— Oh dis donc !! Intéressant tout ça !!
— Oui Laurent, et très excitant !
— Au fait, Daniel, la petite, elle doit être "bonne", non ?
— Ecoute, je n’ai pas trop le temps de parler de ça maintenant, car justement elle m’attend, mais je te propose de venir boire un verre lundi soir à 18 h, je te raconterai tout ça en détails, et te montrerai plein de photos très très coquines Elle sera chez son "ex", pourrons parler tranquillement.
" Et voilà comment cela s’est terminé. Tu vois qu’on nous a remarqué lors de nos deux balades dans le lotissement, et que ça commence à jaser ! J’en ai donc rajouté une couche en racontant l’histoire en détails et en expliquant que tu étais cocu et soumis !".
"D’ailleurs, tu viendras chez moi lundi soir dès que tu rentreras du boulot, je vais prévenir ma petite amie que tu auras du retard. Je t’attacherai dans la pièce à côté pour que tu puisse entendre notre conversation, -qui va être hard-, entre hommes, et profiter de tout ça !!
"Je préférerais rester avec Sandra vous savez"
"STOP ! "je préférerais rester avec mon EX ! " . Recommence.
"Euh.. Oui, pardon. Je préférerais rester avec mon "ex"
"Hors de question. Tu obéis. Je veux que tu assistes à ça et que tu entendes tout !! Ca va être chaud brûlant !! Tu vas bien t’exciter ! Et crois moi qu’il aura droit à toutes les photos que j’ai fais de toi !".
"Oh non Monsieur ! Je vous en prie, pas ça !".
"Si, bien sûr ! Il faut qu’il puisse voir à quel point tu es cocu et soumis, et surtout qu’il aille raconter ça partout, y compris dans le village !!!".
" Bon, je te laisse, allons préparer et manger, et ensuite, nous passons l’après-midi au lit, séance de baise, et baise toute la nuit ! Voilà le programme !".
Je raccroche. C’est terrible. Le lotissement le sait. La honte me submerge.
Je m’endors le cur gros.
Lundi matin. 10 heures. SMS !
Je reçois deux photos de Sandra, entièrement nue, allongée sur le lit, le bas ventre et le ventre couverts de sperme, avec ce texte :
"N’oublie pas notre rendez-vous ce soir, 17 h 30 chez moi, sois à l’heure".
La journée passe vite.
17 h. Je rentre la voiture.
— Bonsoir Mademoiselle. Ca me fait plaisir de vous voir, c’était très long.
— Bonsoir soumise. Pas pour moi, je n’ai pas vu passer ces 4 jours, encore moins le week-end, que nous avons passé à baiser !! Il est vrai que pour toi, seul, ça doit être beaucoup plus dur.
— Mais bon, tu sais que tu as un rendez-vous Mon mari t’a raconté ? Il a rencontré Laurent, qui habite en haut, il nous a vus main dans la main l’autre jour, il lui en a parlé !! Et mon mec l’invite tout à l’heure à boire un verre et vas lui montrer des tas de photos de moi et de toi Et tu ne vas pas manquer ça.
— Au fait, quand tu parles de moi, n’oublies plus de dire mon "ex" et pas Sandra ! Car mon mari m’en a fait la réflexion Alors attention à toi, les punitions peuvent tomber.
— Allez, vas-y, c’est l’heure, Laurent arrive à 18 heures je crois.
— Je peux vous faire une bise sur la joue, Mademoiselle ?
— Non ! Tu sais que c’est interdit. Allez, file, je n’ai rien entendu !
Je sors, passe le jardinet, et sonne chez Daniel.
-Tu es à l’heure, c’est bien. Mets-toi à poil.
Je me déshabille. Torse nu, j’enlève le pantalon.
— Ah ça y est ! Enfin ! Tu portes des culottes!
Celle du jour est un tanga rouge dentelle.
Il prend toutes mes affaires, chaussures comprises.
-Viens avec moi dans le cellier, il donne sur le salon, il y a une petite ouverture, tu pourras "voir et entendre" !
— Assieds-toi sur la chaise haute, là ! Je reviens.
Il revient avec les menottes, des cordes, un gant de toilette, un torchon.
— Je vais te "préparer".
Il commence à m’entraver les mains derrière le dos avec les menottes. Puis m’attache chaque cheville aux montants droit et gauche de la chaise. Puis sort et revient avec un collier de chien vert clouté qu’il me passe autour du cou. Qu’il relie grâce à une corde aux menottes dans mon dos. J’ai la tête tirée et maintenue légèrement en arrière. Suis complètement immobilisé.
— Bien. Tu as assez d’angle de vision ? Tu vois bien ?
— Oui Monsieur. Je vois tout : les canapés, la table de salon, tout.
— Très bien.
Il prend le gant de toilette et le torchon.
— Suis obligé de te bâillonner. Ouvre la bouche en grand !
Il fait une boule avec le gant de toilette, me l’enfonce dans la bouche.
— Voilà, comme ça, c’est bien.
Puis immédiatement passe le torchon entre mes lèvres, le noue derrière la nuque avec un double nud.
— Te voilà prête pour le spectacle !!!!
Il sort, ferme la porte à clef et l’enlève de la serrure.
Je reste nu, entravé sur la chaise, bâillonné, à attendre que l’autre arrive. Je suis ainsi au moins 30 minutes.
Deux coups de sonnette retentissent. C’est l’heure, il doit être 18 heures.
— Salut Laurent !
— Salut Daniel, tu vas bien ??
— Oui, impec’ ! Entre, je t’en prie !
Il l’installe au salon. L’autre enlève sa veste. Je vois tout. Et entend tout.
— Tu bois quoi ? Pastis ? Rosé ?
— Un petit "jaune" s’il te plait, Daniel !
Il sert deux Pastis, amène une cruche d’eau et des gâteaux apéro.
— Alors, vas y, raconte moi tout pour la petite !!
— Eh bien comme je t’ai dis dimanche, elle m’a toujours excité. Je l’ai donc draguée doucement, et je suis passé par le mari. Une fois il s’était baigné sans maillot, j’ai donc vu sa petite bite, un jour je l’ai pris à part et lui expliqué qu’avec un si petit sexe, il ne pouvait contenter sa femme, et qu’un jour où l’autre elle partirait, ce qui est vrai d’ailleurs. Je lui ai mis le marché en mains : il se soumettait, acceptait d’être cocu, et moi je devenais l’amant de sa femme pour la contenter sexuellement.
— Et ?
— Il a compris et accepté. J’ai donc vu sa femme en son absence plusieurs fois, j’ai commencé à l’emballer un après-midi, séance de pelles et de galoches, pelotages, elle était prête, voulait baiser, mais je tenais à la baiser en présence de son mari. J’ai donc attendu le dimanche suivant, ça s’est fait sur la terrasse, devant lui nu et soumis.
— Je l’ai pelotée, je lui ai sucé les seins, pelotés, léché la chatte, elle m’a pompé et je l’ai défoncée devant son mari à genoux à quelques mètres. Elle a pris son pied comme jamais !
— Ensuite ?
— Une heure après, Sandra a eu une nouvelle envie de baise. Alors j’ai positionné le cocu devant la fenêtre chambre, dehors, et nous sommes allés faire l’amour sur le lit. Ensuite quand nous avons terminé, Sandra est retournée sur la terrasse avec plein de sperme sur la chatte et le ventre pour que son cocu voit bien mon éjaculation sur elle Elle s’est essuyée devant lui, et nous lui avons même fait mettre l’essuie tout plein de sperme à la poubelle, et lui avons ordonné d’aller refaire le lit !!
— Et il a été refaire le lit où vous veniez de baiser ?? Trop fort !!!!!
— Exactement. Il a donc vu le lit en désordre, un vrai champ de bataille, et les taches de sperme sur le drap !
— Le soir, j’ai renvoyé le mari chez lui en lui expliquant que sa femme passait la nuit dans mon lit, et que c’était mieux pour tout le monde. En lui conseillant de ne pas trop se branler en pensant à nos séances de baise, car ça ne ferait que le fatiguer et l’épuiser pour rien, et que ça ne changerait rien à la situation de toutes façons !
— Eh bien dis donc, Daniel !!! Quelle aventure !! Mais dis moi, le dimanche où tu as baisé la petite devant son mari, tu me dis que vous avez baisé deux fois en une heure ??
— Tout à fait. Il faut dire que de ce côté-là, elle a de gros besoins. Elle s’est ennuyée avec la petite bite à son mari pendant 7 ans, à baiser à la "papa-maman". Je peux te dire qu’elle est hyper chaude, et qu’il ne faut pas lui en promettre ! Elle "aime la bite" comme on dit, et apprécie les grosses queues !! Je peux la défoncer toute la journée ou la nuit qu’elle en réclame encore ! D’ailleurs, le fameux dimanche, avions baisé deux fois dans l’après-midi, et ça n’a pas arrêté de la nuit !!! Je lui ai mis le dernier coup de bite à 6 h 15, tu te rends compte ???
— Avons bien baisé 5 ou 6 fois dans la nuit, nous ne faisions quasiment que ça, elle en voulait toujours plus !! En plus, elle aime le sperme, et comme j’ai des éjaculations abondantes, elle est comblée. Elle était très amoureuse cette nuit là, je lui ai véritablement défoncé la chatte, je l’ai prise aussi dans le cul, dans toutes les positions, elle m’a vidé !! Et chaque jour, chaque nuit c’est pareil ! Elle rattrape le temps perdu !
— Et il faut voir comme elle est gaulée, je ne te dis pas ! Tu l’as déjà vu passer je pense Elle à une de ces paires de miches à damner un saint, elle fait du 95b, il y a "ce qu’il faut" comme on dit ! Je me suis d’ailleurs plusieurs fois branlé entre ses seins, elle les comprime de chaque côté sur ma bite, et je vais et viens Elle adore les "cravates de notaires". Et tu as vu ce cul ? Un beau cul de femme, bien ferme, bien cambré Avec une chatte qui mouille comme il faut, bien serrée en plus ! Remarque ce n’est pas la nouille à son mari qui a dû lui élargir la foune !!
— Oh dis donc, d’après ce que tu me racontes, c’est un sacré coup au lit !!!
— Je confirme ! Il ne faut pas lui en promettre ! Toujours OK pour en prendre un coup et se faire défoncer par un gros membre ! Elle aime ça, la queue !!
Il lui ressert un autre Pastis.
— Je parle beaucoup, Laurent ! Je te mets l’eau à la bouche, il va peut-être falloir que je te montre ma petite salope, que tu découvres son corps ! J’ai pas mal de photos, je vais les chercher
Je manque d’étouffer sous mon bâillon. Je ne veux pas qu’il montre Sandra à ce vieux porc, je ne veux pas.
Il arrive avec trois cartons à chaussures.
— Voilà ! Tu vois, j’ai pas mal de clichés ! Deux boîtes de photos à Sandra, et une de photos du cocu !
Il ouvre la première boîte et commence à sortir les photos.
— Tiens, regarde. Voilà Sandra, entièrement nue, de face et de dos, debout, sur la terrasse
Il lui donne plusieurs photos.
— Wouahhh !!!! Comme elle est gaulée !!!
— Je t’avais prévenu, Laurent !
— Mais elle a des seins magnifiques, galbés, lourds
— Et ces aréoles bien dessinées Ces adorables petits tétons qui bandent, d’ailleurs
— Oui, la poitrine est magnifique, je ne te dis pas quand tu pelotes ça ! Et quand tu la prends en levrette et que tout ça balance au rythme des coups de bite
— Humm je te jouirais là-dessus, moi !!! J’arroserais tout.
— C’est fait ! Je te montrerai les photos tout à l’heure. Mais regarde le reste de la "marchandise"
— Hum, oui ! Quelle jolie petite chatte. Une vraie blonde, on voit bien ses lèvres Un vrai petit abricot tout mûr qui ne demande qu’à s’écarter
— Regarde le dos maintenant
— Wouah le cul !! Le cul d’enfer !!! Oh la la la la !!!
— Elle a vraiment une croupe à attirer les bites !! Quel cul ! Bien galbé, de bonnes fesses, juste ce qu’il faut ! Et cette adorable fossette au creux des reins
— Tiens, regarde ses gros seins maculés de sperme
— Oh con ce qu’elle a pris ! Oh dis donc, tu en as dans les burnes, toi !! Regarde, il y a du sperme partout ! Elle en a partout sur les miches, les aréoles, les tétons ! Et ça coule ! Regarde ! Ca lui coule dans le cou !!
— Oui, question sperme, elle en prend ! Regarde ces photos de son ventre et de sa chatte
— Wouh !! Dis donc, où tu vas chercher ces litres de foutre, toi ! J’ai jamais vu de pareilles doses de sperme. Regarde celle-là, elle en a pris jusqu’aux seins, trois traînées, et elle a en plus deux énormes flaques sur le ventre, le nombril et la chatte !
— Purée de Dieu ! Elle nage dans le foutre avec toi !!!
— Là, des photos avec éjacs sur les fesses et les reins !
— Eh bien !!! Suis impressionné. Les fesses couvertes, les reins aussi !! En plus, elle a l’air d’aimer ça !
Je me tords littéralement dans mes liens. C’est trop. Les larmes coulent. Le bâillon m’empêche d’émettre le moindre son. Et suis sérieusement attaché et immobilisé. Je ne peux que voir et entendre toutes ces saloperies.
— Regarde celle-là, en action. Je la défonce en levrette, regarde ma bite entre les fesses
— Superbe photo Daniel !! On voit bien ton gros pieu la défoncer !
— Et celle-là, je la baise sur le dos, elle écarte bien les cuisses, regarde ma bite enfoncée dans sa chatte !!
— Effectivement, presque jusqu’aux couilles qu’elle la prend !! Et ses yeux, regarde, elle pâme sous tes coups de boutoir !!
Il fouille dans la deuxième boîte.
— Regarde Ma petite amie sous la douche, après une séance de baise intensive
— Magnifique Putain, mais elle est en train de se laver la chatte !! Et elle se laisse prendre en photo
— Toujours sous la douche, avec encore du sperme sur le cul et les reins
— Humm Très excitant
— Et celle-là En train de faire la cuisine, entièrement nue
— Jolie petite cuisinière!!
— Et là, en train de me pomper à genoux dans le salon
— Wouahh ! Elle à l’air de s’y connaître en pipes !!
— Je confirme ! Elle est experte, et elle adore tailler des pipes !
— Ah, là, je sens que je vais te faire plaisir Quatre photos.
— Donne ! Donne !
Il tente de prendre les photos, mais Daniel met sa main en l’air
— Qu’est ce que tu me donnes pour les voir, Laurent?
— Tout ce que tu veux, Daniel, même mon abonnement au rugby si tu veux !
— Quatre photos. Ejaculation sur le visage !! Regarde
— Ouh la la la la la la !!! C’est du lourd !!! Oh la la !!!! Qu’est ce que tu lui as mis !!! Elle en a partout, partout, partout !!!!!!!!!!
— Putain la salope ! Elle a le visage couvert de foutre !!!! Regarde, jusque dans les cheveux !! Les yeux ! Les joues, les lèvres ! Ca coule sur le menton.
— Attends. Je vais te montrer le cocu-soumis. Enfin la soumise, comme on dit.
Il sort des photos.
— Regarde. Dès qu’il arrive chez moi, je le fais toujours mettre entièrement nu, c’est mieux.
Le voilà debout, mains derrière la tête, dans le salon.
— Oh la la dis donc ! C’est vrai qu’il n’a rien dans le slip ! C’est même pas une bite qu’il a !! Jamais vu une aussi petite bite ! Je comprends que sa minette aille voir ailleurs ! Je comprends même pas qu’elle soit restée 7 ans avec !
— Le voilà en levrette par terre, en levrette sur la table, cuisses écartées sur le canapé
— Putain les poses Une vraie salope aussi, on dirait !
— Et là attaché bras levés sous la tonnelle. Et là après s’être fait fouetter par ma copine, regarde son dos et ses fesses
— Attaché, il est pas mal ! Il a un beau cul, petit, bien rond ! Une vraie salope on dirait, une salope mâle.
— Dis donc, elle ne l’a pas raté ! Il a le cul et le dos bien zébrés !
— Oui. 40 coups, elle s’en est occupée à la cravache.
— Putain, il a du obéir après !
— Ca lui a fait du bien, en effet. Mais Sandra voulait absolument le fouetter, ça lui est venu comme ça, quelques jours avant, quand elle l’a vu à poil, offert et attaché les bras en l’air sous la tonnelle Alors j’ai été acheter une cravache, et tu vois le résultat.
— Et il est bi ?
— On travaille avec ma femme à sa soumission. Il progresse. Allons rapidement le féminiser, avec dessous féminins, robes, mini-jupes, porte-jarretelles, bas, hauts talons. Lui apprendre à vivre, à penser, à agir comme une femme. Le sexe ira avec, et nous lui ferons son éducation sexuelle avec les mecs, c’est le programme qui l’attend.
— Purée!!! Et maintenant que tu es "en couple" avec sa femme, que vas-tu faire ?
— C’est simple. Pendant quelques mois, séances de baises intensives elle et moi. Je veux qu’elle devienne véritablement accroc et dépendante de ma bite, et à mon avis c’est en bonne voie vue les pieds qu’elle prend quand on fait l’amour.
— Ensuite, je pense que je vais lui faire vivre diverses expériences libertines : trios hommes et femmes, avoir des amants d’un soir, amour entre femmes, partouzes, boîtes libertines, échangisme, saunas, et même pourquoi pas, quand elle sera bien "prête", gang-bang !
— Quel programme !!!! Quel pot tu as, mon salaud, de disposer d’une salope pareille !!
— Je peux te poser une question assez directe et intime, Daniel ?
— Mais bien sûr Laurent !
— Tu me parles d’expériences à lui faire vivre, notamment de trios hommes et d’amants d’un soir
— Oui ?
— Disons, sans te froisser, que si tu organises ça, je suis preneur tout de suite ! Un pareil canon de 34 ans dans mon lit, à 70 ans, ça ne se refuse pas !!
— Mais tu ne me froisses pas du tout, Laurent. C’est possible en effet ! A nos âges, nous sommes particulièrement vicieux et endurants, alors tout est possible
— Putain mais ça serait tout simplement magique !!! En plus, si tu aimes les scénarios érotiques, les situations ambigües, les exhibs, j’adore et peux t’en proposer !
— Avec grand plaisir, Laurent, suis preneur !!!
— Pour tout te dire, j’aimerais assez avoir cette bombe dans mon lit, à baiser à couilles rabattues ! Et comme suis veuf et tout seul, j’ai de quoi la remercier et la "gâter" : sorties, lingerie, fringues
— Une sorte de "papy-pervers".lol !
— Oui !! Tu as tout compris, l’ami !
— Eh bien ça roule ! Je réfléchis à ça !
— Au fait, au niveau schibre, tu es comment ?
— Rassure-toi, Daniel, j’ai ai une grosse également, et qui bande toujours bien ! Rien à voir avec le vermicelle du cocu-soumis !
— Et le cocu-soumis, il t’intéresse aussi, lol !
— Ben pourquoi pas ! Il a un beau cul et une bouche à pipes ! Alors il m’intéresse aussi ! Mais je préfère ta femme, bien sûr !
— Je me doute. Pour le soumis, il faut attendre un peu, qu’on le dresse à la bisexualité.
— Pour la baiser, tu penses que c’est possible quand ?
— Quelques mois, comme je t’ai dis, le temps de bien la connaître et de bien la défoncer intensivement. Sommes en février, je pense que pour mai-juin, ça devrait être possible.
— Et tu verrais ça où et comment, Laurent ?
— Je ne sais pas, où tu veux ! Chez vous, chez moi, je peux recevoir, à l’hôtel, dans la nature !!
— Comment ? Eh bien comme toi, baise intensive, pipes, pénétration, sodomie, éjacs, tout ce qui lui fera plaisir ! Suis très endurant également.
— J’en parle à Sandra dès ce soir. Ah, pour le soumis, il n’a jamais connu de mec. Ca te dirait que je te réserve sa bouche et son cul ? Ainsi lorsqu’il sera bien dressé, tu pourrais avoir le plaisir de le dépuceler bouche et cul !
— Oh ! Très volontiers ! Comme je t’ai dis en voyant les photos : il a une bouche à pipes, je suis sûr qu’il pompera comme une femme ! Il a aussi un beau petit cul, je ne te fais pas de dessin!!!!
— Eh bien, je te le réserve ! Tu seras son premier mec, Laurent !
— Super ! On va bien se marrer et bien tous en profiter !
Je pleure. Ce n’est pas possible, je n’ai pas bien entendu. Il va livrer Sandra à ce vieux, et me faire avoir une relation intime avec lui Je fonds en sanglots, étouffés par le bâillon
— C’est pas tout ça, Daniel, tu as vu l’heure ? 19 h 30 ! Je vais aller à la soupe !
Il se lève, serre la main à son copain.