Je me demandai toute la semaine ce que pouvait bien être le cadeau de Maîtresse Caroline, ce cadeau qui semblait leur donner tant de plaisir. Le jour venu, j’avais revêtu ma tenue de pute, talons aiguilles, mini-jupe, bas résilles et lingerie assortie lorsqu’on sonna à la porte. Ma femme me dit d’ouvrir. Je n’aimais guère cela car avec ma tenue, j’étais très gênée en me trouvant devant quelqu’un. C’était un homme grand, très noir de peau et assez costaud. En me voyant, il eut un grand sourire.
— C’est toi la pute? On m’avait prévenu. T’es pas mal arrangée mais ce n’est pas pour toi que je viens; j’ai une lettre pour Brigitte.
J’appelai mon épouse qui vint en se dandinant vers l’homme.
— Bonjour, dit-elle d’une voix suave, c’est vous le cadeau?
— Oui, Caroline m’a contactée afin que nous passions quelques temps ensemble, mais…l’autre doit-il assister?
— Oui c’est mon esclave; je l’attacherai au radiateur avec des menottes afin qu’il ne nous dérange pas.
Je ne comprenais pas très bien la situation. Brigitte m’ordonna de la suivre dans sa chambre, m’ôta ma jupe et mon string ne laissant apparaître que la cage qui enfermait toujours mon sexe. Elle attacha une menotte à mon poignet et l’autre au radiateur. J’avais une main libre mais je ne pouvais évolué que dans un espace extrêmement restreint. Puis elle sortit en laissant la porte ouverte. J’entendais des bruits dans le salon, des rires, des verres qui s’entrechoquaient, puis un silence ponctué de petits cris poussés par ma femme. Un bon quart d’heure se passa ainsi sans qu’on fasse attention à moi, puis ma femme vint dans la chambre. Elle était nue et tenait l’homme par la main; il était nu lui aussi et son sexe était énorme. Ma femme se mit à genoux devant lui et commença à le sucer avec vigueur. Elle engloutissait parfois complètement cette queue jusqu’au fond de sa gorge, puis la ressortait, la léchait, lui léchait les couilles en le caressant langoureusement. Une jalousie subite m’envahit complètement. Que ma femme gouine avec Maîtresse Caroline ne me dérangeait pas et ne faisait naître en moi aucune jalousie, mais cet inconnu, dans ma chambre, que ma femme regardait amoureusement, cela je ne pouvais pas le supporter. Lorsqu’après lui avoir masser les seins et le clitoris, il revêtit un préservatif et la pénétra, je ne pus plus me retenir.
— Arrête Brigitte, ça suffit, le jeu est terminé; je ne peux pas supporter ça!
Elle se dégagea du sexe de l’autre, se leva, vint vers moi et me gifla violemment par deux fois.
— Mais pour qui tu te prends? Crois-tu avoir encore des droits sur moi? Avec ta ridicule petite queue, tu n’es jamais arrivé à me faire jouir; alors aujourd’hui que j’ai un vrai mâle qui me baise comme j’en ai toujours rêvé, tu viens te mêler de quoi? J’ai voulu que tu sois présent pour que tu comprennes que tu n’es plus rien, qu’une lopette, que tu ne comptes plus. Tu es mon esclave et tu es cocu. Regardes comme il me baise bien.
Elle me tourna le dos, se remit à sucer l’homme puis s’empala littéralement sur lui. Je n’en pouvais plus et je me mis à pleurer ce qui ne fit qu’exciter davantage ma femme. L’homme la prit en levrette; elle hurlait de plaisir et moi je pleurais de honte et de dépit.
Puis elle cria à l’homme :
— Viens encules-moi…encules -moi profond. Fais-moi jouir du cul. Oui viens, fais-moi mal.
Elle cria de douleur lorsque l’homme lui mit sa queue entre les fesses. Puis après quelques va-et-vient, son cri se transforma en râle.
— Oui baises-moi…oh c’est bon…encore.
Puis l’homme se redressa, ôta brutalement le préservatif et se masturba devant le visage de ma femme. Au moment de l’éjaculation, elle enfouit la queue dans sa bouche et avala tout. La sainte-nitouche que j’avais connu était devenue une salope dépravée. L’homme se releva et vint vers moi.
— Toi maintenant, puisque tu nous a dérangé, tu vas me nettoyer.
Je ne pouvais guère bouger et presque de force, il mit sa queue dans ma bouche pour m’obliger à le lécher jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune trace de sperme. Ma femme me regardait avec mépris.
L’homme s’amusa ensuite à jouer avec ma cage.
— Avec une queue pareille, tu n’as sûrement pas faire jouir beaucoup de femmes. Ca m’a fait plaisir de te cocufier devant toi. Ta femme ne te mérite pas; c’est un homme qui lui faut, pas un travesti ridicule comme toi.
Je pleurais de honte. Ma femme se leva, toujours nue et sortit en me crachant au visage. Je les entendis ensuite déboucher une bouteille de champagne. Puis elle se remit à lui demander de la baiser et les cris soupirs et les petits cris recommencèrent; cela me faisait mal mais rien n’y faisait; Quand l’homme partit, ma femme vint me détacher.
— Lui au moins c’est un mâle! Toi tu n’es qu’une petite pute. Dommage, j’y pense trop tard; j’aurais dû lui demander de te baiser aussi…mais au fond, je crois qu’il n’aurait pas voulu. Qui voudrait d’un impuissant habillé en pute, la queue ou ce qui te tient de queue enfermée dans une cage en plastique. J’espère que tu as eu du plaisir à me voir et m’entendre jouir. J’espère que tu t’es masturbé dans ta cage…tu as éjaculé…mais non ma parole. Ca ne te fait même bander de voir ta femme se faire baiser par un autre. Allez fiches le camp, vas dans ton antre; laisses-moi rêver aux moments divins que je viens de vivre.
Ce soir là, j’ai vraiment perdu ma femme…