Aujourdhui, mon amour, Jean-Baptiste, me propose de faire un pick nique nocture dans un parc assez fréquenté. Il sait très bien que jaime pimenter mes soirées avec lui. Voilà pourquoi il me demande de porter une tenue sexy : une simple robe noire moulante et très courte, presque trop courte avec un décolleté mettant en valeurs mes petits seins fermes, de hautes bottes noires en cuir marrivant aux genoux, et des bas. Avec cette robe, lorsque je porte des bas avec mon porte-jarretelle, on les voit dépasser de quelques centimètres, ce qui a le don de rendre mon homme fou, et surement dautres. Il mordonne de ne pas mettre de culotte car cest plus pratique me dit-il avec un sourire coquin. Habillée comme une salope, Jean-Baptiste memmène à destination. Une fois sur place, comme prévu, beaucoup de gens sont présents. Jean-Baptiste nous installe à proximité de 4 beaux jeunes hommes.. Connaissant bien mon homme, je comprends quil nous a installé ici parce quil veut que ces mecs-là me désirent. Je rentre donc à fond dans son jeu. A peine arrivée, je me baisse sans plier mes genoux, offrant une belle vu aux hommes derrière moi, qui nen perdent pas une goutte. Ma robe arrive à la limite de mon intimité. Je répète lopération plusieurs fois, et mallonge à côté de mon homme tout en prenant une position sexy. Cest alors que je remarque une bosse dans le pantalon de celui-ci.
— Cest ton téléphone?
— Fais la maline! Cest de ta faute à te pavaner comme ça devant ces mecs, ça mexcite et tu le sais très bien!
Je minstalle alors un peu plus près de lui, et commence à caresser la bosse, tout en restant dessus le pantalon. La réaction ne se fait pas attendre, et je sens la bosse grossir sous mes caresses. Assez excitée, je sors la jolie bîte de mon homme et la branle passionnément. De toute évidence, il aime ça : il pousse des râles et se rédit de tout son corps. Il manifeste son plaisir de telle manière que la bande derrière nous remarque que je suis entrain de le branler, là, à quelques mètres à peine deux.
— Cest moi qui tes amené là, cest moi qui décide. Arrête ça tout de suite, et écarte les jambes, me dit mon homme.
Un peu surprise, je mexécute. Je me retrouve jambes écartées, face à lui, dos à la bande de jeunes derrières nous. De là où ils se trouvent, ils ne voient pas grand chose, mais ils comprennent très bien ce qui est entrain de marriver. Mon homme me caresse tout délicatement, effleure mes lèvres, passe furtivement sur mon clito déjà si mouillé. Il sait que je deteste ça autant que je ladore. Il sait aussi que cela mexcite au plus haut point. De notre panier pique-nique, tout en me caressant, il sors deux verres, une bouteille de vin et des glaçons.
— Sers nous deux verres, Marie, me dit-il.
En même temps, il avait attrapé un glaçon entre ses doigts et avait commencé à le frotter à ma chatte brulante. Hmmm, que cest bon. Je servis maladroitement deux verres de vin. Je sentais lexcitation et la frustration monter en moi. Javais envie de baiser, et lui continuais de me caresser sensuellement la chatte. Je me mis à gémir de plaisir et denvie. Cest à ce moment là que japerçus les garçons qui ne nous quittaient pas du regard. Je fus simultanément très gênée et très excitée. Je navais jamais été dans une telle situation avec des spectateurs. Dhabitude, pour exciter mon homme je me contentais de me trémousser devant des hommes et cest tout.
— Tu as vu, tu as du public, taimes ça hein?
— Oui, lui répondit-je. Javoue que ça mexcite.
Javais limpression que les hommes derrière moi se rapprochaient peu à peu.
— Carrément, ça texcite. Va jusques au bout alors…
Il attrapa mes bras et les tira vers lui, pour ne pas avoir mal je fus obligée de suivre son mouvement. Je me retrouvais donc à quatre pattes, le cul tendu à tous ces inconnus. JB avait sorti sa queue de son pantalon et elle trônait à quelques centimètres de mon visage.
— Eh bah, Marie, allez vas-y, on attends tous ça. Tu veux pas passer pour une allumeuse devant ces mecs. Je sais que tu as horreur des allumeuses. Prends moi la queue Marie, prends moi la queue!
Jempoignais alors sa bite et commençais à la sucer le plus goulûment possible. Mes lèvres pulpeuses lui faisaient autant de bien que lorsque je poussais son gland au plus profond de ma gorge. Je ne manquais pas de caresser ses deux acolytes au passage. JB détacha mes longs cheveux noirs. Et me baisa littéralement la bouche. Il ne mavait jamais pris la bouche comme ça. Javais limpression de nêtre quun objet. Derrière mois, les 4 mecs se branlaient violemment en me regardant me faire baiser la bouche. Soudain, je sentis la queue de mon homme au bord de lexplosion. Il se recula avant de me recouvrir de foutre, et se concentra quelques instants pour ne pas jouir. Jétais tellement excitée que jallais minstaller à califourchon sur JB quand celui-ci me dit :
— Je ne te baiserai que si tu te fais prendre par un de ces mecs derrière.
Pensant à une plaisanterie, je ne tiens pas compte de cet avertissement et continue de minstaller sur JB. Il séloigna tout en me repoussant.
— Non.
— Mais, je suis super excitée, je sens ma mouille couler le long de mes jambes. Jai envie de baiser.
— Tu as quatre jeunes hommes derrière toi qui, jen suis sur, seront ravis de te rendre service.
— Hmm, je ne suis pas sûre. Et puis, on les connait pas, je… je… sais pas, cest trop bizarre JB…
Il sortir du fameux panier 2 boîtes de préservatifs, une médium et une king size. Cest à ce moment là que je compris quil avait tout prévu, et quil souhaitait que ça se passe comme ça. Il me tandit les deux boîtes de capotes et cria :
— Et les mecs! Ma copine veut baiser mais moi je la prendrai pas. Vous voulez laider?
Je neu pas le temps de me plaindre à mon homme de ce quil venait de faire que je sentais déjà sur moi plusieurs mains me caresser. Je nen revenais pas. Un mec était derrière moi et me tripoter le cul et la chatte, tandis quun autre des mecs me pelotait sauvagement les seins. Celui placé derrière moi me pénétra avec ses doigts
— Oh putain! Quelle salope! Elle est toute mouillée, jai jamais vu ça.
Il appuya sur mon dos et je lui présentais donc mon cul. Il me pénétra violament. Il avait une grosse queue, si grosse que les premiers mouvements me firent mal. Cette douleur sacheva rapidement pour laisser place au plaisir pur. Je vis mon homme à quelques mètres de moi, il me regardait droit dans les yeux, tout en se branlant. Je vis dans son regard une expression que je navais jamais vu mais il paraissait être aux anges. Jétais terriblement excitée et je prenais un pied énorme. Sans pouvoir me contrôler, je me mis à gémir et à crier. Mon homme dit alors :
— Quelle salope cest vrai, elle ne fait que gémir! Tu aimes ça Marie? On dirait que sa bite est à ton goût, toi qui voulait pas que je les appelle.
Je voulais répondre mais je vis une queue sapprocher de ma bouche, et ma parole, javais terriblement envie de la sucer. Je pris cette belle queue dans ma bouche et commenca une fellation en rythme avec la queue qui me defoncait la chatte.
Je nétais plus une allumeuse, mais une sacrée salope, et jaimais ça.