Aujourdhui, nouvel emploi. Jai été engagé dans une maison dédition. Tout se passait bien jusquà ce que je découvre mon patron, en vérité je ne le découvrais pas vraiment, je le connaissais depuis le lycée et lui avais un jour déclaré ma flamme sans envisager les conséquences de ma révélation. Il mavait complètement ignoré et sétait même autorisé à rire de moi. Son sourire moqueur mavait complètement anéanti, au point que jaie dû changer détablissement et maintenant voilà quil se trouvait être mon boss Quavais-je donc fait pour mériter cela ?
Il mavait accueilli plutôt chaleureusement et javais donc pensé quil ne mavait pas reconnu. Ma première journée se déroulait plutôt bien, bien que mes pensées naillent pas du tout vers mon nouveau travail mais vers lui, cet homme aux cheveux épais et noirs, au regard mystérieux et à la lèvre pendante. Lattirance quil avait exercée sur moi plus jeune navait pas complètement disparue. Jessayais à tout prix de me concentrer sur mon boulot mais je ne réussis à rien, à cause de cela javais pris du retard dès mon premier jour et que javais dû rester plus longtemps après les autres, avec mon nouveau patron comme par hasard Ce qui ne maidait pas du tout dailleurs. Jétais aux toilettes en train de me passer de leau sur le visage quand je remarquais quil était juste derrière moi.
« Aurais-tu oublié qui je suis par hasard, me lança-t-il.
-Pardon… ?
-Je sais que tu te souviens de moi, jai vu comme tu me regardais toute la journée.
-Mais non, bien sûr que non ! mécriais-je tout en rougissant.
Il se rapprochait dangereusement de moi, il rapprocha sa bouche de mon oreille pour me chuchoter :
-Tu maimais à lépoque et tu maimes encore, jen suis persuadé.
Je le repoussai violemment. Pour qui se prenait-il ?
-Je le sais, rien ne sert de le nier.
Il sapprocha rapidement de moi, me prit le bras et membrassa, introduisant sa langue dans ma bouche. Ce contact menflamma tout dun coup, mon corps se fit fiévreux et joubliais complètement la souffrance quil mavait fait endurer dans le passé.
-Tu vois, tu maimes, sinon tu me repousserais, me dit-il en me léchant langoureusement loreille.
Je le poussais brutalement et sortais des toilettes mais il était plus fort, il me rattrapa par les épaules puis descendit sur mes hanches et me porta pour me déposer sur un des bureaux de mes collègues. Il ny avait personne pour me venir en aide mais étrangement, je trouvais ce moment très excitant
Il plaqua sauvagement ses lèvres sur les miennes et déboutonna ma chemise, jétais torse nu devant lui, jaurais aimé le déshabiller aussi mais je ne voulais pas montrer trop de consentement pour linstant. Sa langue descendit sur mon cou avant datteindre mes tétons, il les suça longuement tandis que ses mains défaisaient ma ceinture et dévoilaient mon pénis en érection. Je me décidais à prendre part au jeu et le déshabillais fébrilement. Il me lança un regard langoureux et satisfait. Il avait gagné mais à cet instant, ma défaite mimportait peu. Nous continuions à mélanger nos salives quand il prit en main mon appareil génital, dur. Je poussais un gémissement qui en disait long sur la jouissance quil me procurait. Je pris en main son pénis et nous commençâmes à faire des va et viens. Sa bouche se décolla de la mienne pour aller rencontrer mon engin. Il lengloutit tout dun coup et le suça de tute part. Je le repoussai un peu et je lui faisais de même.
-Passons aux choses sérieuses, me dit-il dune voix rauque.
Jétais encore vierge de lanus et jespérais juste quil prendrait son temps avant de me pénétrer. Je le lui fis comprendre dun regard. Il déposa un petit baiser sur mes lèvres et me fis lever et mappuyer sur le bureau. Il se positionna derrière moi et commença à me lécher lanus avant dy enfoncer un premier doigt, un deuxième puis un troisième. Il commença à faire des vas et viens et je gémissais de bonheur. Tout à coup je sentis sa verge contre mon orifice dilaté Il lenfonça doucement en moi. Cétait sans doute une des plus belles sensations de ma vie. Un pur bonheur. Une fois que je fus bien à laise avec son pénis dans lanus il commença à me pilonner.
-Je peux ? me demanda-t-il.
Avant que je puisse comprendre de quoi il sagissait il avait joui en moi.
-A ton tour, mais si tu veux que je te satisfasse tu dois me dire que tu maimes. Je me tournais vers lui et lui murmurais : Je taime, finissons-en.
Il prit ma place et je pris la sienne. Il avait sans doute lhabitude de se faire pénétrer car son orifice était déjà bien ouvert, jy faisais entrer dun coup mon anguille et commençais ma houle, il ne me fallut pas longtemps avant dexploser en lui.
Il se retourna vers moi, membrassa tendrement et me chuchota : « Moi aussi je taime mon amour ». Nos baisers durèrent encore un moment et nous rentrâmes chacun de notre côté. Je ne savais pas vraiment comment notre relation allait évoluer étant données nos positions au sein de lentreprise mais ce qui était clair était que cette baise était de loin la meilleure de ma vie.