Le lendemain matin, après avoir passé une nuit agitée de réflexions et de tourments, Rosalie se prépara pour aller au lycée. Ce matin-là, elle avait cours de sport avec le même "vieillard sénile" qui lui servait de professeur de mathématiques.
Après avoir fait ses sacs, la jeune femme prit la direction de son école en se demandant si son amie Charlotte daignerait cette fois se donner la peine de venir en cours.
À son arrivée dans la halle de gymnastique du lycée, Rosalie croisa Charlotte dans le vestiaire des filles.
Merci de m’avoir apporté les devoirs, Rosalie.
De rien. Ça va mieux, maintenant ?
Oui, beaucoup mieux. Hier, je ne me sentais pas bien du tout mais maintenant, je pète le feu.
Rosalie sourit à son amie. Cependant, en son for intérieur, Rosalie ne pouvait s’empêcher d’éprouver de la colère vis-à-visnde Charlotte. En effet, celle-ci n’avait jamais été malade. Elle avait simplement prétexté une maladie pour pouvoir s’amuser avec son chien. De plus, elle osait lui mentir ouvertement, à elle, sa meilleure amie ! Malgré son sentiment, la jeune lycéenne fit comme si elle ne se doutait de rien.
Les deux amies se changèrent en compagnie des autres filles et descendirent dans la salle de sport.
Le professeur salua les élèves et leur annonça le programme du cours. À cette communication, certains élèves poussèrent des soupirs déçus auxquels l’enseignant ne prêta pas attention.
La leçon se déroula sans incident. Dans une moitié de salle, un groupe d’élèves s’exerçait au saut en haut en hauteur tandis que dans l’autre moitié de salle, l’autre groupe d’étudiants jouait au football. Les deux groupes s’échangèrent leurs activités durant le reste de la leçon puis les élèves allèrent récupérer leurs affaires de valeur dans la caisse réservée à cet effet et gagnèrent les vestiaires en saluant poliment le professeur.
Alors qu’elles allaient gagner le vestiaire à leur tour, Rosalie et Charlotte furent arrêtées par leur enseignant.
Mesdemoiselles, j’aimerais vous voir dans mon bureau après votre douche. Il faut que je vous entretienne de quelque chose de très important.
Les deux jeunes femmes hochèrent la tête et regagnèrent leur vestiaire. Après avoir pris leur douche en compagnie des autres femmes, Rosalie et Charlotte se changèrent et prirent la direction du bureau de leur professeur.
Elles frappèrent à la porte et la voix de l’enseignant leur répondit d’entrer.
Asseyez-vous seulement, mesdemoiselles. Avec ce que j’ai à vous dire, il vaudrait mieux pour vous que vous soyez assises.
Les deux lycéennes obtempérèrent en s’échangeant un regard inquiet. Rosalie demanda anxieusement :
Euh… Qu’avez-vous… À nous dire, monsieur ?
Eh bien, c’est très simple : vu le peu de temps que nous avons à disposition, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Votre attitude d’hier m’a beaucoup inquiété, Rosalie. J’ai donc pensé qu’il se passait quelque chose d’étrange. Je vous ai donc suivie discrètement jusqu’au domicile de Charlotte après votre départ. Et force est de constater que vous aviez raison de vous inquiéter, Rosalie. Je vous ai vu prendre les photos des instants de plaisir coupable de votre amie. Afin de vous prouver que je n’invente rien, voici les clichés que j’ai pris hier après-midi.
Le professeur posa son téléphone sur la table et fit défiler les clichés sous les yeux des deux jeunes femmes. Tous montraient Charlotte en train d’honorer les rites d’Aphrodite avec son compagnon à quatre pattes. Rosalie leva des yeux emplis de stupeur vers son enseignant tandis que Charlotte baissait la tête et pleurait honteusement en se prenant le visage dans les mains.
Vous savez, Charlotte, que ce que vous avez fait hier est très grave. Vous avez ouvertement menti à l’école toute entière pour vous ménager des moments de plaisir coupable avec votre chien. Savez-vous ce que cela signifie ? Si cette histoire venait à parvenir jusqu’au bureau du proviseur, vous serez renvoyée sur-le-champ.
Charlotte pleura de plus belle. Rosalie, elle, essayait toujours de se remettre de cette nouvelle. Elle qui pensait être la seule personne au courant des penchants de Charlotte, voilà que le professeur qu’elle aimait le moins l’avait suivie et, de ce fait, était également au courant de l’affaire.
J’ai cependant une alternative à vous proposer : je cherche à tromper ma femme qui commence à devenir un peu trop… Lassante, dirons-nous. C’est pourquoi je m’engage à ne rien révéler de tout cela si vous acceptez de me rendre ce petit service. En temps ordinaire, je n’aurais jamais demandé cela à une élève mais, au vu de la particularité de la situation, je me permets de vous proposer cette alternative. Comme vous êtes majeures et, par conséquent, capables de discernement, je vais vous laisser le choix : soit vous acceptez toutes les deux de me faire du bien soit Charlotte sera renvoyée.
Charlotte essuya ses larmes et fixa le professeur d’un regard empli de colère.
Vous êtes devenu fou ?! Ce que vous faites là, c’est du chantage ! Rosalie et moi n’accepterons jamais de servir un vieux cochon dépravé comme vous !
Je vous prierais de changer de ton, Mademoiselle ! Vous n’êtes pas en position de refuser quoi que ce soit. Et vous, Rosalie, qu’en pensez-vous ?
Rosalie porta son regard successivement sur son amie et sur son professeur. Ce fut avec un sentiment mêlant solidarité envers Charlotte et désir de se venger de celle-ci qu’elle déclara :
Vous avez dit que vous ne raconterez rien à personne si Charlotte et moi acceptons de "vous faire du bien" comme vous dites. Dans ce cas, je considère cela comme une relation donnant-donnant : nous vous ferons plaisir et vous ne dénoncerez pas Charlotte. De plus, si vous ne respectez votre part du contrat, nous aurons les moyens de le prouver.
Je vois que vous savez vous défendre, Rosalie. Alors, que décidez-vous ?
Charlotte et Rosalie se regardèrent puis, après s’être échangé un regard signifiant "nous n’avons pas le choix, nous devons le faire pour toi", Rosalie déclara à l’enseignant :
C’est d’accord. Nous acceptons vos conditions.
Parfait. Déshabillez-vous, mesdemoiselles.
Les deux jeunes femmes et le professeur ôtèrent leurs vêtements. Charlotte et l’enseignant furent les premiers à s’être totalement dévêtus. Tandis que la première affichait un air empli de honte, le second dévoilait très fièrement une verge de taille respectable.
Alors que Rosalie allait retirer sa culotte, le professeur l’interrompit.
Non, Rosalie. Laissez Charlotte vous l’enlever avec les dents. Nous verrons ce qu’elle a appris en copulant avec son chien.
L’enseignant partit dans un immense éclat de rire tandis que Rosalie émit un petit gloussement discret pendant que Charlotte essayait tant bien que mal de mordre dans le tissu de sa culotte.
Charlotte parvint à faire tomber la culotte de son amie au sol. Rosalie se dépêtra du sous-vêtement en levant les pieds. Le professeur jeta un regard lubrique sur les corps dénudés des deux étudiantes.
Eh bien, on peut dire de vous deux que vous êtes agréables à voir. Surtout vous, Rosalie, avec cette chatte si bien entretenue et cette sublime poitrine, n’est-ce pas Charlotte ?
Encore sonnée par la honte extrême que la situation lui faisait ressentir, Charlotte hocha la tête en guise d’acquiescement.
Rosalie, allongez-vous sur la table. Charlotte, c’est le moment de nous montrer les talents que les moments passés avec votre compagnon à quatre pattes vous ont apportés. Vous allez lécher la chatte de votre amie.
Les ordres avaient claqué tellement sèchement que les deux jeunes femmes obtempérèrent sans piper mot. À peine Rosalie s’était-elle allongée sur la table que la langue de Charlotte s’activait sur son sexe liquéfié d’excitation.
Entre deux gémissements de plaisir, Rosalie vit son professeur imbiber ses doigts de salive et lubrifier l’anus de Charlotte avec.
Pendant qu’elle se faisait très agréablement lécher la vulve, Rosalie aperçut à travers ses paupières mi-closes l’enseignant empoigner sa verge et l’enfoncer dans le fondement de Charlotte qui gémit de douleur.
Le professeur ne tint pas compte des gémissements de Charlotte et se mit à faire de lents va-et-vient dans le fessier de la jeune lycéenne afin de la laisser s’habituer puis il accéléra le rythme de ses mouvements pendants plusieurs minutes tout en donnant de temps à autre une claque sur les fesses de Charlotte.
Charlotte, votre amie a une magnifique poitrine. Il serait dommage de ne pas l’honorer de vos talents.
Comprenant ce que son professeur exigeait d’elle, Charlotte abandonna le clitoris gonflé de plaisir de Rosalie et se mit à lui sucer les seins, toujours sous les puissants assauts de l’enseignant.
Lassé de la position qu’ils avaient adopté tous trois, le professeur se retira du fessier de Charlotte.
Rosalie, descendez de la table et mettez-vous à quatre pattes pattes par terre.
Rosalie obéit à l’injonction.
Eh bien ! Regardez-moi cela, Charlotte. Elle a un beau petit cul ! J’aimerais beaucoup vous voir lui prodiguer vos soins.
Humiliée, Charlotte s’agenouilla derrière son amie et commença à lécher son postérieur sous le regard pervers de l’enseignant qui avait commencé à se masturber frénétiquement.
Au bout de quelques minutes, le professeur finit par sentir que la jouissance n’allait pas tarder à l’emporter.
Charlotte, laissez le fessier de Rosalie tranquille et agenouillez-vous devant moi. Rosalie, maintenez-lui la bouche ouverte ; je ne veux pas que votre amie recrache une seule goutte.
Charlotte s’agenouilla devant son professeur tandis que Rosalie lui écartait les lèvres de ses doigts. L’enseignant se caressa durant quelques secondes avant d’éjaculer en masse dans la bouche de Charlotte qui, grâce à l’ouverture maintenue par les doigts de Rosalie, avala toute la semence produite par le professeur en affichant une moue de dégoût.
Lorsqu’ils se furent tous les trois rhabillés, l’enseignant autorisa Charlotte de boire un peu d’eau et les deux jeunes femmes quittèrent le bureau.
Charlotte était en pleurs suite à l’humiliation que son professeur lui avait faite subir. Rosalie, de son côté, se sentait à la fois mal à l’aise pour Charlotte et excitée de s’être fait aussi bien complimenter sur son corps par l’enseignant qui avait ordonné à son amie de lui prodiguer les soins les plus agréables de sa jeune vie.
À présent, pour la jeune lycéenne, la question n’était plus de savoir ce qu’elle allait faire des clichés pris à la maison de Charlotte mais bien quand leur professeur allait leur redemander de "lui rendre service".
[ à suivre ]