Ceci est une histoire vraie. Professionnellement, je suis directeur et j’ai l’habitude de diriger les autres. Sexuellement, j’ai développé le contraire Plus je me sens soumis voire humilié, plus j’aime. De plus, je suis un véritable accro aux odeurs de mâle en chaleur. Peu importe la partie du corps dont on parle, plus ça sent le mec, plus j’aime !
Marre des site de rencontre qui n’apportent jamais rien, ou que très peu, je me décide à passer une petite annonce, simple, mais efficace : « soumis, accro aux odeurs mâles cherche un mec dominateur, chaud, vicieux et imaginatif pour plan unique ou plans réguliers. Peu de tabous ». Une réponse intéressante ne tarde pas à arriver : « ton annonce m’intéresse. Je cherche un bon larbin régulier ».
Quelques échanges par mail, puis par texto. Et un plan comme je les aime se met en place. J’ai un nouveau maître, qui veut m’utiliser à sa guise, il cherche un vrai larbin nettoyeur qui ne rechigne pas devant le travail. Quand je lui dis ok, il me pose le "décor" : on est dimanche, on se voit le mercredi soir après son entraînement de boxe thaï. Il ne prend plus de douche à partir du mardi matin, garde son boxer 24h/24 à partir de lundi matin. Chaussettes idem, les mêmes à pâtir du lundi. Quand je lui ai dit : "ha oui quand même", il me répond que c’est ce que je veux et que j’allais déguster. Et donc une seule consigne pour quand j’arrive : il ouvre la porte, sans un mot et moi pareil silence, je le suis dans le salon, il s’assied dans le divan et moi à genoux devant lui, j’attends.
J’arrive donc le mercredi soir, le cur battant. Je sonne La porte s’ouvre, et le mec n’a pas menti. Bien bâti, 1m86, 91 kg habillé complètement sport, survet, TN aux pieds. J’adore ! J’entre, la porte se referme. Il passe devant moi, sans un mot, je le suis. Il s’assied et je me mets à genoux, devant lui, mains derrière le dos et j’attends.
Pendant quelques minutes, il me regarde, en se caressant le paquet, sans dire un mot. Une situation qui m’excite et me met mal à l’aise en même temps. Au bout de ces quelques minutes à me regarder sans rien dire, il regarde sa montre et me dis que j’ai 20 secondes pour me mettre à poil, avec mes vêtements pliés correctement sur le côté. Puis il me dit : " allez go !"
Je me dépêche, je ne veux pas le décevoir ! Quand je suis revenu à genoux, il me dit : « 42 secondes. 22 de trop, pas bien. » Il met ses pieds sur un pouf, me montre ses Nike et me dit simplement : « allez, au boulot ! je les veux propres ! ». Et donc j’obéis, je lèche. Quand je crois avoir fini, il me dit : « on avait dit partout, donc c’est partout ». Donc je m’occupe aussi de ses semelles.
Quand j’ai assez léché à son goût, il me dit de lui enlever ses Nike en défaisant les lacets avec les dents. Quand c’est fait, il me fait coucher sur le sol sur le dos, me dit qu’il a envie d’une cigarette et que je peux profiter pendant ce temps là. Il met ses 2 pieds sur mon visage le creu des orteils sur le nez et je reste comme ça le temps qu’il fume sa cigarette. Bien que l’odeur à travers ses Nike me le laissait imaginer, je ne peux que remarquer qu’il a tenu sa promesse… j’en prends vraiment plein les narines.
Quand il a terminé sa clope, il reprend le pouf, met ses pieds dessus et me dit : « continue ton travail larbin ». Je veux, tout naturellement enlever ses chaussettes, mais je me prends une claque à l’arrière de la tête : « je ne t’ai rien demandé ! C’est nouveau, un larbin qui prend des initiatives ? Je vais t’apprendre à obéir ! ». Il se lève sans ajouter un mot, me laissant planté là, à genoux. Quand il revient, il s’assied face à moi, me montre deux pinces à linge qui viennent direct se poser sur mes tétons et me dit : « au besoin, il y en a encore d’autres ». Il s’installe à nouveau et me redit : « allez, fais la lessive ». Je comprends donc ce qu’il attend, que je lèche ses chaussettes, qui ne sentent pas la rose. C’est avec les tétons serrés par les pinces que j’entreprends de bien lécher ses chaussettes. Il me laisse lécher et savourer pendant de longues minutes. Quand il enlève lui-même ses chaussettes, il me dit « putain, tu me les a bien trempées ! » et il me claque les joue avec.
« Pour tout, ce sera pareil : d’abord, puisque tu es accro aux odeurs, tu sniffes et tu nettoies quand je te le dis, c’est compris ? ». Comme j’acquiesce, il s’installe à nouveau, avec ses pieds face à mon visage. Je tends donc juste le nez pour constater que les chaussettes n’étaient qu’une petite entrée en la matière. Il pianote sur son portable, sans même me regarder avant de me lancer : « tu crois qu’ils vont se nettoyer tous seuls ? ». J’entreprends donc un nettoyage en règle de ses pieds moites et odorants, plante, dessus, côté, puis entre les orteils, où il y a quand même 36 heures de transpiration et un entraînement… Pendant que je travaille, il continue à pianoter sur son portable, se penchant de temps en temps pour donner de petits coups aux pinces que je sens de plus en plus.
Quand il en a eu assez, il a enlevé les pinces, s’est levé, s’est déshabillé sauf le boxer et m’a fait à nouveau coucher sur le dos. Il est venu frotter son boxer sur mon nez, devant et derrière en l’obligeant à lui dire que j’aimais, que c’était trop bon, lui dire merci pour ça. Il me motivait avec mes tétons entre ses doigts, qui après le passage des pinces étaient devenus bien sensibles. Il s’est rassit dans le divan a levé ses bras et a dit que l’entraînement avait été dur ce jour là, puis il m’a simplement dit : « aller y a encore du taf ». M’approchant, j’ai commencé directement à lécher, après une bonne gifle, il m’a dit « Mais tu ne comprends rien, salope ! A genoux !». Il a repris les pinces délaissées, mais cette fois, c’est à la peau des couilles qu’il les a fixées. Puis à nouveau assit, il a levé les bras et m’a simplement regardé pour me faire comprendre de continuer. Je me suis donc approché, pour juste renifler les effets de son entraînement et des quelques heures sans une goutte d’eau ou une trace de déo. Il appuyait sur ma tête pour bien enfoncer mon nez dans les poils. Il m’a alors dit : « allez, régale-toi ! » et j’ai léché, l’une puis l’autre, toujours avec mes tétons entre ses doigts, à intervalles réguliers.Il m’a prit par les cheveux, ensuite, pour orienté ma langue sur son torse (poilu également), ses tétons, son ventre, ses jambes, à nouveau ses pieds puis il m’a fait mettre à 4 pattes. Position « gueule en terre », la tête dans sa Nike, le cul bien en l’air. Il m’a annoncé : « donc 22 secondes de trop. Ça fait 11 pour chacune. Et j’ai reçu la première claque sur une fesse. Il m’a dit de compter et décompter en même temps, donc 1-21, 2-20, 3-18… Ça a bien été jusque 11-11 mais je ne sais pas pourquoi, j’ai dit 12-12 juste après. Il m’a traité de tous les noms en me disant que je ne savais pas compter. Puis il a dit : « on recommence ». Arrivé enfin à 22-0, je n’en pouvais plus, j’avais le cul en feu. Et les pinces à linge qui bougeaient à chaque fessée rappelaient leur présence à la peau de mes couilles.
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