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Blandine et les loups – Chapitre 18

Blandine et les loups - Chapitre 18



Blandine tenta vainement d’attendrir Bélial.

 Je vous en prie, Monsieur le démon, ne me faites pas mal.

 C’est à moi que tu parles ? C’est à moi que tu parles ??

Bélial avait pris la voix de Robert de Niro pour se moquer de la jeune fille, mais ça ne la faisait pas rire. Incapable de résister, elle se jeta aux pieds (fourchus) du démon et entreprit de lécher la matraque de chair qui dégorgeait un sperme gluant et nauséabond. Ses petites mains caressèrent les lourdes génitoires qui pendaient jusqu’au sol ; Bélial rugit et enfonça vingt bons centimètres de sa bite géante dans la bouche de la petite blonde avant d’éjaculer une quantité invraisemblable de semence. La pauvre Blandine s’étouffa en avalant le copieux breuvage qui emplit son estomac.

 Tiens, salope d’humaine, voici ta première ration de foutre. C’est un aphrodisiaque puissant qui va faire de toi mon esclave sexuelle sur Terre et en enfer. Quand je viendrai te voir, tu ne pourras te refuser ; et je viendrai souvent, seul ou avec des amis, remplir tes trous de semence. À compter de ce jour, tu es le vide-couilles des enfers, le sac à foutre humain des démons.

« Et voilà, se dit Blandine, fataliste. Je ne puis échapper à mon destin. Devenue salope par la grâce de mon père (paix à son âme), désormais me voici officiellement vide-couilles. »

Elle ne pouvait ignorer son ventre ruisselant qui réclamait d’être investi, sa poitrine arrogante qui appelait les caresses. Obligeamment, elle se tourna et présenta ses orifices, se cambrant autant qu’elle pouvait. Bélial présenta son rostre entre les lèvres intimes luisantes de mouille et investit puissamment le vagin bouillonnant de Blandine. Qui gémit puis hurla quand le rostre trouva sa voie dans la matrice étroite, puis plus loin encore, au-delà du possible humainement. Puis les hurlements changèrent de tonalité sous les coups de boutoir sans pitié du monstre : Blandine jouissait en s’empalant elle-même sur l’épieu géant. Bélial empoigna les lourdes mamelles et les écrasa entre ses doigts, précipitant l’infortunée jeune fille dans de nouveaux orgasmes avant de la remplir à nouveau de flots ininterrompus de sperme.

 Tu es ma chienne, maintenant. Quand je te sifflerai, tu accourras, prête à te faire saillir par tous tes orifices. Je te donnerai aux pires monstres de l’enfer qui te traiteront comme tu le mérites. Allez, écarte tes fesses à deux mains que je t’encule, esclave lubrique ! Tu en as envie, salope ?

 Oui, enculez-moi, Maître Bélial. Démolissez mon petit cul, venez… Ooh !

Blandine exposa crûment son vagin gonflé et rougi dégorgeant de semence, son anus béant déjà comme une bouche accueillante, aussitôt le démon se rua en avant. Son gigantesque engin s’enfonça jusqu’à la garde d’une seule poussée, si violente que Blandine hurla sans retenue. Mais ses paroles étaient sans équivoque :

 Allez-y, explosez mon cul, je suis à vous… Oh mon dieu !

 Ne blasphème pas, esclave. Tu appartiens au côté obscur maintenant.. Prends ça dans le fion, chienne ! Tiens, cousin Lioubovson. Tu viens voir ce que je fais de ta chérie ?

 Continue, Bélial. Je t’en prie ; tu montres à Blandine quelle sera sa position dans la hiérarchie : tout au bas de l’échelle, avec un statut inférieur à celui des chiens de l’enfer.

 Non, Liou ! Je t’en prie, je t’aime…

 Moi ausi, je t’aime. Mais le pacte m’oblige à t’offrir à ma famille, les démons ! N’aie crainte, grâce à la potion tu survivras aux épreuves qui t’attendent et tu me reviendras un jour, mais je te partagerai toujours avec Bélial et mes cousins. Ouvre la bouche et suce, ma chérie !

Incapable de refuser, la jeune fille crut défaillir quand, d’une violente poussée, Liou enfonça sa queue gonflée à bloc jusqu’au lien. Pour accueillir un tel calibre, ses mâchoires étaient à la limite de la dislocation ; incapable de respirer, le visage de la jolie ado vira au cramoisi. Ses yeux injectés de sang et pleins de larmes fixèrent le géant dont les yeux exprimaient joie et tristesse à la fois.

Il la laissa enfin respirer et vomir un flot de salive, caressant son front et la soutenant car Bélial la sodomisait à coups si puissants que tous ses membres tressautaient sans aucun contrôle. Puis le démon resta planté à fond et se vida longuement dans un cri bestial. La pire était que Blandine fut entraînée dans un nouvel orgasme qui la laissa privée de conscience. Abandonnée sur le sol, son ventre gonflé se vida sous elle d’un torrent de semence à l’odeur musquée.

Quand elle commença à remuer, ouvrant péniblement les yeux, Liou et Bélial discutaient paisiblement en buvant de l’eau à la bouteille.

 Tiens, elle revient à elle.

 Il faut dire que tu l’as bien secouée.

 Elle en verra bien d’autre, ton aimée. Debout, esclave. Montre ton corps. Regarde, Liou. De gros nichons, un beau cul, des lèvres faites pour sucer, des orifices accueillants.

 Je ne suis que ça, pour vous ? Je suis une jeune fille de dix-huit ans, je m’appelle Blandine…

 C’est faux ; tu es une simple esclave. Tu es nue et offerte, les trous débordant de foutre, les mamelles dressées devant des mâles, et tu viens nous dire que tu es une jeune fille ?

 Depuis que j’ai bu la potion de sa mère, je ne suis plus la même, c’est vrai. Je ne savais pas…

 Bon, ça suffit, coupa Bélial. Tu vas aller en stage dans les chenils de Moloch. Toi qui aimes les démons puissants et velus, tu vas être servie. Tu es prête ?

 Je suppose que je n’ai pas le choix.

 Détrompe-toi, on a toujours le choix, avec nous. Mais l’alternative est souvent pire.

 Ouais, le choix de Blandine, murmura-t-elle. Je suis d’accord, bien sûr. De salope, me voici devenue esclave et vide couilles, ce doit être une promotion. Sûrement.

 Allez, file prendre une bonne douche, lui dit Liou.

 Oui, vu mon état, je pense que c’est une bonne idée.

Récurée et séchée, Blandine revint dans la chambre où les deux démons discutaient toujours dans une langue inconnue. Elle s’approcha timidement d’eux.

 Je suis prête.

 Bien, répondit Bélial. Au revoir, Liou. Je te tiendrai informé des aventures de l’esclave.

 Au revoir, Blandine, lança Liou. Les bêtes de Moloch vont te plaire, je pense. Tu devrais apprécier de te faire saillir par des monstres pareils.

 Je l’espère, Liou, à bientôt ! répondit Blandine en haussant les épaules. Allez, Bélial. Le devoir m’appelle, si je veux que ce damné pacte soit scellé.

La pièce disparut soudain et Blandine se retrouva sans transition transportée dans un tourbillon de ténèbres. Puis elle retrouva la sensation d’un sol sous ses pieds nus, un sol pavé de pierres lisses. Elle était dans une pièce gigantesque au plafond voûté, éclairée par de nombreuses fenêtres si haut placées qu’elle ne pouvait voir l’extérieur. Une grande porte s’ouvrit en face d’elle, puis une masse sombre et poilue entra. Suivie d’une autre, d’une autre encore… La première bête se redressa, bientôt imitée par les autres. Elles formèrent un arc de cercle devant la jeune fille qui frémit devant leur aspect redoutable. « Ah bravo ! » marmonna-t-elle.

Debout, ils mesuraient près de trois mètres, leurs têtes évoquaient gorille, chien ou bouc, mais tous étaient pourvus de cornes recourbées. Blandine constata qu’ils commençaient à bander ; comme chez Liou, les verges émergeaient d’un fourreau de poils. Le premier à être entré arborait maintenant une virilité si longue et si épaisse que la petite blonde frémit d’appréhension. Pourtant, son ventre réagit positivement en produisant un flot de cyprine. Elle franchit la distance qui la séparait du démon et posa sa petite main sur le membre luisant à l’odeur forte.

 Bonjour, je m’appelle Blandine et j’ai dix-huit ans. Je suis ici pour vous servir de vide couilles, semble-t-il. Allez, gentils toutous, montrez-moi si vous savez vous servir de vos gros machins. Je suis prête.

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