Incroyable motivation
"Tu fais gagner l’équipe et tu me prends où tu veux!!!!"Lance Julia, la petite blondinette très sexy des majorettes de l’équipe de football, qui a récemment teint et lissé ses anciens cheveux bouclés en couleur platine, car elle a toujours voulu être la plus coquette de la faculté.
En face d’elle et seul, bouche béante, assis sur un banc réservé aux entraineurs, qui sont déjà dans les douches avec tous les autres, il lui fait répéter ce qu’elle vient de dire car il en tombe des nus jusqu’à cesser de défaire les nouds de ces baskets qui le serrent trop.
"Tu fais gagner l’équipe et tu me baises…où et quand tu veux!!! "Répète-t-elle nerveusement car elle avait déjà eu beaucoup de mal à dire cela puis impatiente et quelque peu gênée de son silence estomaqué, elle agite et tord ses hanches de droite à gauche.
"Quoi!!!Il te faut un dessin Mikey…bon je dois y aller…tchao!!! "Finit elle exaspérée de son émotion silencieuse et elle trottine vers les douches dans sa tenue de supportrice qui laisse très souvent apparaitre ce qu’elle porte dessous ce jour où elle a un shorty tanga sport blanc tandis qu’elle dénoue sa grande queue de poney pour la fouetter dans l’air. Son cour bat très vite, elle entre dans les douches, se déshabille et rejoint ses amies qui se lavent puis, elle entend discrètement deux majorettes chuchoter.
"Si si je te jure Samatha, il a une trop bonne bite avec des boules hummmm je te raconte pas, il te fait sortir les yeux de la tête!!!"
"Arrêtes s’il te plait Christine…tu m’excites à dire ça…tu devrais plutôt m’arranger le coup avec lui!!! "Échangent-elles avant d’arrêter net leur chuchotement lorsque Julia entre dans les grandes douches. Sa beauté nue fait à chaque fois siffler ses meilleures amies tandis que les autres la jalousent de plus en plus car sans faire de poitrine siliconée, elle pourrait remplacer dans les plans où l’on ne voit pas son visage, le corps Pamela Anderson, et pour couronner le tout, sa touffe intime est des plus blondes naturelles avec peu de poil.
Puis ignorante encore une fois de ce qu’elle a entendu, elle s’installe sous l’eau et souffle de soulagement, elle lui a proposé, ça y est.
Une semaine avant cette proposition indécente, le directeur de la faculté qui est un fan de football, lors d’une réunion improvisée sur le stade, a promis à chacun des joueurs et supportrices que s’ils remporteraient le trophée, ils auraient un passage assuré en fin d’année et cette annonce faisait immédiatement chuchoter tout le monde entre eux.
Retour à Mickael surnommé Mickey, qui n’est rien d’autre que d’un an le jeune frère de Julia, qui couché avec presque tous les membres des supportrices car, lorsqu’il le désire, il est aussi l’un des meilleurs joueurs et marque facilement des points, puis à la différence de sa sour, qui n’a jamais voulu mélanger sport études et sexe, il ne lui avait jamais caché son désir de la sauter au moins une fois, une seule fois pour découvrir ce que l’on peut ressentir lors d’une relation interdite et incestueuse, mais Julia, très interloquée à sa première proposition de massage dans sa propre chambre d’université, lui a fait simplement comprendre qu’elle n’accepterait jamais cela. Julia n’est pas du tout frigide pour s’envoyer en l’air avec un mec qui lui plait mais de là à se faire sauter par son trop mignon et charmant propre jeune frère qui a même une réputation de sacré baiseur, là non.
Cette proposition de massage restait un secret entre eux, cela n’a en rien brisé leur lien car le lendemain il passait la voir pour autre chose comme deux frère et sour qui se taquinent. Par la suite d’un soir arrosé, après une soirée d’étudiants, il l’invitait d’une façon saoule et rigolote à passer la nuit chez lui prétextant qu’elle n’aurait pas besoin de se lever le matin même de bonne heure car elle logeait encore chez leur mère pour ne pas qu’elle reste toute seule du fait qu’elle avait divorcée mais même saoule, elle était lucide et voyait bien le pétillement inhabituel dans ses yeux qui dévoraient son corps moulé dans une salopette noire ceinturée de boucles argentées donc elle lui répondait d’un simple non du doigt tandis que son frère imitait le chien battu et finissait plus tard la soirée avec une des majorette que Julia n’avait pu s’empêcher de la reluquer de la tète au pied lorsqu’ils étaient partis vers sa chambre.
Julia tenait plus que tout à réussir ses études et travaillait beaucoup pour y arriver, elle était sûre et certaine de passer l’année de faculté et elle aurait pu se passer de cette victoire mais comme son jeune frère, ils détestent perdre et font plus qu’il n’en faut parfois pour y arriver tout comme ce jour mais elle voulait secrètement terminer sa dernière en fanfare.
Mickey n’a jamais donné de réponse à sa sour mais leurs regards en disaient très long. A l’entrainement, elle faisait sa gymnastique et croisait parfois ses yeux alors qu’elle était pliée entre ses deux jambes écartées puis ils secouaient leurs têtes et souriaient bêtement. Chez leur mère, rien n’aurait pu penser que quelque chose se concocte entre eux, un frère et une sour exemplaires.
Deux mois plus tard, suite aux victoires successives dans des cris hystériques de joie pour les majorettes, Mickey fixait durement sa sour dans les yeux qui tenait fermement son regard et les murs brisaient le moment qui faisait fourmiller leurs bas-ventres.
Et puis le coup de sifflet final "six à un!!!" Désigne l’arbitre pour l’équipe de Mickey qui se fait ruer dessus par ses collègues car de sa tête et de ses deux pieds, il a marqué cinq buts en fusillant Julia à chaque fois dans les yeux qui sautillait d’encouragements avant de cracher sur le sol puis de remettre le couvert pour marquer un autre but et à la fin du match, il se retrouvait couvert de ses collègues qui le remerciaient tandis qu’il essayait de fixer le regard sérieux de sa sour ainée puis confiant il allait vers elle.
"A l’hôtel, dans ma piaule ou chez la maman!!!" Lui chuchote-t-il rapidement entre deux bises de félicitations puis il n’eut pas le temps de s’éloigner qu’elle le rattrape par le bras et lui répond dans un même chuchotement "La maman n’est pas là tout le week-end!"
Scotché, il aurait voulu dire quelque chose mais Julia sautille déjà vers les autres joueurs pour les féliciter.
Dans les douches, les types hurlent de joie car mauvais ou bon étudiants ils passent et il n’y a que Mickey qui bande comme un âne, l’eau froide ne calme rien et ses amis le taquinent en disant qu’il a plutôt intérêt à se branler ou se taper une grosse chaudasse car son énorme bite ne rentrera pas dans son froc puis il va pourtant difficilement le coincer car le week-end est dans deux jours et ce sont bien les jours les plus long de sa vie. Pas une nouvelle de sa sour, pas d’amie pour se soulager et il s’interdit de branlette.
"Allo…maman, je passe ce soir!!" Appelle-t-il chez sa mère espérant peut-être que sa sour décroche le téléphone.
"Ok comme tu veux mais je ne serai pas là…mais je pense que ta sour sera là…. bye mon fils!!" Raccroche il apprenant que leur mère passe le week-end entier chez leur tante célibataire aussi qui habite à cent bornes de là puis son adrénaline monte.
"Wow pas possible….c’est le grand soir!!" Se murmure-t-il car l’attitude muette de Julia ne présage rien de bon mais il se prépare tout de même à marquer le coup et s’habille le plus chic possible, se coiffe bien et achète quelques roses aux différentes couleurs.
"Ding dong!!!" Sonne-t-il chez leur mère car il a trouvé la porte verrouillée et il sonne à nouveau "Ding don!!!"
"Oui oui cool je suis là, j’arrive!!!" Frissonne-t-il à la voix de sa sour qui déverrouille et n’ouvre pas le loquet de sécurité pour voir qui est là et le Ô énorme de sa bouche maquillée soigneusement de gloss rouge tandis qu’elle s’est faite au des yeux, prolongés et maquillés de noir, une frange droite qui étonne aussi Mickey de la surprendre puis soudain elle referme brusquement la porte.
"Déjà là Mickey!!! Donnes moi cinq minutes…je ne suis pas tout à fait prête!!!" Dit elle alors qu’elle est plus que préparée car dès que leur mère est partie, elle s’est vite changée comme une wonder woman mais le stress est soudain trop grand pour elle car le récent sourire coquin de son jeune frère l’a désarmée et pourtant elle est dans ses hauts talons noirs, sa plus courte des jupes roses qui gaine ses hanches larges et comprime davantage ses fesses déjà serrées et habillées d’un string ficelle assorti, sans compter du haut blanc serré qui tient d’une seule bretelle et qui forme sa belle poitrine en deux obus presque nus par l’immense décolleté.
Et voilà encore les cinq minutes de sa vie les plus longues, il sonne et sonne à nouveau mais rien, la maison est silencieuse, il se dit que cela n’était que du bluff mais il veut en avoir la certitude car même s’il n’a vu que son visage maquillé, il a un espoir donc il connait les lieux et passe par derrière, trouve le double des clé caché et revient ouvrir la porte, il perçoit de la musique venir de sa chambre, il verrouille à nouveau la porte, prend une grande inspiration et monte la rejoindre. Sa porte est grande ouvert puis il la voit assise et entièrement habillée de peu d’habits révélateurs à quelque chose.
"Salue Julia!!!" Surprend il sa sour qui sort sa tête de ses mains et qui tire immédiatement sa jupe vers le bas.
"Mais…comment tu es entré!!!!" Se lève-t-elle brusquement les doigts toujours accrochés à sa jupe et se tournant comme soudainement devenue timide même à la vue des roses multicolores qu’il lui tend.
"Non Mickey….on ne devrait pas…je suis si désolée…je ne me comprends pas (sniiif) excuses moi!!!" Dit elle tous bas avant de presque pleurnicher de se sentir plus que stupide car elle a soudainement pris conscience des conséquences futures.
Toujours dos à lui, elle n’entend aucune réponse de sa part mais seulement comme le bruit d’un déshabillement et soudain elle voit passer au-dessus de sa tête un tissu qui se révèle en tombant devant ses pieds talonnés être son caleçon blanc taché d’humidité.
"Hurg!!!!! Est-ce que tu es nu Mickey?" Demande-t-elle timidement sans se retourner.
"Non Julia…j’ai encore mes chaussettes!!!" Plaisante-t-il espérant décoincer sa sour ainée qui ricane nerveusement avant de tourner le plus lentement du monde et de prendre quelque chose pour appui car de sa longue et grosse bite décalottée palpitante et érectile, un long filet de sécrétions finit sa descente sur le sol et frome un dôme de jus transparent. Julia halète plusieurs fois.