Deux semaines plus tard il me contacte pour m’ordonner de venir faire le ménage chez lui. Me regarder nettoyer sa maison en bottes lui a bien plu, me dit-il.
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Pour une pucelle du cul on peut dire qu’elle s’éclate bien en tout cas, moi, je lui ai bien éclaté, son petit trou serré !
Elle ne se plaint plus et je sens ses orgasmes en rafales qui font trembloter ses jambes et crier comme jamais.
Elle m’excite, mon plaisir monte et j’ai envie de la souiller ! Je pars à longs jets puissants dans son intestin mais je sors rapidement de son cul et viens essuyer ma semence sur son visage vultueux.
Elle râle, se sent dégradée mais elle aime ça. Je l’ai vue tout à l’heure, cette coquette égocentrique, se mater dans le miroir et admirer son propre visage déformé par les grimaces et les spasmes d’un plaisir honteux.
Je lui administre deux fortes claques sur ses fesses épanouies et la détache.
Je suis très laconique, dédaigneux, la jetant comme un kleenex souillé, ses orifices béants, et lui ordonne de se rhabiller et de filer ah oui, et qu’elle se tienne à ma disposition, je la rappellerai sous peu : j’ai besoin d’une femme de ménage, d’une souillon, d’une marie-salope, d’une bonniche à culbuter.
Qu’elle ne croit pas qu’elle va s’en tirer comme ça, avec quelques coups de pine dans le cul, elle a un dossier chargé (dont j’ai toutes les pièces), sans compter maintenant des clichés et des bouts de vidéo compromettants.
Quand je la rappellerai elle ne devra pas discuter, mais venir avec une tenue classe et sexy (pas en tenue de femme de ménage bien entendu les gants en caoutchouc c’est moi qui m’en servirai pour lui fouiller le cul et lui administrer son lavement)
Et elle aura tout intérêt à montrer plus d’entrain et de zèle pour s’acquitter de ses tâches de propreté et être une bonne salope soumise, sinon gare ! J’ai à sa disposition un martinet à lanières de caoutchouc particulièrement redoutable (oui décidément j’aime beaucoup cette matière) et même pire : une strappe en cuir bien souple.
Toute dégoulinante de sueur et de sperme elle se rhabille sans demander son reste et semble m’écouter avec crainte. Elle sait que je la tiens.
Et puis j’ai la nette impression qu’elle a apprécié cette séance en fin de compte et même qu’elle va devenir accro à cet exercice de soumission sexuelle, et qu’elle fera mine de s’y plier par contrainte mais ça l’arrange bien : cette vicieuse n’a pas ainsi à avouer qu’elle aime être dominée et jouir sous ce traitement.
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Deux semaines pile après cet épisode je l’appelle brièvement en fin d’après-midi et lui annonce qu’elle devra être chez moi le lendemain vendredi à 18H. Et je lui conseille d’être ponctuelle.
Ah oui, et elle devra avoir rasé parfaitement sa chatte et son cul.
La godiche sonne à ma porte à 18H tapantes comme convenu. Elle a les yeux baissés.
La voilà vêtue d’une tenue on ne peut plus sexy : elle a une jupe courte, des bas gris brillants, des bottes de peau très chic et elle porte des gants de cuir. Elle a également sur les épaules un spencer en cuir, mais dessous, le haut vaporeux laisse apercevoir sa peau par transparence une vraie tenue de pute ! De pute de luxe, cela s’entend.
« – Voilà une tenue parfaite pour faire mon ménage. Pas des plus pratiques ni des moins salissantes, bien évidemment. Mais tant pis enfin, tant pis pour vous. Tant mieux pour moi. Une tenue contraignante et entravante créera un spectacle encore plus délectable à regarder. J’ai hâte de vous voir vous contorsionner.
Et des gants en cuir pour le ménage, quelle « riche » idée !
D’ailleurs si votre tenue n’est pas assez inconfortable ne vous en faites pas, je ne suis pas à court d’idée ni d’imagination. J’ai de toute façon des tenues de cuir et de métal minimalistes parfaites.
Vous serez ravissante et surtout comique avec un crochet en acier dans le cul, une ceinture en cuir et métal serrée autour de la taille, ainsi qu’un mors dans la bouche Vous allez en bavez hahaha !
Mais vous essuierez »
Là-dessus je m’efface pour la laisser entrer et je la guide à l’intérieur en lui palpant la coupe Il faut tout de suite qu’elle se rappelle qu’elle n’est qu’une pouliche dont je n’ai pas fini le dressage.
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Je rentre dans la maison, nerveuse mais essayant de garder mon allure bcbg et hautaine. Je mets le loup qu’il a laissé pour moi sur la table.
Je marche un peu pour voir mon effet sur lui. Retirant ma veste, je regarde un peu les lieux. Mes bottes à talons très hauts en cuir et en peau font un bruit caractéristique dans la pièce. Ma tenue est une première robe en soie légère tenant par deux ficelles sur mes épaules. La deuxième partie est comme un filet qui lui couvre les épaules.
J’essaie de faire de l’effet car je sais ce qui va suivre. Je garde mes gants, le cuir à toujours un effet sexy non ?
Obéissant à ton premier ordre je prends le plumeau et commence à enlever la poussière. Je me mets sur la pointe des pieds pour atteindre une étagère, cela lui offre une belle vue sur mon derrière. La robe remonte le long de mes cuisses et dévoile la lisière du haut de mes bas.
Une fois fini, je reviens vers lui avec un whisky. Il m’observe en silence assis dans son fauteuil.
Docile je m’approche pour lui offrir son drink avec une démarche élégante mais déhanchée. Docile et soumise, je lui demande ce qu’il souhaite à présent, tout en le gratifiant d’un petit massage des épaules comme une bonne bonniche soumise.
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Je vais m’affaler dans mon fauteuil le plus confortable, parfait dans mon rôle de mâle dominateur qui n’a aucune vergogne.
Dédaigneusement je lui désigne le plumeau laissé sur la table qui n’attend qu’elle (prémisse d’un autre plumeau dont elle me gratifiera plus tard.) Il y a également un loup gris qu’elle peut placer sur ses yeux si elle le souhaite car elle sait que je vais m’offrir une petite vidéo pour ma collection personnelle.
« – Vous n’avez pas fait les poussières, la dernière fois. Et elles se sont accumulées. Elles vous ont attendue. Car, vous vous en doutez, ça n’est pas un travail pour moi. Ça, je le laisse aux salopes serviles dont je fais mes esclaves, les grosses poufs comme vous qui sont prêtes à tout pour se faire défoncer par mon gros phallus.
Alors, appliquez-vous, et n’oubliez pas les étagères… toutes ! Même celles en verre de ma vitrine, même celles-là, là-haut. Pour les atteindre vous avez le droit de prendre l’escabeau qui est là. »
Cette chienne se met à l’uvre immédiatement et ne discute même pas. Elle époussette en remuant sa croupe. Sûr qu’elle cherche à m’allumer, cette salope !
Et ça n’est pas tout : elle prend l’escabeau et le place très gauchement, c’est-à-dire de façon trop éloignée des meubles. Si bien qu’après avoir monté les marches en se dandinant (et elle monte tout en haut !) la voilà qui se penche plus que de raison : elle me dévoile ainsi ses cuisses, très haut je vois même ses jarretelles. Cela est évident qu’elle a le feu, qu’elle mouille d’envie de se prendre des grands coups de pine dans le cul !
Elle me fait immédiatement de l’effet cette garce. Je me sens tout de suite très à l’étroit, très serré, dans mon boxer. J’admire cette croupe splendide, bien cambrée, bien galbée et épanouie qui se pavane à un mètre cinquante du sol, telle une uvre d’art tout en chair exposée sur un piédestal dans une galerie pour amateurs vicelards et obsédés !
Elle me chauffe ainsi avec son show qui dure vingt bonnes minutes.
Car même quand elle est redescendue et qu’elle s’est mise à épousseter le buffet, elle s’est penchée comme une salope, cambrée au maximum, de façon quasi obscène.
Quand elle semble avoir terminé, elle reste là, l’air un peu évaporé comme une gourdasse en train de chercher si elle n’a rien oublié. J’interromps alors brutalement par une injonction cette rêverie simulée :
« – J’ai soif ! Mon whisky. Et vite. Avec des glaçons. »
Elle s’empresse de me préparer mon drink, ça me plaît. Et approche à pas lents et me tend mon verre.
Puis elle commence à me masser les épaules alors que je ne lui ai rien demandé ! Elle va le payer.
Pour l’heure c’est assez agréable, même si elle s’y prend mal.
Et puis, si j’ai besoin de me détendre c’est plutôt une certaine partie de mon anatomie qui a besoin d’être détendue, mais ça n’est pas ce traitement qui y arrivera je connais le remède.
Alors je siffle la fin de la partie car si elle croit qu’elle va s’en sortir avec un petit massage pseudo-érotique, elle se fait des illusions. Je lui ordonne sévèrement et d’une voix forte :
« – A genoux, et vite ! Je vais déguster ce douze ans d’âge et toi tu vas déguster ce que tu aimes.
Mais tu retrousses ta jupe sur tes reins avant de me prendre en bouche. Je veux voir ce cul qui ferait bander un mort. »
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Soumise et résignée je soulève ma robe. Il voit des jarretelles qui retiennent mes bas.
Il me dit ensuite : « Enlève ta robe. »
J’enlève la partie en maille d’abord, ce qui fait que je suis comme en nuisette avec mes bottes.
Puis j’enlève la partie en soie. Je me retrouve vêtue d’une guêpière noire, d’une culotte fine, de mes bas et de mes bottes.
Il sourit un peu en voyant que j’ai dû aimer la dernière fois. Prenant appui autant que possible, je descends sur mes talons de bottes de 10 cm. Une fois à genoux je commence à ouvrir son pantalon et en sors sa grosse queue.
Distinguée et coquette, j’écarte mes cheveux et me mets à l’uvre. Ma tête rebondit sur sa grosse bite ; je prends mon temps cette fois-ci et fais tous les efforts pour le satisfaire.
Je prends ma respiration pour dire : « mon dieu, elle est si grosse. » Parfait pour la vidéo qu’il tourne.
Je poursuis mon uvre avec mes doigts fins qui montent et descendent sur la hampe. Je me sens bien. Et plus audacieuse, maintenant que je fais tout bien pour satisfaire mon maître.
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Ah la chienne on dirait qu’elle a fait des progrès sa bouche est douce et agréable.
Et puis elle me fait un véritable numéro d’exhibition : sa tenue, provocante, est plus celle d’une courtisane dans un bordel, si elle n’avait ces bottes qu’elle a dû payer bonbon. Je finirais par me demander si elle ne détourne pas de l’argent de la crèche qu’elle dirige pour se payer ces fringues de luxe.
Et me tenir le gourdin avec ses gants de cuir c’est particulièrement bandant.
Pour l’humilier davantage et m’exciter encore plus je lui ordonne :
« – Descends ton slip de catin ! Et tu le gardes baissé à mi-cuisses. »
J’ai ainsi une vue délectable sur ses fesses rebondies, et elle, elle n’a pas l’air très maline ainsi.
Je commence à m’exciter. J’attrape sa tête et lui imprime des mouvements de va-et-vient un peu forcés. Je lui enfonce même ma grosse queue jusqu’au fond de la gorge : elle résiste, elle a les yeux qui pleurent, elle se révulse, mais se prend cette gorge profonde finalement sans trop de problème.
J’accélère le rythme, lève mon bassin du fauteuil, et commence à lui baiser la gueule à grands coups de reins, comme une brute. Elle encaisse bien, cette apprentie-putain !
« – Attends un peu, salope. Je vais te préparer le cul Reste en place. »
Je me lève. J’ai préparé avant son arrivée un nécessaire à lavement.
Mais la voir ainsi, à genoux au pied du fauteuil, la culotte baissée à mi-cuisses comme une gamine sur le point d’être punie, avec ses bas, son porte-jarretelle et ses bottes chic, me donne soudain des envies sadiques. Je prends un martinet et commence à lui administrer à un bon rythme des coups alternants, fesses droite, fesse gauche
Elle pousse des cris aigus de surprise et de douleur. Pourtant le traitement n’est pas très cruel, ça lui chauffe juste un peu la croupe.
Je m’arrête vite et enfile un gant en caoutchouc, puis lui commande :
« – Écarte les cuisses enfin autant que tu peux avec ta culotte qui t’entrave, ça n’est pas la peine de te plaindre ! »
Je lui écarte doucement ses deux belles fesses, exposant sa jolie petite praline sombre, puis je prends une bonne dose de gel et lui enduis méthodiquement le petit cratère. Le froid la fait gémir.
Puis mon index gainé de caoutchouc force lentement le petit anneau. Elle soupire (accueillant sans doute avec plaisir cette visite qui l’excite, je l’ai appris.)
J’enfonce lentement mon doigt jusqu’à la garde, fais quelques va-et-vient, la fouille méthodiquement, la lubrifie comme il faut.
« – La dernière fois j’ai trouvé que tu avais le cul sale l’intérieur, je veux dire. Et je n’ai pas envie de souiller encore ma queue. Car aujourd’hui, je te l’annonce, tu seras uniquement enculée. D’ailleurs une salope comme toi ne devrait servir que de ce côté-là ! Et dorénavant, mise à part ta bouche, c’est de cette façon-là uniquement que je me servirai de toi pour mon plaisir.
Je ne sais pas si tu as lu Le Marquis de Sade, mais le cas échéant, sache que dans ses récits les femmes ne sont utilisées que par là. Tu vas apprendre le code de bonne conduite d’une bonne esclave soumise, et s’il y a des références dans les siècles précédents, ça n’est pas fait pour les chiens Non, plutôt pour les chiennes ! Comme toi !
Et cette pratique répétée qui t’a fait défaut dans ta vie jusqu’ici finira peut-être par assouplir ton cul somptueux.
En attendant » annoncé-je, la canule d’un bon calibre à la main, « je vais te nettoyer de l’intérieur, afin que ton boyau soit aussi propre qu’un sou neuf et digne d’accueillir le phallus de ton maître et dominateur ! »
Là-dessus je pénètre son petit trou la belle cible de la canule et ouvre le robinet. De l’eau tiède se déverse à bon débit dans son rectum.
Elle semble surprise, mais pas désagréablement. La température idéale la chauffe de l’intérieur, prélude à un exercice qui va la chauffer tout à l’heure et l’emmener jusqu’à l’extase.
Je me rassois, la queue raide, arquée et dure comme jamais, et lui ordonne :
« – Prends-moi en bouche, suce bien ce membre qui va te défoncer après, pompe-moi pendant que ton cul se fait laver. Et serre-bien les fesses, serre ton petit trou, parce que je te préviens, il y en a cinq litres qui vont passer, tu vas être remplie comme une truie ; tu vas avoir le ventre gonflé comme si tu étais enceinte de huit mois, mais hors de question que tu laisses filer une goutte de liquide sur mon parquet. Sinon, de toute façon tu nettoieras, et en plus tu seras très sévèrement punie à coups de tawse en cuir ! »
Jenna gémit, ses fesses font des mouvements rythmiques et comiques comme si elle voulait faire de la musculation des fessiers, mais malgré le léger sentiment de dégoût que lui inspire ce lavement, ce traitement d’un autre siècle, elle me suce avec zèle et avidité.
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À genoux je reprends mon travail sur cette queue majestueuse. Mes mains gantées montent et descendent sur la verge alors que ma bouche et ma langue s’affairent sur le gros gland.
La sensation donnée par ce lavement devient vite désagréable et même douloureuse. Je sais qu’il va ravager mon pauvre anus à nouveau… mais cette humiliation supplémentaire est-elle bien nécessaire ?
J’ai peur que ce liquide répugnant souille mes bottes de grande marque ou ma tenue.
Finalement il pousse ma tête de côté et cette bite sort de ma bouche avec un plop de bouteille de champagne.
Je reprends mon souffle. La procédure qui va me vider est tout aussi désagréable. J’aurais presque préféré être sodomisée à sec.
Après toutes ces manipulations je suis épuisée.
Me voir presque docile et rabaissée semble l’exciter cependant.
Il me relève, titubante, et me dirige dans sa maison vers la cave. Mes hauts talons de bottes claquent sur le sol avec un écho caractéristique.
Je découvre une salle pleine de jouets sexuels, d’étranges bancs et tables, couverts de cuir.
« Oh non, ne me faites pas mal, je vous en prie, je vous servirai comme vous le demandez »
Il rit et me pousse vers une table avec deux grandes barres partant en V.
Je me défends un peu mais il me force vite à me coucher sur le dos. Mes jambes sont élevées et attachées à ces barres
Je suis donc exposée, suppliante, prête à être embrochée. Il passe une cravache sur mes seins pour me faire peur, pousse sa grosse queue entre mes lèvres pour me faire comprendre que je suis à sa merci.
Je remarque une caméra au plafond. Je vais être sodomisée, souillée, ravagée et filmée dans une vidéo qui sera partagée.
Venant entre mes jambes il place un petit vibro-masseur sur ma vulve. Je proteste un peu mais rapidement la sensation me fait gémir
(A suivre…)