Le moment tant attendu arrive. Karine a mis une petite jupe d’écolière, des bas résille noirs, des talons hauts, un corsage blanc dilaté par sa poitrine opulente et qui laisse entrevoir un soutien-gorge noir. Surprise ! Elle a mis une paire de lunettes qui lui donne un air vraiment coquin. A la FAC les garçons disent : « Femme à lunettes, femme à quéquettes »
14h30, le carillon de la porte d’entrée fait entendre sa douce musique. C’est moi qui ouvre avec Karine à mes côtés.
Très étonnée à la vue de Liliane drapée dans un manteau trois quarts léger, Karine pique un fard, devient toute rouge et bredouille quelques mots.
— Mais, ben, ben… Liliane ?
Julien prend la parole :
— Oui, c’est ma sur. Quand j’ai su qu’elle était bi et surtout lesbienne, je lui ai raconté notre rencontre chez vous et votre demande. Dans un premier temps elle ne m’a pas cru mais lorsque j’ai insisté en lui expliquant votre ardeur dans les ébats, elle a absolument voulu venir vous rencontrer. Vous êtes choquée ?
— Non, surprise. Alors bonjour Liliane, on se fait la bise ?
Ce fut plus qu’une bise, les deux femmes se sont embrassées brièvement sur la bouche, mais assez longtemps pour que les langues s’entrelacent.
— Vous êtes mignonne Karine dans cette tenue de jeune fille. J’aime beaucoup.
— Merci Liliane mais il serait plus sympa de nous tutoyer.
Subrepticement, Liliane soulève un côté de la jupe de Karine.
— Très joli porte-jarretelles, tu ne mets pas de culotte ?
— Non, je me suis préparée pour notre après-midi.
— Je trouve la touffe de ton pubis très excitante.
— Et toi Liliane montre-moi.
Liliane ouvre son manteau. Elle est nue dessous, soutient gorge rouge, string assorti laissant également deviner une épaisse toison brune, avec un porte-jarretelles soutenant des bas de soie noirs qui émergent d’une paire de cuissardes du plus bel effet.
— Ouah que tu es sexy, je dirais même désirable, les garçons diraient bandante.
Florent rompt les présentations.
— Allez les amis, passons au salon pour le café, Maman, ou plutôt Karine tu peux nous servir. Je vais ouvrir une bouteille de champagne pour l’occasion. Les filles sur le canapé et nous dans les fauteuils. Les filles avec les filles et les garçons avec les garçons.
— Ah bon ! Vous vous mélangez aussi les mecs ? demande Liliane.
— Non, c’était une façon de parler.
Karine nous sert donc le café et chaque fois qu’elle se baisse nous offre une vue splendide sur son cul et la touffe qui dépasse. A son passage, je ne peux m’empêcher d’esquisser une caresse.
— Pas touche Florent c’est pas pour toi aujourd’hui ou un peu plus tard.
Comme disait Coluche dans un de ses sketchs « je reste dans mon slip couille croisé de Playtex »
C’est moi qui sers le champagne, ce qui me permet de m’approcher de Liliane dont le manteau s’est ouvert quand elle s’est assise et de mater sa poitrine qui ressemble à celle de Myriam.
— Est-ce que je peux te caresser les seins Liliane ?
— Je serais tentée de te dire comme Myriam mais si ça te fait plaisir oui ?
Je me place derrière elle et entreprends un bon massage. Je sens que je bande très fort. Liliane penche la tête en arrière pour me regarder et j’en profite pour coller ma bouche contre la sienne et lui rouler une pelle d’enfer.
Karine s’est assise à sa place et commence à caresser les cuisses de Liliane. Sa main droite monte jusqu’au string et ses doigts s’insinuent sous le morceau d’étoffe.
— Tu mouilles déjà ma salope ?
— Oui, c’est bon les caresses de Florent et ta main m’excitent.
— Florent, laisse-nous maintenant, vous viendrez avec Julien quand on vous le dira. J’ai trop envie de Liliane.
— Moi aussi Karine, j’ai envie de ta chatte, viens que je te suce.
Les deux femmes se mettent en position de 69 les jambes bien écartées. Au bout d’un moment de broutage, Karine qui est dessus, se relève et vient plaquer sa chatte contre celle de Liliane elles se frottent frénétiquement. Le string de Liliane est littéralement inondé de mouille.
— Florent donne nous le double dong tu vas piloter la télécommande.
Chacune s’enfile une extrémité du jouet et Florent lance le processus.
— Ouah c’est merveilleux Karine, tu me baises, j’ai l’impression que mon con va éclater tellement ça vibre et ça grossit.
— Pareille pour moi, j’ai rêvé toute la nuit à cet engin et là je sens que je vais arriver au septième ciel. Mets l’intensité au maximum Florent.
Julien très excité a tombé son pantalon et se caresse énergiquement. Il s’approche des deux gouines et a envie de caresser sa sur.
— Tu ne devrais pas faire ça Julien, je suis ta sur mais tu as une si belle queue que j’ai en vie de la sucer, après tout, Florent baise bien sa mère.
Florent qui a également tombé son pantalon intervient :
— Vos deux chattes sont pleines mais je suis certain que vos culs appellent nos bites. Choisissez.
— Je vais essayer la bite de mon frère, ça m’excite je n’aurais jamais pensé en arriver là. décide Liliane.
— OK, Florent viens me bourrer le cul comme tu sais si bien le faire et lâche toute ta purée dans mes entrailles.
— Toi aussi frérot, fait moi jouir du cul.
Les va-et-vient acharnés avec le double dong qui vibre plus que jamais, et les profondes pénétrations des deux queues ne tardent pas à faire monter la pression. Les deux salopes éclatent en même temps dans un orgasme d’enfer. Les garçons se vident dans les culs respectifs.
Après s’être séparés, hommes femmes et femmes femmes, Myriam qui est devenue une salope experte demande à Liliane de venir faire couler dans sa bouche le sperme qui sort de son cul.
— Toi aussi Myriam garde bien celui de Florent et tu viendras aussi me l’expulser dans la bouche.
— Tu vois julien nos filles sont de vraies putes. Mais tu bandes encore ? Je peux toucher ?
— Oui si tu me laisses toucher la tienne.
— OK mais tu es si raide que j’ai envie que tu me la mettes dans le cul.
— Peut-être qu’aujourd’hui on va en rester là Florent, ce sera pour une prochaine fois, je ne suis pas encore prêt psychologiquement.
— Comme tu veux Julien, asseyons-nous et buvons notre coupe de champ.
Les deux filles s’étant rassasiées de sperme, se joignent à nous pour terminer la partie.
Nos invités se rhabillent et nous nous quittons en promettant de recommencer.
— Alors Ma salope de mère as-tu eu ce que tu souhaitais ?
— Oui Florent c’était très bon, j’en suis encore tout excitée.
— Mais moi si j’ai eu ton cul, je n’ai pas eu ta chatte, donne-la moi que je te suce.
— Tu es terrible Florent mais je veux bien jouir une fois de plus vas-y suce moi le con et branle-moi.
Pendant que je lui aspire le clito, je lui caresse le cul d’une main et me branle de l’autre.
— Je monte Florent je vais partir ne t’arrête pas. Ahhhh c’est bon. Mais je vois que tu te branles, viens jouir dans ma bouche même s’il ne te reste pas trop de sperme.
Effectivement, l’émission est faible mais Myriam en profite pour me sucer à fond le gland et le mordiller.
— Bon, il est temps d’aller se reposer, je n’ai pas faim pour l’instant mais je préparerai un repas frugal tout à l’heure.
Je monte dans ma chambre pendant que maman se repose sur le canapé.
Après une bonne heure de sieste, je redescends et là, surprise, je vois Myriam se trémousser sur le canapé, je m’approche, elle a les yeux fermés et s’est introduit le double dong une extrémité dans la chatte et l’autre dans son cul. Sentant ma présence, elle ouvre les yeux et me demande la télécommande pour mettre le mécanisme en marche.
— Tu es insatiable, une vraie pute vicieuse.
— Oui, j’assume mais tu es bien content de m’avoir découverte dans les toilettes la première fois et depuis tu t’es bien amusé avec ta pute.
J’embraye le mécanisme au plus fort en vibration continue et grossissement maximum.
— Arrête, arrête, c’est trop.
— Non salope, tu vas souffrir de plaisir j’espère, je vais te rendre maso.
Myriam fait de véritables bonds de soubresauts sur le canapé en m’implorant d’arrêter. Je lui maintiens les mains pour qu’elle n’arrache pas le dong et dès qu’elle a explosé en orgasme, je coupe la télécommande. »
— Arrêtons Florent, je suis épuisée.
— C’est un avant-goût de ta soumission. Chaque fois que tu te branleras en cachette tu seras punie sauf si je ne suis pas là mais tu devras me raconter à mon retour.
— OK, je t’ai dit que j’aimerais essayer d’être ta soumise.