Voilà, c’est une histoire absolument vraie que je vous propose ici. Enfin, pas tout à fait quand même, j’ai changé les noms et les lieux pour plus de discrétion, mais le fil de l’histoire correspond strictement à la réalité. Je ne sais pas pour vous, mais moi, ce sont les histoires vraies qui me font bander. Les gros délires fantastiques avec des bimbos à poitrines et fesses surdimensionnées, les boys surmusclés aux membres monstrueux, tout cela me laissent froid.
Quand la fille ou le garçon sont ancrés dans le réel, avec leurs qualités, leurs défauts, un peu de gras ici, un peu de rides là, l’odeur du foutre, de la sueur et de la mouille … c’est comme cela que j’arrive à me projeter et à ressentir du désir. Si vous pensez comme moi, je veux bien partager vos impressions sur le forum ou en MP.
Donc tout est vrai avec Chloé, ou du moins je vais essayer d’en faire le récit avec le plus de fidélité possible, dans la mesure où ma mémoire et ma propre subjectivité ne me font pas trop défaut…
C’était il y a quelques semaines, je dragouillais vaguement sur les réseaux sociaux sans trop de succès. Je tombe sur un site d’histoires érotiques, je lis un récit assez bien écrit. Un Réunionnais qui raconte qu’il s’était tapé deux touristes allemandes, des milfs un peu rondelettes. Je trouve l’histoire bien balancée, j’aurais bien aimé être à la place du mec. Dans les commentaires, je vois une fille « ronde68 » qui laisse le message suivant :
Bravo pour votre histoire, le jour où je descends en vacances, j’aimerais bien vous rencontrer.
Aussitôt, ma boîte à fantasme se met en marche, je kiffe à mort sur les filles rondes, et dès que j’en vois une, je bande comme un taureau. Rien que l’évocation de son pseudonyme m’excite. En plus dans son message, je comprends bien qu’elle s’imaginait à la place des touristes allemandes, et comme moi, je m’imaginais bien à la place du mec qui les a déboîtées, du coup, je me vois bien en train de sauter cette mystérieuse ronde68. Je prends donc la décision de lui écrire :
Bonjour, votre message sur le forum m’a passablement intrigué, il s’avère que j’ai la passion des femmes rondes, je crois deviner que vous êtes quelqu’un qui aime la vie (…), j’aimerais bien échanger avec vous si vous le voulez bien.
4 jours passent … et je reçois une réponse
Bonjour, je suis intéressée par votre message.
On commence alors à s’échanger au rythme de 2 fois par semaine de messages de plus en plus coquins.
Je me présente, je lui dis que je suis un homme de 46 ans marié, avec 2 enfants. Je suis cadre dans l’industrie, je vis sur Lyon. Je suis heureux en ménage, mais comme beaucoup de bons pères de famille, je suis dévoré par le démon de l’infidélité et rêve de « goûter le corps » d’une belle inconnue.
Elle s’appelle Chloé, elle vit sur Strasbourg, avec son compagnon. Elle est ronde en effet. Elle se plaint d’une vie un peu routinière, elle aimerait faire l’amour tous les jours, elle aimerait avoir du piment dans sa vie.
Alors tout naturellement, je me propose d’être le piment qui lui manque tant.
Quand elle me répond qu’elle aimerait bien « goûter mon piment », vous imaginez bien dans quel état d’excitation j’étais…
Et c’est ainsi que nous avons commencé à ourdir tous les deux notre petit complot cochon. Pendant plusieurs semaines, nous avons échangé des messages de plus en plus chaud, nous avons patiemment organisé notre rencontre.
Pas question de nous voir dans nos villes respectives, le risque de tomber sur quelqu’un de connu était bien trop grand. Aussi, nous avons décidé de nous retrouver une journée et une nuit dans un hôtel à Dijon, à mi-chemin entre nos domiciles.
Elle prétend à son compagnon qu’elle se rendait voir son père dans le midi, il n’y a vu que du feu.
Moi j’ai posé un jour de congé à mon patron, et à ma femme, j’ai prétendu un déplacement professionnel sur Dijon ce jour -là. Elle n’y a vu que du feu…
La semaine précédant notre rencontre, on devenait de plus en plus chaud et on s’échangeait jusqu’à 10 messages par jour.
A ce moment, je n’ai qu’une idée partielle de ce quà quoi ressemble Chloé. Tous les jours, elle m’envoyait une image d’une partie de son corps. Le lundi, elle me montre ses lèvres pulpeuses, le mardi elle dévoile, son regard doux et pénétrant, le mercredi, elle me montre ses seins, doux et fermes avec de larges aréoles.
Elle sait s’y prendre, la salope ! Elle se dévoile, feuille à feuille, elle pique mon imagination, elle me rend fou.
Le matin de notre rendez-vous dans la voiture, j’ai le temps de gamberger. Est-ce que je vais la trouver moche ? Est-ce qu’elle va me repousser ? Je suis piqué d’excitation, à la fois inquiet, impatient de la retrouver. Avant la rencontre quand tous les fantasmes sont ouverts…
Je la retrouve à la gare de Dijon, où elle m’attendait.
Chance ! Je retrouve une petite pomme très sexy. Elle est ronde, mais pas énorme, une petite silhouette bien taillée, comme j’aime. Un petit visage tout rond, des cheveux noirs coupés très courts, des lèvres pulpeuses, un beau regard pénétrant, et pour couronner le tout, ses fesses et une poitrine bien rebondies. On se sourit, on se parle, on s’embrasse chastement sur la joue. J’aime le noir profond de ses yeux, j’aime le velouté de son baiser, j’aime la douceur de sa voix. Je l’embarque dans ma voiture et on file vers l’hôtel que j’avais réservé.
« Je te trouve très jolie Chloé ! Je suis très content de te rencontrer. Je lui dis ça dans la voiture.
Merci, toi aussi tu es beau, elle passe ma main sur ma cuisse, tout mon ventre se met à frissonner.
Un hôtel assez classe que j’ai réservé, propre et coquet, bien côté sur les sites de voyages, je n’ai pas envie de forniquer dans une chambre minable.
Dans l’ascenseur, on s’échange de gros baisers sur les lèvres, je la serre très fort dans les bras, je touche ses fesses. Elle appuie son ventre au niveau de mon bassin, elle commence à faire gonfler mon slip.
On entre dans la chambre, elle est bien belle bien propre. Dès la porte refermée, Chloé se jette sur moi et m’embrasse goulûment, elle commence à passer ses mains sur ma chemise. Elle m’a dit qu’elle voulait du sexe, elle ne mentait pas. Moi aussi je n’ai qu’une envie, la dépoiler sur-le-champ, planter mon sexe bien dur dans sa chatte et cracher 2 ou 3 bonnes giclées de sperme bien chaud…
Mais je me contiens, je la repousse doucement,
« On prend notre temps ma belle, si tu veux bien, on va dehors, on prend un verre, on prend le temps de discuter »
On se retrouve main dans la main dans les rues de Dijon. Au pied du palais ducal, je m’arrête dans une petite pharmacie, j’achète les petits bouts de plastiques indispensables, puis on se met dans un bar.
Elle me raconte sa vie, sa jeunesse difficile, ses rêves, ses projets, sa vie de couple avec ses hauts et ses bas. Une fille intéressante, toute jeune, mais qui a déjà beaucoup vécu et qui a déjà beaucoup de sagesse.
Je lui raconte tout, le côté face, ma petite vie de bon père de famille bien rangée, le parfait ingénieur, ma femme, mes filles, mon chien. Le côté pile, mes fantasmes, mes désirs cachés…
C’est bien de prendre le temps de se connaître, cela fait monter la sève. Pendant notre discussion, je lui caresse la main, je lui fais du pied, dans mon pantalon, ça gonfle, ça gonfle…
Retour à l’hôtel, main dans la main. Dans l’ascenseur, on s’échange encore de gros baisers langoureux, Chloé barbouille tout mon visage de son gloss.
Dans la chambre d’hôtel dès la porte fermée, je me jette sur elle et tout en l’embrassant, je défais ses vêtements un à un, elle en fait de même. Nos gestes sont maladroits, vifs et saccadés, on est vraiment pris de grand désir l’un pour l’autre.
Chloé m’a fait une belle surprise, sous ses vêtements, elle a mis une combinaison sexy en filet, avec juste un trou autour de son sexe. J’adore !!! Je contemple sa chatte rasée, je vois une goutte de mouille qui goutte le long de sa cuisse, ma bouche elle, est pleine de salive. Je l’allonge sur le lit, j’écarte ses cuisses et je pose ma bouche sur ses lèvres bien ouvertes.
Quel soulagement, deux mois qu’on s’excitait sur le Net, et enfin quel délice de pouvoir enfin lécher la chatte de Chloé ! Le goût, l’odeur de sa chatte, forte, âcre, acide, amer, délicieux, le meilleur des nectars. Je la lèche longtemps, j’entends ses gémissements de plaisir, je caresse ses fesses, ses seins, je titille ses tétons. Au bout d’un long moment, je me redresse, ma bouche, mon menton, mon nez sont recouverts de son jus adoré. Mon sexe qui jusqu’à maintenant n’a rien fait est dur comme un bâton de bois, le bout est rouge violacé.
Je m’allonge sur le lit et je la fais monter sur moi, elle empale son bassin sur mon membre et lance le mouvement de pendule. C’est délicieux de la voir se balancer sur moi, je caresse sa croupe, ses flancs, ses seins, je croise le regard de l’amazone qui me chevauche.
Une bonne claque sur ses fesses et je l’allonge à quatre pattes sur le lit. Posé derrière elle, j’écarte ses cuisses et j’enfonce ma bite en levrette. J’attrape fermement ses fesses et je lui balance de grands coups de queue. J’adore entendre le claquement de mes cuisses sur ses fesses à chacun de mes assauts. Chloé ne dit rien, j’entends juste sa respiration qui accélère.
Je me retire encore, je n’ai plus beaucoup d’énergie, je le retourne et je l’allonge sur le lit. Je m’étale sur elle de tout mon long et je le pénètre par-devant en missionnaire. Ca ne dure pas longtemps, trois oscillations et je lâche mon sperme dans son con.
Bien vidé, je m’allonge sur le côté de Chloé, et je me repose un peu. Chloé passe sa main paresseusement sur mon torse, nous nous échangeons de petits bisous. Des fois, sa main descend vers la masse humide de ma bite toute molle, elle en veut encore, mais j’ai besoin d’un peu de temps pour recharger, aussi doucement, je repousse sa main.
On se repose une demi-heure, ses petites caresses me font de l’effet et je sens ma sève qui commence à remonter. Je lui prends la main et l’autorise de nouveau à toucher ma queue. Avec ses petits doigts délicats, elle me prend la bite et entreprends de la masser. Elle met du temps à durcir, mais petit à petit, cela vient, encouragée par mon érection, elle accélère sa branlette.
Je me relève, je présente ma queue devant son visage. Elle relève la tête, ouvre sa bouche et enfourne mon sexe. Je suis content, elle m’avait dit par e-mail qu’elle n’aimait pas sucer, je suis heureux de la voir faire des efforts.
J’attrape sa tête avec les mains et de gestes fermes, je dirige le mouvement d’oscillations. J’entends ses bruits de succions et de déglutitions.
Elle te plaît ma queue grosse salope !
slurp, slurp !
« salooope ! Nettoie bien ma queue avant que je te la foute dans ton cul de pute.
slurp ! slurp !
J’accélère le mouvement, je secoue frénétiquement sa tête autour de ma queue, elle est en mon pouvoir, elle est mon jouet, ma chose. J’adore l’imaginer avaler le mélange de mon foutre et de sa mouille qui avait séché le long de ma bite lors de notre baise précédente, je sens bien que cela la dégoûte, mais en même temps, elle s’applique à me donner du plaisir. Je me sens tout puissant, j’ai envie de la salir, de l’humilier.
Je me retire de sa bouche, je le mets à quatre pattes au bord du lit et je remonte son bassin. J’enfonce en une fois ma bite entre ses lèvres. Et je la baise en levrette.
C’est qui ma pute ?
C’est moi ta pute !
Tu aimes te faire sauter grosse salope ?
Oui oui.
C’est qui ma salope ?
C’est moi ta salope !
J’accélère le mouvement, je lui balance de grandes claques sur ses fesses.
Dis-moi que tu es ma salope.
je suis ta salope !
Plus fort !
JE SUIS TA SALOPE !
Plus fort ! sale pute salope !
JE SUIS TA SALOPE ! JE SUIS TA PUTE !
L’avantage avec la deuxième baise, on dure plus longtemps avant d’éjaculer, je contemple son gros cul onduler à chacun de mes claques, nos corps mutuels se couvrent de transpiration, autant dire que je prends un pied ENOOORME !
A la fin, la sève remonte jusqu’au bout de ma queue. En un soupir de soulagement, je lâche la purée dans le fond de sa chatte et je m’écroule comme une merde sur le divan.
Après un petit somme, on se rhabille, on se lève, on vide les bouteilles du minibar, puis on va faire un tour en ville. On s’arrête dans un kebab et on bouffe un plat de frites. Elle me raconte encore sa vie, et je raconte la mienne.
La ville est plutôt moche, on rentre bien vite à l’hôtel. C’est déjà la fin d’après-midi, dans la chambre, j’entame la troisième baise. Pas de fioritures, je la prends en levrette, j’écarte ses cuisses et je rentre direct mon pénis. Quelques bons coups de bassin bien sentis. Je commence à être franchement fatigué et je lâche assez rapidement mon foutre, et direct je m’endors. Chloé en profite pour mater son portable en laissant la télé allumée.
En pleine nuit, je fais des rêves indéfinis quand je sens une main qui masse ma bite, elle durcit, je me réveille au moment où Chloé me monte dessus en amazone. Ça me va bien, je suis trop crevé, c’est elle qui donne le mouvement, elle s’empale bien sur ma bite, elle prend son plaisir avant de se recoucher.
Au petit jour, je profite de mon érection matinale pour la prendre en missionnaire à son tour au réveil, la 5e et dernière baise, la plus sensuelle, la plus longue, la plus douce.
C’est la fin du coup, cette salope m’a complètement vidé, j’ai l’impression d’avoir maigri de 10 kilos. Je dois maintenant reprendre ma bagnole pour rejoindre ma famille. J’embrasse tendrement Chloé, une petite douche, un autre petit bisou, je lui laisse 20 balles pour qu’elle règle la note du minibar et je la quitte.
Ce fut une parenthèse enchantée, j’ai baisé à couilles rabattues, je suis vidé, épuisé, mais heureux…
… Je pense encore à ma petite pute d’Alsace et à notre série de baises endiablée dans cet hôtel de Dijon. Le soir quand je me branle, ou quand je baise ma femme, je ferme les yeux et parfois je m’imagine encore en train de sauter Chloé.
FIN