Malgré l’heure, ma mère se servit un bon verre de whisky et le sirota lentement, assise sur une chaise de cuisine, les fesses dans le vide. Elle a juste remplacé sa robe sage de tout à l’heure par une robe de vinyle rouge ultra courte et amplement décolletée. Son esprit est encore occupée à revivre les derniers instants. Elle s’est laissée aller à l’inceste, mais n’en garde aucune gêne ni rancur envers elle-même. Au contraire, comme il est dit plus haut, elle est impatiente de me voir revenir avec une grosse bandaison pour encore profiter de mon braquemard.
Cela ne dura qu’un petit quart d’heure.
Déjà je reviens de la douche : je suis simplement vêtu d’un tee-shirt et d’un short. Un vêtement sous lequel il est visible que je ne porte pas de slip, car je sais que ma mère ne va pas en rester là. Mon short est tendu par ma grosse tige virile. Elle est encore plus conséquente que tout à l’heure !
▬ Oh, mais voilà le fils prodige ! Et armé jusqu’aux dents à ce qu’il me semble, feule ma mère en faisant signe de m’approcher, tout en écartant ses jambes largement et, vu la taille de sa robe, elle dévoile ses dessous cochons et ses cuisses encore gluante de sa jute.
▬ M’man, je crois que ma bite est encore plus grosse que…
▬ Tant mieux, mon chéri, car j’ai une furieuse envie de m’éclater la chatte et le trou de balle ! me coupe-t-elle. Ce soixante-neuf m’a mise dans un tel état et l’eau à la bouche. J’ai envie, à présent, de me faire saillir. Je veux ton sexe dans ma cramouille puis mon cul. Je veux que tu me les éclates et que tu m’inondes de jute !
Je m’approche d’elle et, de suite je lui mets la main au panier. Mes doigts branleurs se mettent à lui baratter sa moulasse trempée et sirupeuse.
▬ Hummmmmmmm…! fait-elle en se cambrant et en bougeant des hanches.
Tout en lui trafiquant sa craquette chaude, je me penche et vient lui galocher ses lèvres fardées d’un rouge vif. Je profite quelques secondes du parfum de son rouge à lèvres, un parfum qui m’enivre, avant qu’elle n’écarte les lèvres et laisse ma langue entrée dans sa bouche. Nous mélangeons nos appendices buccaux et nos salives dans ce patin qui nous échauffe les sens.
Ma mère, surexcitée par ma branlette et ma galoche porte la main vers mon short qu’elle écarte pour faire jaillir mon pieu raide et mes burnes gonflées de foutre. Aussitôt, elle me rends la pareille et me masturbe férocement, secouant ma tige comme une folle.
Sentant combien sa foune est béante et lubrifiée par son abondante mouille, j’y enfonce plusieurs doigts. Devant la facilité avec laquelle ils rentrent, je pousse plus loin et, joignant mes doigts en faisceau, je la pénètre avec toute ma main, jusqu’au poignet. Je me mets alors à lui limer l’intérieur de sa grotte à bites.
▬ Oh ! OouiiiIIIII…! Vas-y, mon fils ! Fist-moi ! Défonce-moi la chagasse !… RaaaAAAHHH…!
Je fais plusieurs allers et retours dans son vagin enflammé, pendant qu’elle continue à me branlocher et même à m’enculer avec deux doigts. Très vite, sentant que le point de non retour n’est pas très loin, je cesse mon fistage, m’écarte et demande à ma mère de s’allonger sur la table.
Elle ne se fait pas prier et, s’étant troussée, m’offre sa croupe envieuse, zébrée par les jarretelles, où sa chatte brille de sa jutée et où palpite la petite rondelle fripée de son trou de balle. Sa motte velue monte très loin dans ses fesses et sa raie fessière poilue m’excite.
Je m’empare de mon zob et sans préambule m’enfonce dans sa cramouille accueillante. Son sexe enfiévré m’engloutit jusqu’aux roustons. Encore un peu et son trou si large accueillait même mes testicules.
J’y vais alors franchement et pilonne ma mère à grands coups de zob, la défonçant de ma rapière gonflée de désir et prête à exploser.
▬ Oui ! Oui ! Oui ! Oui !… psalmodie-t-elle sous mes assauts de plus en plus répétés. Vas-y, mon fils ! Bourre-moi la chagasse ! Fais gicler ma jute ! Enfonce ta queue jusqu’aux ovaires et branle les de ton gland de vainqueur !
▬ Tiens ! Tiens ! Tiens !… Prends ça ! et encore ça ! Tu la sent bien ma bite, hein ?
▬ Oh oui, bordel, et elle me rend folle !
Mais c’est à ce moment là que mes roustons et ma prostate décident de s’unir pour dégorger. Je pousse un long hululement saccadé, mon corps se tend comme un arc et mon ventre est secoué par mon pied.
▬ Ça y est… maman… Je vais… jouiiiiiiiii…! Ça monte de mes couilles !
▬ Putain ! Vas-y et décharge toute ta purée ! Remplis-moi le vagin de ta liqueur virile !
J’explose alors et mon méat s’ouvre, libérant un flot intense de liquide séminal. Ma jutée arrose sa grotte conale et a pour effet de la faire jouir à son tour.
▬ OuaaahhhHHH…! Je paaaAAARRR…! VouiiiIIII… ! beugle-t-elle en se tordant comme prise d’une crise d’épilepsie.
Je me retire de sa vulve et lui pisse un peu de jus sur ses poils pubiens.
Mais maman ne s’arrête pas à cela. Elle se redresse et vient me lécher le mufle viril afin d’en extirper toute la purée.
Ayant nettoyé mon dard, elle s’écarte et me regarde, voyant bien que, contre toute attente, mon vit garde ses dimensions. Il reste droit et raide, ce qui lui fait dire :
▬ Mon fiston, vu que t’as pas l’air de débander, il est temps que mon trou de balle profite aussi de ta royale biroute ! Je veux, à présent, que tu m’encules. J’ai envie de sentir ton membre dans mon troufignon. J’ai envie d’un bon lavement de sperme !… Allez, viens ! Viens me mettre au cul !
▬ Oui mais alors tu t’empales sur moi, dis-je en m’asseyant.
Elle est tellement parti et a depuis longtemps oublié que j’étais son fils, qu’elle n’hésite pas une seconde. Elle vient me chevaucher et s’emparant de mon braquemard le guide entre ses fesses gluantes, juste devant l’entrée de son couloir à lentilles.
▬ RaaaAAAHHH…! fait-elle en redescendant.
Elle ne ressent aucune douleur malgré la taille qu’a pris mon sexe. Il s’enfonce dans son fion comme dans du beurre, écartelant le sphincter, et est aspiré jusqu’aux burnes.
Elle reste un instant avec mon pieu enchâssé dans son dergeot. Puis lentement se met en branle, montant et descendant sur le mandrin qui affole les terminaisons nerveuses de son côlon.
▬ Oh, m’man, qu’est-ce que c’est bon de fourrer un cul ! Je suis serré et sens que je vais avoir un plaisir intense…
Profitant de son décolleté ravageur, je tire dessus et extirpe ses lourdes mamelles pour, aussitôt, me mettre à lui branlocher les tétines et à lui masser ses rondeurs tétonnières. Elle apprécie car elle redouble d’effort dans sa cavalcade.
Se tournant au maximum, elle vient me galocher toute langue dehors.
Le fondement est chaud et glaireux et cela me rend fou de joie et de désir. J’ai envie de le bourriquer pendant des heures, mais cela ne sera pas possible.
Nous nous bécotons, je la pelote et elle me chevauche pendant près de dix minutes. Nous râlons, grognons et jetons des mots grossiers et obscènes pour nous exciter, comme si on en avait besoin.
L’atmosphère devient lourd et est rempli de nos odeurs de sueur et de jute.
Les choses de la nature étant ce qu’elles sont, un mâle, même jeune comme moi, ne peut résister à un tel traitement pendant des heures. Et donc au bout de ces dix minutes, je me joins à elle dans un orgasme commun qui nous secoue comme des fous. Et j’éjacule comme un dingue, envoyant un peu moins de sperme mais jouissant comme jamais.
Ayant désenculée, ma mère remet de l’ordre dans sa tenue et moi je réintègre mon panais flapi et un peu encacaté dans mon short. Va falloir me laver la bite maintenant.
▬ Oh, maman, c’était merveilleux ! C’est encore meilleur dans ton cul que dans ton con… Je pense que j’y reviendrais car ça m’a vraiment secoué.
▬ La prochaine foi, l’on essayera de faire participer ton père. Il est assez cochon pour accepter. Je m’en charge pour préparer le terrain.
▬ Oh oui, cela sera parfait. Et si Caroline ▬ C’était ma sur aînée ▬ pouvait également s’y mettre, cela ferait une sacré partouze en famille et donc incestueuse…
La suite à bientôt