, en essayant de détourner mon regard, car pour un homme il est difficile de détourner le regard de cette femme voluptueuse et belle.
Maman-Sabine tient deux boîtes de bières pour papa, mais elle m’en offre une en disant.
— On dirait bien que tu as besoin d’un verre, mon petit chéri.
Elle s’assoie à côté de moi, son corps harmonieux enveloppé hermétiquement dans un court peignoir de soie. Maman-Sabine vient d’avoir soixante-deux ans, mais à l’exception de sa chevelure d’argent, on lui donnerait facilement dix ou quinze ans de moinspeut-être plus. Je sens d’ailleurs ma queue remuer un peu à la vue de ses gros seins tendus contre sa robe, les mamelons clairement visibles contre le fragile tissu. Mon pénis sursaute un peu en réponse à sa beauté et le parfum de sexe qui remonte de sa … sa chatte, un peu comme celle de maman, mélangé avec l’odeur du sperme de papa.
Tout à coup, je m’aperçois que ma queue est sortie de mon pantalon et qu’elle est en pleine érection sous les yeux de maman-Sabine.
— Oh Dieu, je suis désolé, maman !
Haletant, je porte l’une de mes mains vers le bas pour forcer ma bite à reprendre sa place dans mon pantalon.
La mère de mon père tend une main et arrête mon geste.
— Oh, Tommy, ça vace n’est pas la première fois que je la vois. Elle me sourit diaboliquement et ajoute.
– pour être parfaitement honnête, il est presque identique à celle qui se trouve à l’étage et …
Maman-Sabine fixe un moment mon sexe pour l’étudier pendant un moment avant de continuer.
— Elle ressemble beaucoup à celle de ton grand-père Tom. Et beaucoup trop!
J’entre dans une sorte de rêve érotique quand Maman-Sabine resserre son emprise sur mon bras et le tire en arrière pour révéler mon érection maintenant très proéminente. Ses doigts glissent souplement le long de mon bras jusqu’à ce qu’ils soient entrelacés avec les miensetnégligemment annonce.
— Rien ne doit s’opposé pour voir une telle chose quand elle est si belle.
Elle lève sa bière pour moi dans une sorte de salut et comme un imbécile stupide, je suis son exemple et nous trinquons tous deux en engloutissant la moitié de la bouteille.
Nous restons silencieux un instant et quand je la regarde elle me regarde et dit.
— Tommy, tu dois savoir que ce que tu fais avec ta mère la rend heureuse … très heureuse.
Je hausse des épaules et répond.
-Je ne sais pas. Maman semble terriblement bouleversée après ce qu’elle euh, avec mon sexeet sa bouche
Maman-Sabine sourit et dit:
— Je pense que mot est« submergé » est plus adéquat. Mon grand, cela fait longtemps que Martine … ta mère, n’a ressenti autant d’amour pour une autre personne.
Voyant que je reste perplexe, Maman-Sabine me serre la main et dit.
— Martine aime Dany et moi aussi … comme les amants que nous sommes tous les trois. Dans un certain sens, nous sommes tous les trois mariés. Mais, Tommy, le grand amour de votre mère sera toujours votre maman-Lilly.
Sa voix se brise un peu en mentionnant le nom de mon autre mère … le nom de sa sur. Elle me sourit et continue.
— Votre mère a perdu une part d’elle-même quand Lilly est morte. Ce que vous avez fait ce soir la ramène à elle. La plupart des gens ont de la chance si elles rencontrent leur âme sur. C’est vraiment très rare de découvrir que vous avez une autre âme sur … quelqu’un qui vous aime si intimement et si fortement.
Je comprends ce qu’elle essaye de me dire et je réponds rapidement
— Je sais que j’aime ma mère comme ça.
J’hésite une fraction de seconde et j’ajoute.
– J’aime maman comme papa vous aime, Maman-Sabine !
Elle pousse un gros soupir et me sourit, avec amour.
— Je sais que tu l’aimes d’amour mon chéri, et elle aussi, j’ai pu le voir dans les yeux de ta mère quand elle m’a croisée en montant à l’étage. Ne t’inquiète pas rien ne changera, mais en ce moment, elle a juste besoin d’un peu de temps pour y faire face.
Maman-Sabine se penche vers moi, ses seins lourds se pressent contre ma poitrine et elle m’embrasse chastement sur les lèvres. Je sens le bout de mon sexe vibrer dans sa main qui ne l’a pas lâcher.
Elle se recule et me regarde intensément.
— Tu es bien d’accord, Tommy ?
Je souris à ma belle maman-Sabine et réponds
— Oui, je pense que oui.
Elle me sourit et dit.
— bien. Je pense que ferais mieux de retourner me coucher avant cette belle chose que je tiens dans ma main me fasse perdre la tête tellement la tentation est forte.
Lorsqu’elle baisse sa tête pour me donner un petit baiser sur le bout de mon gland, tout près de mon méat humide, et que sa langue lape mon pré sperme que je ne pouvais retenir, je pousse un gémissement de plaisir.
"Oh, mon Dieu, maman!" Je gémis, ma bite encore sensible de l’attention aimante de ma mère.
Maman-Sabine ricane et se lève. Grimaçant comme une enfant prise la main dans le sac, elle me dit.
— Désolé …. Être une fille bien élevée n’a jamais été mon point fort. Je ferais mieux de filer avant que j’oublie ta mère et que je fasse quelque chose de périlleux.
Il me faut un moment pour être en mesure de dire quoi que ce soit car je suis hyper concentré pour ne pas éjaculer à nouveau sur place.
— Whaou ! Tu veux dire que … toi et moi … comme toi avec maman et papa ?
Je ne sais si ce que je viens de dire à un sens, mais maman-Sabine semble comprendre ma question. Elle hausse les épaules, ce qui fait rouler sa lourde poitrine sous sa robe et elle répond.
— Eh bien, c’est à ta mère et toi de voir Tommy.
Elle pince gentiment le bout de mon nez et cligne de l’il, très coquine, avant d’ajouter.
— Mais je l’espère. Je parie que ta belle queue se sentirait merveilleusement bien en moi et je me demande déjà ce que toi et Dany ensemble et en même temps, ce que je ressentirais !
Elle se dirige vers la porte, et prenant une pause après l’avoir ouvert, Maman-Sabine me regarde avec une expression plus grave et me dit:
— Je suis super heureuse que toi et ta maman êtes prêt à franchir cette étape maintenant. Mon seul regret quand je suis devenue l’amant et la femme de mon fils, c’est d’avoir attendu aussi longtemps que je l’ai fait.
La maman de papa lèche ses lèvres et ajoute.
— Si j’avais su comment cela serait si merveilleux, j’aurais baisé mon fils à la seconde ou il aurait eu ses dix-huit ans au lieu de perdre trois ans d’un plus grand amour qu’une femme ne puisse jamais savoir.
Elle s’apprête à repartir mais elle se retourne et elle me dit.
— Encore une chose, Tommy. Je suis fier de toi. Tu as grandi dans une famille aimante, tu es devenu un homme et notre famille est d’autant plus riche de posséder un nouvel amant comme toi. Je t’aime, mon fils.
Elle s’arrête de parler et sourit avant d’ajouter.
— Peut-être que je devrais dire, je t’aime, petit-fils! Merde, ça se complique, non ?
Et en riant elle disparaît dans la maison pendant que je reste assis, me sentant plus perturbé que jamais.
Je fini ma bière et je suis soudainement fatigué et dépassé par les événements de la soirée. Je n’aurais jamais espéré que cette soirée soit aussi riche en sensations si délicieuses. Mon sexe est en semi érection comme s’il n’était pas tout à fait disposé à renoncer à l’espoir de plus de réjouissance et jeux sexuels. Étant seul, je n’ai pas pris la peine de le remettre dans mon pantalon et je monte vers ma chambre. En passant devant la chambre de maman, je fais une pose et je me demande si je dois entrer.
En fin de compte, je décidé de ne pas en faire plus pour ce soir et je me dirige vers ma propre chambre.