Désirant profiter au maximum de cette journée qui avançait rapidement, les deux filles allèrent rapidement se rincer dans la mer, puis décidèrent de s’étendre sur la plage et de se prélasser au soleil. Côte à côte, sur le ventre, elles laissèrent le soleil et le vent caresser leur épiderme libéré de tout vêtement.
« Notre plage ! s’exprima Sophie. Combien de fois y sommes-nous venues dans notre vie ?
— Oui, répondit Alicia, c’est comme notre deuxième chez nous.
— Nos parents nous faisaient confiance en nous laissant s’y rendre seules. Nos mères savaient qu’on n’y ferait pas de folies, n’est-ce pas ?
— D’autant plus que nous étions liées par un engagement de pas touche avant le temps !
— Et maintenant, plus de restrictions. Ça c’est la belle vie ! conclut Sophie. »
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Alicia se réveilla sur la table d’opération, aussi nue qu’elle l’avait été sur la plage. Couchée sur le ventre, elle sentait la chaleur intense dégagée par les puissants luminaires suspendus au plafond de la salle d’opération. Une dizaine de personnes, hommes et femmes, revêtues de sarraus blancs, entouraient la table et l’observaient en se murmurant des remarques.
L’une d’elles, une jeune femme au regard sévère, tenait dans ses mains un bâton de baseball. Les yeux clos, Alicia sentit des mains douces lui frictionner le dos, soulageant son impression de brûlure. Sophie entra dans la salle.
« Ah, te voilà, Sophie, dit l’un des hommes présents, entre ! Nous allions commencer à évaluer la performance anale d’Alicia. Tu veux la préparer toi-même ? »
Sophie s’approcha d’Alicia et se mit à oindre son anus d’une solution lubrifiante, alors que la femme au bâton de baseball s’approchait d’elle en brandissant son instrument. Tous les regards se portèrent alors vers un écran plat suspendu au mur.
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Alicia se laissait agréablement minoucher la rondelle sous les soins de Sophie. Ses yeux s’ouvrirent. Elle réentendit le murmure de la légère brise et reprit conscience de la chaleur du soleil. Sophie était entre ses cuisses à lui lécher l’anus.
« Je t’ai réveillée, demanda Sophie ?
— Je… je crois que j’ai rêvé, répondit Alicia, encore un peu dans la confusion. J’étais à l’hôpital et…
— Oui, chérie, tu t’es endormie. Je t’ai mis de la crème solaire dans le dos. Il fait vraiment un soleil de plomb aujourd’hui. Excuse-moi, je n’ai pu résister à la tentation de goûter à ton petit trou d’amour pendant ton sommeil. »
À présent bien éveillée, Alicia reprit la parole :
« Sophie, il y a quelque chose que je ne t’ai jamais dit. C’est quelque chose dont je ne voulais pas te parler avant aujourd’hui. »
L’expression de Sophie se transforma en point d’interrogation. Alicia reprit :
« Je sais que tu as hâte de me déflorer analement, mais tu dois savoir… que… ce sera peut-être difficile pour toi, et douloureux pour moi. »
Sophie écoutait attentivement.
« Tu dois savoir que tu ne seras pas la première à explorer cette région de mon anatomie, Sophie. »
La rousse prit un air mêlant surprise, interrogation et presque déception.
« J’ai déjà été impliquée dans une situation où plusieurs personnes se sont relayées pour me pénétrer par en arrière.
— Oh mon Dieu ! s’exclama Sophie, pas un viol collectif ? Ali !!
— Ne crains rien. J’étais consentante.
— Quoi !! t’as pas fait ça, Ali ! Qu’as-tu fait de ta promesse ? Non, non, tu me fais marcher, n’est-ce pas ?
— Oui, tout à fait ! c’était trop drôle de te voir la face ! »
Reprenant un air plus sérieux, elle poursuivit :
« J’étais un jour en classe de médecine à l’université. Nous reçûmes la visite d’un professeur qui faisait du porte-à-porte dans nos locaux afin de trouver une personne volontaire pour sa leçon de laboratoire.
« Ce prof était responsable d’un petit groupe de médecins-résidents en gastro-entérologie. C’était la journée du labo d’endoscopie et la personne désignée pour subir une colonoscopie avait dû s’absenter.
— Une colonoscopie ?
— Ouais, tu sais, c’est un examen effectué à l’aide d’un long instrument flexible en fibre optique introduit par l’anus, qui permet de visualiser tout l’intérieur du gros intestin jusqu’au caecum. Il y a une lumière au bout ainsi qu’une caméra. On observe ainsi les images sur un vaste écran installé dans la salle.
« Ils étaient donc à la recherche d’un ou d’une volontaire pour passer l’examen. Comme tous se connaissaient dans cette classe de résidents, personne n’avait osé se proposer parmi eux. J’ai donc accepté de faire l’expérience, me disant que montrer mon derrière à des étrangers, c’était pas la fin du monde. Ils en étaient tous ravis, même si mes intestins n’avaient pas été préparés pour la chose.
« On m’a donc installée sur la table, et, à tour de rôle, ils m’ont fait passer l’examen endoscopique. Celui-ci fut négatif, comme de raison, cependant il était à chaque fois précédé d’un toucher rectal. Les résidents ont tous dit apprécier ma collaboration, mais tous me firent remarquer que mon anus était très serré.
— Serré ? Sophie voulait s’assurer de bien comprendre.
— Oui, tout à fait. Mon sphincter fait de l’hypertonie bénigne. Lorsque je vais à la selle, je dois lui permettre de se relâcher à son rythme, sinon la défécation peut être douloureuse. J’avais toujours trouvé que c’était normal, jusqu’à ce jour où on m’informa de ma situation.
— OK, je vois. Donc, quand on doit aller dans l’autre sens…
— C’est un exercice laborieux. Je ne suis jamais parvenue à me faire introduire plus gros qu’un doigt. Je peux toutefois être dilatée davantage, et une fois mon trou bien ouvert, il n’y a plus de problème… jusqu’à la fois suivante.
— Oh non, Alicia, je ne veux pas te faire mal, dit Sophie tristement.
— Ce que je veux dire, c’est que je ne veux pas te priver du plaisir de me déflorer, ma cocotte chérie. Au contraire, car je t’aime et je veux te rendre la plus heureuse possible. Mais on devra s’y mettre ensemble. Voilà. »
Sophie alla se blottir sur la poitrine nue d’Alicia. Le seul fait de savoir qu’elle accepterait de souffrir par amour pour elle, pour son plaisir à elle, la fit sangloter dans ses bras :
« Je ne t’imposerai pas ça Ali. Tu as ton clito, ton point G, tes mamelles chatouilleuses, on pourra s’en contenter, lui dit-elle.
— Non Sophie. Je veux que nos rapports soient complets. Pour notre bonheur à nous deux. Je saurai prendre plaisir à ces choses. Tu es tellement délicate. J’ai pleinement confiance en toi. »
Alicia poursuivit, ayant pris la tête de Sophie à deux mains pour un face-à-face, yeux dans les yeux :
« C’est la raison pour laquelle j’ai refusé que Maman me prenne et me sodomise avant mon temps. Malgré ses bonnes intentions, elle n’aurait pas eu la délicatesse requise pour rendre cette expérience moins désagréable.
— Je comprends, approuva Sophie. Autrement, tu aurais subi la même initiation que moi par ta mère. »
Sophie réfléchit deux secondes :
« Mais quand j’ai fait semblant de vouloir t’inséminer malgré toi, tu m’implorais pourtant pour être sodomisée…
— Tu m’avais tellement terrorisée à l’idée de tomber enceinte que j’aurais mille fois préféré endurer une torture physique à la place.
— Oh, pauvre Ali, que j’ai été cruelle avec toi ! Pardonne-moi, chérie. J’ignorai tout de cette histoire.
— Ça va, ma biche, tu ne pouvais pas le savoir, c’était encore mon secret. »
Ayant consolé son amoureuse, Alicia se fit chatte et lui exprima le désir de passer aux actes :
« Sophie, ma belle biche, sodomise-moi ici, maintenant, sur la plage. Je veux que ça se fasse en plein soleil, en pleine liberté. Veux-tu me prendre maintenant et déflorer mon petit fion résistant ?
— D’accord, mon amour. Tu te sens prête maintenant ?
— Je ne serai jamais prête, sauf avec ton aide, répondit Alicia en lui baisant la joue, puis le cou, et en lui frottant finalement les mamelons avec son nez.
— OK, mais avant… »
La rousse sortit de son sac isolant une bouteille :
« Champagne pour les mariées ! s’exclama-t-elle. »
Ayant déposé le Moët & Chandon sur la table, elle se mit à tripoter les abdominaux d’Alicia, puis ses fesses :
« Ça va te détendre, ma grande. Tu en as grandement besoin. Regarde ces abdos, c’est dur comme de l’acier. Et ces fesses, c’est aussi dur que des ballons de volley. Relaxe, ma belle ! dit une Sophie toute pimpante.
— Voilà que tu parles maintenant comme moi ! L’auteur de notre histoire aurait-il inversé nos rôles ?
— Hein ? De quoi tu parles ?
— Oh, laisse tomber. »
Levant joyeusement leur coupe face à la mer, elles lancèrent à l’unisson un « Vive les mariées ! » des plus festifs.
Ayant englouti quelques gorgées, Sophie relança l’échange de présents :
« Nous avons eu la même inspiration, lança-t-elle en saisissant une boîte hors de son sac de plage. J’ai aussi une petite surprise pour toi. »
— Pour moi ? répondit Alicia, excitée »
Sophie tendit le présent qui se fit rapidement déballer par sa destinataire.
« C’est… une boule anale ? Non, DEUX boules anales, reliées par une chaîne ? »
Ali avait vu juste : elle saisit de la boîte une première boule de verre de 5 centimètres de diamètre. L’ayant tirée hors de la boîte, on vit pendre à l’autre extrémité de la chaîne de 60 centimètres une seconde boule tout à fait identique. La chaîne en inox était faite de solides maillons d’un centimètre chacun.
« Je n’ai jamais vu ça. Habituellement l’ensemble ne comporte qu’une seule boule.
— C’est une pièce rare, effectivement. Je crois que j’ai fait tous les sex-shops de la ville avant de le dénicher et de pouvoir arriver à temps à notre match de finale, avant-hier. En portant chacune son extrémité, cette chaîne nous unira dans nos moments intimes.
— T’as des drôles d’idées, toi, des fois, mais je suis partante. Si toutefois tu réussis à me défoncer comme il faut !
— Te sens-tu d’attaque pour une bonne partie de fesses ? demanda Sophie maintenant un peu pompette.
— Ouais, et cette fois-ci, c’est le grand jeu, répondit une Alicia déterminée à vaincre son handicap, elle-même sous l’effet stimulant de l’alcool des grandes occasions. »
Empruntant le ton d’un commentateur de sport, Sophie commença à faire sa folle :
« C’est toujours zéro à zéro entre le puissant Gode de Sophieville et les redoutables Fesses serrées d’Alicia City. Le Gode va maintenant passer à l’attaque alors que les Fesses serrées sont déjà sur leur ligne de défense. »
Toutes les positions y passèrent, toutes les stratégies furent appliquées : levrette, chevauchement, prise manuelle du gode, l’anus serré d’Alicia ne voulait rien savoir. Toute tentative d’intrusion en terrain adverse se soldait par de l’inconfort et de la douleur.
La ligne de défense semblait infranchissable. Les deux joueuses se relevèrent et firent leur caucus de football :
« J’ai une idée, dit Sophie. Dilatation sur la ligne d’attaque: j’introduis doucement le gode que Maman nous a donné, puis, juste à l’entrée de ton petit trou, je le fais gonfler (stratégie du pénis de chien, nda : relire le chapitre 6).
— Ça va marcher, tu crois ? demanda Alicia, un peu perplexe.
— On a tout essayé. Dernier essai et les buts.
— D’ac. On se met en position. »
On revient en levrette. Sophie relubrifie généreusement le faux pénis et la rondelle de sa compagne qui est dans l’attente de la remise en jeu de l’instrument. Ce dernier est glissé doucement à l’entrée du chaud canal. Seul le gland est introduit légèrement et s’arrête au milieu de l’entrée.
« Pfff » gonflement ! Le gland se congestionne, prend de l’ampleur, voulant entraîner le sphincter dans son expansion et le dilater mais ce dernier le repousse totalement en le faisant glisser à l’extérieur puis en refermant complètement sa défensive. L’instrument reprend par la suite sa dimension première, sous la commande de Sophie.
La ligne d’attaque semble déstabilisée. Tous se regroupent autour du gland rouge et luisant qui tente à nouveau d’attaquer et de reprendre sa progression en gagnant quelques millimètres plus profondément dans l’ouverture.
« Pfff » regonflement ! mais cette fois-ci, le sphincter s’est fait complètement déjouer par l’attaquant qui, se faisant presser par la défense, a su profiter de sa position plus avancée pour glisser et passer complètement à l’intérieur du but adverse pour finalement disparaître !
« Aille ! Aille ! fit Alicia qui venait de sentir le bout tout gonflé du gode passer du côté interne du muscle anal, provoquant une violente dilatation au fond de l’ampoule rectale. La soudaine stimulation des nerfs de cette région terminale du côlon induisit un besoin impérieux et immédiat. Les yeux crispés de surprise, Alicia exprima sa réaction :
« Ouche, ouche ! ça c’est du feeling, mademoiselle !
— Qu’est-ce que ça te fait ? demanda Sophie un peu inquiète et mal à l’aise.
— Stimulation directe et intense de la branche terminale du nerf vague sur le sphincter interne.
— Ça veut dire quoi, ça ? Pour moi, ce que tu dis, c’est du chinois.
— Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que ça me donne envie de chier !! Ton gode gonflé m’ordonne de pousser comme une constipée, poupée ! »
Alicia, toujours à quatre pattes, reprit son calme et attendit, goûtant des sensations de plus en plus plaisantes.
Les deux filles gardèrent le silence. Obéissant aux lois de la nature, Alicia laissa son anus se dilater lentement. Elle se redressa à peine sur ses genoux pour faciliter le travail pendant que Sophie tenait l’extrémité du pseudo pénis dans sa main.
« Ne tire surtout pas le gode, tu m’arracherais le derrière. Laisse-le venir doucement. »
Le sphincter était maintenant dilaté de 5 centimètres et Sophie put apercevoir le gland tout gonflé réapparaître hors du petit trou de sa compagne. Un centimètre de plus était requis pour permettre le passage de l’extrémité de l’instrument hors du canal anal. Dans un ultime grognement de douleur, Alicia parvint à expulser complètement l’objet hors de ses intestins.
« Ouf ! soupira Alicia, presque en sueurs.
— T’es correcte ? demanda Sophie, un peu dépassée par les événements.
— Oui, ma belle, t’inquiète. Dégonfle ton truc et repasse-le-moi dans le derrière, sans le regonfler. »
S’exécutant, Sophie réintroduisit le faux pénis dans le trou du cul de sa compagne. À leur surprise, l’instrument s’enfonça sans résistance sur une longueur de 10 centimètres, au travers d’un anus maintenant ouvert et accueillant.
« Wow ! c’est too much ! s’exclama Sophie. On l’a eu ! T’es tout ouverte dans le cul, ça c’est super ! »
Excitée, elle retira prestement le gode dans un bruit d’aspiration d’air, pendant qu’Alicia reprenait son souffle, accroupie sur le sable chaud. Sophie approcha sa bouche du derrière de sa compagne et, lui empoignant solidement les fesses, lui enfonça solidement une langue cochonne dans le fion qui avait perdu toute résistance.
« Sophie, eh, oh, arrête ! Non n’arrête pas. Tu me chatouilles tellement ! T’aimes ça faire ta salope, hein ? Alors vas-y, contente-toi, petite cochonne !
— Hum ! Ça goûte bon ! T’as du lubrifiant jusqu’au fond du cul !
— OK, ma belle. Le côté technique est fait. Maintenant place au romantique. »
Alicia s’étendit sur sa serviette de plage, leva très haut les jambes qu’elle agrippa avec ses bras et présenta son anus béant et dégoulinant de lubrifiant et de salive à sa compagne :
« Allez viens, ma puce. Viens compléter ma défloraison, je suis maintenant toute à toi. Prends ta grosse tigresse en chaleur et encule-la. »
Portant son harnais, le gode bien fixé devant son sexe, Sophie s’approcha de sa copine, déposant les genoux entre ses cuisses relevées. Elle l’embrassa sur la bouche. Saisissant le gode d’une main, elle l’introduisit dans le trou de cul rougi qui l’attendait en effectuant des poussées afin de prévenir un resserrement prématuré du muscle qui désirait retourner à l’état vierge.
Les coups de bassin de Sophie se répétant à un rythme de plus en plus endiablé, Alicia, gémissant et criant de plaisir, connut son premier orgasme anal, alors qu’elle sentait l’instrument lui labourer le rectum de haut en bas. La vue des seins de sa copine se balançant devant ses yeux ajoutait au plaisir du moment. La stimulation ano-rectale fut telle qu’elle sentit des contractions intestinales faire progresser des selles en direction de l’endroit où le faux pénis amenait la fille au Paradis des plaisirs interdits.
Au bout de cinq ou dix minutes, Sophie ayant donné tout ce qu’elle avait, l’instrument malodorant et maintenant généreusement enduit de merde fut retiré alors que la nouvelle enculée relaissait tomber bras et jambes sur le sable, complètement épuisée de ses efforts.
(À venir, le dernier chapitre : Enchaînées dans le bonheur)